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anti-national - Page 787

  • « Dans les banlieues, cessons de reculer »

    Malika Sorel-Sutter, essayiste. Ancien membre du Collège du Haut Conseil à l’Intégration. Ingénieur de l’Ecole Polytechnique d’Alger. Troisième cycle de gestion de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris (Major de promotion).

    FIGAROVOX – Après le viol présumé de Théo à Aulnay-sous-Bois, des émeutes urbaines ont éclaté en Seine-Saint-Denis. Dans quelle mesure peut-on dire que cette dégradation du climat sécuritaire est l’illustration d’une crise sociale et politique ?

    Ce qui est frappant, c’est le climat d’hystérie qui s’empare de plus en plus souvent de notre société. Chacun, ou presque, a son mot à dire sur ce qui s’est produit et voudrait imposer aux enquêteurs et même à la Justice la qualification des faits ainsi que la sentence. Les juges sont placés sous une pression inacceptable dans une démocratie.


    Alors sommes-nous dans la traduction d’une crise sociale et politique ? Une crise politique, assurément car c’est bien l’ordre établi et tous ceux qui l’incarnent de près ou de loin qui se trouvent un jour ou l’autre contestés, et parfois placés dans l’incapacité d’exercer leur mission. Des guet-apens sont tendus à des pompiers. Des policiers tombent dans des embuscades ou sont attaqués car leur surveillance dérange. Un nombre croissant d’enseignants refusent d’exercer leur mission en certains lieux. De même en va-t-il pour des médecins et bien d’autres professions.

    Quant à la crise sociale, tout dépend de ce que vous mettez dans le terme “social. Si vous l’entendez au sens qui a cours depuis le début des années quatre-vingt, alors non, nous ne sommes pas dans la simple traduction d’une crise sociale. Le problème est beaucoup plus profond, et surtout multidimensionnel. L’État, qu’il ait été piloté par la droite ou par la gauche, a consenti de lourdes dépenses dont le contenu n’a pas été suffisamment porté à la connaissance de l’opinion publique. L’État devrait communiquer davantage afin que l’on cesse de l’accuser de n’avoir pas assez investi. Ces accusations répétées – de toutes parts – nourrissent le ressentiment et parfois même la haine à l’égard des institutions et de leurs représentants.

    N’y a-t-il pas aussi une dimension culturelle voire religieuse à cette crise des banlieues ?

    C’était le cas en 2005. Pourtant les médias ont persisté à répéter que tout ce qui se produisait était lié à la mort effroyable des deux jeunes dans un transformateur. Gilles Kepel a mis en évidence que l’embrasement des banlieues avait eu pour origine le lancement non intentionnel d’une grenade à proximité d’un lieu qui présentait l’aspect extérieur d’un entrepôt. Les policiers ignoraient que ce bâtiment était utilisé comme lieu de culte. Sur place, l’information a été aussitôt propagée que la mosquée avait été visée délibérément, et qu’il s’agissait d’une attaque de l’État contre l’islam et les musulmans. Il convient de s’interroger sur les groupes de pression et d’influence qui trouvent intérêt à diviser la société selon la croyance, l’ethnie ou la “race”.
    Il est prématuré de tirer des conclusions sur ce qui se produit aujourd’hui et qui se propage à travers un nombre croissant de territoires. Nous sommes en présence d’une population sous le choc de ce qui vient d’arriver et qui se retrouve très vraisemblablement instrumentalisée. Il appartient à nos services de renseignement d’identifier au plus vite quelles sont les forces qui s’activent en sous-main et qui ont intérêt à ce que la police ne puisse plus pénétrer certains quartiers, ou même que la situation échappe à tout contrôle.

    Peut-on comparer la situation actuelle aux émeutes de banlieue en 2005 ?

    Depuis 2005, la situation s’est fortement dégradée. Le niveau de violence a considérablement augmenté. Cela était prévisible puisque le fond du sujet n’a jamais été véritablement abordé. On a persisté dans le déni du réel et dans la manipulation des masses. Pourtant, comme le montrent ses propos consignés dans Un président ne devrait pas dire ça, François Hollande n’ignore rien de la gravité de la situation. Évoquant la marche pour Charlie, il fait état de “ces trois France qui semblent parfaitement irréconciliables” et s’interroge : “comment on peut éviter la partition ? … Car c’est quand même ça qui est en train de se produire : la partition”. En 2005, il n’aurait pas employé le terme de “partition” qui est extrêmement lourd. Quel est le bilan de François Hollande dans ce registre ? C’est celui de sa tentative de refondation des politiques d’intégration, que j’ai contribué à torpiller car elle menait tout droit à la disparition à terme de l’identité française. Nul n’a le droit de créer les conditions de l’enterrement de l’identité du peuple français. Chaque peuple a droit au respect de son identité, a fortiori sur son propre territoire. J’ai eu l’occasion d’analyser longuement les différents rapports pour Le Figaro.

