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anti-national - Page 677

  • GABRIELLE CLUZEL : « LA JOURNÉE DE LA FEMME NE SERT RIGOUREUSEMENT À RIEN ET EST FONCIÈREMENT HYPOCRITE »

    Gabrielle Cluzel, auteur du livre Adieu Simone ! Les dernières heures du féminisme, estime que la Journée internationale de la femme ne sert à rien et est foncièrement hypocrite.

    Nous célébrions la journée de la femme ce 8 mars. A quoi sert la journée de la femme selon vous ?

    La journée de la femme ne sert rigoureusement à rien. Je l’appelle d’ailleurs la journée de la flemme. J’ai la flemme en effet de voir égrainer ces hypocrites hommages, ces initiatives dérisoires, et ces délires un peu baroques.
    Je constate qu’on a abandonné le rouge à lèvres cette année. Je m’attendais à une barrette dans les cheveux de la part des hommes ou à des soutiens-gorges rembourrés. Mais apparemment, il n’y a pas eu grand-chose.
    Libération a soldé ses numéros pour ces pauvres filles qui n’ont pas de sous. C’est assez dérisoire. Je pense que c’est inutile, voire vaguement inquiétant. C’est un peu comme les baleines, lorsqu’on commence à avoir sa journée, c’est qu’on est une espèce en voie de disparition. Même si tous les hommes de la Terre se promènent avec une nageoire dans le dos, la cause des cétacés en voie de disparition ne se sera pas pour autant améliorée.
    Soyons clairs, cette journée ne sert à rien et elle est foncièrement hypocrite. 

    Si les baleines sont une espèce menacée, diriez-vous que la femme aujourd’hui est menacée ?

    C’est évident. La femme est belle et bien menacée. Et le féminisme ne fait absolument rien pour la défendre, bien au contraire. On veut faire de la femme un homme comme les autres. Elle ne le sera évidemment jamais donc on veut la rendre parfaitement insatisfaite. Pour cela, on la dépossède peu à peu de tous les contours qui font son identité. On les dénigre. Je pense notamment à la maternité. Tout ce qui fait sa féminité n’est jamais mis en valeur. Tout cela est tout à fait décrié.
    Je lisais récemment sous la plume d’une philosophe, Olivia Gazalé, que la cause des femmes devait se réduire finalement à la cause de l’oppression des pénétrants contre les pénétrés. Cela la rapprocherait des mouvements LGBT, si j’ai bien compris son livre.
    On est très loin de la cause de la femme. Tout cela va vers un mouvement général d’indifférenciation, il n’y a plus de frontières, plus de limites, plus d’identités et plus de différences entre l’homme et la femme.
    Je dis souvent que le féminisme n’aime pas la femme, contrairement au perfectionniste qui aime la perfection, l’illusionniste qui aime l’illusion, le djihadiste qui aime le djihad. Le féministe n’aime pas la femme, ou alors il l’aime à la façon d’un conjoint pervers narcissique. C’est-à-dire qu’il l’aime en la dénigrant sans arrêt, en lui disant que son voisin, l’homme, est bien mieux, qu’il a de beaux attributs et que sa vie est bien plus fantastique. Tout cela ne risque pas d’épanouir la femme.
    Cessons de nous ennuyer avec la Journée de la femme.
    Je crois qu’il faut aussi que la femme occidentale arrête de regarder son nombril. Je lisais que le Pape François avait récemment accueilli la famille d’Asia Bibi et une jeune femme qui avait été enlevée par les djihadistes de Boko Haram. Il s’agit là de femmes vraiment persécutées. Pour le reste, je crois qu’il faut garder un peu de dignité.

     Ecrivain, journaliste Son blog 
  • MAIS IL EST NOIR !

