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anti-national - Page 680

  • En finir avec le terrorisme islamiste

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    Nous sommes en guerre contre le terrorisme », ne cessent de répéter les porte-paroles de l’oligarchie. Mais au-delà de ces propos incantatoires, rien n’est fait qui soit à la hauteur de cet enjeu guerrier. Pour Ligne droite il convient de commencer par stopper toute nouvelle immigration, de contenir l’islam hors de l’espace public et de retrouver la fierté de ce que nous sommes. Ce n’est que sous ces trois conditions que toutes les mesures répressives qui sont à amplifier considérablement pourront produire pleinement leurs effets bénéfiques et ramener la paix dans notre pays.
    Prendre la mesure de l’enjeu

    Les attentats islamistes se multiplient. Variant les méthodes, les cibles et les lieux, ils reviennent maintenant de façon lancinante dans l’actualité au point d’introduire la peur et l’horreur au cœur de la vie quotidienne des Français. Face à ce fléau, les dirigeants de notre pays semblent chercher avant tout à éviter les amalgames, à occulter la dimension islamique du problème et à laisser croire qu’ils agissent efficacement.
    Nous sommes en guerre contre le terrorisme, répètent-ils à l’envi, comme si cette affirmation pouvait suffire à écarter la menace. Mais la formule est révélatrice par elle-même de la crainte du système d’affronter la réalité, car c’est à un ennemi qu’on fait la guerre, pas à une méthode de combat. En 1940, les Britanniques faisaient la guerre aux Allemands, pas aux bombardements. En refusant ainsi de désigner clairement l’ennemi, la classe politique et médiatique s’interdit de prendre la juste mesure de la menace et de définir les meilleurs moyens de la contrer.

    Désigner l’ennemi

    Ligne droite estime donc nécessaire d’affirmer clairement qu’une fraction du monde musulman, qu’on peut qualifier d’islamiste, mène contre nous une guerre sans merci avec l’arme du terrorisme. Aussi, les djihadistes ne sont-ils pas, comme on le répète souvent aux Français, des cas marginaux, pathologiques, voire psychiatriques. Quel que soit leur niveau d’éducation, ce sont des hommes de conviction, déterminés à se battre pour leurs croyances et, ce qui n’est pas rien, à mourir pour elles. Il est donc absurde de penser qu’on pourra les déradicaliser avec quelques cours sur le vivre ensemble ou les droits de l’homme.

    Par ailleurs, ces combattants ne sont pas des individus isolés. Ils vivent au sein de la population islamique installée sur notre sol et s’y trouvent, tels les révolutionnaires de Mao Tsé-toung, comme des poissons dans l’eau. Certaines études indiquent en effet qu’environ un tiers des musulmans présents en France partagent leurs convictions islamistes. Et si l’écrasante majorité d’entre eux n’est pas prête à passer à l’acte, certains n’hésitent pas à aider les djihadistes, à les équiper et à les protéger.
    Dès lors, le problème prend toute sa dimension : la France doit faire face à une population de plus de deux millions de personnes qui engendre et protège des individus prêts à commettre des actes barbares contre son peuple.

    Stopper l’immigration

    Or l’islamisme est le produit naturel de l’islam et la présence envahissante de ce dernier est la conséquence directe d’une immigration massive et incontrôlée qui se développe depuis plusieurs décennies sur notre territoire. Une immigration plus active que jamais qui apparait maintenant comme l’une des principale cause de la montée du terrorisme islamique. Aussi Ligne droite considère-t-elle comme essentiel de prendre une mesure de sauvegarde à la hauteur de la menace et de stopper toute nouvelle immigration, principalement en provenance des pays musulmans.

    Retrouver la force et la fierté

    Pour autant, il ne suffit pas d’empêcher le danger de se développer, il faut également traiter le djihadisme déjà présent sur notre sol. Un djihadisme qui se nourrit d’abord du mépris que ressentent les islamistes à l’égard de la France et des Français qu’ils jugent faibles et décadents. Aussi un renouveau de notre pays changerait-il la donne. Si les Français célébraient à nouveau leurs valeurs, s’ils retrouvaient la fierté de ce qu’ils sont et la force de défendre leurs intérêts, ils inspireraient à nouveau le respect et beaucoup d’immigrés chercheraient à s’assimiler plutôt qu’à haïr la France. Le retour à une nation forte et fière, enracinée dans son identité, est pour Ligne droite la deuxième condition de la victoire contre les islamistes.

