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anti-national - Page 788

  • Alain Bauer, tuteur de l’étranger

    Alain est un centre nodal, à l'interface d'une multitude de réseaux — amical, maçonnique, policier, universitaire.

    Jean-Marc Berlioz.

    On a tout dit de moi : agent de la CIA, du KGB, du Mossad et même pédophile.

    Alain Bauer.

    La Franc-Maçonnerie est une institution juive dont l’Histoire, les degrés, les rites, les mots de passe et les explications sont juifs du commencement à la fin.

    Rabbin Wise Isaac.

    Qui ne connaît pas Alain Bauer ? La plupart des Français ou une grosse minorité d'entre eux ignorent peut-être encore son nom mais certainement pas son physique de grand mage sectaire au visage insaisissable. Né vieux comme l'affirment ses plus vieux amis, l'homme cumule tous les défauts esthétiques, toutes les expressions rebutantes que la malchance nature peut produire d'une union hasardeuse. Certains voient en cet énergumène anti-photogénique une sorte de vieux chat borgne qui n'aurait jamais connu l'affection gratuite d'une main câline, d'autres le considèrent méchamment comme un bouledogue aux yeux bovins et d'aucuns pensent discrètement que son appétit insatiable pour le pouvoir est une sorte de compensation, une vengeance sur la vie qui l'a fait si laid. Cette dernière hypothèse est ridicule. Alain Bauer s'est toujours senti très à l'aise en société et n'a jamais fait preuve de timidité, n'a jamais craint le regard des autres. Bien au contraire, il fut toujours habité par le désir de se montrer, d'étaler son savoir, de faire preuve de diverses qualités aux yeux de ses camarades et de ses condisciples.
    Au collège, déjà empli d'une vieille testostérone qui lui fera perdre ses cheveux précocement, Bauer se bat comme un Zélote pour devenir délégué de classe, année après année, il veut le pouvoir, il veut jouir de la puissance conforme. Indéniablement, Bauer est, adolescent, déjà un coquin curieux plus enclin à se pencher sur les indiscrétions plutôt que sur des ouvrages savants qui permettent d'apprendre la vérité intangible d'une part, les éléments d'une science d'autre part. Alain Bauer n'était pas un excellent élève, le fait d'être vieux ne l'ayant pas instruit par magie. Jeune, le petit Alain, à la moustache naissante, était plus motivé à l'idée de garnir son carnet d'adresses que de bûcher sur une discipline en particulier dans le but de devenir un grand spécialiste de quelque chose, pour de vrai. Aujourd'hui le criminologue auto-proclamé connaît 100 fois plus de monde qu'il n'en connaissait hier dans son lycée privé mais il est resté indubitablement le dilettante qu'il a toujours été avec ou sans moustache, avec ou sans cheveux.

    Au début des années 2000, le frère Bauer n'était connu, pour ne pas dire célèbre, uniquement pour ses très grandes responsabilités au sein de la Maçonnerie et ses prétendues connaissances étendues sur l’ésotérisme et le symbolisme du monde des initiés. Dès qu'il devint Grand-maître du Grand Orient en 2000, ce fils de Juifs ayant fait affaire dans le textile pour être originaux et dont les parents sont issus d'Europe de l'Est (pour échapper, dit-on, à d'insupportables violences antisémites au début du siècle dernier) multiplia les apparitions sur les plateaux de télévision, les interviews, les articles, les tribunes et, surtout, les ouvrages sur la Franc-maçonnerie qui se vendirent alors fort bien grâce à une mode ésotérique qui s'est un peu effilochée aujourd'hui. On n'avait jamais vu depuis Balzac un tel bourreau d'écriture, un véritable forcené du stylo Bic le Bauer ! C'est que cet enfant de la Veuve est organisé et malgré son indécrottable amateurisme il sait donner son effort au bon moment pour utiliser un jargon sportif qui ne lui sied guère. On ne sait pas vraiment ce qu'il a fichu à l'Université sur le plan des études mais on sait qu'il a continué à satisfaire son goût des rencontres et à oeuvrer pour accroître sans cesse ce fameux pouvoir par le truchement du syndicat étudiant UNEF où il devint rapidement le numéro 2 aux côtés du faux diplômé, le lambertiste Jean-Christophe Cambadélis.

    La gauche au pouvoir, tous les foutriquets jubilèrent et parièrent sur l'avènement d'une société intégralement progressiste dans laquelle toutes les « vieilles normes » voleront bientôt en éclats. Ce Bauer est à lui seul l'allégorie du dernier stade décadent. Avec son esprit de délégué de classe puant, le fayot entra de plain pied dans la dernière étape de putréfaction sociale. Dès l'âge de 18 ans, à l'instar d'autres énergumènes de la politique hexagonale bien connus, Aldo la moustache asymétrique entra en maçonnerie comme d'autres entrent dans la fonction publique avec l'idée de grimper, d'escalader les niveaux pour satisfaire un ego qui ne sert à rien. Prêt à tout pour grimper, prêt  à tout pour monopiliser l'ascenseur social, prêt à tout pour quelqu'un qui ne croit en rien, c'est facile. Zéro dissonance. Alain Bauer, le déraciné par excellence, l'homme qui, par ambition, voue un culte à la religion de la république, peut bien tout dire, peut bien tout faire pour assurer sa promotion, pour assouvir ses ambitions, il aura toujours l'esprit clair, il restera toujours guilleret durant les agapes avec les frangins. Le progressisme et les Havanes se marient parfaitement. Alain Bauer plaît à ses supérieurs, convaincus qu'il ne trahira jamais et qu'il a toutes les qualités amorales pour devenir un agent important du Système.

