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anti-national - Page 678

  • La LICRA lors du procès de Nicolas Dupont-Aignan : « Peu importe s’il dit la vérité, ce n’est pas une défense valable ! »

    LICRA : « Monsieur Dupont-Aignan n’est pas raciste, ce n’est pas le sujet. Le problème n’et pas ce que dit Monsieur Dupont-Aignan mais la façon dont il le dit. Peu importe s’il dit la vérité, ce n’est pas une défense valable ! ».

    REQUISITOIRE : « Il faut interpréter le tweet en se mettant au niveau, à la portée du Français et de l’électeur moyen. 48% des Français sont racistes, j’en suis désolé. M. Dupont-Aignan parle d’invasion barbare et veut faire une France d’hommes blancs catholiques ».
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  • Radicalité islamiste : lorsque des sociologues donnent raison à Robert Ménard… , par Silvio Molenaar

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    Alain Finkielkraut l’avait déjà noté : « Avec SOS Baleines, il faut sauver les baleines. Avec SOS Racisme, il s’agit de sauver le racisme. »

    Les lecteurs de Boulevard Voltaire ont pu se réjouir de la relaxe en appel de Robert Ménard, mis en accusation pour avoir formulé une réalité : « Dans une classe du centre-ville de chez moi, 91 % d’enfants musulmans. Évidemment que ça pose problème. » Sept associations antiracistes, dont l’inévitable SOS Racisme, se sont donc vues débouter de l’accusation de « provocation à la haine et la discrimination » à l’encontre de Robert Ménard. Ces officines, dont le fonds de commerce consiste généralement à combattre une réalité incompatible avec leurs postulats idéologiques, ciblent volontiers le cuistre l’ayant formulée – devant un tribunal, de préférence.

    Alain Finkielkraut, dans l’une des fulgurances dont il a le philosophique secret, l’avait déjà noté : « Avec SOS Baleines, il faut sauver les baleines. Avec SOS Racisme, il s’agit de sauver le racisme. » Pas de lien de cause à effet, me direz-vous, entre une classe à majorité musulmane et la violence islamiste, mais un dénominateur commun, toutefois, que l’on nomme, à tort ou à raison, islam. Que « la violence islamiste touche majoritairement les musulmans » (lieu commun) ne change rien à l’affaire d’ailleurs, mais attesterait précisément d’une guerre civile ravageant l’islam. Alain Finkielkraut (et il n’est pas le seul) s’est toujours attaché à contredire l’idée de facteurs exclusivement socio-économiques pouvant expliquer cette violence. Et si le « Ministre-Macron » adhérait encore à cette thèse, il semble que le « Président-Macron » ait modifié son approche, suite notamment à l’égorgement d’Arnaud Beltrame, ainsi qu’au massacre de Mireille Knoll. Ce qui permet au philosophe de se réjouir, dans Le Figaro du 4 avril : « Islamisme, le règne du déni touche peut-être à sa fin. »

    Reste l’idiotie utile et sa colossale puissance inertielle, magistralement illustrée ces temps-ci par quelqu’un comme Romain Goupil, épanchant sur tous les plateaux sa détestation de l’idée de patrie, de nation ou de frontière. Révulsé, en conséquence, à l’idée de consentir quelque vertu patriotique, et encore moins chrétienne, au sacrifice d’Arnaud Beltrame : ce ne peut-être, dit-il, qu’un fonctionnaire assumant honnêtement le « job » (sic). Lorsque l’on y songe, ce n’est pas sans une certaine ironie. Ce qui insupporte tant notre Romain constitue l’objet de détestation même du djihadiste lambda : la nation France ainsi que les compatriotes français. Quant aux frontières, nous savons nos amis égorgeurs aux anges lorsqu’elles sont passoires, et en extase lorsqu’elles disparaissent…

    Et voilà que Libération du 5 avril publie un article sur le travail de deux chercheurs, Anne Muxel et Olivier Galland, dont l’étude statistique fut menée durant trois ans auprès de 7.000 lycéens de 15 à 17 ans dans 23 lycées (La Tentation radicale, PUF). « La radicalité religieuse ne semble pas être principalement la fille de l’exclusion socio-économique, et sa racine spécifiquement religieuse semble forte », concluent les auteurs, selon Libération. Olivier Galland, co-auteur, sociologue, « note aussi un effet “ségrégation” : quand le taux d’élèves musulmans est très important dans un lycée, ceux-ci sont plus radicaux qu’ailleurs. Mais partout, les élèves musulmans sont plus radicaux religieusement que les autres. » Question de Libération : « Cette radicalité a-t-elle des causes sociales et économiques ? » Réponse : « L’effet “islam” explique bien mieux la radicalité que des facteurs socio-économiques. » Dont acte…