    Contenir et respecter l’islam

    La troisième concerne la légitimité de notre pays à combattre l’islamisme dans les pays musulmans. S’il s’agit d’y défendre nos intérêts on peut la justifier au nom de la real Politik, mais, le plus souvent, l’ingérence moralisatrice de la France se retourne contre elle. D’autant que la propension des pays occidentaux à vouloir imposer partout leur modèle de société constitue, par son arrogance, une puissante explication de la haine que suscite notre pays. Aussi Ligne droite estime-t-elle nécessaire de revoir entièrement les relations de la France avec le monde musulman en les fondant sur deux principes simples. Exiger de l’islam en France l’observation stricte de toutes nos règles de civilisation, mais afficher en retour un grand respect pour la civilisation musulmane en terre d’islam, en reconnaissant l’indépendance des pays islamiques et en s’abstenant de toute ingérence quel que soit le régime dont ils se dotent.

    Réprimer et prévenir

    La mise en application de ces trois principes fondamentaux créerait les conditions d’une victoire contre l’islamisme en France et en Europe.
    Encore faudrait-il dans le court terme engager réellement l’action répressive à l’encontre des islamistes en commençant par s’en donner les moyens. Pour cela, il est indispensable d’augmenter les effectifs et les équipements des services de renseignement qui accomplissent d’ores et déjà un excellent travail. Il faut renforcer les forces de l’ordre et donner à la garde nationale embryonnaire la dimension d’un vaste corps de volontaires nombreux, motivés et facilement mobilisables.
    Fort de ces moyens renforcés, il convient d’engager une action de harcèlement contre les islamistes visant à réduire leurs appuis sur notre sol. Il importe ainsi de procéder à l’expulsion systématique des étrangers fichés S et de placer les nationaux en rétention. Puisque la plupart des djihadistes sont des repris de justice, il est également nécessaire de procéder à l’expulsion de tous les délinquants étrangers ainsi que des clandestins. Quant aux djihadistes français partis combattre à l’étranger, il faut les empêcher définitivement de revenir sur le territoire national. Il convient par ailleurs de fermer les mosquées suspectées de promouvoir le djihad, d’expulser les imams radicaux, de démanteler les organisations islamisantes et de reprendre le contrôle des zones de non droit. Enfin, sur le plan de l’action psychologique, il est indispensable d’en finir avec l’obsession pathologique du refus de l’amalgame et de demander aux musulmans et à leurs représentants de condamner les islamistes sans ambiguïté, ce qu’ils ne font que très rarement.
    Le terrorisme islamique n’est que la partie émergée du problème colossal que pose à notre pays l’immigration massive de musulmans qui ne s’assimilent pas. Pour venir à bout de ce fléau, Ligne droite considère en conclusion qu’il faut apporter enfin une vraie solution au problème de l’immigration.
    Tout le reste n’est que faux-semblant.

    Texte repris du site Ligne droite

    https://fr.novopress.info/210177/en-finir-avec-le-terrorisme-islamiste/#more-210177

  • AME : la corne d’abondance

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    En 2002 paraissait un ouvrage intitulé Le chiffre de la Vie de Gregory Benichou. Ce chercheur s’était intéressé notamment à la PMA et était allé voir « comment cela se passait ». Il raconte avoir discuté avec une Algérienne qui était venue quatre fois de son pays pour se faire avorter à Marseille parce que « c’était mal vu dans son village ». Comme elle en était devenue stérile, elle aura recours à la fécondation in vitro au-delà des quatre tentatives autorisées par le code de la santé. L’auteur critiquait à la fois la PMA et cet incroyable laxisme dont le coût pour la Sécurité Sociale était astronomique. Comme disait De Gaulle : « C’est grand, c’est généreux, la France ».Un de mes confrères parisiens me signalait que sa salle d’attente servait de salon à des immigrés ; lesquels ne souffraient que d’affections plus ou moins fantaisistes. De plus après une paperasserie invraisemblable il ne touchait ses honoraires qu’une fois sur deux.