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    « Je crois que la ligue de Matteo Salvini est un rempart important contre le racisme. La discrimination apparaît justement quand l’immigration clandestine se répand, en ce qu’elle est l’antichambre de l’injustice sociale et de l’insécurité. Plus de faux réfugiés arrivent – je parle d’eux ainsi car très peu d’entre eux fuient véritablement la guerre – et plus le chaos s’amplifie dans le pays, ce qui a justement pour conséquence tous ces comportements racistes. » » Ainsi parle Toni Iwobi, le premier sénateur… noir de la République italienne, élu dimanche dernier pour le parti de la Ligue – la Lega – menée par Matteo Salvini. On a tellement lu et entendu partout, en Italie et en Europe, que la Ligue est un parti d’extrême droite-xénophobe-raciste, et un peu beauf, il faut bien le dire, que l’on se dit, un petit sourire en coin, que ce Toni Iwobi a tout d’un alibi sorti du chapeau in extremis au début de la campagne électorale par ce gros filou de Salvini. On vous laisse en juger.

    Arrivé en Italie en 1976 avec un permis de séjour pour poursuivre des études – il est, alors, ingénieur en informatique –, Toni Iwobi, catholique d’origine nigérienne et issu d’une famille de dix enfants, cumule les petits boulots (plombier, éboueur) pour s’en sortir. Il s’établit à Bergame et milite dans les rangs de la Ligue lombarde dès les années 90, attiré par leur approche du fédéralisme. Conseiller communal de la ville de Spirano dès 1995, il devient le responsable… Immigration et Sécurité du parti en 2014, au début de l’ère Salvini. À tous ceux qui seraient tentés par un raisonnement binaire et fallacieux – les anti-migrants sont tous racistes -, il répond tranquillement que « ce n’est pas du racisme de défendre la culture, les traditions, les frontières, c’est du bon sens ».

    C’est peu dire qu’il s’est attiré de solides inimitiés à gauche, qui voient évidemment en lui un traître. Un député italien de gauche, Jean-Léonard Touadi, lui aussi d’origine africaine, a pu dire de Tony Iwobi qu’il était atteint « d’une forme de syndrome de Stockholm, servant ainsi de caisse de résonance à ses geôliers ».

    Un tombereau d’insultes se déverse régulièrement sur lui, car celui dont le slogan de campagne était « Stop à l’invasion » bouscule trop d’idées reçues. Il lève le coin du voile de la gigantesque supercherie « buonista » de la gauche italienne pro-migrants, qui « est la cause des milliers de morts en mer, des menaces à la sécurité du pays, et de fortes tensions sociales », lâche-t-il lors d’une interview à Affari Italiani. Car l’immigration, lui, il sait ce que c’est : « C’est une chose sérieuse, elle est fondée sur le travail et sur la volonté personnelle de s’intégrer. »

    Il y a deux jours, Mario Balotelli, ancien joueur de foot de l’équipe de Milan, d’origine africaine lui aussi, s’est lâché sur Instagram en publiant un post pour le moins douteux à propos du nouvel élu de la Ligue : « C’est moi qui suis aveugle ou on ne lui a pas dit qu’il était noir ? »

    En italien, on appelle ça un autogoal.

    http://www.bvoltaire.fr/mais-il-est-noir/

  • Le dîner du CRIF à 900 euros le couvert déductible d’impôts

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    Comme nous l’avions annoncé, le 7 mars au soir s’est tenu, en présence du président de la république Emmanuel Macron, le 33ème dîner annuel du CRIF. Le lieu ? La pyramide du Louvre. Ça ne s’invente pas…

    Le couvert était facturé 900 euros ! Habilement, le CRIF présente la facture du dîner en signalant que 800 euros seront considérés comme un don ouvrant droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %.  Ainsi, les participants-donateurs peuvent potentiellement déduire du fisc 528 euros. Les contribuables sont de cette manière mis à contribution pour financer la soirée du CRIF.

    Seuls les 100 euros restants correspondent véritablement au prix du repas.