    Silvio Molenaar

    Tribune reprise dBoulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Le Sixième Œil

    3554695800.jpgGeorges Feltin-Tracol

    Certaines nouvelles passent inaperçues. Dans quelques mois, le premier niveau d’habilitation de sécurité nationale, le « Confidentiel Défense », sera supprimé. Il est pour l’instant encore accordé aux détenteurs d’informations dont la divulgation nuirait à la défense nationale ou favoriserait la découverte d’un fait classé « Secret Défense » ou « Très Secret Défense ». En pratique, il porte sur les opérations militaires extérieures, la lutte anti-terroriste, la traque des réseaux criminels transnationaux, la protection d’installations sensibles (les sites nucléaires) ainsi que les études en matière stratégique.

    Le motif officiel de cette suppression est une meilleure rationalisation des critères de confidentialité. Or, le n° 447 de la lettre fondée par Emmanuel Ratier, Faits et Documents (du 15 au 28 février 2018) donne la véritable raison. Le retour de la France dans l’OTAN voulue par Nicolas Sarközy et poursuivie par François Hollande implique l’alignement des services secrets de l’Hexagone aux normes et coutumes de leurs homologues anglo-saxons. Faits et Documents explique qu’en décembre 2015, Paris a signé un accord à Washington qui associe la France au système des « Cinq Yeux » bien connu depuis l’affaire Echelon au milieu des années 1990.

    En 1946, les États-Unis et la Grande-Bretagne adoptaient un accord de communication des renseignements : le traité UKUSA. Y adhérèrent ensuite le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Ainsi le monde anglo-saxon a-t-il pu espionner tous les continents au moyen d’une surveillance électronique généralisée. Les « Cinq » deviennent les « Six Yeux » avec l’arrivée de la France dans l’« Anglosphère » planétaire. Ainsi l’Hexagone perd-il toute liberté nationale effective. Quant à son indépendance nationale, elle est déjà bien évanescente, voire ectoplasmique.

    Cette intégration risque toutefois de poser quelques problèmes dans la transmission prochaine de renseignements essentiels avec des États exclus de cette coopération renforcée. La France a en effet conclu une quarantaine d’accords avec les États-Unis, l’OTAN et ses membres (hormis le Canada et l’Islande), mais aussi avec l’Australie, le Japon, le Brésil et la Russie. Jusqu’à présent, la France gardait une relative latitude avec ses partenaires. Ce ne sera désormais plus le cas. Le principal risque de cette inclusion est que les terroristes islamistes soient moins ciblés que les opposants au CETA, au TAFTA, à l’atlantisme et au mondialisme.

    Si cette collaboration touche en priorité les forces armées, il faut enfin craindre que se renforcent les connivences étroites entre les États profonds hexagonal et yankee au moment où Washington met son veto à la vente de Rafales à l’Égypte. La minable classe politicienne française a choisi l’appel de l’Atlantique. Cela ne présage rien de bon pour l’avenir des Européens.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°73, diffusée sur Radio-Libertés, le 6 avril 2018.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • DÉLIT D’INGÉRENCE… L’UNION EUROPÉENNE NE RECULE DEVANT RIEN POUR IMPOSER SES VUES !

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    La Commission européenne imagine conditionner le versement des fonds européens au respect de l’État de droit, à la préservation de l’indépendance de la justice et à l’adhésion aux « valeurs » européennes.

    Suivez mon regard : les premiers pays visés seraient la Pologne et la Hongrie, ainsi que la Roumanie, toutes les trois sous la menace d’une procédure de sanction au titre de l’article 7 du traité de l’Union européenne.