    Ces personnes étrangères bénéficient de l’AME ou aide médicale d’État qui remplaçait la CMU ou couverture médicale universelle. Elle a été créée en 2.000 par Aubry et Kouchner. Elle sera élargie sous Hollande à toute personne se situant sur le territoire français. Inutile de dire que notamment du Maghreb et d’Afrique, de nombreux immigrés plus ou moins clandestins se précipitent  pour se faire opérer ou soigner dans notre pays. C’est la situation que vit Mayotte où les Comoriens arrivent en masse : désormais le tiers de la population est dans l’illégalité.

    Le cas des femmes enceintes est particulièrement intéressant. Le « droit du sol » a été élargi en 2016 sous Hollande à tous ceux qui sont sur le territoire « depuis l’âge de six ans et ayant suivi leur scolarité obligatoire en France lorsqu’elles ont un frère ou une sœur ayant acquis la nationalité française. » En pratique, tout enfant né en France a droit à la nationalité française. On ne peut  séparer le nouveau-né de sa mère qui fera venir son mari ; lequel fera venir ses autres femmes et enfants au nom du rapprochement familial. De plus tous les immigrants en situation irrégulière bénéficient des mêmes droits à l’AME. C’est la clé du Grand Remplacement, établi avec le temps par les gouvernements précédents.

    Ainsi, n’importe quel étranger sans papier peut se faire soigner ad vitam aeternam aux frais des Français. Il suffit de se balader dans les hôpitaux des grandes villes  pour se rendre compte de cette situation. Un de mes petits enfants a été admis en soins d’urgence à Lille. Les noms des patients hospitalisés sont affichés à la porte. La totalité de ceux-ci était d’origine maghrébine (lui excepté).

    Il est évident que si un immigré clandestin se présente en occlusion intestinale ou en défaillance cardiaque, le serment d’Hippocrate oblige le médecin à donner les soins nécessaires. C’est évident !

    Mais le député du Vaucluse Julien Aubert du parti Républicain vient de poser les bonnes questions dans le Quotidien du Médecin du 22 mars dernier. La première est de type constitutionnel et concerne l’égalité. Pourquoi des personnes dans l’illégalité bénéficient du « tout gratuit » alors que le petit vieux qui a tenu un commerce ou a été agriculteur reçoit une retraite minable ? il est alors obligé de payer son sirop pour la toux et le « ticket modérateur » (partie non remboursée).

    Le député critique le ministre de la santé Agnès Buzyn qui ramène le problème des immigrés à la question du sida et de la tuberculose, maladies que l’on est bien obligé de soigner pour éviter les contagions ici et ailleurs. C’est une part minime des soins aux immigrés. Des professeurs et des médecins mettent de plus en plus souvent en garde contre le « tourisme médical » de gens qui viennent en France uniquement pour se faire opérer ou soigner. Or quand il n’y a plus de bornes, il n’y a plus de limites.

    Le député souligne que les principaux pays d’Europe (y compris la Grande-Bretagne) ont précisément mis des limites : n’y sont pris en charge que les urgences, la maternité et les soins aux enfants…Dans ces pays, on a compris que « la générosité menait à la dérive » (selon ses paroles). Vers quoi ? mathématiquement vers la disparition de la Nation Française.

    Jean-Pierre Dickès

    http://www.medias-presse.info/ame-la-corne-dabondance/89411/

  • La France a perdu sa souveraineté au profit des USA, dénonce un ex-DGSE

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    Encore une conséquence dramatique de la vente du géant industriel français Alstom aux Américains, par la faute de Macron. «

    « On ne peut plus faire de sous-marin atomique en France sans autorisation américaine, » a déclaré devant une commission de l’Assemblée nationale Alain Juillet, ancien membre du Service Action (SA) et directeur du renseignement de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE).

    Lire la suite sur ContreInfo

  • LA FRANCE ET L’EUROPE CONTRE POUTINE : AVEUGLEMENT OU FANFARONNADE ?

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    Après l’expulsion, en Angleterre, de vingt-trois diplomates et, aux États-Unis, de soixante ressortissants russes, présentés comme des espions, les États membres de l’Union européenne, réunis à Bruxelles, ont décidé de rappeler leur ambassadeur en Russie pour « consultations ». Ils envisagent aussi de chasser des diplomates russes : suivisme ou incapacité de mener une politique propre ?