    Mais le vice-président du Crif, Yonathan Arfi, tient à préciser que de nombreuses personnalités (ministres, religieux, diplomates, députés, maires, politiques…) sont invitées et ne versent ainsi pas un centime au bénéfice du CRIF. On verserait presque une larme devant tant de générosité désintéressée.

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    Le dîner du CRIF a été instauré en 1985. «L’ambition de l’organisation créée en 1943 est clairement affichée: il s’agit de porter la voix politique des juifs de France et d’instaurer un dialogue avec les pouvoirs publics. Dès sa création, le Crif a voulu s’inspirer de l’exemple américain de l’American Jewish Committee pour exister en tant que lobby.», lit-on sur le site de la chambre de commerce franco-israélienne.

    «C’est un moment de rencontre et de dialogue entre les institutions juives et les responsables politiques», confirme au Figaro Hervé Mariton, député-maire Les Républicains de Crest (Drôme), et lui-même de confession juive.

  • « Fake news » : la proposition de loi est prête, par Pierre Malpouge

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    9068-20180310.jpgLa future loi contre les « fake news » (fausses informations) est dans les tuyaux. Diffusé mercredi, le texte de cette future proposition de loi voulue par un Emmanuel Macron qui ne supporte pas « le bobard inventé pour salir », vise à endiguer leur diffusion, spécialement lors des périodes électorales. Le texte, qui prévoit des sanctions pouvant aller jusqu’à un an de prison et 75 000 euros d’amende, comporte deux parties : une proposition de loi classique et une proposition de loi organique.

    Le texte prévoit que durant les périodes d’élections, les obligations de transparence des plateformes comme Facebook, Twitter ou encore Google et YouTube, soient renforcées. Le code électoral sera modifié pour obliger les opérateurs, pendant cette période, à donner une information « loyale, claire et transparente » sur l’identité de ceux qui payent pour promouvoir des contenus d’information, et « à rendre public le montant des rémunérations » (à partir d’un certain seuil) fixé par décret. A noter que ces dispositions pourraient – devraient – s’appliquer dès les élections européennes.

    Comment ça marche(ra) ?

    Si « des fausses informations de nature à altérer la sincérité du scrutin à venir sont diffusées artificiellement et de manière massive », le juge des référés pourra être saisi « à la demande du ministère public ou de toute personne ayant intérêt à agir ». Ce dernier pourra alors se prononcer « dans un délai de 48 heures » et ordonner le déréférencement du site visé, le retrait du contenu en cause ainsi que l’interdiction de sa remise en ligne, la fermeture du compte d’un utilisateur ayant contribué de manière répétée à la diffusion de ce contenu. Maître absolu, le juge, qui qualifiera la fausse nouvelle, pourra même ordonner le blocage d’accès au site Internet.

    Une mainmise liberticide qui devrait s’étendre hors périodes électorales. Ainsi, il est demandé aux plateformes de coopérer et de mettre en place un « dispositif facilement accessible et visible, permettant à toute personne » de signaler les fausses informations, et de « rendre publics les moyens qu’elles consacrent à la lutte contre la diffusion de fausses informations ».

    Par ailleurs, un autre volet du texte prévoit d’étendre les pouvoirs du CSA en modifiant la loi de 1986 relative à la liberté de communication. Le CSA pourrait alors refuser de conventionner une chaîne de télévision « lorsqu’elle est liée à un Etat étranger dont les activités sont de nature à gravement perturber la vie de la nation » – disposition qui fait notamment référence aux médias russes RT et Sputnik avec lesquels Emmanuel Macron avait eu des démêlés lors de sa campagne présidentielle.

    Pour Françoise Nyssen, la ministre de la Culture, cette mesure phare qui sera déposée « dans quelques semaines » par un député de la commission culture, « c’est une loi nécessaire pour protéger notre démocratie contre les ingérences extérieures ». Reste à appliquer tout ça : l’avocat socialiste Jean-Pierre Mignard, spécialiste du droit de la presse et intime de Hollande, Valls, Ségolène Royal et Emmanuel Macron, estime que « cela promet de ne pas être évident ».

