Projet de loi Famille, fabrication d’enfant sans père (PMA pour couple de femmes), mères porteuses, diffusion de l’idéologie du genre à l’école, réduction du congé parental, etc.
anti-national - Page 857
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Tous à Paris ou à Lyon dimanche 2 février !
Pour défendre la famille et l'enfant !Après les manifestations nationales 2013 (13 janvier, 24 mars et 26 mai), La Manif Pour Tous invite tous les citoyens à revenir à Paris ou à Lyon, dimanche 2 février pour défendre les familles qui sont aujourd’hui attaquées dans de multiples domaines :
Projet de loi Famille, fabrication d’enfant sans père (PMA pour couple de femmes), mères porteuses, diffusion de l’idéologie du genre à l’école, réduction du congé parental, etc.Alliance VITA, membre du collectif de La Manif Pour tous, soutient cette initiative et invite ses sympathisants à répondre présent à cet appel.Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA et porte parole de La Manif Pour Tous, insiste dans son message sur la défense des plus fragiles, des enfants, des sans-voix : « Ils sont notre avenir. C’est pour eux que nous devons tenir et durer. C’est en leur nom que nous descendrons à nouveau dans la rue le 2 février, pour deux manifestations capitales à Paris et à Lyon ! »Cette nouvelle journée de mobilisation ne sera pas seulement nationale, puisque d’autres citoyens européens manifesteront dans leur capitale en même temps : Bruxelles, Budapest, Luxembourg, Madrid, Riga, Rome, Varsovie (et même Buenos Aires, Taïwan…).Aucune voix ne doit manquer pour défendre les familles !Des cars et des trains spéciaux sont organisés depuis tous les départementsSi vous n'avez pas déjà réservé votre place, rendez-vous sur www.lamanifpourtous.fr -
Que s'est-il vraiment passé dimanche 26 janvier au Jour de Colère
Partie 1
Partie 2 :
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Quand le slogan « dictature socialiste » prend tout son sens…
À force de décevoir les uns, d’indigner les autres, François Hollande a réussi l’exploit de coaguler les mécontentements.
À force de décevoir les uns, d’indigner les autres, François Hollande a réussi l’exploit de coaguler les mécontentements dans un désir de chasser l’intrus. C’était le sentiment qui animait, dimanche dernier, le long défilé hérissé de drapeaux et de banderoles, martelant des slogans vengeurs et soulevé parfois par de vibrantes Marseillaise. Ce qui parcourait la foule avant tout et lui donnait son unité était un besoin de France, d’une France respectée dans le monde parce qu’elle aura réussi à redonner à ses forces vives le goût du travail et la fierté de leurs valeurs.
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Des Sentinelles à Bondy
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Ces politiques qui viennent soutenir Béatrice Bourges
Christine Boutin :
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Comment le djihad recrute sur internet ?
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Faits et Documents n°370 du 1er au 15 février 2014 – Portrait : Bernard Stirn
Le nouveau numéro de Faits & Documents du 1er au 15 février 2014 vient de paraître, avec (entre autres) un portrait de Bernard Stirn. Extrait.
« C’est la revanche de Dreyfus » s’exclama le très germanophobe Charles Maurras, le 28 janvier 1945, lorsqu’il fut condamné (en moins de trois jours) à la réclusion à perpétuité et à la dégradation nationale par la Cour de Justice du Rhône. Le 9 janvier 2014, après que Manuel Valls avait fait appel en référé en début d’après-midi du jugement du tribunal administratif de Nantes autorisant le spectacle humoristique de Dieudonné M’Bala M’Bala, un unique juge du Conseil d’État, par la voix du président de sa section du contentieux, annulait en moins d’une heure (un cas unique dans l’histoire de la République) ce jugement et interdisait ledit spectacle. Un renversement complet de jurisprudence qui recrée la censure a priori. Une défaite pour la liberté d’expression et un recul des libertés noté par tous les juristes. Contestable sur le fond (cf. notre encadré), cette décision est unique : prise en procédure d’urgence accélérée par un juge unique en une heure. Comme l’a écrit par exemple Serge Sur, professeur émérite de droit public à l’université Panthéon-Assas : « Le 10 janvier 2014 (est) un jour de deuil pour la liberté (avec) une ordonnance désinvolte et presque insolente. » Ironie de l’histoire, l’auteur de cet arrêt essentiel est Bernard Stirn, arrière-petit-neveu du capitaine Alfred Dreyfus.