    Les institutions européennes n’en finissent plus d’imposer leurs vues et les exemples d’ingérence sont désormais légion. Ainsi, le mois dernier, le Conseil de l’Europe a appelé Moscou à autoriser Alexeï Navalny (Алексей Навальный) à être candidat à l’élection présidentielle en Russie. En raison de condamnations pénales, il ne le pouvait. Or, l’Union européenne voulait l’imposer. En Russie, un casier judiciaire vierge est indispensable pour être candidat. Il est vrai que ce n’est pas le cas chez nous. Voilà bien une ingérence flagrante dans les affaires internes d’un pays souverain, qui plus est en faveur d’un criminel condamné.

    Selon des documents internes de l’Union européenne divulgués par « The Times », la Commission européenne a créé, en décembre 2016, un fonds spécial pour combattre les partis politiques favorables à une sortie de l’Union. Des millions d’euros ont été attribués à de multiples projets dans tous les États membres, pourvu qu’ils incitent à toujours plus d’Europe « bruxelloise ». Le Royaume-Uni, qui a voté en juin 2016 pour la sortie de l’Union, n’en a pas été exempté… heureusement en vain !

    Ils veulent que les États membres restent en phase avec la structure multiculturelle et supranationale de Bruxelles. Ce programme de propagande est financé par les États membres à l’insu de la majorité de leurs citoyens.

    « Il y a une invasion en Europe », dit Orbán dans un de ses discours de campagne. « Si nous permettons cela, des dizaines de millions de réfugiés viendront d’Afrique et du Moyen-Orient dans les prochaines décennies. » Orbán ne respecte pas les accords européens pour la redistribution des réfugiés. Il est attaqué au Parlement européen. Or, la Hongrie refuse de coopérer avec la décision de l’Union européenne depuis plus de deux ans, de redistribuer les demandeurs d’asile à travers l’Union. En 2017, déjà, les commissaires européens se sont penchés sur les « tendances très inquiétantes » constatées contre les libertés fondamentales en Hongrie.

    Seule la lutte contre la criminalité grave devrait être susceptible de justifier une telle ingérence. Or, le vrai visage de l’Union européenne c’est le musèlement des nations souveraines par des technocrates non élus et l’ingérence dans les affaires des États.

    Une disposition du traité de Lisbonne renforce pourtant l’influence des États membres sur l’évolution de l’Union européenne en introduisant un nouvel acteur dans les relations institutionnelles qui se nouent autour de la mise en œuvre du principe de subsidiarité. Elle prévoit, en effet, que « les Parlements nationaux veillent au respect du principe de subsidiarité ». L’Union européenne devrait en tenir compte et respecter la souveraineté de tous les pays d’Europe.

    Alors, nous aussi, observons ce qui se passe à l’Est… car le réveil de ces nations suscite chez des millions de gens, à l’Ouest, une formidable espérance.

    http://www.bvoltaire.fr/delit-dingerence-lunion-europeenne-ne-recule-devant-rien-imposer-vues/

  • Attentat à la voiture à Münster en Allemagne

    6a00d83451619c69e201b8d2e8f49e970c-250wi.jpgTrois personnes ont été tuées et plusieurs autres ont été blessées, après qu'un homme leur a foncé dessus, avant de se suicider par balle, ce samedi 7 avril à Münster, ville du nord-ouest de l'Allemagne.

    Un homme a foncé en voiture dans la foule avant de se suicider, ce qui porte le bilan provisoire à quatre mort si l'auteur de l'attaque est compté. Le conducteur s'est tué lui-même par balle. La piste de l'attentat est envisagée avec beaucoup de sérieux, celle d'un acte personnel est également largement étudiée par les enquêteurs.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Loi contre les “fake news”. Pour Thierry Paul Valette, il s’agit surtout de “contrôler et stigmatiser certains médias”

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    Entretien avec Thierry Paul Valette, fondateur du mouvement “L’Egalité nationale”.

    Sur RT France, il revient sur le projet de loi contre les “fake news” voulue par le président Emmanuel Macron.