    La diplomatie semble la pire des hypocrisies. Après l’empoisonnement de l’ex-espion Sergueï Skripal en Angleterre, Donald Trump a voulu montrer sa solidarité avec Theresa May : les dirigeants européens ont suivi.

    C’est sans doute, en langage diplomatique, ce qu’on appelle l’indépendance. De quoi rendre gaulliste le plus antigaulliste : le général de Gaulle, lui, au moins, était sourcilleux de la souveraineté française.

    « Les dirigeants de l’Union européenne se sont entendus pour considérer, avec le gouvernement britannique, que la Russie est très probablement derrière l’attaque de Salisbury et qu’il n’y a pas d’autre explication possible », a écrit Donald Tusk, le président du Conseil européen, sur son compte Twitter.

    Que penser d’une politique qui se décide sur des convictions intimes et non des réalités objectives ? Les relations internationales se limitent-elles à un jeu de rôle ?

    Empoisonner un ex-espion russe qui a vendu des secrets à un gouvernement étranger n’est pas une conduite recommandable. Mais, si l’on en croit de nombreux films et romans d’espionnage, les Britanniques n’ont jamais été les derniers à utiliser des moyens peu orthodoxes pour se débarrasser d’ennemis encombrants. Ne parlons pas des Américains, qui ont toujours les droits de l’homme à la bouche… et ne manquent pas de les bafouer quand il y va de leurs intérêts. Quant à François Hollande, il aurait personnellement ordonné l’élimination, par la DGSE, d’une quarantaine d’individus dangereux pour l’État. Flanby donnant le permis de tuer, ça étonne et ça détonne !

    Il faut donc expliquer autrement que par la réprobation morale les mesures prises à l’encontre de la Russie ; contre Poutine, devrait-on dire plutôt. Qu’il ait ou non, de près ou de loin, trempé dans cette affaire de poisons, il vient d’être réélu triomphalement : même les médias n’ont pas osé contester sa victoire, qu’ils ont expliquée par la « désinformation du peuple » (de quoi rire, quand on observe la façon dont la pensée unique tend à s’imposer en France).

    Sa politique internationale, sa mainmise sur la Crimée, son alliance avec la Syrie, son autorité même déplaisent aux occidentaux : au lieu de dialoguer avec ce grand pays et d’essayer de le rapprocher du camp européen, ils font tout pour le rendre infréquentable aux yeux de l’opinion, au risque de le rejeter vers la Chine. Vont-ils, en juin et juillet, boycotter la Coupe du monde de football pour humilier Poutine ? Theresa May a déjà annoncé que la famille royale ne s’y rendrait pas. Sûr que Poutine doit se faire du mouron !

    Il est paradoxal que la France critique plus Poutine que les dictateurs islamiques qui apportent un soutien plus ou moins direct aux terroristes. Si elle ne donnait pas à ses voisins l’exemple d’une politique de rapprochement avec la Russie, elle confirmerait qu’elle est redevenue le valet des États-Unis – ou de la finance, ce qui est un pléonasme – et qu’elle a renoncé à sa vocation de grande puissance indépendante.

    http://www.bvoltaire.fr/france-leurope-contre-poutine-aveuglement-fanfaronnade/

  • Marine Le Pen: « Dans le quartier de Redouane Lakdim à Carcassonne, les policiers ont été pris à partie par des jeunes qui chantaient sa gloire! »

