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anti-national - Page 858

  • Colère Identitaire et patriote

    reseau

    Communiqué du 27/01/2014

     

    Pour réussir ce Jour de Colère, qui a réuni des dizaines de milliers de participants, le Réseau-Identités avait donné rendez-vous à ses adhérents sur les marches de l’Opéra-bastille avant de rejoindre la Place Vauban.

     

    Ils étaient venus de toutes les régions de France; il y avait là des Provençaux, des Languedociens de la Ligue du Midi venus en minibus, une grosse délégation du Berry, des Champenois, des Picards en lutte pour la sauvegarde de leur identité menacée par le projet de dépeçage de leur région, des Savoyards, des Bretons, des Franciliens en lutte contre ce projet jacobin de métropole, des Normands mais aussi des belges venus en renfort ainsi que des « laïques» et des patriotes.

     

    Dans un tract distribué au cours de la manifestation intitulé « de la révolte à la révolution » les Identitaires ont voulu crier leur révolte à la face des socialistes qui, en 18 mois, ont concocté toutes sortes de projets visant à opérer la dilution de notre Identité : atteinte à la cellule familiale, remplacement de population, droit de vote des étrangers, officialisation de la repentance, promotion du métissage, christianophobie…

     

    A pied d’œuvre, en ce jour de Colère, le Réseau-Identités a été le seul représentant du courant identitaire, ce qui explique son succès dans la manifestation puisqu’il fut suivi, derrière ses banderoles, par 400 à 500 manifestants qui ont repris ses mots d’ordre et en particulier « COLERE PATRIOTE ET IDENTITAIRE » qui fut scandé par des centaines de poitrines.

     

    Les identitaires du Réseau se félicitent d’avoir manifesté aux côtés de gens motivés, certes avec des positionnements divers, mais se tolérant les uns les autres, ce qui constitue de possibles prémisses pour d’autres alliances improbables auparavant. Ils condamnent avec force les tentatives d’intimidation de la police qui s’est livrée à un véritable guet-apens et les manifestants auront eu du mal à se reconnaitre dans le compte-rendu qui en a été fait par les médias et Manuel Valls.

     

    Concluons par un propos entendu dans une discussion au sein du groupe des Identitaires pendant la manif…

     

    « Les socialistes finissent toujours par nous amener la guerre, la pauvreté et le désordre. Quand le gouvernement s’oppose à l’intérêt du pays, c’est la légitimité du peuple que de s’opposer au gouvernement »

     

    Réseau Identités
    www.reseau-identites.org / contact@reseau-identites.org
    @Reseauidentites

  • Pourquoi le « Système » fait-il mousser Dieudonné ?

    Un seul homme, un seul, vient d'interdire le spectacle que devait donner Dieudonné M'bala M'bala à Nantes avant-hier soir et, partant, tous ses spectacles en France si on table sur la crainte qu'auront désormais tous les tribunaux administratifs de se faire censurer par la plus haute juridiction de droit interne, pour les même pseudo-raisons.

     

    Cet homme, non content d'être seul et d'avoir statué à la va-vite, alors qu'une décision d'une pareille gravité aurait mérité qu'un collège de sages se penchent sur la question pendant des jours, c'est Bernard Stirn, juge des référés du Conseil d'Etat, juif et, de manière particulièrement remarquable, arrière-petit-neveu d'Alfred Dreyfus et frère de l'inénarrable Olivier Stirn, ancien ministre et membre du comité directeur de l'Association France-Israẽl.

     

    Allons bon, voilà que le « Système » fait comme s'il souhaitait valider en un seul jour et en une seule action toutes les thèses « antisionistes » de sa cible...

     

    Après la circulaire pondue par notre bon ministre de l'Intérieur, dont une déclaration fort connue a consisté en un attachement indéfectible à l'Etat hébreu, et avant les chatteries de notre excellente ministre de la Culture et de notre sublime porte-parole du gouvernement (la première ayant depuis longtemps fait une profession de foi similaire, et la seconde ânonnant laborieusement sa récitation sur l'antisémitisme de la quenelle), est-il vraiment encore besoin de dire à quoi ressemble cet assassinat politico-juridico-médiatique digne des zeurléplusombreudeluèressesse ?