    Malheureusement, les choses n’en sont pas restées là, puisque nous avons eu droit ensuite à un certain nombre de réformes scolaires ainsi qu’à l’adoption de la loi “Égalité et Citoyenneté” qui partent toujours de la même approche et qui recèlent un degré non négligeable de toxicité pour notre avenir à tous. Et l’on en arrive à présent à ce qu’un postulant à la fonction suprême ose asséner qu’ «il n’y a pas de culture française» !

    Comment jugez-vous la réaction des autorités politiques à ce nouvel accès de violence ?

    Il y a eu de bonnes et de mauvaises réactions. Lorsqu’une enquête est en cours, on ne doit pas tenter d’interférer. Chacun se doit de laisser la Justice suivre son cours. Aussi, la visite du président de la République à l’hôpital n’aurait pas dû se produire car non seulement elle jette du sel sur les plaies, mais elle est de surcroît perçue comme un parti pris. Il avait lui-même reproché au président Nicolas Sarkozy de réagir trop souvent, et lui, que fait-il ? Ensuite, certains politiques de premier plan se sont mis à relayer l’appel au calme lancé par la famille. On croit rêver ! Ce faisant, le politique se démet lui-même de son autorité.

    Autre point : qu’une première manifestation ait été autorisée, car il est naturel que des citoyens éprouvent le besoin de marcher ensemble, on peut le comprendre. Mais nous n’en sommes plus là. D’autant que nous sommes en état d’urgence. Comment expliquer que le pouvoir expose ainsi son incapacité à faire appliquer la loi ? C’est préjudiciable pour tous, car toute faiblesse de l’État peut être interprétée comme une invitation à défier encore davantage les institutions. Or, la population a besoin d’être protégée. La sécurité est le premier des besoins.
    Le refus réitéré par le gouvernement de la délivrance d’un récépissé de contrôle d’identité est une très bonne décision. Cette demande part du principe que nos policiers sont suspects. Cette mise en cause récurrente de la police nationale est catastrophique. Il ne faut pas venir ensuite s’étonner de la dégradation de la situation de la sécurité en France.

    Que faire ?

    Cesser de démissionner et de reculer en pensant que c’est la meilleure façon d’acheter la paix. Nous le voyons, c’est l’inverse qui se produit. Il faut retrouver le chemin de la raison. En revenir au traitement des individus, et des individus seuls. Considérer chaque être humain sur la base de ce qu’il est en tant qu’être humain, et donc tourner le dos à l’approche communautaire qui pourrait conduire à terme à la partition évoquée par le Président François Hollande. Travailler à retisser le lien de confiance entre notre société, l’école et le corps enseignant. Le chantier est exigeant, mais il est décisif pour l’avenir de notre société. Beaucoup peut encore être fait dans ce domaine. L’espoir est de mise. Responsabiliser les parents, mais aussi les accompagner dans leur mission car l’éducation n’est pas toujours tâche aisée, loin s’en faut ! Dans mes écrits, j’émets un grand nombre de propositions et recommandations. Simplement, il faut être bien conscient que rien ne sera possible sans prendre en compte le fait que la France n’est plus en capacité d’accueillir de nouveaux flux migratoires. Et ce n’est pas qu’une simple question d’ordre socio-économique.

    Malika Sorel-Sutter Paru sur Figarovox, 14 février 2017

    Source : Magistro.fr

    https://www.polemia.com/dans-les-banlieues-cessons-de-reculer/

  • Vers un coup d’Etat oligarchique en France ?

    On s’achemine vers un événement pas très rassurant. Le système est devenu tyrannique et voudrait coffrer les gens qui ne lisent pas Le Monde. Le trio satanique OTAN-BCE-Bruxelles veut imposer son Macron comme hier son Juppé. Candidat du triangle magique Rothschild-Drahi-Soros, le vendeur d’Alstom est l’enclume rêvée où le marteau du capital mondialisé aplatira ce qui reste de France libre.