    Arrogance et sentiment d’impunité… justifié

    Les choses ne bougeaient pas beaucoup depuis deux ans et demi, depuis l'ouverture d'une enquête préliminaire sur de flagrantes anomalies financières découvertes entre le Franc-maçon du GO et la Caisse des dépôts et consignations (CDC). Pourtant, ces étrangetés ne pouvaient être négligées puisqu'elles concernaient de grosses sommes d'argent. Deux questions principales devaient être résolues grâce à une enquête policière. Pourquoi Augustin de Romanet, alors patron du CDC, payait à hauteur de 200 000 euros par an pendant 6 ans un Alain Bauer vaguement criminologue (étrillé par les universitaires le considérant littéralement comme une nullité dans leur domaine) pour quelques notes sur l'insécurité. Autre anomalie, la Caisse des dépôts et consignations acheta des milliers d'exemplaires d'un livre... gastronomique d'Alain Bauer. Les puissants se permettent tout aujourd'hui et c'est à cela qu'on les reconnaît. La star des frangins ne s'est pas expliqué quant aux raisons (si elles sont multiples) de l'achat par camions entiers du livre de cuisine par son copain gourmand aujourd'hui dirigeant des aéroports de Paris. En revanche, notre individu a cru bon de se justifier sur les 1,3 ou les 1,4 million d'euros qu'il a reçus pour ses notes de criminologie en un laps de temps relativement court. Une réponse nette. « J'ai été normalement payé ». Bing ! Cet aveu de normalité est tout frais.

    Les autorités ont enfin débuté sérieusement l'enquête en perquisitionnant les domiciles des différents protagonistes que l'on soupçonne d'avoir volé l'argent des Français, ni plus ni moins. Il date du 16 février* cet aveu, quand le public apprit la mise en branle de l'enquête qui commence réellement avec ces perquisitions effectuées le 10 janvier. Le 10 janvier. Le 9, ce médiocre infatué, répondait encore au Figaro sur un sujet sérieux qui méritait évidemment un autre interlocuteur pour éclairer les lecteurs. Le sujet ? L'explosion des viols sur mineurs. Les statistiques officielles sont formelles : les viols commis sur les personnes les plus innocentes ont bondi de 10 % en un an ! 10 % ! Et le criminologue qui ne sait rien aux plus élémentaires lois sociologiques d'ouvrir son clapet aux remugles dégoûtants : « L'augmentation statistique des faits traduit sans doute une plus grande sensibilité [de la société, Ndlr] sur ces questions », décrypte le criminologue Alain Bauer dans Le Figaro. »   Traduction   « non, non, rassurez-vous, les choses ne s'aggravent pas du tout, tout va bien, les plaintes sont justes plus nombreuses, non les faits. » Ah et pour quelle raison ? Avions-nous connu en 2016 une campagne d'information sur les viols des mineurs ? Les média ont-ils évoqué en masse l'existence des réseaux pédosatanistes en France et à l'étranger ? Les pédomanes ont-ils été traqués par les autorités, et les journalistes ont-ils stigmatisé comme il se doit les propagandistes pédomanes ? Non, donc si les plaintes ont augmenté, c'est bien parce que les viols ont augmenté... de 10 %. Bauer, triste sire, qui depuis quinze ans, minimise tous les phénomènes d'ultra-violence qui pourrissent la vie des Français quand ils en jouissent encore. À l'écouter, les homicides reculeraient en France depuis 30 ans. Au moins, désormais, les téléspectateurs sauront à quel genre de bonhomme ils ont affaire quand ils l'entendront mouiller sa moustache mal foutue face à un crétin de journaleux. Pas sûr cependant que ce menteur développe un quelconque complexe ou de la gêne face au public. Le jour suivant la perquisition de son domicile, il fit preuve d'une condescendance inouïe à l'égard des policiers   cette perquisition lui aurait permis « défaire des travaux pratiques, parce que, en tant que professeur de criminologie, c'est toujours intéressant de voir la réalité de ce que Von raconte à ses étudiants, donc il y a un côté positif ». Pour Alain Bauer, cette procédure est « à peu près légitime, puisque le code de procédure pénale en France ne permet pas que l'on vous pose une question avant que l’on ait visité (un domicile) pour voir s'il y a des pièces ». Toujours décontracté, Bobo (son sobriquet pour les potes), même au milieu d'une procédure judiciaire qui le présente d'une façon peu glorieuse, en particulier dans le microcosme de la criminologie qui le déteste déjà. Après tout, on a l'habitude de dire que les cordonniers sont les plus mal chaussés. Plus sérieusement, Alain Bauer est encore pire que ce que vous croyez.

    Fils de la République, fils de l’étranger

    En fouillant le lieu de travail et l'énorme maison d'Augustin de Romanet, les enquêteurs du parquet financier ont découvert une note de synthèse l'informant des dernières avancées des instructions l'incriminant. Ainsi, depuis deux ans, Bauer et Romanet suivaient en toute quiétude et incognito le travail discret des fonctionnaires chargés d'éclaircir ces fameuses étrangetés financières. Une nouvelle enquête devrait donc, normalement, être diligentée afin de découvrir les acolytes de ces deux Frangins. Si la police fait correctement son travail, il est fort probable qu'elle tombe sur une cohorte d'individus interlopes spécialisés dans le renseignement. Une prédiction que l'on fait sans risque à la lumière du passé d'Alain Bauer dont les premières années de sa vie d'adulte annoncent une existence empreinte du sceau de la trahison. Le meilleur copain de Manuel Valls et de la Gueuse a toujours été bien taiseux sur son "stage" états-unien. Le 1er octobre 2000, le réseau Voltaire, sous la plume de Thierry Meyssan, dévoile le passé récent de l'énergumène. Ces révélations entraîneront une réaction furibonde de Bauer qui exigera le retrait de l'article, en vain. Que dit le papier de Meyssan ? Tout simplement, in fine, que le moustachu est un agent de la CIA. En 1993, Alain Bauer a séjourné sept mois au siège de la SMC à San Diego en Californie. Il est devenu ensuite vice-président pour l'Europe de la SAIC. Il crée sa propre société de conseil et de formation en sécurité, AB Associates « qu'il a domicilié à proximité des locaux de la SAIC-Europe au CNIT-La Défense. »

