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anti-national - Page 876

  • Complicité entre l’Observatoire de la Laïcité et la franc-maçonnerie

    La Grande Loge de France (GLDF) a publié la liste des dates et thèmes de ses conférences publiques prévues pour le premier semestre 2014.

    On y remarquera que cette obédience maçonnique annonce par deux fois un intervenant de l’Observatoire de la Laïcité, cet organisme créé par le premier ministre Jean-Marc Ayrault.

    Le 18 janvier à 14h30, c’est Dounia Bouzar qui s’exprimera dans le temple maçonnique situé au numéro huit de la rue Puteaux dans le 17e arrondissement de Paris.

    Nous renvoyons nos lecteurs à notre précédent article sur Dounia Bouzar et l’Observatoire de la Laîcité.

    Et le 3 avril à 19h30, c’est Jean-Louis Bianco, Président de l’Observatoire de la Laïcité auprès du Premier ministre, qui viendra faire rapport de « La situation de la laïcité en France ».

    http://medias-presse.info/complicite-entre-lobservatoire-de-la-laicite-et-la-franc-maconnerie/4698

  • On achève bien les chevaux, pourquoi pas le mariage ?

    Du mariage pour tous au divorce simplifié, l'institution devient une bâtisse ouverte à tous vents, une masure en ruines.

     
     

    Christiane Taubira, elle est comme ça. Quand elle commence un travail, elle va jusqu’au bout. Depuis combien de temps, déjà, le gouvernement n’avait pas touché au dossier ? Le 12 décembre dernier, Najat Vallaud-Belkacem lançait « l’individualisation de l’impôt ». Et puis il y a eu la trêve des confiseurs. Presque trois semaines de pause, on allait perdre la main. On reprend le tablier, le grand couteau de boucher, et hop, on remet le mariage, déjà violenté et défiguré, sur la planche à découper. Et aujourd’hui, je vous mets quoi ?

    L’objectif du projet de réforme de Christiane Taubira, auquel son épigone Dominique Bertinotti souscrit sans réserve, est louable. L’objectif est toujours louable : désengorger les tribunaux. En simplifiant le divorce par consentement mutuel. Celui-ci n’aura plus besoin de passer devant le juge, un greffier juridictionnel fera l’affaire. Las, il n’est pas plus réaliste de vouloir simplifier un divorce que de faire marcher un cul-de-jatte. Un divorce, par essence, est compliqué et se termine rarement en s’embrassant sur la bouche. Des syndicats de magistrats, des avocats – dont c’est, il est vrai, le gagne-pain – protestent vigoureusement : « Les accords des époux vont s’en trouver fragilisés. » De fait, comment leur donner tort ? Même lorsque le consentement est mutuel, les deux parties ont des intérêts divergents – le dominant du couple, s’il y en a un, imposant les siens avec toujours plus de force que le dominé. Là où le greffier, sorte de super-secrétaire, ne fait que constater, le juge, lui, rétablit le droit. C’est donc, en absence de juge, le plus fort qui prendra le dessus.

    Gabrielle Cluzelle BVoltaire la suite...

  • L’Organisation Mondiale de la Santé promeut la "théorie du genre"

    L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) dans son rapport « Normes d’éducation sexuelle en Europe » incite les gouvernements à promouvoir « une éducation sexuelle fondée sur l’égalité des sexes, l’autodétermination et l’acceptation de la diversité ». L’OMS est une institution spécialisée pour la santé de l’Organisation des Nations unies (ONU).

    Le rapport préconise notamment l’élargissement et la diffusion des « droits sexuels », en tant qu’ils doivent couvrir « les préférences et les orientations sexuelles, les différentes formes de masculinité et de féminité, les différentes formes de relations et les différentes manières dont vivent les enfants et les parents ».

    Le rapport déclare obsolète ce que l’OMS appelle « l’éducation informelle », c’est-à-dire celle conférée par les parents à leurs enfants. Le 7e principe édicté par le rapport affirme que « l’éducation sexuelle est basée sur des informations précises et scientifiquement étayées  », au contraire des informations fournies par les parents. Plus loin dans le texte, les auteurs du rapport déplorent la prépondérance des parents dans ce domaine : « une grande part de l’apprentissage en matière de sexualité se déroule de manière informelle. Pourtant, les professionnels ont un très grand rôle à jouer. L’éducation sexuelle actuelle ne « forme » guère à la […] Autrement dit, le développement de l’éducation sexuelle a été à ce jour l’histoire d’une lutte pour concilier les exigences d’une éducation professionnelle et axée sur la prévention avec les exigences d’une éducation pertinente ». Sous couvert d’un apprentissage de la sexualité ne se limitant pas aux aspects sanitaires (contraception, Maladies Sexuellement Transmissibles, Procréation…), il s’agit de remettre en cause la capacité des parents à dispenser une éducation à la sexualité à leurs enfants.

    Mais ce sont dans les principes et objectifs visés par le rapport que l’éducation sexuelle apparaît comme un véritable cheval de Troie pour l’introduction et la diffusion de la théorie du genre auprès des jeunes (voir notre article).Une éducation sexuelle qui doit commencer dès la naissance (principe n°5) pour conduire les enfants à « développer leur propre identité sexuelle et leurs propres rôles de genre » ou encore «  influencer le développement d’attitudes et de comportements sexuels » pour « ainsi développer une sexualité autodéterminée ».

    Selon ce rapport, les enseignants devraient ainsi informer les enfants de 0 à 4 ans sur « la masturbation enfantine » et leur apprendre à « exprimer leurs propres besoins, désirs, et limites, par exemple en « jouant au docteur ». Les enfants de cette tranche d’âge doivent également être informés sur « le droit d’explorer les identités sexuelles ». Les enfants de 6 à 9 ans ne sont pas en reste puisque le personnel éducatif devra leur parler « d’éjaculation », ainsi que les former aux « rôles socialement associés aux genres ».