    La nouvelle caste cruelle qui se met en place sous le label d’européen ou de libéral-libertaire n’a plus peur des obstacles.

    Guy Debord :

    « Il faut conclure qu’une relève est imminente et inéluctable dans la caste cooptée qui gère la domination, et notamment dirige la protection de cette domination. En une telle matière, la nouveauté, bien sûr, ne sera jamais exposée sur la scène du spectacle. Elle apparaît seulement comme la foudre, qu’on ne reconnaît qu’à ses coups. Cette relève, qui va décisivement parachever l’œuvre des temps spectaculaires, s’opère discrètement, et quoique concernant des gens déjà installés tous dans la sphère même du pouvoir, conspirativement. Elle sélectionnera ceux qui y prendront part sur cette exigence principale : qu’ils sachent clairement de quels obstacles ils sont délivrés, et de quoi ils sont capables. »

    Les obstacles dont on est délivrés, ce sont clairement les élections.

    Il y a d’un côté le candidat de l’oligarchie. Celle-ci rétribue bien les traîtres et les sadiques qui organisent la division, l’invasion et la guerre pour tous – sauf pour la bourse et pour l’élite. Voyez Rasmussen (Otan) ou Barroso (Bruxelles) qui ont fini à deux millions de dollars par an chez Goldman Sachs. Ces sommes d’ailleurs sont des gouttes d’eau dans l’océan de dettes et de liquidités. Le reptilien Draghi vient de Goldman Sachs comme on sait ; après avoir ruiné son pays l’Italie, Mario se prépare à anéantir l’épargne européenne.

    De l’autre côté, il y a la candidature populaire. Le candidat populiste est celui insulté qui plaît au peuple : Poutine en Russie, Trump en Amérique, Marine ou Fillon en France. Fillon a déplu parce qu’il incarne un légitimisme paisible façon Charles X, la russophilie abhorrée, une réalité familiale (cinq enfants – les couples fantômes les excitent plus) et un catholicisme qui les rend fous, à gauche comme à Bruxelles. Marine incarne ce que l’on sait, une rage vieille de trente ans, et on se doute que la conjugaison de ces deux forces destinées à se battre pourrait dynamiter cet affreux système orwellien de guerre eurasienne et de terreur médiatique. Si seulement on pouvait avoir droit à un ticket comme on dit en Amérique Fillon-Marine !

    Guy Debord ajoutait (nous étions en 1988, en plein triomphe du mitterrandisme et de son obscène culte idolâtrique) :

    « À ce résultat, on mesurera, plutôt que le bonheur général, la force redoutable des réseaux de la tyrannie. Jamais censure n’a été plus parfaite. Jamais l’opinion de ceux à qui l’on fait croire encore, dans quelques pays, qu’ils sont restés des citoyens libres, n’a été moins autorisée à se faire connaître, chaque fois qu’il s’agit d’un choix qui affectera leur vie réelle. Jamais il n’a été permis de leur mentir avec une si parfaite absence de conséquence. Le spectateur est seulement censé ignorer tout, ne mériter rien. »

    Justement on ne peut plus mentir. Plein de gens qui n’avaient pas accès à une information dégagée des ordres et contraintes de la caste dirigeante ont pu, grâce à Internet, se faire une idée plus nette de ceux qui la dirigent, et voter pour Donald Trump – quelle que soit sa maladresse, mais ce n’est pas la question, puisqu’ils veulent toujours lui faire la peau.

    Le temps heureux de la désinformation facile est terminé, malgré les orientations de Google et Facebook.

    Notre théorie de la vérification peut enfin calculer leur pratique de la conspiration. Aujourd’hui on peut apprendre et cela les rends fous. L’Otan organise sa chasse aux sorcières et se retrouve en guerre contre ceux qui s’informent au lieu de bêler méchamment. Le renforcement de l’Otan montre le tournant fasciste européen, la volonté de cette oligarchie de se défendre même militairement contre la protestation. Son utilisation est aussi intérieure qu’antirusse.

    En attendant, préparez-vous à des heures chaudes. La France de souche et bien élevée, comme dit la journaliste chrétienne Gabrielle Cluzel, n’était plus habituée à trop bouger. Elle se laissait marcher sur les pieds – et demandait pardon encore !