    Ne vous y trompez pas, je ne suis pas, loin s'en faut, un grand admirateur de Dieudo, qui est pourtant probablement, en plus de me faire souvent rire même si je préfère de loin Gaspard Proust et Laurent Gerra, un brave gars, aux prises comme beaucoup de métis avec quelques difficultés d'identification et, comme la plupart des ex-membres de la confrérie des bien-pensants ayant incomplètement viré leur cuti, en délicatesse avec la cohérence intellectuelle élémentaire.

     

    Je pense même, pour tout vous dire, qu'à l'instar de la SARL Le Pen et de Soral, Dieudonné fait partie de l'entité-repoussoir systémique, que je qualifie de « Goldstein » par référence au fameux bouquin d'Orwell. Comme pour les autres composantes de cette entité, cela ne signifie pas pour autant, à mes yeux, qu'il souhaite y appartenir, ni qu'il ait conscience d'en faire partie.

     

    C'est juste qu'objectivement, il attire à lui nombre de contestataires de bonne foi, tout en professant un très banal amour universel parfaitement utopique et en ne proposant aucune solution concrète, et piège ses adeptes dans une vision manichéenne azimutée pile-poil vers le créneau porteur de la répression systémique : Léjuif (pardon, Léssioniste).

     

    Soi-disant « anti-système » mais citoyen de partout et de nulle part, faisant du profit en France et plaçant ses avoirs au Cameroun, appelant le si peu exemplaire footballeur Anelka son « frère », excitant l'immigré africain à exiger la repentance européenne pour la colonisation et la traite négrière atlantique sans jamais évoquer la traite arabe, imputant à Israël et au lobby juif tous les malheurs du monde, Dieudo n'est pas un réel dissident, mais juste un indigné sentimental et attrape-nigauds, peut-être un tantinet matois.

     

    Comme souvent chez les pseudo-dissidents, il profère néanmoins, entremêlées à ses erreurs et simplismes, un certain nombre de vérités. Qui, parmi le public un minimum instruit, peut encore douter de la réalité du Shoah-business, dénoncé notamment par des Juifs ? Qui contesterait que la colonisation de l'Afrique et la traite atlantique (d'ailleurs largement imputable à des Juifs) aient été des ignominies ? Qui nierait la puissance du lobby juif et de ses antennes, telles le CRIF et la LICRA ? Qui tiendrait pour négligeables le rôle négatif et la puissance de la banque juive, notamment dans le monde anglo-saxon ?

     

    Seulement voilà, en présentant de tels faits comme pièces à conviction d'une thèse globalement mal ficelée, au service d'un discours ambigu entre universalisme conventionnel et anti-systémisme mal défini, prêtant le flanc à la répression par des provocations trop grossièrement orientées, on ne fait que discréditer les réalités qu'on prétend dévoiler, au profit du « Système » qu'on prétend combattre, et on est facilement dénoncé, par la machine politico-médiatico-judiciaire, comme le monstre nazimorphe qu'on n'est pas.

     

    Pour ma part, le débat qui, à partir de l'affaire Dieudonné, fait rage dans les médias mainstream et même alternatifs au sujet de la liberté d'expression, ne m'intéresse pas. De liberté d'expression, il n'en existe quasiment plus en France et en Europe, si ce n'est dans le monde entier, depuis bien longtemps, à supposer qu'elle ait jamais réellement existé ; mais, en tout cas, aujourd'hui moins que jamais. Je suis quelqu'un de relativement pondéré mais si je disais publiquement tout ce que je pense, je me retrouverais probablement très vite en prison. A tout le moins, je soutiens que nous vivons dans une dictature déguisée et que la vraie nature du Régime relève de plus en plus d'un totalitarisme.

     

    Non, à mon avis, la seule vraie question que pose cette affaire Dieudonné, c'est : en quoi le « Système » a-t-il intérêt à faire, en attisant la sympathie en faveur des thèses de sa cible du moment, en réaction à une répression démesurée et à une maladresse oligarchique apparemment insigne (j'accorde au passage, bien volontiers, à tout contradicteur sur ce point, que Manuel Valls, notamment, manifeste une lourdeur et un manque d'intelligence situationnelle et tactique absolument confondants), la promotion d'un humoriste aussi peu dissident en réalité ?