    Selon Marine Le Pen : « Dans le triangle Perpignan-Narbonne-Carcassonne il n’y a que 3 policiers affectés à la surveillance des radicalisés »,  « le gouvernement attend le début de l’accomplissement d’un acte terroriste pour agir! » « les fichiers S étrangers ou bi-nationaux doivent être expulsés du territoire et déchus de la nationalité française », « Ceux qui sont Français doivent être jugés pour intelligence avec l’ennemi. », « L’État français a le droit de choisir qui vient chez lui et qui reste. Pas besoin de tribunal pour cela. » « Dans le quartier de M. Redouane Lakdim à Carcassonne, les policiers ont été pris à partie par des jeunes qui chantaient sa gloire! », « Ces jeune-là n’ont même pas été arrêtés. », « Le climat n’était pas tendu, c’était un climat de soutien à l’acte terroriste qui venait de se perpétrer. », « Il existe des centaines d’enclaves » islamistes comme celle de Carcassonne en France.  » Il faut arrêter de distribuer la nationalité française. », « Il faut cinq ans de présence discontinues sur le territoire pour avoir la nationalité française. « Il ne doit plus y avoir d’automatisation d’obtention de la nationalité. » « Il faut limiter le nombre de personnes à surveiller en les expulsant ». « La loi de Macron sur la Sécurité intérieure c’est zéro ». « Macron n’a jamais pris la mesure du terrorisme ». « Selon Castaner, il faut faire rentrer les islamistes de Syrie et les juger s’il est prouvé qu’ils ont commis des actes répréhensibles », rappelle-t-elle pour déplorer un tel laxisme, comme si être allé en Syrie pour combattre n’était pas suffisant . Elle demande aussi d »Interdire les Frères musulmans ». Autres sujets abordés: La Syrie, Mayotte, Sarkozy, … Etc.

     

    Voir aussi:

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pendans-le-quartier-de-redouane-laktim-a-carcassonne-les-policiers-ont-ete-pris-a-partie-par-des-jeunes-qui-chantaient-sa-gloire/89258/

  • Défendre l’intérêt national à l’heure de la mondialisation et de l’invasion culturelle

    6a00d83451619c69e201b8d2e5d62c970c-320wi.jpgLe site ParisNormandie.fr offre à ses lecteurs une "Enquête à Rouen sur Génération Identitaire". Chose suffisamment rare pour être soulignée, ce reportage est objectif et donne la parole à de nombreux militants. Pas de sous-entendu, pas de procès d'intention, pas de jugement péremptoire du journaliste :

    "À Rouen, La Vague normande lancée en 2009 a intégré la nouvelle marque Génération identitaire à sa création en 2012. Localement, ils sont une vingtaine de membres actifs. Reconnaissables à leurs sweats jaunes, ils font parler d’eux au travers d’actions médiatiques : début mars ils s’en prennent à des associations accusées d’« encourager la venue de nouveaux clandestins » en Europe. L’hiver, une fois par semaine, ils mettent en pratique leur devise « Les nôtres avant les autres » lors d’une maraude à la rencontre des SDF du centre-ville (...)

    Le groupuscule, essentiellement masculin, recrute les moins de 30 ans. Mais beaucoup n’attendent pas leurs 18 ans pour sympathiser (...) Nina raconte vouloir « défendre l’intérêt national à l’heure de la mondialisation » et de l’« invasion culturelle ». Elle évoque pêle-mêle « l’insécurité [qui] monte » et ces « petits commerces qui n’arrivent plus à vivre de leur travail ».

    « Politiquement, nous sommes des gramscistes de droite », éclaire Matthieu Bontant. Antonio Gramsci, philosophe marxiste italien du XXe siècle, a théorisé « le combat culturel ». « Notre but est de préparer le terrain à nos idées pour que les gens soient prêts. C’est la politique de l’extrême gauche depuis des années. Il nous faut exister dans la société. » Leurs idées sont centrées sur la préservation des traditions, une culture et une identité européenne qui seraient menacées par la mondialisation (avec l’américanisation des sociétés) et l’immigration (...)

    Dans leur local, dont l’adresse est tenue secrète, en centre-ville historique, on se remémore sur un panneau d’affichage les venues, à Rouen, d’Éric Zemmour et de Philippe de Villiers. La bibliothèque regorge d’ouvrages sur l’histoire de la Normandie. Dans la pièce principale, un livre publié par Les Identitaires est placé en évidence : « 30 mesures pour une politique d’identité et de remigration ». « Le principe de remigration a été inventé par les Identitaires », rappelle Matthieu Bontant. Souvent, celui-ci désigne le retour dans leur pays d’origine des immigrés, en remontant sur plusieurs générations. À Génération identitaire, on parle d’« incitation » à quitter le pays à travers plusieurs mesures à destination de « cette population française entre guillemets qui rejette la France » : fin de la double nationalité suivie de la fin des aides sociales aux non-Français, interdiction des minarets..."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Arnaud Beltrame était en prépa à Saint-Cyr-l’Ecole : c’est Libération qui a l’air bête !