    Par contre la France des banques et des voyous (Chatelet), des discothèques et des bureaucrates, des nuits debout et des attentats rentables, est devenue folle et violente, et ne veut plus reculer. Voyez ce qui s’est passé en Ukraine. La violence, la mort, la guerre, le début de la guerre mondiale avec le coup d’Etat de la place Maidan filmé par les drones de CNN. Ne croyez pas que cela ne vous arrivera pas. Après le ricanement, ils essaieront la tuerie.

    Quant à ce système je lui conseille de se tempérer. Il s’en prend en ce moment à trop de gens à la fois.

    Bibliographie

    • Bonnal – Mitterrand le grand initié (disponible ici)
    • Chatelet – Vivre et penser comme des porcs
    • Debord – Commentaires sur la Société du Spectacle
    • Estulin – Les Bilderbergs

    http://www.voxnr.com/8799/vers-un-coup-detat-oligarchique-en-france

  • Terrorisme musulman : l’irresponsabilité politique de Macron

    Dans le numéro 41 de sa revue de propagande Al Masra, Al-Qaïda dans la péninsule arabique évoque la prise de position d’Emmanuel Macron sur la colonisation“crime contre l’humanité”. Christophe Billan, le président de Sens commun, réagit dans Valeurs Actuelles :

    6a00d83451619c69e201b8d26dbf15970c-250wi.png"Cet organe de propagande se contente de rapporter les faits évoquant le profil et les propos d’Emmanuel Macron ainsi que ceux de François Fillon du reste. Toutefois, cette évocation met en lumière deux points fondamentaux : l’irresponsabilité politique de Macron et ses véritables motivations. Irresponsabilité car l’outrance de ses propos entretient des fantasmes qui contribuent d’une part à fragiliser l’unité du pays d’autre part à mettre en danger nos ressortissants et nos intérêts. Irresponsabilité également car les perpétuelles contorsions démagogiques du leader « d’en marche » atteignent aujourd’hui un paroxysme en alimentant une propagande terroriste qui menace la France mais aussi la stabilité des pays arabes. Irresponsabilité enfin parce que l’histoire est une discipline sérieuse. La colonisation est un processus complexe qui recouvre des réalités non homogènes.

    Mettre sur un même plan l’action du Maréchal Lyautey au Maroc et les crimes de la shoah est immoral. Faire référence à un projet génocidaire sans considérer l’évolution démographique des pays du Maghreb durant cette période est indécent. Cette absurdité révoltante transparait aujourd’hui dans un organe de propagande terroriste qui pointe du reste la véritable motivation d’Emmanuel Macron : la présence en France d’une communauté d’origine algérienne estimée à plus d’un million d’individus.

    Ce clientélisme électoral fondé sur des caricatures est simplement abject. Sa démagogie devient propagande et j’observe qu’elle alimente celle des terroristes qui menacent notre pays. Macron c’est un peu le portrait de Dorian Gray : au-delà des apparences, on perçoit peu à peu son vrai visage et il est inquiétant. [...]

    Lors de son discours à Berlin, Emmanuel Macron a félicité Mme Merkel pour son courage. Il estimait en effet que l’accueil d’un million de migrants était une véritable « aubaine économique ». Ce déni de réalité au profit de considérations économiques étroites, parfaitement résumées par Christophe Guilluy, pose un vrai problème pour l’avenir. On voit apparaitre progressivement le libéralisme hors sol de Macron qui repose sur l’émergence d’un marché global toujours plus dérégulé. Cette vision considère les Etats, les peuples et la politique comme des vestiges encombrants. [...]

    [S]a tribune dans le Figaro met en lumières les contours d’une société qui fait froid dans le dos. Il y assume désormais la notion de « multiculturalisme » et très vite il revendiquera celle de « communautarisme ». Une fois encore Macron s’inscrit dans une logique de séduction destinée à abuser les Français. Il faut être très clair avec les termes employés. Le multiculturalisme dont il se réclame ce n’est pas l’unité dans la diversité mais l’agrégation de communautés repliées sur leurs avantages et leur identité dans un espace donné. Ce processus est en total contradiction avec les notions de Peuples et de Nation. La nation parvient, au terme d’un processus historique de plusieurs siècles, à fédérer des singularités autour de principes assumés et d’une vision commune. Le multiculturalisme qu’Emmanuel Macron appelle de ses vœux est une déconstruction de notre héritage et un véritable danger pour l’avenir puisque l’unité dans la diversité devient impossible.