    La SAIC est une émanation du Pentagone et de la CIA. Il s'agit d'une entreprise spécialisée dans les techniques de communication mais surtout d'information et de surveillance. C'est sous le gouvernement Balladur de 1993 que Bauer commence à fréquenter assidûment Nicolas Sarkozy il deviendra le conseiller du ministre de l'Intérieur sous Chirac avant de devenir son sherpa à l'Elysée. Bauer fut également le lien principal entre Sarkozy et Manuel Valls, clones politiques au service de l'étranger. Valls était déjà « lié à l'étranger » par sa première épouse, Nathalie Soulié, qui est, à l'instar de Manuel, une grande amie d'Alain Bauer. Ce dernier l'embauchera comme secrétaire très correctement rémunérée au sein de la SAIC-Europe. Sarko, Valls, Dupont, Machin, il reste et restera (lui ou ses disciples) le tuteur politique et idéologique des ministres et des présidents fantoches. Il est désormais le « monsieur Sécurité » de la gauche et de la droite, un « go-between  entre les mondes économique, politique, médiatique et judiciaire » selon la revue Challenge.

    Cette dénomination n'est pas celle d'un technicien, d'un expert, d'un ingénieur qu'il n'a jamais été. Elle est à n'en pas douter celle d'un idéologue, d'un commissaire politique, celle d'un agent s'assurant que les réformes vont dans le sens souhaité par la CIA et ses maîtres. C'est donc sous la houlette du moustachu sordide que les services de renseignements français ont été sévèrement remaniés (avec les résultats que l’on connaît) de Sarkozy à Valls. Rapidement cette nouvelle police politique, qui ne constitue rien d'autre qu'une milice au service de l'étranger, s'est exercée sur l’extrême-gauche véritable, celle de Tarnac, sur l'extrême-droite véritable, les nationalistes anti-système refusant le monopole de l'imposture mariniste et sur les nombreux catholiques qui se sont rassemblés massivement durant la Manif pour tous contre l'union des sodomites. Parallèlement à cette violente oppression politique certifiée conforme par la Maçonnerie, les nouveaux services qui ont été sur ces entrefaites complètement infiltrés par le Mossad si l'on en croit les déclarations récentes de l’ancien homme fort de la DCRI, Bernard Squarcini, ont optimisé les conditions de l'émergence d'une nouvelle forme de terrorisme dans notre pays.

    Un terrorisme beaucoup plus ambigu que celui décrit par Bauer, évidemment. Pour des hommes comme Bauer, le terrorisme joue bien sûr un rôle de contrôle social important. Il permet, l'observation le montre, de mettre au pas les dissidents, d'atténuer artificiellement les tensions socio-économiques, et d'opprimer aisément les plus dangereux opposants au Système oligarchique. Il est en cela le contraire parfait du Bien public, au service des nomades et des hommes de l'ombre.

    François-Xavier Rochette Rivarol du 16 janvier 2017

  • Les « émigrants identitaires » : L’expatriation à l’Est pour retrouver une homogénéité ethnique et culturelle

    Ils sont mécanicien, géomètre, financier… De jeunes Français, se revendiquant, pour certains, comme des « émigrants identitaires », ont choisi de s’exiler en Pologne ou en Hongrie, où ils apprécient l’homogénéité ethnique et culturelle. 

    Un jour de 2014, Romain, un Lillois de 25 ans, a décidé de quitter la France. Quelque chose ne lui convenait plus dans ce pays où il avait grandi. Une envie d’aller voir ailleurs, aussi. Alors il a pris sa moto et ses instruments de musique. L’ancien mécanicien a roulé sans but vers l’est, avant de ­s’arrêter sur un coup de tête à Budapest. Aujourd’hui, il dit ne pas regretter ce choix du hasard. Il a découvert rétrospectivement ce qui l’incommodait de plus en plus en France : sa diversité culturelle, ethnique. ­Romain (qui n’a pas souhaité donner son nom de famille)n’avait pas a priori la fibre communautaire. Il le dit sans tabou : « Ici, il y a une homogénéité et je me sens chez moi. » Il est heureux de vivre « avec des hommes de souche européenne, des catholiques ».

    Combien sont-ils ces jeunes qui, comme Romain, ont décidé de rompre avec un pays dans lequel ils ne se reconnaissaient plus ? Au sein de la communauté française qui s’est installée dans les pays de l’Est – elle ne cesse de croître ces dernières années –, ce discours s’entend de plus en plus fréquemment et ouvertement, au point de ne plus pouvoir être considéré comme un épiphénomène. Plusieurs milliers de Français sont partis vivre dans ces pays depuis quelques années. Et, parmi eux, il n’est pas difficile, par le simple bouche-à-oreille, d’entrer en contact avec des expatriés qui expliquent, sans détour, sans gêne, sans haine apparente non plus, comment cette question culturelle a germé dans leur esprit comme une évidence. Jusqu’à se revendiquer, pour certains, comme des « émigrants identitaires ».