  • JUSQU’À L’AFFAIRE RAMADAN, EDWY PLENEL AVAIT INSPIRÉ AUX JOURNALISTES UNE SORTE DE CRAINTE RÉVÉRENCIEUSE

    Le soutien d’Edwy Plenel aux terroristes palestiniens, qui tuèrent onze athlètes israéliens en 1972, lors des Jeux olympiques de Munich, a refait surface la semaine dernière sur les réseaux sociaux. Pourtant, l’affaire était connue depuis longtemps, comme le rappelle Gilles-William Goldnadel au micro de Boulevard Voltaire.

    http://www.bvoltaire.fr/jusqua-laffaire-ramadan-edwy-plenel-avait-inspire-aux-journalistes-sorte-de-crainte-reverencieuse/

  • La trahison : la preuve par Trèbes

    Chronique de Paysan Savoyard

    (n°196 – avril 2018)

    En suscitant et en organisant l’invasion migratoire de l’Europe, la classe dirigeante nous trahit de façon délibérée. Aux naïfs qui n’en auraient pas encore pris conscience, l’attentat de Trèbes fournit à lui seul une triple démonstration.

    • Faire venir des Radouane Lakdim par millions

    Le terroriste né au Maroc a pu entrer et s’installer en France alors qu’il était enfant, en bénéficiant du droit au regroupement familial. Chaque année plus de 90 000 immigrés s’installent légalement en France pour « motif familial » (voir cette chronique).

    Le droit au regroupement familial a été instauré dans le but d’alimenter l’immigration de masse. Rappelons que celle-ci a pour la classe dirigeante un double intérêt : casser les salaires et dégrader les conditions d’emploi d’une part ; augmenter le nombre des consommateurs d’autre part. L’arrivée massive des femmes grâce au regroupement familial à partir du milieu des années soixante-dix a ainsi permis aux employeurs de maintenir des salaires faibles dans les secteurs où elles sont venues occuper les emplois (nettoyage, maisons de retraite…).

    Les bien-pensants considèrent ce droit au regroupement familial comme une nécessité morale. Signalons leur, premièrement, que ce droit a été posé par la classe dirigeante en 1975 sans que le peuple de souche ait jamais été consulté. Indiquons, deuxièmement, qu’aucun principe supérieur ne nous oblige à accueillir les immigrés séparés de leur famille : si les immigrés veulent se regrouper, il leur est loisible de le faire en rejoignant leur famille restée au pays.

    Si les Français veulent mettre fin à l’invasion, il leur faudra mener vis-à-vis des familles originaires de l’immigration une politique en trois volets. Arrêter, premièrement, toute immigration nouvelle, en supprimant notamment le regroupement familial. Réserver, deuxièmement, les allocations et prestations sociales à la population de souche européenne afin d’inciter les immigrés et leur famille à retourner dans leur pays. Accorder, troisièmement, une aide financière incitative aux familles immigrées qui font le choix de remigrer. 

    • Donner la nationalité française à tous les Radouane, les Boubakar et les Fatoumata

    Lakdim a bénéficié de la nationalité française. On la lui a donnée lorsqu’il avait quatorze ans. Rappelons que, comme lui, les personnes originaires de l’immigration obtiennent la nationalité française par centaines de milliers chaque année (soit à la naissance, soit par naturalisation ; voir cette chronique).

    Cette politique d’attribution massive de la nationalité a un double fondement. Le premier est idéologique : la distribution de la nationalité est le reflet de la conception républicaine de la nation, constituée de citoyens censés adhérer aux mêmes « valeurs », indépendamment de leurs origines (voir cette chronique). La seconde motivation de la politique d’attribution massive de la nationalité est d’ordre tactique : en les transformant en Français, les immigrationnistes veulent rendre la présence des immigrés irréversible.

    Si les Français veulent vivre et mettre fin à l’invasion, il leur faudra procéder à une opération générale de réexamen et de réattribution de la nationalité. La nationalité française ne serait réattribuée automatiquement qu’aux personnes dont les ancêtres sont Français ou Européens depuis plus de trois générations. Les immigrés non européens ne se verraient redonner la nationalité française que de façon exceptionnelle, pour services éminents rendus à la nation. 

    • Ne jamais expulser les Radouane, les Abdelkrim et autres Djibril, même quand ils sont délinquants, même quand ils sont islamistes

    Lakdim était un délinquant, bien identifié comme tel, condamné plusieurs fois et incarcéré en 2016. Il était en outre un islamiste, bien identifié également, fiché et paraît-il surveillé. En dépit de cette double caractéristique déplorable, les autorités françaises ne l’ont ni expulsé ni déchu de sa nationalité.