    Le repli d’une communauté sur ses avantages la conduit inexorablement à considérer les autres groupes comme un concurrent voire comme un adversaire. L’Etat s’épuise alors à réguler des intérêts toujours plus contradictoires. Voilà à la fois la réalité et l’impasse du multiculturalisme vanté par certains. J’observe d’ailleurs que Thierry Tuot, le conseiller d’Etat à l’origine du rapport sur une nouvelle intégration, qui assume pleinement les contours d’une société bâtie sur le communautarisme, évolue dans le premier cercle d’Emmanuel Macron. En 2012, Terra Nova conseillait à la gauche de remplacer son socle électoral populaire par le vote communautaire. Son directeur est également un proche d’Emmanuel Macron. Nous sommes loin de la rupture annoncée mais bien dans une continuité délétère avec le quinquennat en cours. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Londres, Bruxelles, Paris, Berlin : Européens, chassons les islamistes !

    Une fois encore une grande ville européenne a été frappée par le terrorisme islamiste. Le mode opératoire n’a pas changé, des innocents sont tués au hasard, par haine de ce que nous sommes, par haine de notre identité et de notre civilisation.

    Depuis plusieurs mois, à travers notre campagne « Chassons les islamistes », nous appelons les politiques européens à prendre à bras le corps la menace de l’islamisme qui a fait de trop nombreux morts en Europe depuis 2015.

    La seule question qui doit animer la réflexion de chacun est de savoir comment les Européens vont pouvoir se débarrasser de cette menace qui a grandi dans nos pays, alimentée par une immigration massive et continue.

    De grands bouleversements se profilent si des choix politiques courageux et forts ne sont pas faits dans les prochains mois. Génération Identitaire appelle tous les Français et tous les Européens fiers de leur identité à s’engager politiquement et à se dresser face aux islamistes.

    Communiqué de Génération Identitaire

    http://fr.novopress.info/204524/londres-bruxelles-paris-berlin-europeens-chassons-les-islamistes/

  • La dictature antiraciste: ses méthodes et ses buts!

  • Affaire Bruno Le Roux, nouveau rideau de fumée pour cacher les casseroles de Macron révélées durant le débat de TF1

    Pour mieux protéger la candidature véreuse d’Emmanuel Macron dénoncée lundi-soir sur TF1, notamment par Benoît Hamon, au cours du débat de la primaire du 1er tour des Présidentielles, le ministre de l’intérieur Bruno Le Roux a été sacrifié pour leurrer les électeurs qui commencent à trop bien comprendre la propagande et la protection médiatique et judiciaire dont bénéficie Macron. Le débat de lundi soir a été très révélateur de ce point-de-vue. La ficelle Le Roux est grosse, surtout quand on observe qu’elle a été lancée comme par hasard sur TMC, immédiatement relayée sur « BFMacron« , deux des chaines de Patrick Drahi, l’obligé de Macron dans l’affaire de la vente de SFR. Mais il fallait neutraliser la très mauvaise prestation de Macron sur TF1 et surtout la dénonciation de ses casseroles en direct par son ancien camarade de gouvernement, Hamon, reprise de volée par Jean-Luc Mélenchon.

    Les plus grosses casseroles d’Emmanuel Macron

    Macron, soupçonné de haute trahison dans le scandale d’Alstom-énergie et auteur du scandale de la livraison de SFR au magnat de la presse Patrick Drahi n’a aucun problème avec le PNF, celui-ci préférant s’occuper de ses concurrents directs à la course à l’Elysée, Marine Le Pen et François Fillon. L’ancien secrétaire général de l’Elysée et ancien ministre de l’Économie de François Hollande n’est pas non plus poursuivi pour de forts soupçons de dissimulation fiscale sur son  patrimoine fabuleux de 3,5 millions d’euros acquis comme banquier de Rothschild en l’espace de deux ans et demi seulement et dont curieusement, il ne resterait plus rien à déclarer… (Voir les deux vidéos ci-après)

    Le PNF et l’Elysée agitent le rideau de fumée qu’est l’affaire Le Roux

    Macron avec ses ÉNORMES casseroles commençant à sérieusement faire du tintamarre, l’Elysée a donc concocté en contre-feu le sacrifice de Bruno Le Roux pour servir de rideau de fumée. Oh, certes, un tout petit sacrifice sans conséquence, « Paris vaut bien une messe »: il vient de démissionner un mois avant la fin de ce gouvernement, pour des affaires futiles et légales d’emplois familiaux. S’il ne faut que cela pour faire croire aux électeurs que le Parquet National Financier ferme les yeux sur les casseroles de Macron uniquement parce qu’il n’y aurait rien à voir, pourquoi s’en priver ?