    Grégory Leroy, 31 ans, a ainsi décidé de vivre en Pologne. Il y a trouvé un monde plus uniforme, plus conforme à ses aspirations. « J’ai beaucoup voyagé, et j’en ai retiré que je ne suis pas fan des pays multiculturels, explique-t-il. Je pense qu’il est important de croiser dans la rue plus de gens qui nous ressemblent, et c’est le cas ici. » Après avoir grandi à Courbevoie (Hauts-de-Seine), il a émigré en 2012, à la suite d’un « tuyau » glissé par un ami de son frère qui lui conseillait d’investir à Varsovie. Il y a créé Hussard, une entreprise de « formation antiterroriste » qui propose « une initiation de trois jours à l’art de la guerre ouverte » et revendique sur son site Internet un discours martial, résolument en phase avec celui de la droite polonaise au pouvoir :

    « La législation française coercitive en matière de légitime défense et de possession d’arme favorise l’émergence d’une délinquance ultra-récidiviste et ultra-violente dont le djihadisme est le prolongement. »

    (…)

    Le multiculturalisme n’est manifestement pas la tasse de thé de ces « expats » atypiques. Ainsi de Gabriel (qui préfère ne pas donner son nom). Originaire de Haute-Savoie, carrière prometteuse dans la finance, ce jeune homme de 35 ans a quitté la France dès 2005 et s’est installé pendant dix ans à Budapest. Sans détour, il associe la qualité de vie qu’il y a trouvée à « l’homogénéité ­culturelle, voire ethnique » de son pays d’adoption. « Si vous mélangez trop les gens, cela ne fonctionne pas », tranche-t-il.

    Justement, qu’est-ce qui ne fonctionne pas en France, selon lui ? Cela ne lui a sauté aux yeux, dit-il, que par le contraste avec sa nouvelle vie, lorsqu’il est revenu faire un séjour dans son pays natal : « Je me suis rendu compte que l’insécurité du quotidien nous paraissait normale. » Il dit éprouver la même impression à chaque fois : « Il suffit d’une heure ou deux de présence en France pour que ce sentiment d’insécurité s’installe de nouveau. Ici, les gens sont plus civilisés, ils ne hurlent pas dans le métro. Ils savent se tenir. »

    Grégory Leroy ressent la même chose à chacune de ses navettes. En 2014, il était dans un hôtel Ibis à Courbevoie quand une femme s’est fait agresser juste en bas dans la rue. « Personne n’est intervenu », regrette-t-il. Il a été surpris de cette scène, selon lui impossible en Pologne. Des anecdotes de ce genre, il dit en avoir d’autres. Elles lui inspirent une conclusion sans fard : « L’insécurité est un problème étroitement lié au multi­culturalisme. Je pense qu’on se vole moins quand on se ressemble. » Romain, le Lillois de 25 ans, ne justifie pas autrement son exil hongrois. « Il y a ici un respect mutuel, assure-t-il. Il y a moins d’incivilités ; il peut y en avoir, mais rien de comparable avec la France. »

    (…)

    La question identitaire, elle, s’est imposée par la suite. Dans le discours, et parfois dans les actes. Romain, qui a voyagé en Afrique, en Angleterre ou en Allemagne, reproche à son pays de renier l’attachement au sol, au terroir. « On a détaché le peuple de sa terre, estime-t-il. En Hongrie, la taxe foncière n’existe pas, par exemple. En France, le coût de l’immobilier, la désertification des cam­pagnes, la vie en ville et la nécessité de mobilité sur le marché du travail ont créé et renforcé l’individualisme. Ici, j’ai l’impression d’être dans la France d’antan, celle dont me parlent mes grands-parents. » Mais le jeune homme, dont le rêve est d’acquérir un bout de terrain cultivable dans la campagne ­hongroise, refuse qu’on le traite de passéiste. Il s’en défend, se référant plutôt à des idées écologistes.

    Bruno Guillot regrette également un « manque d’enracinement des Français ». Un constat qu’il étend au domaine culturel. D’après lui, ce sont les grands mouvements migratoires qui posent problème. Même en Pologne : « Ici, il y a beaucoup d’immigrés ukrainiens ou biélorusses. On pourrait croire que cela fonctionne car ce sont des Slaves, mais ça ne colle pas ! » Si sa foi chrétienne lui enjoint d’accueillir des réfugiés, il craint surtout le danger du trop grand nombre, s’inquiète de l’afflux de tous ces migrants qui, « contrairement aux Français, ont une conscience tribale ». Il redoute que, dorénavant, l’identité française, qui manque à ses yeux d’affirmation, ne soit grignotée par d’autres identités, plus affirmées.

    (…)

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    Le Monde

    http://www.fdesouche.com/817605-les-emigrants-identitaires-lexpatriation-lest-pour-retrouver-une-homogeneite-ethnique-et-culturelle

  • L’affaire Fillon, l’arbre qui cache la forêt

    Par Raphael

    La République, le Système, vus et décrits par un militant d'Action française de 22 ans ...

    La désignation par le peuple du prochain président de la République n’aura jamais paru aussi incertaine. Habituellement, à ce stade de la campagne présidentielle, les jeux sont plus ou moins faits, et les deux gros appareils : Parti Socialiste et Les Républicains, se disputent sereinement le trône (sic).

    En ce début de mois de février, les forces politiques en marche – sans mauvais jeu de mot - sont toutes dans de très mauvaises postures. Nous royalistes, ne nous réjouissons pas d’une situation aussi lamentable et préjudiciable à l’état de la France. Mais nous ne manquons pas d’y mesurer la responsabilité au Système. Commenter, dénoncer et éclairer nos lecteurs sur ce qu’il est en train de se jouer est quasiment une démarche de salut public.