    Il en est de même pour les centaines de milliers d’immigrés condamnés chaque année pour délinquance et pour les dizaines de milliers identifiés comme islamistes : alors qu’ils violent on ne peut plus gravement les lois les plus élémentaires de l’hospitalité, ces délinquants et ces islamistes originaires de l’immigration sont pourtant maintenus sur le territoire et conservent la nationalité française (le ministre Collomb a indiqué que seuls 20 islamistes avaient été expulsés en 2017 !).

    Si les Français veulent vivre, mettre fin à l’invasion et redevenir maîtres chez eux, il leur faudra pendre trois mesures convergentes. Expulser les délinquants et les islamistes fichés, dès lors qu’ils sont étrangers ou naturalisés. Les placer tous en rétention avant leur expulsion. Déchoir les naturalisés de leur nationalité (en attendant l’opération de réattribution générale de nationalité évoquée plus avant).

    **

    Ce n’est pas le nombre des immigrés présents en France, tout considérable et croissant qu’il soit, qui empêcherait les Français de procéder à une remigration massive s’ils en décidaient ainsi. Les Français de souche européenne, en effet, sont maîtres encore de tous les leviers : les rouages de l’Etat, l’armée, la police, les lieux de pouvoir économique…

    Le drame de la France et de l’Europe est sa classe dirigeante : mondialiste et immigrationniste, elle trahit depuis près de soixante ans les intérêts vitaux des peuples français et européens. Au nom de l’édification d’un monde sans frontières, elle veut la disparition des sociétés et des nations européennes et la dilution des Européens dans une population renouvelée par l’immigration. C’est par l’éviction de cette classe dirigeante en situation de haute trahison que passe notre survie.

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

  • « Invasion migratoire » : l’expression demeure interdite par le système

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Sur signalement de la Licra, le parquet de Paris a requis mercredi 5.000 euros d’amende avec sursis contre Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout La France, jugé pour provocation à la haine ou à la discrimination, pour avoir, dans un tweet de janvier 2017, évoqué une « invasion migratoire ».

    Le procureur a dénoncé « une thèse complotiste et raciste née dans les tréfonds de l’extrême droite française au début de la décennie précédente, la thèse du “grand remplacement” de Renaud Camus ».

    Partie civile, la Licra a notamment demandé 5.000 euros de dommages et intérêts. Délibéré le 6 juin.

  • 30 000 migrants supplémentaires en deux ans : ce que va nous coûter la décision de Hollande