     

    Cette question, que presque personne ne paraît sérieusement se poser, tant le battage médiatique entraîne des réactions plus ou moins binaires sur un terrain préalablement délimité par l'ennemi, appelle de multiples réponses. J'en vois déjà au moins trois.

     

    Un, l'enfumage, le prétexte. On tape sur Dieudonné pour se donner la possibilité de taper sur n'importe qui, pour n'importe quel motif. Afin de restreindre encore la sacro-sainte liberté d'expression, sous des prétextes aussi flous qu'adaptables à toutes les situations.

     

    S'agissant de l'ordonnance du Conseil d'Etat du 9 janvier 2014, le juge des référés Bernard Stirn a utilisé le motif fourre-tout, qui devrait faire honte à tout juriste digne de ce nom, d' « atteinte à la dignité humaine », en se référant, notamment, de manière transparente, à un précédent arrêt du Conseil d'Etat qui avait, contre toute raison et en violation de l’ordonnance du 9 août 1944, reconnu la responsabilité de l'Etat dans la déportation.

     

    Rien n'interdit désormais, au gré de l'arbitraire gouvernemental, au juge administratif (contrairement aux juges des juridictions de l'ordre judiciaire, recrutés à la sortie de l'ENM, les magistrats concernés sont, comme les hauts fonctionnaires et bien des politiciens, issus de l'ENA, ce qui en dit long sur la consanguinité des autorités et l'absence de séparation des pouvoirs en la matière), d'interdire tout ce qui lui déplaît ou déplaît à l'exécutif, au prétexte de l' « atteinte à la dignité humaine » ni, a contrario, de faire preuve du plus parfait laxisme envers des atteintes à des groupes, à des convictions ou à des professions de foi qui n'ont pas sa sympathie.

     

    Idem, des juges civils et pénaux. Rappelons qu'une photo de Dieudo figurait sur le mur des cons dans les locaux du Syndicat de la magistrature (dont le bureau, je le signale, n'est pas composé de Juifs). Et, que je sache, le photographe Jean-Claude Elfassi qui, invoquant pesamment un humour « façon Dieudonné », a traité celui-ci de « singe » et a qualifié son épouse de « viande à nègre », n'est pas inquiété... Pas plus que d'autres du même tonneau. Bref.

     

    Deuxième mobile possible à la publicité faite à Dieudo par le Régime, une explication en lien étroit avec la première, analysée ci-dessus : culpabiliser et faire peur.

     

    Non seulement le pouvoir se donne une arme juridique inédite, un outil de contrôle et de muselage pour désamorcer et réprimer ce qu'il veut (vous me direz, ce n'est qu'une arme juridique de plus ; certes, néanmoins celle-là est tout de même digne des pires systèmes totalitaires), mais en plus, il se dote, par là, d'un outil de culpabilisation et de terreur sans précédent.

     

    Culpabilisation, par référence, notamment, à l'arrêt précité du Conseil d'Etat ayant reconnu la responsabilité de l'Etat dans la déportation. Décryptage : désormais, si vous mouftez, si vous vous touchez l'épaule, si vous protestez contre un quelconque mot d'ordre idéologico-politique, vous êtes des nazis, des complices en puissance de la Shoah, des antisémites, des monstres contre lesquels tout est permis. Donc, vous devez la fermer. Ou alors (aspect terreur), vous allez voir ce que vous allez voir, bande de chiens.

     

    Pas illogique, comme stratagème, de la part d'un gouvernement inefficace, incapable, impuissant à résoudre le moindre vrai problème, impopulaire au dernier degré, contesté de tous côtés, incarnant avec son chef de l'Etat ridicule un système à bout de souffle.

     

    Voilà qui vérifierait, une fois de plus, l'adage selon lequel l'agressivité est un signe de faiblesse.

     

    Quoi qu'il en soit, dissuader par la terreur de l'arbitraire toute velléité de contestation, c'est certainement un moyen de regagner un peu de puissance dans un contexte de moindre vitalité. Reste à savoir si un outil aussi dangereux, entre des mains si frêles, ne risque pas de se retourner contre ses utilisateurs.

     

    Troisième explication que je vois à la volonté oligarchique de donner raison à Dieudonné en lui donnant tort : évidemment, attirer la dissidence sur une fausse piste, puisque l'humoriste et ses thèses manichéennes n'offrent aucune réelle alternative.