    Par Gabrielle Cluzel

    Nous avons aimé cette tribune parue hier dans Boulevard Voltaire

    Rappelons pour ceux qui l'ignoreraient que Gabrielle Cluzel a participé - d'ailleurs brillamment - au colloque du Cercle de Flore « Refonder le bien commun », du 13 mai dernier, à Paris (Illustration ci-dessous).  LFAR

    Le calendrier, parfois, a de ces ironies… Libération peaufinait sans doute depuis des semaines son dossier sur les classes préparatoires de Saint-Cyr-l’École – à ne pas confondre avec l’École spéciale militaire de Saint-Cyr, sise à Coëtquidan, les premières étant censées préparer à la deuxième.

    On avait trouvé les témoins à charge, descendu du grenier de bons vieux amalgames ayant déjà fait leurs preuves, trouvé un titre-choc : « Lycée Saint-Cyr : une machine à broyer les femmes ». Allez, les gars, c’est parti, on publie jeudi soir : les garçons de Saint-Cyr-l’École sont de méchants-misogynes-qui-vont-à-la-messe-en-latin-le-dimanche-à-Versailles-et-collent-des-autocollants-de-la-Manif-pour-tous. Et France Info, en bonne copine, a fait écho, fustigeant des « élèves masculins, catholiques ultra-conservateurs, proches de l’extrême droite, homophobes, misogynes et donc hostiles à la présence des femmes dans l’armée ». Fermez le ban.

    Sauf que, vendredi matin, l’article n’a fait que fort peu de temps les gros titres. Toute la France avait les yeux rivés sur un Super U de l’Aude où un officier de gendarmerie avait obtenu d’un forcené islamiste de relâcher une caissière de 40 ans, mère d’une petite fille de deux ans et demi, en échange de sa personne. Et au terme de trois heures de face-à-face, y avait laissé la vie, dans les conditions tragiques que l’on sait.

    Un officier de gendarmerie qui, justement – son profil Facebook l’indiquait -, avait étudié… à Saint-Cyr-l’École. Issu de cette pépinière de « misogynes broyant les femmes », il avait donc sciemment fait don de sa vie pour sauver l’une d’entre elles. 

    Toc, toc, toc, il y a quelqu’un, chez Libé ? Il n’y a pas comme un problème, dans votre démonstration ? Cela ne mériterait pas un erratum, des excuses, une amende honorable, un semblant de contrition ?  

    Une enquête honnête aurait pu faire mention de cette « tradition » d’accueil peu amène – voire parfois très grossière – des filles voulant embrasser la carrière militaire perpétrée par certains. Mais aurait rajouté que si ces mufles vont à la messe le dimanche, ainsi que c’est écrit, ils n’ont pas tout compris : comme le dit évidemment sans détour le père Christian Vénard, aumônier militaire bien connu des lecteurs de Boulevard Voltaire« une tradition qui n’est pas empreinte de charité est une mauvaise tradition ».

    Sans excuser, bien sûr, ce comportement, cette enquête aurait pu au moins en partie l’expliquer, de façon très concrète et sans tabou idéologique, par l’amertume que peut susciter une discrimination positive féminine : à l’entrée de l’ESM de Saint-Cyr, convoitée par ces jeunes comme le Graal, les barèmes sportifs du concours sont moins élevés pour les filles, comme une barrière que l’on abaisserait obligeamment. Ce qui n’est pas toujours compris : soit un certain niveau physique – comme dans d’autres matières – est indispensable au métier, soit il ne l’est pas. Mais il ne peut l’être pour certains et pas pour d’autres. Imagine-t-on demander à l’oreille un service aux djihadistes pourchassant nos militaires sur le terrain : « Attendez un peu, comptez jusqu’à 100 pour leur laisser de l’avance, celles-ci sont des femmes ! »

    Et, surtout, Libération aurait dû brosser un portrait complet. Et préciser que si cette « tradition » de misogynie stupide perdure chez certains, elle ne doit pas occulter les mille autres – cultivant le courage, l’honneur, la ténacité, le sacrifice, le devoir – qui ont sans doute contribué à modeler, à l’âge où l’adolescent se mue en homme, Arnaud Beltrame. « Si on doit un jour ne plus comprendre comment un homme a pu donner sa vie pour quelque chose qui le dépasse, ce sera fini de tout un monde, peut-être de toute une civilisation », écrivait Hélie de Saint Marc, sorti de Cyr en 1947. Comme tous ses camarades, passé comme lui par Saint-Cyr-l’École ou par l’EMIA, Arnaud Beltrame a lu Hélie de Saint Marc. Et il l’a montré.   