« L’histoire a confirmé que le bon air ne se respire que dans la liberté. »
Bernard Stirn, en conclusion de son ouvrage Les Libertés en questions (1996).« L’interdiction du spectacle de Dieudonné porte en germe de graves risques pour la liberté d’expression. »
Jack Lang, ancien ministre socialiste, 10 janvier 2014.« La République a gagné. »
Manuel Valls, 10 janvier 2014.« Le Conseil d’État a été confronté à une situation inédite d’articulation entre la liberté d’expression et ses limites nécessaires dans une société démocratique. »
Jean-Marc Sauvé, vice-président du Conseil d’État (Le Monde, 13 janvier 2014). Adhérent dans sa jeunesse du Groupe d’information et de soutien aux travailleurs immigrés, ce membre du Siècle, a été l’artisan de la mise en oeuvre de la loi liberticide Fabius-Gayssot comme directeur des libertés publiques sous Pierre Joxe (1988-1994).« Le juge n’a pas fait prévaloir la liberté d’expression sur l’interdit et c’est une décision qui est lourde de périls (…) Un (nouveau) cadre juridique lourd de conséquences pour la liberté d’expression (…) Surpris que le Conseil d’État puisse se réunir en moins de trois heures et prendre une décision sur quelque chose d’aussi important. »
Pierre Tartakowsky, président de la Ligue des droits de l’homme (soutenu par l’ancien président de la LDH, Me Henri Leclerc), 10 janvier 2014.Bernard Stirn est né le 27 août 1952 à Caen (Calvados). Il est le fils de Geneviève Dreyfus, née le 7 juillet 1911 à Belfort (Territoire-de-Belfort) et décédée le 23 octobre 1990 à Paris. Il est donc le petit-fils de Marguerite Lévy (1888-1945) et de Charles Dreyfus, né le 22 mars 1878 à Mulhouse et décédé le 20 septembre 1914 à Valmondois (Val-d’Oise). Ce dernier était le fils de Louise Wimpfheimer (1852-1931) et de Jacques Dreyfus, né le 7 juillet 1844 et décédé le 15 mars 1915 à Belfort. Frère du capitaine Alfred Dreyfus, Jacques Dreyfus était le fils de Jeannette Libman (1817-1886) et de Raphaël Dreyfus (né le 12 mai 1818 à Rixheim et décédé le 13 décembre 1893 à Mulhouse). Bernard Stirn est donc l’arrière-petit-neveu du capitaine Dreyfus, à l’origine de la fameuse « affaire Dreyfus » qui bouleversa les fondements même de la société française à la fin du XIXe siècle (création d’intellectuels en corps constitué, arrivée au pouvoir des francs-maçons, séparation de l’Église et de l’État, démantèlement de l’Armée avant la Première guerre mondiale, etc.).
Quand le frère de Bernard Stirn, Olivier Stirn, cacique de la Ve République, alors ministre des Transports sera renvoyé pour avoir payé des figurants pour assister à une de ses conférences (…)Lire la suite : abonnez-vous à Faits & Documents, Lettre d’informations confidentielles d’Emmanuel Ratier – Abonnements France métropolitaine : 78 euros / an. Abonnements étranger et outre mer : 93 euros / an. En savoir plus : www.faitsetdocuments.com
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Référendum sur l’adhésion de la Turquie à l’UE : nous refait-on le coup du traité de Lisbonne ?
Cela a sonné comme une grande annonce comme si François Hollande voulait rassurer le peuple français qu’il consulterait quand même de temps en temps. Lors de son déplacement dimanche à Ankara, il a assuré que les Français pourraient se prononcer sur l’adhésion de la Turquie si le processus d’adhésion devait se concrétiser. Mais rien ne dit qu’à ce moment-là Hollande sera encore Président de la République. De plus comme le souligne Le Lab, l’article 88-5 de la Constitution française prévoit effectivement en toute lettre qu’un référendum doit être organisé pour l’adhésion d’un nouvel Etat à l’Union européenne …
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Autant terminer La Manif Pour Tous directement rue de l'Evangile
Cela sera plus simple pour les forces de l'ordre et économisera le GAV bus.
La Manif pour Tous refuse la souricière des Invalides. Les gauchistes peuvent défiler où bon leur semble à Paris. Pas les défenseurs de la loi naturelle. Plus de 1600 hommes, sans compter les policiers de quartiers et les unités en civil seront mobilisés, et un dispositif d'encerclement sera mise en place en fin de manifestation. L'objectif du ministère de l'Intérieur étant de réaliser un «maximum d'interpellations».