     

    Ce faisant - par le mécanisme classique de l'amalgame -, le Régime ferait d'une pierre deux coups : primo, il égarerait de nombreux dissidents, indignés par le traitement inique réservé à Dieudo, sur la voie d'une pseudo-contestation et, secundo, il affaiblirait d'autant la vraie dissidence tout en diabolisant injustement, mais efficacement, comme cela a déjà été fait avec le FN, tous les ralliés à la pseudo-dissidence circonscrite à une dieudosphère même élargie par un afflux de sympathisants.

     

    Ces trois explications ont-elles une valeur ? Dans l'affirmative, se valent-elles ? Doit-on les combiner et les associer ? Dans la négative, qu'en retenir et qu'en rejeter ?

     

    Ou bien, le Régime est-il simplement devenu totalement stupide, au point de laisser le lobby juif, clairement à la manoeuvre en l'occurrence, dévoiler de plus en plus crûment son impudence communautaire et son mépris des règles traditionnelles de notre Etat de droit ?

     

    J'avoue que je n'ai pas de certitude sur ces points.

     

    Mais s'il y a une chose dont je suis sûr, même si nous vivons des temps difficiles et que nos libertés se réduisent comme une peau de chagrin, c'est que tout cela augure bien mal du sort de nos élites, quand le vent révolutionnaire balaiera le « Système » épuisé jusqu'aux derniers réduits de ses villas avec piscine. Car comme on fait son lit, on se couche. Si bien qu'à force de traiter le peuple comme du bétail, on se prendra fatalement de fameux coups de cornes.

     

     

    Dernière minute : le préfet de police de Paris vient d'interdire le nouveau spectacle de Dieudo, « Asu Zoa », nécessairement sans même savoir ce qu'il contient et donc, uniquement parce que Dieudo en est l'auteur !

     

    Quand je parlais d'arbitraire... La réalité totalitaire dépasse désormais la fiction.

     

    (Mise à jour du 13 janvier 2013)

    Ah, finalement, le préfet autorise. C'est la... valse.

    http://verslarevolution.hautetfort.com/archive/2014/01/11/pourquoi-le-systeme-fait-il-mousser-dieudonne-5268533.html#more

  • Loi sur l'égalité hommes-femmes : l'article qui indigne les écoles de journalisme

    L'article 16 bis de la loi sur l'égalité hommes-femmes qui a été voté, ce mardi après-midi, provoque une levée de boucliers dans les écoles de journalisme. Cet article fait suite à un amendement issu de la commission culturelle de l' qui fait obligation à l’ensemble des établissements d’enseignement supérieur au journalisme à prodiguer «un enseignement sur l’égalité entre les femmes et les hommes».

  • Louis Dumont de Jour de Colère: « Nous attendons que les parlementaires arrêtent de se faire les complices du gouvernement »

    26janvier23Après la manifestation du 26 janvier, nous avons de nouveau interrogé Louis Dumont, l’un des organisateurs de Jour de Colère, pour tirer le bilan de cette mobilisation.

    1)  Après la manifestation, l’heure est au bilan. En tant qu’organisateur, pour vous est-elle un succès ?

    Nous avons atteint nos objectifs au-delà de toute attente. Plus de 100 000 personnes d’origines très diverses, tant sociales que géographiques, ont répondu à notre appel. Malgré la gravité et les différences de revendications, les manifestants ont défilé dans le calme, en se respectant mutuellement. Et les gens sont restés jusqu’au bout, attendant la fin des discours avant de se disperser, et ce malgré une pluie battante.

    Donc malgré les pronostics et une faible couverture médiatique en amont, le Jour de Colère a été un beau succès.

    2)  Malgré ce qu’on a pu lire ou entendre, le cortège était assez hétéroclite. N’est-ce pas le signe que la colère gagne différents milieux de la société française ?

    Nous revendiquons la présence de toute la France dans sa diversité.

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  • Lettre à Manuel Valls d’un « intégriste de l’ultra-droite catholique »

    Vous venez de me donner l’ultime argument qui manquait à ma décision de défiler dimanche prochain.