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 9 mars 2018

    https://fr.novopress.info/

  • "L’avènement de l’Islam dans de nombreux quartiers sonne le glas de la liberté des femmes"

    6a00d83451619c69e201b8d2e0d2e8970c-800wi.jpgDe Mylène Troszczynski, Député européen du groupe ENL :

    "Depuis l’affaire Weinstein, c’est la « Journée de la femme » tous les jours. Et c’est tant mieux ! Lancée en 1911, cette journée est désormais solennisée annuellement à grand renfort de publicité. Souvent détournée à des fins mercantiles ou politiciennes… en général très sexistes, elle est devenue l’occasion d’opérations marketing de grande ampleur. Cette année, Emmanuel Macron ira dans une entreprise « exemplaire » en matière d’égalité professionnelle. Édouard Philippe, quant à lui, organise un comité interministériel spécial « Journée des droits des femmes » au musée Marie-Curie. Il apparaît clairement que c’est un passage obligé.

    Mais en faire un peu trop, n’est-ce pas desservir la cause ? Car qui peut croire que la défense du droit des femmes nécessite en permanence de les opposer aux hommes ? Fonder son action sur un prérequis ségrégationniste, c’est la disqualifier de fait. Or, l’égalité homme-femme passe par la complémentarité et non par l’oppostion. Nous devrions refuser de faire de la femme un homme comme les autres. Loin de toute indifférenciation délétère, la femme devrait pouvoir participer à la vie de la cité en étant considérée avec toutes ses spécificités. Actrice de la vie économique ou leader de l’organisation sociale, son rôle et ses qualités ne sont plus à démontrer. Elle a, d’ailleurs, été un acteur très actif de toutes les réformes de ces quarante dernières années.

    Depuis quelques années se fait malheureusement jour une ombre que les féministes bon teint taisent consciencieusement et qu’il est urgent d’aborder. Il s’agit du droit des femmes des « quartiers » qui recule de jour en jour sous le poids de l’immigration massive et incontrôlée. Ces populations qui ne portent pas sur nous un regard occidental viennent dans notre pays en y imposant leurs interdits. L’avènement de l’islam dans de nombreux quartiers sonne le glas de la liberté des femmes qui n’y ont plus guère de droits. Considérées comme de simples marchandises, elles peuvent être mariées, sanctionnées, répudiées… Les contraintes vestimentaires ou religieuses en plein essor que nous pouvons observer ne semblent, curieusement, pas attirer l’attention des plus virulents chantres de la libération féminine. C’est subtil, le féminisme vivre-ensembliste… [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La France se défait [2]

    Quelques réflexions, encore, sur la France qui se défait, entre bien d'autres facteurs, par la démographie et l'immigration. Sans-doute est-ce là ce qui se voit, se ressent, avec la plus grande netteté. Et suscite cette « formidable colère » que nous voyons monter partout en Europe.

    Nous ne sommes pas seuls à le penser. Les sondeurs, pourtant si volontiers conformistes, le reconnaissent : malgré la pression des médias, à vrai dire leur propagande, deux tiers des Français considèrent qu’ « il  y a trop d'étrangers en France ». Tout un monde de personnalités, d'auteurs, d'intellectuels, de journalistes, appréciés de l’opinion, tirent la sonnette d'alarme, s'expriment dans les médias, ces derniers ne peuvent plus les ignorer parce que leur audience est grande, que leurs livres connaissent le succès. Et que leur présence sur les plateaux de télévision, ou dans les studios de radio, fait grimper l'audimat. Inutile de citer leurs noms : ils sont connus de tous. En quelque manière, ils ont brisé, sinon l’hégémonie culturelle et politique de la gauche, du moins le mur du silence et du mépris. Au point que les politiques doivent désormais en tenir compte. Ou faire semblant. Ainsi de la déclaration d'Emmanuel Macron, à la suite des élections italiennes dont le résultat le plus clair est l'euroscepticisme et le refus de l'immigration. Largement majoritaires. « Il faudra en tenir compte » a dit laconiquement le Chef de l'Etat. C'est évident ! 