    405 millions d’euros : c’est la facture des engagements de François Hollande (30 000 migrants supplémentaires en deux ans). En septembre 2015, Michel Sapin, ministre des Finances, annonçait un coût de « quelques millions d’euros ». 
    Article extrait de la 34e étude de Contribuables Associés « Les migrations méditerranéennes en 2015. Chiffre et coûts, réalités du présent et scénarios du futur ». Jean-Paul Gourévitch, consultant international sur l’ Afrique et les migrations, y dresse un panorama complet des flux migratoires en 2015 en Europe. Vous pouvez vous procurez cette étude sur notre boutique en ligne. migrations méditerranéennes 2015 
    Le 8 septembre 2015, le ministre des Finances, Michel Sapin, annonce aux Français que l’accueil de 24 000 migrants supplémentaires en deux ans ne coûterait à la France, c’est-à-dire aux contribuables, que « quelques millions d’euros ». Ceux-ci concerneraient les frais de transport, de renforcement de l’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides) et les dépenses pour les collectivités locales qui prennent en charge le logement des migrants et le financement du RSA.
    Cette déclaration qui ne mentionne que les migrants « supplémentaires » fait l’impasse sur ce que coûte actuellement au pays l’immigration régulière et irrégulière. De plus, elle minimise le nombre de ceux que la France risque de devoir accueillir en 2016 et leur coût. Michel Sapin a été immédiatement contredit par son Premier ministre, Manuel Valls, qui a avancé le chiffre de 600 millions d’euros. Ce qui est encore en dessous de la réalité.
    Entre temps, lors du sommet européen du 23 septembre 2015, il avait été demandé à la France de porter sa capacité d’accueil jusqu’à 30 000 réfugiés dans le cadre d’un « plan de relocalisation des migrants ». La France avait fini par accepter et a confirmé ce choix en ce début d’année 2016.
    La France respectera « l’ensemble de ses engagements », a martelé le chef de l’État, le 4 mars dernier, bien que ce plan soit un échec total. Fin février 2016, 642 personnes avaient été « relocalisées » sur les 160 000 prévues, alors que le Portugal se désespère de ne voir arriver que quelques dizaines de migrants. coût des migrants
    Approche globale 
    Sur cette base, en considérant que chaque demandeur d’asile arrivant sur le territoire français est en situation irrégulière jusqu’à ce qu’il soit régularisé, on pourrait établir ce que ces 15 000 migrants supplémentaires irréguliers par an, par rapport au stock de 550 000 migrants irréguliers en Métropole (l’Outre-Mer étant exclu pour les migrants transitant par la Méditerranée) coûteraient à l’État.
    Le déficit de l’immigration irrégulière était estimé à 3,29 milliards d’euros par an. 
    Les comptes de 2015 ne peuvent être exactement calés sur ceux précédemment évoqués. En effet, ces nouveaux migrants ne paient pas de taxes de visa à la différence de ceux, qui étant entrés avec un visa de séjour régulier et l’ayant prolongé au-delà, sont devenus des migrants irréguliers. De plus, comme ils ne travaillent pas (en principe), ils ne cotisent pas aux prélèvements sociaux et les entreprises ne sont pas non plus redevables d’amendes pour les avoir embauchés illégalement. Le manque à gagner pour l’État, qui avait été estimé antérieurement à 97 millions d’euros, devrait avoisiner les 100 millions. Le déficit pour cette immigration irrégulière passerait de 3,29 à 3, 39 milliards, ce qui nous donne pour 15 000 migrants supplémentaires par rapport à 550 000 migrants irréguliers un déficit de : 3,29 milliards x 12.000 soit 71,78 millions d’euros, 6 164 euros par migrant irrégulier. 550.000
    À ce chiffre, il faut ajouter les investissements consentis par l’État pour l’ensemble des migrants présents sur le territoire (dépenses d’éducation, de politique de la ville, d’aide aux associations…) dont la rentabilité à moyen terme ne peut être actuellement mesurée. Ils représentent un montant total annuel de 6,9 milliards d’euros et concernent aussi bien les migrants en situation régulière que ceux en situation irrégulière, c’est-à-dire pour la Métropole (les départements et régions d’outre-mer et les collectivités d’outre-mer étant exclus) 9,755 million de personnes. Soit 708 euros par migrant.
    Sur cette double base le coût unitaire annuel d’un migrant irrégulier s‘établit à 6 164 + 708, soit 6 872 euros. 
    Cette approche est une base minimum. Elle mélange en effet les flux et les stocks. Or ceux qui arrivent, en raison des coûts d’accueil, de procédure, de formation, coûtent en général plus cher que ceux qui sont déjà là, pour lesquels les investissements peuvent être étalés sur une période plus longue, et dont les coûts d’hébergement diminuent au fur et à mesure qu’ils trouvent du travail et rapportent à l’État en cotisations, en amendes payées par les entreprises fautives et en augmentation du PIB de la nation.
    Si un migrant irrégulier voit sa procédure durer 18 mois comme c’est actuellement la moyenne, son coût unitaire sera de 6 872 x 1,5 = 10.387 euros.
    Sur la base de 15.000 arrivants supplémentaires par an, le coût ajouté est de 10.308 x 15.000 = 154,62 millions d’euros. Et celui de 30.000 sur deux ans de 309,24 millions d’euros, loin des « quelques millions d’euros » annoncés par le ministre des Finances.