    Je suis ce que vous appelez un « intégriste de l’ultra-droite catholique » qui s’est levé pour défendre une opinion différente « lors des débats sur l’avortement ou sur le mariage homosexuel ». Permettez que je me sente visé par votre intervention du mercredi 22 janvier (1) auprès de votre groupe à l’Assemblée nationale et acceptez le droit de réponse qui suit.

    Pour être à même de nous comprendre, il me semble important de partager un sens commun aux mots que nous utilisons.

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  • [Témoignage] Nous avons testé pour vous... les geôles de la République

    par Ludovic Greiling, de Politique Magazine

    Paris, 26 janvier : 250 personnes en garde à vue. Comment la police en est-elle venue à opérer des arrestations massives après une manifestation autorisée ? Enquête d’un journaliste qui a eu le tort d’oublier sa carte de presse...

    « C’est une rafle ». L’officier de police qui marche dans le couloir du commissariat ne mâche pas ses mots. Il fait écho à plusieurs agents croisés avant lui, qui ne trouvaient d’autres termes pour désigner l’arrestation massive survenue hier, dans le 7ème arrondissement de Paris. Dimanche soir, près de deux-cents cinquante personnes ont été interpellées, fouillées puis placées en garde à vue pour une nuit ou plus, suite à la manifestation organisée par le collectif "Jour de colère". Pour combien de condamnations ? On ne le sait encore.

    Dimanche, 17 h 30, à l’arrivée de la manifestation.

    Les organisateurs n’ont pas fini de crier leurs revendications au micro que, au loin, des dizaines de cars de CRS sont prêts à intervenir. Toutes les issues menant à la place Vauban, où se trouvent l’estrade et la sono, sont bouclées. Pour y parvenir, on est obligé de palabrer devant un barrage de CRS. Sur scène, les intervenants égrènent leurs reproches et demandent la démission du gouvernement. Béatrice Bourges, du "Printemps français", annonce un « jeûne ». Une partie de la foule présente - quelques dizaines de milliers de personnes - commence à se disperser. La journée explosive qu’attendaient certains observateurs n’a pas eu lieu. [...]

    La suite ici

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Temoignage-Nous-avons-teste-pour

  • Le mensonge de Vincent Peillon sur l'enseignement de la théorie du genre

    Inquiet de l'écho reçu par l'initiative de Farida Belghoul invitant les parents à retirer leurs enfants de l'école un jour par mois pour protester contre l'enseignement de la théorie du genre, Vincent Peillon a lancé aujourd'hui une contre-offensive médiatique, pour stopper ce qu'il appelle une "rumeur mensongère".

    L'Observatoire de la théorie du genre réplique :

    "On ne peut que constater que Najat Vallaud Belkacem, ministre déléguée aux droits des femmes, Christiane Taubira, ministre de la justice et Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, ont commandé des études et des rapports à des « militants » qui s’inspirent des théoriciens les plus radicaux de la théorie du genre.

    Dans la diffusion de cette « théorie », l’Education nationale joue un rôle moteur avec plusieurs dispositifs, comme :

    • Le dispositif « ABCD égalité » qui de façon insidieuse s’inspire des théories de « l’éducation neutre » telle qu’elle se pratique en Suède.

    • L’expérimentation, soutenue par Najat Vallaud Belkacem, de crèches neutres s’inspirant de la crèche Egalia à Stockolhm.
    • La généralisation de l’éducation sexuelle à l’école pour tous les élèves à partir de 6 ans. Le ministère allant jusqu’à recommander la participation en classe d’intervenants issus d’associations clairement militantes.
    • La promotion faite par Vincent Peillon, dans une circulaire adressée à l’ensemble des recteurs le 4 janvier dernier, de l’association « Ligne Azur » qui intervient auprès des enfants notamment sur la question de l’identité sexuelle et l’identité de genre en affirmant sur ses supports pédagogiques : «  que l’identité de genre c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti ». Sic !
    • La diffusion dans le cadre du programme « Ecole et cinéma » du film militant « TOMBOY », où l’on invite des enfants de CE2, CM1, CM2 à s’identifier à une petite fille qui se fait passer pour un petit garçons.
    • Les recommandations du principal syndicat d’enseignants du primaire d’utiliser en classe des livres "non-genrés" comme "Papa porte une robe".

    Voilà quelques uns des motifs pour lesquels, les parents ont des raisons de s’inquiéter.