    Nous ne sommes pas seuls non plus en Europe et dans le monde, à nous alarmer des conséquences de l'immigration massive. On sait qu'avec Donald Trump l'Amérique entend à la fois la freiner et la choisir. Ne nous y trompons pas : le slogan « America first » répond au vœu de l'Amérique profonde. Une bonne partie de l'Europe refuse aussi l'immigration massive (les pays de Visegrad, l'Autriche ...). En Allemagne même, un courant grandissant - pas seulement l'AfD - en fait autant. L'Italie à son tour, vient de marquer son choix. A vrai dire, l’afflux massif des migrants est devenu la préoccupation citoyenne centrale en Europe. Elle fait éclater les forces politiques traditionnelles et contredit l’idéologie dominante. Elle la déstabilise. Un grand basculement des politiques migratoires européennes pourrait bien s'imposer à terme... 

    La natalité française - et plus encore celle de nos voisins - faiblit, les démographes s'en alertent ; la proportion de vieillards augmente ; au contraire, les courants migratoires ont été et demeurent massifs. Les jeunes y sont nombreux. Et souvent haïssent la France ou même la combattent. Eventuellement, les armes à la main. La faiblesse de notre démographie autochtone comparée à la puissance invasive des populations immigrées nourrit leur volonté de domination. L'on nous serine que nous avons accueilli ces deux dernières années beaucoup moins de réfugiés ou de migrants que nos voisins. Mais on ne nous dit pas combien s'étaient déjà établis chez nous depuis quarante ans. Les Français le savent. 

    De sorte que le remplacement progressif de ceux que Finkielkraut appelle drôlement les « souchiens » par des populations principalement africaines ou proche-orientales et très généralement musulmanes est en train de s'opérer. A terme donc, si rien n'est fait pour s'y opposer, quelques décennies suffiront pour que, selon la formule du général De Gaulle, la France ne soit plus la France.  Et ce sur le triple plan du peuplement, de la culture et des mœurs qui s'en trouvent déjà lourdement transformés. Ce n'est pas notre vocation ici d'accepter cette perspective d'un cœur léger. 

    On a parfois abusé â l'Action Française de la formule de Bainville : « la France c’est mieux qu'une race, c’est une nation ». Mais il écrivait en un temps où la France n'avait guère connu que des migrations intra-européennes et encore dans des proportions qui n'avaient pas vraiment entamé le vieux fond celtibère et gallo-romain qui constituait l'essentiel de la population française jusqu'à la deuxième moitié du siècle dernier. Bainville et Maurras n'ont pas eu à juger du danger qu'eût représenté pour la France une invasion semblable à celle que nous vivons. Nous doutons fort qu'ils l'eussent acceptée sans broncher. 

    Un courant d'inspiration chrétienne voudrait par ailleurs nous faire accroire qu'une France en grande partie peuplée d'Africains et d'Orientaux, serait acceptable si ces derniers - hypothèse sans vraisemblance - étaient catholiques. Nous ne sommes pas d'accord. Fussent-ils catholiques, nous les préférons chez eux. La France ne serait plus la France si elle avait les couleurs, l'esprit, les mœurs de l'Afrique ou de l'Orient. Ce qui nous en différencie ne tient pas seulement à l'appartenance religieuse.  

    C’est la dose qui fait le poison. La France d'aujourd'hui se défait - entre autres causes - en raison d'une immigration dont la dose excessive devient un poison.  