    Mais ce chiffre ne tient pas compte du temps d’instruction d’une demande d’asile ni du fait que selon la Cour des comptes, 96% des déboutés resteraient en France.
    Approche différenciée 
    On peut, pour une estimation plus fine, partir des coûts calculés dans les autres pays. Ainsi l’Allemagne, qui avait prévu d’accueillir 800.000 migrants, avait réservé une enveloppe de 10 milliards d’euros, soit un coût unitaire de 12.500 euros (supérieur à notre estimation annuelle), mais ses procédures plus rapides permettent de régler une situation sur 12 mois. La Cour des comptes a, quant à elle, fixé l’étiage à 13.724 euros pour un demandeur d’asile et à 5528 euros pour un débouté, sous réserve qu’il ne reste pas en France après la décision.
    Un coût de 13.724 euros pour un demandeur d’asile et de 5528 euros pour un débouté selon la Cour des Comptes 
    En fait, le coût d’un migrant irrégulier en France se distribue, comme nous l’avons montré, selon trois paramètres.
    Les paramètres spécifiques concernent uniquement les migrants irréguliers : ce sont les dépenses de santé en particulier l’aide médicale d’État (AME), les coûts de l’hébergement dans les centres de rétention pendant toute la durée de la procédure, les coûts de la reconduite aux frontières quand elle est effective, les coûts juridiques des demandes d’asile, auxquels il faut ajouter les appels devant la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) et l’aide juridictionnelle qui peut être accordée, les coûts de la lutte menée à l’intérieur et à l’extérieur du territoire contre les migrations irrégulières, les coûts de la scolarisation de migrants irréguliers.
    Les coûts partagés sont ceux que l’État supporte pour l’ensemble des migrants, qu’ils soient en situation régulière ou irrégulière. Ils concernent la totalité de la demande d’asile y compris la construction de nouveaux centres, les pertes de cotisations sociales dues au travail illégal ou dissimulé, les subventions aux associations d’aide et de défense des migrants, les investissements consentis pour leur formation, leur logement et l’amélioration du cadre de vie.
    Les coûts proportionnels sont ceux que les migrants supportent à due proportion de leur importance dans la communauté nationale : coûts sécuritaires, sociaux, fiscaux, sociétaux.
    Le coût de l’aide médicale d’État 
    Parmi ces coûts, certains sont relativement faciles à approcher. Ainsi l’aide médicale d’État qui regroupe l’AME de droit commun, les soins urgents pour les non-bénéficiaires en situation d’urgence, et l’AME humanitaire, avait été programmée dans le budget 2013 pour 588 millions. Le ministre de la Santé, Marisol Touraine, a reconnu que les dépenses constatées étaient de 744 millions d’euros. Le budget a été augmenté de 17 millions en 2014 et de 73 millions pour les crédits 2015, mais le député Les Républicains Claude Goasguen avance pour sa part un chiffrage d’un milliard d’euros- pour près de 300.000 bénéficiaires. Les prévisions de l’État sont donc inférieures aux dépenses réelles. En moyenne, plus d’un migrant irrégulier sur deux y a recours annuellement et en « consomme » au minimum pour 2.600 euros. 
    Cette aide étant attribuée à tout immigré en situation irrégulière voulant se soigner à condition qu’il réside de façon ininterrompue depuis plus de trois mois en France, et que ses ressources soient en dessous d’un plafond calculé selon le nombre de personnes au foyer et de 720 euros par mois par personne en Métropole, on peut conjecturer qu’à court terme la moitié des 30 000 migrants supplémentaires en bénéficieraient, soit une dépense approximative de 19,5 millions d’euros pour 7 500 migrants la première année et de 39 millions pour la seconde année.
    De la même façon, l’ensemble des coûts relatifs aux déboutés (interpellations + zones d’attente + rétention + surcoût judiciaire + renvois + quote-part des dépenses d’investissements + dépenses de fonctionnement) avait été évalué dans notre monographie « Ce que nous coûte l’immigration irrégulière » (parue chez Contribuables Associés en 2011) à 787,8 millions d’euros pour environ 29.874 reconduites et départs volontaires réels, ce qui correspondait à un coût unitaire de 26.370 euros. À l’époque, un peu plus d’une reconduite sur cinq était effectuée. Les évaluations de l’OFPRA pour 2015 faisant état de 31,5% de statuts obtenus, cela signifierait que 4.725 seraient acceptés et 10.275 déboutés. Si l’on adopte la position de la Cour des comptes, (4% de reconduites effectives) cela veut dire qu’en définitive que 429 seraient reconduits en définitive, et que 14.571 resteraient. 
    Un débouté réel ayant selon elle un coût global de 5.528 euros et un demandeur d’asile de 13.724, le coût de ces 15.000 migrants supplémentaires annuels reviendrait à 2,37 million (5.528 euros x 429) + 199,97 millions (13.724 euros x 14.571), soit un total de 162 millions d’euros par an. Et pour 30.000 migrants sur deux ans de 405 millions d’euros
    Ceci n’est qu’un ordre de grandeur du coût ajouté que représenterait l’engagement de la France d’accueillir 30.000 migrants supplémentaires en deux ans.