    L’affaire Fillon, qui vient d’éclater il y a un peu moins d’une semaine est symptomatique des vices de la République et de son identité : l’imposture. François Fillon, candidat auto-proclamé de la rigueur, de la probité morale et du redressement, n’est ni plus ni moins qu’un profiteur du système républicain et de ses magouilles d’enrichissement personnel. Reprenons un peu les faits : Pénélope Fillon, ayant toujours clamé haut et fort que « jusqu'à présentelle ne s'était jamais impliquée dans la vie politique de son mari » - lire son interview d’octobre 2016 dans Le Bien Public - a, en réalité, touché près de 900 000 euros brut pour des missions d’attachée parlementaire, sans compter sa rémunération astronomique pour sa collaboration à La Revue des Deux Mondes, pour laquelle elle a touché 100 000 euros brut en un an. Une contradiction majeure, que la mine contrite de François Fillon ne pourra évacuer.

    Cette affaire est scandaleuse, tant la défense des intéressés est faible et fragile - l’enquête établit que l’épouse du candidat républicain n’avait ni badge, ni adresse mail de l’assemblée nationale, et tant la partialité des journalistes démontre, une fois n’est pas coutume, les connivences entre monde politique et monde médiatique !

    Mais si seulement, il s’agissait d’une affaire isolée ! Rappelons-nous : l’affaire Cahuzac, les montages financiers du feu couple Hollande-Trierweiler, l’affaire Bygmalion, l’affaire des emplois fictifs des attachés parlementaires au Parlement européen du Front national, les exorbitants frais de bouche de Macron, moyen détourné d’étoffer son réseau pour son mouvement « En Marche » … Nous pourrions énumérer tant d’autres affaires !

    Le cas Fillon est seulement l’arbre qui cache la forêt peu verdoyante de la vie politique française. Il nous appartient, à nous, seuls vrais contradicteurs du Système, de pointer du doigt les nombreux scandales de la République, et de faire savoir aux Français que seul le recours à la monarchie traditionnelle, incarnée par un roi soucieux du Bien Commun, dégagé des servitudes de l’argent, et désintéressé des questions partisanes s’avère indispensable et salutaire en ce moment crucial, pour sauver notre pays. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • RTL maintient solidement le bon peuple de France sous le plafond de verre…

    RTL est la première radio de France, sûrement pas la première radio française !

    Ce 1er février, Élizabeth Martichoux, chef du service politique de RTL, recevait un invité de marque : Jérôme Grand D’Esnon.

    Comment, vous ne le connaissez pas ? Mais voyons, c’était le porte-parole de Bruno Le Maire, soi-même, qui a réuni sur son nom 2,4 % des 4,27 millions de votants à la primaire de la droite et du centre, soit plus de 0,2 % du corps électoral français. Un poids lourd à mettre en vedette d’urgence.

    Et pourquoi donc madame Martichoux donnait-elle la vedette à ce poids lourd de la vie politique française ? Parce que ce chiraquien vient de se tourner vers Emmanuel Macron, qui représente le renouveau, « une vision pour la France et une vision pour l’avenir ». Notons l’argument, bouleversant, fulgurant !

    Et pas inintéressant, de la part de la « première radio de France ». Voyons voir. Après avoir parlé de Juppé pendant des semaines, hop ! voici Fillon qui sera aux commandes sans nul doute. La gauche, après le retrait du grand Hollande, se cherche un champion. En raclant les fonds de tiroir, elle trouve Hamon, bof, passons. Madame Martichoux l’invitera, naturellement.

    Mais patatras, Fillon a de gros ennuis.

    À quel saint protecteur du système se vouer ? On ne peut, tout de même, pas laisser un boulevard devant Marine Le Pen ! Et Macron apparaît en sauveur de l’ordre établi depuis 40 ans. L’homme fait irrésistiblement penser à la chauve-souris de la fable. Je suis oiseau, voyez mes ailes. Je suis souris, vive les rats. Gauche et haute finance, du Clinton.

    Et c’est ainsi que la première radio de France oriente les pensées politiques du bon peuple. On met en avant le candidat qui peut sauver le système au pouvoir depuis 40 ans. On fait silence sur la seule candidate patriote susceptible de casser ce système à la manière de Donald Trump, cette autre bête noire de RTL.

    La première radio de France s’appelait autrefois Radio Télé Luxembourg. Génétiquement, RTL est luxembourgeoise et, forcément, européiste. Comme monsieur Juncker… Elle alterne d’excellentes émissions variées et sérieuses – « L’Heure du crime », par exemple – avec des émissions de divertissement, comme les séquences du formidable Laurent Gerra. Elle y mêle une bonne dose de politiquement correct avec les rires gras et toujours bien orientés de Ruquier et ses copains gauchos.

    Dans les présentations de politique française dominent les insinuations dodelinantes de l’éternel Duhamel et les polémistes, parfois intéressants (Lévy, Rioufol), du malin Fogiel.

    Tout cela maintient solidement le bon peuple de France sous le plafond de verre…

    RTL est la première radio de France, sûrement pas la première radio française !

    http://www.bvoltaire.fr/jeanclaudemignard/rtl-maintient-solidement-peuple-de-france-plafond-de-verre,310952

  • Tentative de coup d’État et conjuration médiatique, mais Marine Le Pen ne se laisse pas déstabiliser…

    Marine Le Pen, candidate FN à la présidence de la République, le 26 janvier à Paris.