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  • L’intox de Benoît Hamon sur le solde migratoire

    Libé désintox :

    6a00d83451619c69e201b8d26d37c8970c-250wi.jpg"Voilà un sujet sur lequel on entend et lit beaucoup de choses fausses. Et Hamon ajoute l’intox à la confusion générale. Ce qui est vrai, c’est que le solde migratoire global de la France est de +67 000. On retrouve cette statistique dans le tout frais bilan démographique 2016 de l’Insee en janvier (en bas à droite de ce tableau).

    Mais cette donnée ne nous informe en rien de l’apport de l’immigration. En effet, ce solde migratoire concerne la totalité des entrées et sorties du territoire, et pas seulement celles des immigrés. En clair, il agrège les mouvements des immigrés et ceux des personnes nées en France (ainsi que les entrées et sorties de personnes nées françaises à l’étranger, mais qui sont plus marginales).

    Or les statistiques de l’INSEE, basées sur les enquêtes annuelles de recensement, montrent que le solde migratoire des personnes nées en France est négatif, alors que le solde migratoire des immigrés est, lui, nettement positif. Pour 2013, dernière année pour laquelle l’étude donne des chiffres, le solde des nés en France est de -120 000 (197 000 ont quitté le territoire pour 77 000 qui sont revenus). A l’inverse, le solde migratoire des immigrés est de +140 000 (235 000 arrivées pour 95 000 départs).

    Bref, concernant le solde migratoire des immigrés, les chiffres sont donc peu ou prou l’inverse de ce que dit Benoît Hamon."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

     

  • Jean-Pierre Mignard donne raison à Marine Le Pen

    L’avocat et homme politique Jean-Pierre Mignard est un soutien enthousiaste d’Emmanuel Macron. Il veut, d’ailleurs, saisir la justice à propos des « caricatures odieuses » contre son protégé, dans lesquelles certains ont vu leurs obsessions à défaut de la réalité.

    Ainsi, dans un entretien accordé à L’Opinion, Mignard nous vend le produit en comparant la situation actuelle à 1958 et son poulain au « général de Gaulle [qui] installe au départ une majorité qui ressemblera un peu à ce que devra faire Emmanuel Macron ».

    De Gaulle a, certes, lui aussi réuni en 1958 une majorité plurielle, mais il avait le cuir tanné par deux guerres mondiales et une expérience de président du Gouvernement provisoire de la République française. L’autre a simplement usé ses culottes dans la finance ; c’est peu pour diriger un pays !

    Ce parallèle discutable permet au moins à l’intéressé de placer ça : « L’extrême droite était alors menaçante, elle est de nouveau aux portes du pouvoir, avec les mêmes ou les enfants des mêmes. » Lutter contre l’extrême droite, ou l’alibi de la politique du pire, que nous subissons depuis plus de quarante ans.

    Au fait, le chantre de la France « diverse et multiple » est-il d’accord sur ces propos de De Gaulle, rapportés par Alain Peyrefitte : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne » ?

    Pour justifier l’abandon de la Ve République, Mignard déclare que le « système politique français est à bout de souffle ». Il apparaît que ce sont plutôt les acteurs de ce système qui fatiguent, ceux que Macron recycle à l’envi pour former son équipe.

    « Ce n’est pas l’économie ou le social, même s’il y a d’immenses efforts à faire, qui sont en crise.

    C’est la politique qui tient le reste », dit encore le VRP de Macron. La politique française, qui déteste la préférence nationale, défend surtout une économie apatride, et le social semble préférer l’exotisme aux « soutiens » !

    Mignard rappelle qu’il a jadis, avec son copain Hollande, fondé les « transcourants », sorte d’embryon d’En Marche !, où les membres se demandaient déjà « comment des personnalités de la droite pro-européenne pourraient converger avec nous ». Car pour faire définitivement passer le mondialisme, il faut briser toutes les barrières identitaires : culturelles, cultuelles, politiques, etc. Sont donc exclus du ralliement les anti-européens !