    Il conviendrait donc si nous voulons survivre de la ramener au minimum incompressible et de la choisir selon nos intérêts et nos besoins. Car une certaine immigration qualitative pourrait être utile à la France et servir son rayonnement. Il faudrait en parallèle définir une politique de remigration efficace et rigoureusement appliquée : expulsion systématique des délinquants étrangers, des naturalisés, ou devenus Français par bénéfice du seul droit du sol, avec déchéance de la nationalité française pour ces deux dernières catégories ; réaménagement des droits sociaux (chômage, sécurité sociale, aides diverses) qui ne pourraient plus être équivalents à ceux des Français ayant cotisé pendant de longues années, ou, si ce n'est eux, leurs parents ou grands-parents. Le bénéfice des droits sociaux pour les nouveaux arrivants pourrait par exemple leur être accordé pro rata temporis de leurs années ou périodes de cotisation ; obligation de respecter les lois et coutumes françaises comme condition de résidence en France ... Une telle politique devrait être, s'il le faut, traduite juridiquement. 

    Nous savons bien que la France se défait de diverses autres façons. Qu'entre elles, elles interagissent et accélèrent le processus de délitement dont nous parlons. Nous savons encore que le mal est d'abord en nous-mêmes et que les insultes, les hauts-cris, à l'encontre des immigrés ne constituent pas une politique, sont vains et, en ce sens, déplacés.  

    Nous aurons à revenir sur tout cela. 

    Retrouvez l'ensemble de ces chroniques en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le régime Macron, complice de l'Empire en Syrie

    Dans une note très récente de votre blog préféré, Michel Janva relate un entretien que Bassam Tahhan, géopolitologue franco-syrien, a accordé à TV Libertés. Celui-ci évoque notamment la fuite d'un rapport diplomatique britannique, décrivant ce que trament cinq pays pour s'assurer à terme d'une recomposition syrienne avantageuse pour l'Occident (TM) et ses complices, et pour compromettre définitivement les efforts russes dans la région. Cette stratégie s'articule ainsi : "1) endiguer l’influence iranienne en militarisant durablement l’Est de la Syrie ; 2) faire échouer le plan de paix russe ; 3) enfin, poursuivre une guerre de basse intensité afin de diviser la Syrie pour aboutir à une partition territoriale et politique" (source: éditorial évoqué ci-après). Sans surprise le régime Macron fait partie de la bande.

    Cette fuite a notamment été révélée sur son site Proche et Moyen-Orient, par le journaliste Richard Labévière, ancien rédacteur en chef de la revue du très officiel IHEDN. Nous reproduisons in extenso cet article ci-dessous, et vous pouvez des commentaires en anglais sur cette affaire ici. Par ailleurs, nous vous invitons à lire le dernier éditorial de Richard Labévière, consacré à l'immense campagne de désinformation qui tente d'enrayer l'offensive du victorieuse du gouvernement syrien et de ses alliés dans la Ghouta.

    Dans un anglais quelque peu familier mais précis, Benjamin Norman – diplomate en charge du dossier Proche et Moyen Orient à l’ambassade de Grande Bretagne à Washington – rend compte dans un Télégramme diplomatique confidentiel (TD)1 du 12 janvier 2018 de la première réunion du « Petit groupe américain sur la Syrie » (Etats-Unis, Grande Bretagne, France, Arabie saoudite et Jordanie), qui s’est tenue à Washington le 11 janvier 2018.

    Dans ce TD de cinq pages, il dévoile le détail de la « stratégie occidentale » en Syrie : partition du pays, sabotage de Sotchi, cadrage de la Turquie et instructions adressées au représentant spécial de l’ONU Staffan de Mistura qui dirige les négociations de Genève. Un Non Paper (de 8 pages) accompagne ce TD en prévision de la deuxième réunion du « Petit Groupe ». Celle-ci s’est tenue à Paris le 23 janvier dernier, essentiellement consacrée à l’usage des armes chimiques et aux « consignes » adressées par le « Petit Groupe américain » à Staffan de Mistura.