    Étonnant lynchage politico-médiatique! La gauche de Mélenchon à Macron en passant des écologistes à Benoît Hamon, et de Manuel Valls à François Hollande, tout ce monde est blanc comme neige. Tout ces innocents autoproclamés, mais plutôt véritable Gestapo, se transforment en procureurs de la République par une conjuration médiatique sans précédent, sans que la Justice n’y trouve rien à redire, sans qu’aucune enquête judiciaire ne soit diligentée contre une telle chasse aux sorcières.

    Syndrôme Trump, syndrome Brexit ? 

    Partout en Occident lorsque les forces mondialistes de gauche, haïes par les peuples, sont mises en minorité, elles tentent des coups d’Etat à la Soros: Printemps démocratique aux USA. C’est le cas en France où la Gauche imigrationniste du grand capital, en complète déconfiture après une gouvernance de 5 ans qui a mis le pays à genoux dans tous les domaines, tente un coup d’Etat médiatique tant en direction de François Fillon  que de Marine Le Pen, espérant sans doute confisquer le second tour au profit des seuls candidats de gauche qui tous ont exercé des responsabilités désastreuses dans le bilan de la présidence Hollande.

    Printemps socialiste : Marine Le Pen ne se laisse pas déstabiliser 

    Le scandale ne s’arrête pas là puisque le cas de Marine Le Pen aujourd’hui bruyamment amalgamé à celui de Fillon, n’a en réalité aucune comparaison, puisque les prétendus emplois fictifs étaient en réalité occupés, preuves à l’appui. Il faut dire que c’est Christiane Taubira qui a monté l’affaire avec l’appui de Schultz

    Et pendant ce temps-là, bien sûr, les programmes des candidats Le Pen et Fillon sont passés à la trappe puisqu’ils ne sont l’un et l’autre occupés qu’à se défendre, et ne sont interrogés, comme condamnés d’avance, que sur les accusations journalistiques qui tournent en boucle 24h/24, présentées comme vraies, qui occupent les chaînes en continu, alors que les accusés ne disposent que de rares interviews pour tenter de se disculper.

    Fillon: « coup d’État institutionnel »

    François Fillon estime aujourd’hui que l’affaire autour des emplois présumés fictifs de son épouse est « un coup d’État institutionnel venu du pouvoir et de la gauche », en soulignant que « le seul pouvoir, c’est celui de la justice ».

    Quand on sait déjà combien le pouvoir judiciaire est déficient en France, alors qu’espérer du pouvoir médiatique au profit de la gauche cosmopolite, guerrière et imigrationniste ?

    Après Fillon, Thierry Solère, porte-parole de Fillon, dénonce à son tour un coup d’État d’une gauche qui entend confisquer le pouvoir:

    « on assiste à un coup d’Etat institutionnel », « Vous avez vu pour la première fois un homme politique qui, à 90 jours d’une élection présidentielle, est mis en cause ».

    Que fait la Justice pour défendre le droit des présumés innocents ?

    Mais qui va inculper les journalistes qui 24h/24, sur toutes les chaines, relayant tous les Canards de la presse comme s’ils étaient l’Evangile, enfreignent gravement la loi en rendant verdicts et condamnations à mort électorales sans passage par la case Justice ? Car ces accusations toutes dirigées contre les candidats de droite à la présidentielle, ne reposent que sur des opinions de journaleux aux articles manifestement dirigés, appuyés par des sondages d’instituts qui somment les électeurs de croire sans aucune preuve à leur probité. Comme jamais personne ne pourra vérifier les sondages, ils peuvent faire dire aux Français tout ce qui arrange leurs affaires. Les sondages ont déjà prouvé leur incompétence et leur parti-pris au-delà du nécessaire.

    Non, la France aujourd’hui n’est plus un État de Droit!

    emmiliedefresne@medias-presse.info

    http://www.medias-presse.info/tentative-de-coup-detat-et-conjuration-mediatique-mais-marine-le-pen-ne-se-laisse-pas-destabiliser/68630/

  • Il faudrait demander une mission parlementaire pour évaluer la pratique de l’avortement

    Sabine Faivre, psychologue et auteur du livre La Vérité sur l’avortement aujourd’hui, publié en 2006, est interrogée par Anne Isabeth dans Présent. Extrait :

    "Que manque-t-il aujourd’hui à ce débat sur l’avortement ?

    Il manque le rapport au réel : nous sommes enfermés dans des postures. Il faut en sortir pour avoir le courage d’affronter la réalité. Il y a très souvent un écart entre la théorie et la pratique en milieu hospitalier. Dans la plupart des cas, l’avortement est réduit à une pratique, un geste médical : c’est ce que l’on voit sur les sites officiels qui détaillent les techniques utilisées. On évacue ainsi l’humain. Or, les femmes veulent que l’on parle d’elles, qu’on les écoute et qu’on les rejoigne dans leurs difficultés.

    Il y a un hiatus entre la loi et la façon dont les choses se passent dans la réalité des hôpitaux, et c’est précisément cela qu’il faut montrer. Il faudrait demander une mission parlementaire pour évaluer la pratique de l’avortement : son aspect médical, technique, psychologique, comme on le fait pour d’autres pratiques médicales. Cet argument est audible par n’importe qui : qu’on soit pour ou contre l’avortement.

    Vous dites qu’en France, il y a un manque énorme d’études sur les conséquences, la dimension humaine de l’avortement. Pourquoi ?