    Et pour qui douterait encore que Macron est le favori de Hollande, en renonçant à se représenter, Mignard salue ce dernier, qui « a fait la preuve qu’il est plus attaché à un dépassement du système qu’à son propre avenir. […] Dans la future majorité, le Président jouera évidemment un rôle important. » 

    Mignard fait enfin l’aveu que l’UMPS a échoué car il n’a pas été convergent, ce qui « eût été la force et l’efficacité ». C’est une voie royale pour Marine Le Pen, qui n’a eu de cesse de montrer cette connivence souterraine.

    Moralité : à trop parler, on finit par dire la vérité !

    http://www.bvoltaire.fr/charlesdemassieux/jean-pierre-mignard-donne-raison-a-marine-pen,319202

  • Crise des migrants : l’Union Européenne récompense les « bonnes pratiques journalistiques »

    Source : OJIM – “Crise des migrants : l’Union Européenne récompense les « bonnes pratiques journalistiques »”

    Il y a quelques semaines, l’Ojim vous révélait l’initiative du Conseil Économique et Social Européen visant à définir les « bonnes pratiques » dans la couverture médiatique de la crise des migrants. L’heure des travaux pratiques a commencé. C’est maintenant l’Union Européenne qui récompense les journalistes qui adoptent une présentation de la crise migratoire conforme à sa vision favorable à l’immigration.

    L’UE a en effet lancé en début d’année un Prix des médias pour promouvoir « un journalisme sur la migration basé sur des preuves ». Partant du constat que « le discours actuel qui entoure la migration a pris une tournure dramatiquement négative durant la dernière décennie en Europe et ailleurs » et que « la couverture des médias des phénomènes migratoires joue un rôle important dans la formation de l’opinion publique », les organisateurs de ce prix ont comme objectif de « renforcer le rôle positif que les médias peuvent jouer quand il s’agit d’influencer le récit actuel des migrations ». Cette compétition permettra de réunir 72 récits qui pourront être utilisés et diffusés grâce à des droits d’auteurs partagés. La remise des prix aura lieu le 22 juin 2017 « sous les auspices de la Présidence maltaise de l’Union Européenne ».

    Quand Bill Gates finance les médias favorables aux migrants

    Hasard du calendrier, l’European Journalist Centre est quant à lui à l’origine d’un projet, financé notamment par la fondation Bill Gates, qui vise à assurer la couverture pendant dix-huit mois de l’arrivée et de l’intégration de familles de migrants. Quatre grands journaux européens vont participer à l’opération, Le Monde, le quotidien anglais Guardian, le quotidien espagnol El Pais et l’hebdomadaire allemand Der Spiegel.

    Selon Le Monde, « le projet s’inscrit dans l’approfondissement de notre couverture des questions migratoires ». Le Directeur de l’European Journalism Centre indique sur le site de l’EJC qu’« avec 10 élections nationales en 2017 sur le continent, des projets de cette envergure sont vitaux ». On n’en connaitra pas plus sur les « enjeux vitaux » de ces élections, mais l’angle des articles publiés dans le cadre de cette initiative, des récits de vie, vise à développer l’empathie vis-à-vis des migrants, indépendamment de toute autre considération.

    Et l’UE prône d’ouvrir les vannes en grand

    Le commissaire européen aux Migrations et aux Affaires intérieures l’affirmait récemment à la Tribune de Genève, « L’Europe va avoir besoin de 6 millions d’immigrés ». «Nous allons ouvrir des bureaux (pour les permis de séjours) dans tous les pays de la rive sud de la Méditerranée et en Afrique de l’Ouest ».

    L’Union Européenne utilise donc la carotte pour influencer une opinion publique de plus en plus réticente à accueillir une immigration massive dans une Europe qui compte 21,4 millions de chômeurs et 29 millions de travailleurs pauvres. Mais elle pourrait aussi manier le bâton, comme le relate France Soir le 2 mars : « la Commission européenne a durci le ton jeudi face aux États membres de l’UE, en menaçant de sanctions ceux qui refusent d’accueillir des réfugiés ».