Ludovine de la Rochère, présidente de la Manif pour tous, déclare :
«à quatre jours du 2 février, nous ne savons pas où nous allons défiler ! Mardi à l'Assemblée nationale, M. Valls a tenu des propos inadmissibles à notre égard, en essayant de nous caricaturer comme des extrémistes. Mais nous sommes toujours dans le même esprit pacifique et nous ne nous laisserons pas faire».
N'ayant pas obtenu gain de cause en référé devant le tribunal administratif de Paris face à la préfecture de police (PP), qui refuse que le défilé se termine place de la Concorde, la Manif pour tous se tourne désormais devant le Conseil d'État. Plusieurs élus d'opposition sont intervenus directement auprès des cabinets de Manuel Valls et de Jean-Marc Ayrault, sans résultat.
«On laisse tomber nos discussions et ce sera Invalides», écrivait sèchement, dans la nuit de mardi à mercredi, le cabinet du préfet de police dans un courriel à Albéric Dumont, coordinateur général de la Manif pour tous. La dictature c'est maintenant. Autant terminer le parcours directement rue de l'Evangile.
Ludovine de la Rochère ajoute :
«À quoi jouent Manuel Valls et la préfecture de police en refusant tous les parcours que l'on propose ? Nous avons essuyé cinq refus. Ils portent une lourde responsabilité en imposant des lieux à problème. Des dizaines de milliers de personnes vont venir dimanche à Paris ; nous ne pouvons accepter un parcours ridicule de 300 mètres ! Paris est bien assez grand pour trouver une solution qui convienne à tout le monde !»
Un expert des forces de l'ordre explique :
«La place des Invalides, c'est la nasse idéale. C'est là que l'on peut arrêter le plus de manifestants, en les prenant en étau. De plus, les policiers sont habitués à ces lieux».
La Manif pour tous inaugurera dimanche deux nouveaux dispositifs:
«Une quinzaine d'avocats indépendants, en tee-shirts blancs, s'identifieront auprès du préfet, et auront pour objectif de veiller aux droits de tout le monde. En outre, nous faisons appel à des huissiers de justice, qui constateront, en toute transparence, le bon déroulement de la manifestation, ou d'éventuels problèmes».
Si la situation ne devait pas se pacifier avec la préfecture, la Manif pour tous alertera les deux rapporteurs européens chargés par le Conseil de l'Europe d'enquêter sur la répression policière à l'issue des manifestations de l'an dernier:
«on attirerait leur attention sur les violations des droits à manifester dont nous sommes victimes. Et on pourrait aussi les inviter à venir dimanche en tant qu'observateurs».
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Égalité hommes-femmes : la droite s'est couchée
Égalité hommes-femmes : les excès d’une loi fourre-tout
Adopté à une large majorité, le texte porté par Najat Vallaud-Belkacem recèle de nombreux articles qui font polémique.
Qui peut se déclarer contre l’égalité hommes-femmes ? Un grand principe dont la seule évocation déclenche hochements de tête et acquiescements. Décliner cette égalité dans un texte s’avère cependant plus délicat qu’il n’y paraît. C’est en tout cas l’impression que laisse la loi défendue par Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes, hasardeuse par endroits quand elle vient se heurter à un autre principe républicain, celui de la liberté. Certes, ce texte, largement adopté mardi à l’Assemblée nationale en première lecture, renforce les politiques précédentes sur l’égalité professionnelle ou les violences faites aux femmes, unanimement jugées nécessaires. Mais sur d’autres thèmes, les bonnes intentions peinent à trouver leur déclinaison. Ainsi, fallait-il raviver le débat sur l’avortement à la faveur de la suppression symbolique de la notion de « détresse » ? L’égalité femmes-hommes passait-elle par la réduction de six mois d’indemnisation du congé parental s’il n’est pas partagé entre les deux parents ? Cette mesure censée inciter les pères à s’impliquer davantage auprès de leur enfant risque dans certains cas de priver la mère de cette faculté. Si ce congé reste tout de même facultatif, les députés ont fait le choix d’imposer une nouvelle répartition sans garantie de résultats. Au risque de hérisser les Français qui goûtent peu de se voir dicter leur mode de vie par le politique.
« L’ambition de ce texte est d’engager notre pays sur un chemin sans retour, celui de l’égalité entre les femmes et les hommes sans laquelle il n’est pas de réelle liberté, a défendu mardi Najat Vallaud-Belkacem. L’égalité doit être partout mais la parité partout n’est pas notre objectif. Nous avons choisi le plus souvent d’inciter par la loi mais imposer est parfois la façon de changer les choses. » [...]
La suite sur Le Figaro
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Egalite-hommes-femmes-la-droite-s