    Le ministère semble d’ailleurs loin d’être à l’aise sur cette question puisqu’il entretient le plus grand secret sur ces dispositifs. Il refuse, par exemple, de communiquer la liste des établissements expérimentant le programme « ABCD égalité » ; il exclut les parents des évaluations de ce dispositif et dans certaines académies, il interdit aux enseignants et aux directeurs d’établissement de répondre aux légitimes questions des parents, les renvoyant vers les inspecteurs académiques."

    Deux moyens d'action :

    • Continuer de signer la pétition de l'Observatoire de la théorie du genre demandant la fin du programme ABCD de l'égalité.

    • Vous joindre à l'initiative de Farida Belghoul en retirant votre enfant de l'école un jour par mois Tous les renseignements sur ce site ou sur Facebook. En Ile de France, dans le département de l'Oise, à Vernon, ainsi qu'à Metz, à Nancy et à Nantes la journée de retrait est prévue le lundi 27 janvier.

    Louise Tudy   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Bravo François ! La gauche en opérations

    « La gauche a toujours su créer la zizanie. Et François a encore plus d’un tour dans son sac. »
    Contrairement à ce que pensent les esprits superficiels, François Hollande a une grande cohérence. Trois lignes de force structurent son action : de profondes réformes sociétales et fiscales marquées par une immense hostilité à la famille ; un clientélisme appuyé en faveur des banlieues de l’immigration, réservoir électoral de rechange ; une politique économique et sociale favorable à la finance et aux grandes entreprises. Cette logique cosmopolite s’accompagne dans sa mise en œuvre d’une multiplication des opérations de diversion complaisamment reprises par les médias de l’oligarchie pour des raisons tant politiques que commerciales. Michel Geoffroy fait le point pour Polémia.
    Alors que la droite établie offre dans l’opposition un spectacle toujours plus affligeant, François Hollande, lui, prépare méthodiquement les prochaines élections. Chaque opération marque une nouvelle étape dans sa stratégie.
    Opération chef de guerre
    Il y a eu d’abord l’opération « chef de guerre ». D’abord au Mali. Cela devait se faire aussi en Syrie mais cela n’a pas marché comme prévu. Mais pas de problème : il y a maintenant la République centrafricaine : des opérations à l’efficacité réelle douteuse et au coût certain pour une armée budgétairement étranglée. Mais peu importe car elles visent à donner au président de la République une stature ; et à gêner la droite, toujours suiveuse quand il est question de défense. Bravo François !
    Opération Taubira
    Il y a eu ensuite l’opération Taubira, c’est-à-dire les réformes sociétales. On en sort toujours une au bon moment : le mariage des homosexuels, la théorie du genre, la politique pénale ou, maintenant, l’avortement pour tous. La liste n’est sans doute pas terminée.
    Cela offre deux occasions à la gauche : d’abord, faire oublier qu’elle s’est mise au service de l’oligarchie financière et du patronat, en jouant sur le registre « progressiste » ; ensuite, diviser l’opinion et gêner une nouvelle fois la droite qui a peur d’apparaître politiquement incorrecte. La vieille stratégie de Mitterrand n’a pas pris une ride !
    En outre, le Système a réussi à présenter Mme Taubira comme une pauvre domienne victime des méchants opposants fachos au mariage pour tous. Moralité : si tu contestes ces réformes c’est que tu es raciste. Coup double ! Bravo François !
    Opération Dieudonné
    Il y a eu aussi l’opération Dieudonné. Elle a permis de roder les bons vieux thèmes de l’antiracisme et de l’antisémitisme. L’antisémitisme marche toujours quand il s’agit de rassembler la gauche !
    Et puis cela a permis aussi de planter de nouveaux jalons forts utiles dans la voie de la censure d’Internet au nom de la chasse à la quenelle : un point de plus pour le pouvoir, en particulier face à la protestation populaire et identitaire qui utilise largement Internet et les réseaux sociaux. Bravo François !
    Opération patronat
    Il y a maintenant le virage social-démocrate du président de la République, savamment orchestré, même si sa mise en scène a été quelque peu perturbée par la révélation imprévue de ses aventures motocyclistes. On ne saurait tout prévoir.
    Mais, comme le titre sans rire Le Monde du 19 janvier – « Les 15 jours qui ont changé Hollande » –, la gauche a décidé de tendre la main aux entreprises. C’est l’opération « Pacte de responsabilité » avec l’aimable participation du MEDEF, et sous l’autorité du secrétaire général adjoint de l’Elysée, Emmanuel Macron, associé-gérant de la banque Rothschild.
    Les mêmes qui ont augmenté les impôts expliquent maintenant qu’il faut diminuer les charges. Evidemment il faut décoder : les salariés payeront toujours plus mais les entreprises encore moins. Cela doit améliorer notre compétitivité, comme on nous le répète inlassablement depuis les années 1980, même si les résultats se font attendre. Peu importe car il est toujours fort utile de complaire au patronat quand on fait de la politique. Et puis, complaire aux patrons a le don de rendre la droite aphone… enfin encore plus aphone que d’habitude. Encore bravo François !
    Bravo François ?
    Pour le moment cependant, les sondages ne démontrent pas la pleine réussite de cette stratégie.
    Le score personnel de François Hollande plafonne et les intentions de vote sanction lors des municipales ou des européennes restent élevées. La défiance vis-à-vis de la classe politique est à son comble. Et les résultats économiques et sociaux manquent toujours au rendez-vous. En outre, jusqu’à présent le Front national a réussi à ne pas tomber dans les pièges que le pouvoir lui tendait, une différence notable avec la présidence Mitterrand.
    En vérité, seule l’UMP pâtit de ces opérations successives qui érodent sa capacité d’opposition et donc sa raison d’être, sur fond d’inextricables querelles de personnes. Sur ce plan le but est atteint.
    La gauche a toujours su créer la zizanie. Et François a encore plus d’un tour dans son sac.
    La suite à la prochaine « opération » ?
    Michel Geoffroy, 22/01/2014
    http://www.polemia.com/bravo-francois-la-gauche-en-operations/