    Politique de la compassion

    Les récits de vie des migrants sont de plus en plus nombreux dans les médias et l’espace public : outre l’initiative des 4 grands journaux européens, le Télégramme relate le 5 mars que des bénévoles se sont succédés à Rennes pour un marathon de lecture de 24 heures pendant lequel ont été lus 400 témoignages de migrants, « contenus dans une encyclopédie des migrants, recueillis de Brest à Gibraltar ». Le 8 mars, Arte dressait dans un documentaire le portrait de trois femmes qui ont choisi la France.

    Ces récits peuvent participer de l’information sur les migrations actuelles vers les pays européens. Mais des monographies, aussi touchantes soient elles, ne peuvent résumer à elles seules les différentes dimensions de l’accueil des migrants. Ce type d’enquête fréquemment utilisé en sociologie soulève, selon le sociologue J.C. Passeron, cité dans un article consacré aux recherches qualitatives deux problèmes :

    – « Le récit de vie se veut exhaustif et par-dessus tout signifiant, ce qui donne l’impression de tout comprendre au risque de faire disparaître toute approche théorique permettant de décrire le problème étudié.

    – Le risque est grand de céder à l’illusion de ce que le sociologue appelle la « panpertinence » : tout est pertinent et fait sens, le monde ne peut être décrit ».

    Il est vrai que la pression migratoire a tout intérêt à être minimisée, enjolivée ou carrément passée sous silence. Les passages en force de clandestins à Ceuta relatés par Ouest-France, les millions de candidats qui attendent dans les pays africains l’occasion de passer la méditerranée cités par Il Tempo, le nombre toujours croissant de demandeurs d’asile arrivés en France, 100 000 en 2016 selon Le Figaro, et dont les déboutés ne sont quasiment jamais reconduits dans leurs pays : autant d’événements qui pourraient accréditer l’idée d’une situation hors de contrôle.

    Vouloir influencer le jugement des citoyens en récompensant des journalistes qui se conforment à la vision hors sol des peuples et de l’économie de l’Union Européenne, indépendamment des implications sociales et culturelles de l’accueil massif de migrants : une nouvelle étape dans le formatage des esprits.

    http://fr.novopress.info/

  • Comment les médias effectuent un conditionnement anti-FN

    On sait que la campagne présidentielle est lancée quand mensonge et diabolisation se conjuguent pour faire barrage à Marine Le Pen. C’est donc parti ! Jean-Yves Le Gallou en fait le décryptage dans le n° 143 de son émission I-Média, sur TV Libertés.

    01:39 Conditionnement anti-FN dans les médias

    Le Front national fait les frais d’une campagne de dénigrement, une de plus. En 2017 comme à chaque fois, les médias s’appliquent à conditionner les électeurs. Pour l’information objective, on repassera ! Quandle scrutin sera terminée…

    14:59 Le Zapping d’I-Média

    Le journaliste Franz-Olivier Giesbert qualifie le quotidien Le Monde de journal incompréhensible. Il est tiraillé entre la ligne Macron, définie par les propriétaires (Xavier Niel, Pierre Berger) et une rédaction qui roule pour Benoît Hamon.

    Quant à France info, la radio d’information en continu du service public, elle diffuse une séquence… d’astrologie sur le candidat des Républicains François Fillon !

    25:05 Caricature de Macron, circulez y’a pas de banquier

    Caricature de Macron en banquier : la sanction médiatique est unanime. Le dessin est antisémite et fait référence aux « heures les plus sombres de notre histoire ». Mieux, dans le Huffington Post, Fabrice d’Almeida ira jusqu’à affirmer que cette caricature vient sûrement des plus zélés du camp Fillon, c’est-à-dire de la Manif Pour Tous. C’est le point Godwin de la semaine.

    33:15 Les tweets de la semaine

    Sondage sur le site du Figaro ; quand les internautes répondent « oui » à la question : Etes-vous favorable à la sortie de l’euro ?, le Figaro modifie sa question en « Craignez-vous les conséquences d’une sortie de l’euro », et tant pis pour ceux qui se sont exprimés.

    Novlangue dans l’Obs à propos des « soutiens sulfureux » de François Fillon.Charlotte d’Ornellas propose une autre définition du mot « sulfureux » : « De droite, régulièrement en désaccord avec la rédaction du Nouvel Obs ».

    37:05 Sevran : décryptage de la contre-enquête du Bondy Blog.

    Femmes interdites dans un bar PMU à Sevran, le Bondy Blog publie une contre-enquête. Pour le journal des banlieues, il n’y pas de ségrégation. En fait, la contre-enquête est biaisée et incomplète.