    C’est plus que cela : on ne trouve pas d’études sur la dimension humaine et psychologique de l’avortement, à cause d’un verrou idéologique. Il existe des recherches sur les fausses couches, la grossesse, l’accouchement. Rien sur l’avortement. C’est vraiment significatif. D’ailleurs, l’inspection générale des Affaires sociales l’a remarqué dans un de ses rapports, publié en 2010 : « La douleur est une préoccupation inégalement partagée selon les services et peu traitée dans les travaux d’étude, de même que le vécu par les patientes. » Une étude de 2016 a révélé l’ampleur de la souffrance des femmes après un avortement médicamenteux. Malheureusement, on peut se demander, à juste titre, si la loi sur le délit d’entrave numérique ne va pas tuer la recherche : les études montrent l’impact négatif d’un avortement sur les femmes, ce qui est forcément dissuasif. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une justice d’exception se met en place contre Christine Tasin et Pierre Cassen

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    COMMUNIQUE DE PRESSE DE RESISTANCE REPUBLICAINE ET RIPOSTE LAIQUE

    Il suffit d’écouter les propos ahurissants et scandaleux du préfet Clavreul, mis en place par Manuel Valls à la tête de la Délégation Interministérielle à la Lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme (Dilcra) pour comprendre ce qui se passe réellement en France.

     

    Tenant des propos dignes des pires commissaires politiques de pays totalitaires, cet homme avoue crûment qu’il va « cibler un certain nombre d’adversaires, et ne plus les lâcher ». Et il désigne ceux qui, selon lui, inciteraient à la haine sur la toile. Or, dans l’idéologie de ce régime, à cause de la loi Pleven et de ses extensions, critiquer l’islamisation de la France serait inciter à la haine contre les musulmans.

    On comprend mieux les conséquences du discours de Clavreul, quand on découvre le harcèlement judiciaire que décrit la présidente de Résistance républicaine, dans ce texte accablant pour un gouvernement qui instrumentalise sa police et sa justice pour réduire au silence les lanceurs d’alerte contre le péril islamique qui menace notre pays. Cliquez ici

    Quant à Pierre Cassen et le site Riposte Laïque, cela dépasse les limites imaginables dans un pays dit démocratique. Ce régime ne digère pas que celui qui a fondé ce site en 2007 n’en soit plus responsable depuis qu’en 2012, l’association Riposte Laïque Suisse en a pris la responsabilité. Il ne peut supporter qu’une décision de justice, en mars 2013, ait officialisé cela. L’objectif de ce gouvernement, qui a mis en place un véritable cabinet noir pour lutter contre les islamo-critiques, est de le faire tomber par tous les moyens, y compris en prenant des libertés avec le droit. Pour cela, ce cabinet noir orchestre plaintes et procédures, n’hésitant pas à violer le secret de l’instruction pour alimenter toujours davantage de procédures contre Riposte Laïque, qui a dépassé ce jour le chiffre inimaginable de 40, alors que jusqu’en 2012, une seule plainte avait été déposée contre RL.

    Convoqué systématiquement à chaque plainte déposée contre ce site, qu’elle émane de Cazeneuve, Hidalgo, Bergé, Fourest, de préfets socialistes, d’associations dites anti-racistes ou musulmanes, de journalistes ou de maires de gauche, Pierre Cassen a été, d’autre part, victime d’une perquisition policière, en avril 2016, sur requête du juge Batoz. Son ordinateur et son téléphone portable ont été confisqués, dans un contexte où des milliers de djihadistes, sur le territoire français, sont prêts à passer à l’action, selon l’ancien juge Fenech.

    Encore plus grave, s’appuyant sur le seul rapport de police de la Brigade de Répression de la Délinquance aux Personne (BRDP), des juges ont décidé de considérer que Pierre Cassen devait dès ce jour répondre, en tant que directeur de publication, de tous les procès intentés contre Riposte Laïque. Autrement dit, de manière totalement arbitraire, avant que ne se soit tenu le procès quant à son éventuelle responsabilité de directeur de publication, il est déjà considéré par la justice comme tel, et devrait en assumer les conséquences.

    Ainsi, le préfet Clavreul a-t-il mis ses paroles (« cibler les adversaires, et ne plus les lâcher ») en actes. Il a déposé plainte contre Pierre Cassen en personne, lui réclamant 20.000 euros de dommages et intérêts, et lui exigeant de payer ses frais de justice, parce que, sur RL, une contributrice, Lucette Jeanpierre, l’a comparé, après ses propos (voir vidéo ci-dessus) à un « kapo de la toile » et a écrit qu’il aurait fait merveille sous Goebbels, Staline ou Pol Pot. Ils veulent donc juger Pierre Cassen à Versailles, suite à cette plainte du préfet socialiste proche de Manuel Valls. Suite à une autre plainte du procureur de la République en personne, après à deux articles de Maxime Lépante, Pierre est également convoqué devant la 17e Chambre, le 22 mars, pour y être jugé à nouveau en tant que directeur de publication.

    C’est d’autant plus grotesque que la même 17e Chambre a condamné, en avril 2016, le président suisse de Riposte Laïque, coupable d’avoir diffusé un texte très critique d’un apostat de l’islam sur ce dogme. C’est d’autant plus ridicule qu’un autre jugement, ordonné par une ancienne collaboratrice de Christiane Taubira, le juge Caroline Kuhnmuch, a condamné, pour avoir publié la photo de deux caissières voilées d’H et M, peu de temps après, la directrice des éditions de Riposte Laïque, qui n’a pourtant rien à voir avec la responsabilité du site RL. Mais dans quel pays sommes-nous ? La justice est-elle encore rendue au nom du peuple français, ou en celui d’idéologues fanatiques qui se servent de l’appareil d’Etat pour régler leurs comptes, avant que le peuple de France ne se débarrasse d’eux ?