    Assistaient à cette réunion du 11 janvier à Washington Hugh Cleary (chef du Département Proche et Moyen-Orient du Foreign Office) ; Jérôme Bonnafont (directeur ANMO/Afrique du Nord et Moyen-Orient au Quai d’Orsay) ; David Satterfield (Secrétaire d’Etat-adjoint américain chargé du Moyen-Orient) ; le Jordanien Nawaf Tell et le saoudien Jamal al-Aqeel. L’Américain a ouvert la séance en précisant qu’une deuxième réunion aurait lieu à Paris le 23 janvier.

    David Satterfield a confirmé que le président Trump avait décidé de maintenir une importante présence militaire américaine en Syrie, malgré la victoire remportée contre l’« Organisation Etat islamique » (Dae’ch) ; le coût de ce maintien étant fixé à quatre milliards de dollars annuels. Il a précisé que cette présence militaire américaine devait prévenir toute résurgence de Dae’ch, mais surtout empêcher les « Iraniens de s’installer durablement et de s’imposer dans la recherche d’une solution politique ». En troisième lieu, il a insisté sur le fait que la première réunion du « Petit Groupe » devait aussi apporter un « appui matériel et politique important à Staffan de Mistura pour « consolider le processus de Genève ». L’ensemble des participants a accueilli très positivement cette mise au point afin de « réaliser des progrès substantiels en Syrie durant l’année 2018 » et de « répondre à la propagande d’une victoire russe ». Ensuite, les participants ont insisté sur le « désir russe d’aboutir à une solution politique » qu’il s’agissait d’utiliser pour rendre « plus opérationnels » les objectifs du « Petit Groupe ».

    CONSOLIDER LE PROCESSUS DE GENEVE

    Les Etats-Unis ont noté qu’ils ne participeraient plus aux réunions d’Astana, ayant réduit « leur participation à un niveau très bas, pour souligner leur engagement envers Genève » ; en des termes définitifs, il est décidé de « tirer un trait conceptuel sur Astana pour revenir à Genève ». Ils ont ensuite estimé que jusqu’à maintenant « Genève restait un échec, malgré les efforts de Staffan de Mistura ». Ils se sont montrés très prudents quant à l’inclusion du cessez-le-feu dans les discussions de Genève : « la vérité étant que nous n’avons tout simplement pas la capacité d’empêcher le régime de grignoter les poches de l’opposition restantes à Idlib et à l’Est de la Ghouta ».

    Lire la suite "Le régime Macron, complice de l'Empire en Syrie"

    Paula Corbulon

     

  • [VIDEO] Vivre ensemble : Chronique d’un échec, avec Paul-François Paoli

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    Fraternité, antiracisme, tolérance… les termes pour inciter au « Vivre ensemble” croissent comme des petits pains. Mais les inventions des idéologues n’y font rien ! Ils ont beau construire des concepts sémantiques, tordre le cou de la réalité, ça ne passe pas.

    Dernier exemple en date, la polémique autour de l’incarnation de Jeanne d’Arc pour les fêtes d’Orléans. Paul-François Paoli est journaliste et chroniqueur au Figaro Littéraire et il vient de publier l’Imposture du Vivre ensemble aux éditions de l’Artilleur.

    Avec lui, TV Libertés revient sur ces termes qui pullulent dans le débat, sans que l’on sache jamais à quelle réalité ils font référence.

  • En finir avec le modèle social (anti-)français

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    Arnaud Malnuit

    Postiers, SNCF, hôpitaux, CAF, etc. tous les politiques, y compris la candidate des patriotes lors de la dernière élection présidentielle, vantent, défendent, même lorsqu’ils affirment le réformer, le fameux modèle social français, tellement fameux que le monde entier nous l’envierait. Sauf que ce modèle social est un poison, un boulet poula France car contrairement à ce que les partisans de ce modèle affirment, il ne profite en rien aux Français…