  • Grotesque : les administrations ne pourront plus s’adresser aux femmes sous leur nom marital

    L’acharnement idéologique du gouvernement s’immisce dans les moindres détails. Chaque semaine, on découvre une nouvelle atteinte au bon sens, aux traditions, à la famille, etc.

    Cette fois, on apprend que les députés ont voté dans le cadre de la « loi sur l’égalité homme-femme » un amendement imposant au fisc et à la Sécurité sociale de ne plus utiliser le nom de mariage des femmes, sauf demande expresse !

    Pour porter le nom de leur mari dans les échanges administratifs, ou le voir figurer accolé à leur nom «de jeune fille», les épouses devront en faire la demande.

    Bonjour le bazar à venir dans la perception du courrier…

    Il s’agit bien sûr d’un nouveau coup de griffe contre la famille, la filiation et le mariage, alors que celui-ci a été officiellement bradé aux pseudo-couples contre-nature.

    Cette nouvelle estocade portée aux restes de notre civilisation fait suite, par exemple, à la suppression des textes législatifs de la gestion « en bon père de famille », à la suppression des termes « mademoiselle » et « nom de jeune fille » des formulaires administratifs, ou encore au libre choix de la transmission du nom du père, de la mère, ou des deux à l’enfant, etc.

    Ces deux dernières mesures (dont la dernière, particulièrement grave pour la filiation), provenant de l’UMP : il faut le rappeler et il faudra le rappeler les prochaines années.

    http://www.contre-info.com/

  • Sous Hollande, les manifs servent-elles encore à quelque chose ?

    Puisque les manifs anti-Hollande, ces marches blanches politisées, n'ont aucun résultat, comment va se traduire la révolte 

    Pas de bol pour Jour de colère à Paris. Les handballeurs français ont mis une raclée aux Danois. Alors les chaînes de télé, évidemment, ont fait le bon choix. Plutôt Karabatic que la manif.

    Béatrice Bourges se lance courageusement dans une grève de la faim. Ils sont capables de la laisser crever entre deux pages de pub ! Et puis là, on a moins de marge qu’avec la Boutin.

    La bataille de chiffres, à ce niveau, n’a plus d’intérêt. De toutes façons, les journaux subventionnés n’auront retenu que les quenelles des uns et les ananas des autres. Franchement, on n’était pas le 6 février 1934. Ce jour-là, ça mouftait pas sous les ors de la Ripoublique !

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