    En accélérant les procédures, en prenant des libertés avec toute notion de droit, ce véritable cabinet noir, mis en place par ce gouvernement, confirme les propos du préfet Clavreul, et entend interdire, en pleine campagne électorale, toute dénonciation de l’islamisation de la France, sur laquelle la plupart des candidats observent un silence assourdissant.

    Nos avocats vont bien évidemment contre-attaquer, dans les jours qui viennent. Quant à nous, nous allons communiquer massivement, sur la réalité du harcèlement que nous subissons, comme d’autres sites de la réinfosphère. Nous ferons connaître toute l’ampleur des plaintes qui nous submergent, et nous coûtent beaucoup d’argent et de temps. Nous organiserons, le mardi 14 février, à partir de 19 heures, une conférence de presse, à Paris, avec des avocats et des personnalités, pour défendre la liberté d’expression, donc celle de critiquer l’islamisation de notre pays, permise par l’invasion migratoire voulue par les mondialistes.

    A cette occasion, nous interpellerons les candidats aux présidentielles, sur la nécessaire abrogation de la loi Pleven, condition indispensable à un retour d’une parole libre en France.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • France 2017 : la CAF ferme temporairement car il n’y a pas de vigiles

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    Alors que le système social français permet à de nombreux étrangers de vivre sans travailler, il n’est même plus possible pour certains bureaux d’ouvrir sans la présence de vigiles…

    Réouverture promise dès mardi 31 janvier. Tous les accueils du public de la CAF du Nord ont dû être fermés ce lundi, en raison de la défaillance d’une entreprise de sécurité.

    Confirmant une information de La Voix du Nord, une porte-parole de l’organisme indique que la fermeture est due à la faillite de l’entreprise qui emploie les vigiles présents à l’accueil. L’organisme avait initialement évoqué des « incidents techniques internes ».

    Or la présence de ces vigiles est devenue indispensable, précise à 20 Minutes l’agence de Roubaix-Tourcoing : « Sans eux, nous ne pouvons pas assurer l’accueil du public dans de bonnes conditions ».

    Selon nos sources, l’organisme avait été prévenu en fin de semaine dernière de la défaillance de son sous-traitant. « Nous avons aussitôt informé nos usagers, par un message sur le site Internet, et en contactant par téléphone ceux qui avaient rendez-vous », confie encore l’agence de Roubaix.

    Source
    http://www.contre-info.com/ |

  • Quand Benoît Hamon et Manuel Valls faisaient équipe autour de Michel Rocard

    Une vieille photo de 1993 présentant les deux finalistes de la primaire de la gauche fait le tour des réseaux sociaux.

    PRIMAIRE DE LA GAUCHE - Passion archives. Alors que deux visions radicalement opposées s'affrontent ce dimanche au second tour de la primaire de la gauche, un simple coup d'oeil dans le rétroviseur nous rappelle que les adversaires de ce jour n'ont pas toujours été irréconciliables.

    La suite et la photo ici.

  • La propagande des médias décryptée par Jean-Yves Le Gallou

    Comme chaque semaine, Jean-Yves Le Gallou, président-fondateur de la fondation Polémia, décrypte le traitement médiatique de l’actualité dans son émission I-Média, diffusée par TV Libertés. Au menu de cette édition :

    A 1:31 : Marche pour la vie, médias dans le déni

    Bataille des chiffres, tentative de censure. A Paris, la Marche pour la Vie du 22 janvier a bousculé la bien-pensance. Les médias minorent le nombre de manifestants et mentent au sujet du délit d’entrave numérique relatif à l’IVG., un texte prétendument destiné à lutter les sites de « désinformation » sur l’avortement. Une loi liberticide soutenue par la classe médiatique. Aujourd’hui, être contre l’avortement est devenu interdit, à quand le prochain délit d’opinion ?

    A 10:47 Le Zapping d’I-Média

    Gilbert Collard versus Laurence Ferrari. Le 22 janvier dans Punchline sur C8, le député (RBM) affirme que « l’Otan est une structure dépassée ». La journaliste lui rétorque que l’Otan nous protège contre l’ennemi. Mais quel ennemi ? Laurence Ferrari n’a pas su répondre.

    Plus Belle la vie est-elle un programme de gauche ? C’est la question que s’est posé le journal Le Parisien avec un dossier consacré au feuilleton de France 3. La série prône la légalisation du cannabis, le mariage homosexuel et l’accueil des réfugiés, pourtant, le producteur de la série, Hubert Besson dément : « Plus belle la vie n’est ni de gauche ni de droite »

    A 19:40 Investiture de Trump : bataille de chiffre, médias poubelles

    Concours du point Godwin sur Donald Trump. Le nouveau Président des Etats-Unis est devenu le bouc-émissaire de la presse bien-pensante. Dénigrements, censures, mensonges et calomnie ; plus rien ne les arrête !

    A 31:49 Les tweets de la semaine

    Emmanuel Macron accusé d’avoir utilisé l’argent de Bercy pour « des frais de bouche ». Pour Jean-Yves Le Gallou, c’est l’arbre qui cache la forêt. Mieux vaudrait s’intéresser aux liens d’Emmanuel Macron avec le groupe Drahi, aux études politiques de stratégie de la société Proxem : des études dont on ne connaît pas le moyen de financement.

    A 36:39 Les Décodeurs du Monde, police de la presse. Police de la presse, apôtres de la vérité. Les décodeurs du Monde vous présentent leur dernier né : « Vérificator ». L’outil juge le sérieux des sites d’informations. De quoi garantir la mainmise de leur propagande.

    http://fr.novopress.info/203111/la-propagande-des-medias-decryptee-par-jean-yves-le-gallou/