    Bien au contraire, il grève d’impôts commerçants, artisans, chefs d’entreprise, il gèle la rémunération des salariés, il affaiblit les retraites, il diminue l’épargne… En effet, ce modèle – établi pour mieux répartir les richesses, mis en place pour aider précaires et nécessiteux à ne pas tomber dans la misère, conçu pour financer les services publics d’un Etat omnipotent plus efficace que le marché pour favoriser la solidarité et l’équilibre entre les territoires – n’est désormais qu’un gouffre des maigres richesses des Français, qu’un créateur d’une dette abyssale qui financent, à fonds perdus, la subversion migratoire dans des pans entiers de notre pays, sans parler de l’achat de clientèle électorale… 

    En effet ce fameux modèle ne se résume plus qu’en la fameuse politique de Vile qui a déversé des millions et des millions d’euros dans les quartiers de l’immigration et ce pour rien, au détriment de cette France rurale de plus en plus en périphérique, qui vide les écoles rurales au bénéfice des immigrés et pour un résultat qui sera bien entendu nul… 

    Ce modèle social crée aussi des comportements d’assistés qui ne comprennent pas pourquoi ils n’auraient pas autant que les immigrés qui reçoivent sans rien faire, qui encourage la triche et le mensonge pour obtenir des prestations, qui met à mal la natalité française, per exemple, en considérant que les familles françaises qui ont les moyens doivent recevoir moins voire plus du tout d’allocations et ce aux bénéfices des familles immigrées ou d’origine immigrée.

    Ce modèle est donc devenu parfaitement injuste et anti-français.

    Pour autant, il ne faut pas supprimer toute forme de solidarité publique qui passerait par l’impôt, mais il s’agit de fermer les vannes de financement de la substitution de notre peuple, de mettre fin aux logiques clientélistes des élus pro-immigration – qu’ils soient de droite ou de gauche –, de ne plus ériger le poison de l’assistanat comme modèle de société, de permettre, par le principe de subsidiarité, aux familles d’assurer la protection de leurs membres.

    Oui, si la droite nationale veut être populaire et sociale, elle doit dénoncer ce modèle social anti-français et mettre en place de nouvelles solidarités au profit de notre peuple.

  • Assistants parlementaires : où est l’équité ?

    balance-300x179.jpgCommuniqué de Bruno Gollnisch, député européen, relatif à la décision du Tribunal de l’Union Européenne (Luxembourg) dans l’affaire qui l’oppose à l’administration du Parlement Européen

    Ce 7 mars, le Tribunal de l’Union Européenne (Luxembourg) a rejeté mon recours contre l’inique décision du Secrétaire Général du Parlement Européen, M. Klaus WELLE, qui, sur ordre de l’ex-Président socialiste Martin SCHULZ, organise méthodiquement depuis 18 mois la spoliation des moyens qui sont nécessaires à l’accomplissement de mon mandat en même temps qu’il tente de me ruiner financièrement.

    Tous les principes de droit dont se gargarise l’Union Européenne ont cependant été violés en la circonstance : j’ai été présumé ” coupable ” sans aucune preuve. Malgré nos demandes répétées, et des textes qui nous en donnaient clairement le droit, ni mon assistant ni moi-même n’avons à aucun moment été entendus. Tous les éléments prouvant le travail de mon assistant, travail effectif et en lien avec mon mandat, ont été balayés sans raison sérieuse. Il m’a été reproché de l’avoir laissé être candidat à une élection et d’avoir un engagement au sein du Front National, alors que ces activités sont parfaitement légitimes, licites, et communes aux assistants de nos adversaires…

    Il est profondément regrettable que le Tribunal de l’Union, en ne faisant pas droit à nos réclamations, paraisse avaliser ces pratiques d’une administration politisée, qui ne font pas honneur à l’Union Européenne, et qui visent à nuire aux seuls élus de la minorité. Je rendrai publics prochainement tous les éléments du dossier, et j’envisage un pourvoi devant la Cour.

    https://gollnisch.com/2018/03/07/assistants-parlementaires-equite/