     Ecrivain, journaliste Son blog

  • Opposition anti-éoliennes : PARTOUT !

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    Lire Eoliennes un scandale d'Etat cliquez ici

  • Politique & Eco n° 164 : Le cas édifiant d’un prof interné pour ses idées

  • Déferlement migratoire : La lettre des Bompard au pape François, par Franck Delétraz

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    Reçus lundi au Vatican avec quelque 150 élus de la région PACA, Jacques et Marie-Claude Bompard, accompagnés de Marie-France Lorho, Marie-Thérèse Galmard, Yann Bompard et Xavier Fruleux, ont à cette occasion remis en mains propres au Saint-Père une lettre qu’ils ont joliment tournée pour lui faire part des « doutes » et « incompréhensions » que suscitent les multiples interventions de l’Eglise en faveur de l’accueil des « migrants » et attirer son attention sur la menace que fait peser l’immigration massive sur l’Europe.

    « Une profonde confusion »

    Une démarche particulièrement bienvenue, au moment où de nombreux fidèles s’interrogent en entendant François leur rappeler régulièrement leur devoir d’accueil et où « les paroles et admonestations de quelques clercs sur le sujet » les laissent « dans une profonde confusion ». C’est que, souligne cette lettre, à l’heure où « l’Europe dans son ensemble est en proie à une crise identitaire et politique majeure » et où « la France demeure incertaine dans sa volonté de maintenir (son) identité hellénico-chrétienne », ces paroles créent en nous, catholiques, « un écartèlement moral entre d’une part la nécessité de présenter la paix civile par l’unité et d’autre part l’accueil inconditionnel des migrants, souvent présenté comme un devoir absolu ». Une confusion volontairement aggravée par les médias qui, la plupart du temps, ne rapportent des interventions de François que ce qui sert leur combat immigrationniste. Ainsi, écrivent les Bompard, « dans le discours contemporain, majoritairement véhiculé par des médias ignares et idéologiquement orientés, la parole de l’Eglise n’est perçue qu’à l’aune des valeurs en vogue de la propagande ». Une allusion à ceux qui s’appuient sur une interprétation abusive du Bon Samaritain, en oubliant que Saint Thomas d’Aquin nous a enseigné qu’« il faut que l’affection de l’homme soit ordonnée par la charité, que d’abord et principalement il aime Dieu, ensuite soi-même, enfin le prochain, et parmi les prochains, davantage ceux qui sont les plus proches et plus à même de nous aider ».

    Risque de déstabilisation

    Or, souligne la lettre, « alors même que nombre de nos proches souffrent de la misère matérielle et spirituelle la plus grave », la France et l’Europe « auraient l’obligation morale d’accueillir non seulement les réfugiés de toutes les guerres mais aussi les émigrés de tous les pays, et ce au risque de la déstabilisation politique et sociale ». Il faut d’ailleurs rappeler ici la constitution apostolique Exsul familia de 1952, dans laquelle Pie XII précisait non seulement que l’immigration doit concerner « des étrangers nécessiteux et honnêtes », mais aussi que celle-ci peut être limitée pour des « motifs d’utilité publique ». Or, ce sont précisément ces « motifs d’utilité publique » que mettent en avant les Bompard dans leur lettre. Lorsqu’ils soulignent par exemple que « cette convergence de migrations pour la plupart économiques voile parfois l’arrivée de combattants qui ont pour objectif avoué la conquête religieuse de l’Occident ».

    Aussi demandent-ils au Saint-Père en conclusion de bien vouloir participer « à l’éclaircissement de ces lacunes » afin de « saisir avec clarté où se trouve notre devoir de charité ».

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 23 mars 2018

    https://fr.novopress.info/210132/deferlement-migratoire-la-lettre-des-bompard-au-pape-francois-par-franck-deletraz/