    De 9 à 12 ans, les enfants seront appelés à échanger sur la « première expérience sexuelle, le plaisir, la masturbation, l’orgasme » ainsi que sur les «  différences entre l’identité sexuelle et le sexe biologique  » (l’idée que ces deux aspects sont distincts fait donc autorité).

    Pour les jeunes de 12 à 15 ans, il s’agira enfin de promouvoir et de discuter des « déterminants historiques et sociaux des relations », en vue de « reconnaître des violations de droits et dénoncer les discriminations et la violence à caractère sexiste ».

    Suivant ce rapport, l’école devrait donc devenir un véritable centre de formation militante.

    Source : théoriedugenre.fr

    http://la-dissidence.org/2013/12/25/lorganisation-mondiale-de-la-sante-promeut-la-theorie-du-genre/

  • Le traité de Lisbonne fut conçu pour étouffer le "débat réel"

    Le commissaire européen au développement, le Belge Karel de Gucht qui a été nommé récemment, admet que le traité de Lisbonne fut conçu pour que les gens ne puissent le comprendre afin d'éviter un "débat réel". Il a dit que "Alors que la Constitution européenne originelle était technique et adéquate, les gens n'ont pas lu le traité de Lisbonne, ils n'en ont pas compris un seul mot. Aucun véritable débat ne pouvait avoir lieu sur le traité de Lisbonne. Ce fut une décision délibérée du Conseil européen.

     

    Jean Robin, Le livre noir de l'Union européenne
  • Ce qu’une loi a fait, une autre peut le défaire

    Editorial d'Aymeric Pourbaix dans Famille chrétienne :

    E"Ce qu’une loi a fait, une autre peut le défaire, même trente ans après. Pour la première fois en Europe, la loi espagnole s’apprête ainsi à restreindre l’accès à l’avortement. Preuve que le sens du mot « progrès » peut être inversé…  Car l’avenir n’est pas écrit. Il n’y a pas de fatalité pour que, en France, soient votées en 2014 d’autres lois qui transforment la civilisation, parce qu’elles boule­versent la vie et la mort.

    Il ne s’agit pas pour autant de retourner à un âge d’or. Nous ne sommes pas les gardiens d’une société idéalisée, nous voulons construire celle de demain, et sur du roc. Mais pour susciter la confiance dans une société qui en manque tant, il faut nous appuyer sur ce qui demeure, sur ce qui a résisté à l’usure du temps, en définitive, sur ce qui est éternel.

    L’Église croit au progrès pour les sociétés humaines, elle y a même contribué plus que quiconque depuis deux mille ans. Mais il faut rompre avec la croyance révolutionnaire et magique en un progrès linéaire, ce qui reviendrait à « demander au temps de tenir les promesses de l’éternel » (Gustave Thibon). Après la Première Guerre mondiale, dont nous célébrerons le centenaire cette année, Paul Valéry avait eu ce mot révélateur : « nous autres, civilisations, savons maintenant que nous sommes mortelles  ». C’est toujours vrai. Ce dont il s’agit, c’est désormais de nous élever contre la régression qui menace, comme l’affirmait récemment un philosophe tirant les leçons du vaste mouvement social et familial né il y a un an.

    Tout cela ne dépend pas du hasard, mais de chacun de nous. Et également d’avoir la sagesse d’accepter que le redressement de notre pays demandera du temps, de la patience. Comme l’ont montré les moines, qui ont façonné nos paysages et notre civilisation à travers les siècles, même les plus troublés, au prix d’efforts répétés. Et toujours en donnant la première place à la recherche de Dieu.

    Si le temps est bien « un messager de Dieu » , comme le soulignait saint Pierre Favre, fraîchement canonisé par le pape, cela suppose de nous arracher à nos désirs d’efficacité immédiate et de connexion permanente, pour nous attacher à des joies plus profondes et durables : la véritable culture, qui se traduit par la lente élévation de l’âme, de l’esprit et du cœur. En 2013, la France a montré qu’elle possédait un terreau fertile : sa jeunesse. Il reste à cultiver ce germe de renaissance. Aujourd’hui, ce sont les âmes qui sont en friche, comme autrefois les terres.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les Sentinelles de Rambouillet appellent à manifester le 26 janvier

    Les sentinelles de Rambouillet participeront au Jour de Colère le 26 janvier et le font savoir :

     

     

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    Michel Janva

  • Manuel Valls est-il ministre de France ou d’Israël ?

    L’incroyable démesure opposée par Manuel Valls à l’humoriste Dieudonné et sa fameuse quenelle mérite attention. Comment et pourquoi un ministre de l’Intérieur a-t-il transformé un geste potache antisystème en un débat politique national ?

    Manuel Valls a affirmé étudier toutes les possibilités d’interdire les spectacles organisés par Dieudonné. Parce qu’ils choquent une partie de la communauté juive ? En gardien du temple républicain, Manuel Valls devrait être un farouche défenseur de l’égalité. Pourtant, il faut bien constater que Manuel Valls n’envisage pas de répondre avec la même vigueur en interdisant les spectacles ou expositions qui pourraient choquer les chrétiens, sans quoi son ami Jean-Michel Ribes aurait quelque souci à se faire. Valls n’envisage pas non plus d’interdire Charlie Hebdo dont le contenu dépasse régulièrement toutes les limites de l’acceptable en terme d’humour et de caricature.

    Bien sûr, il serait parfaitement cohérent qu’un ministre assume un traitement distinct, mais dans ce cas les préférences d’un ministre français devraient reposer sur une préférence nationale et, pourrait-on ajouter, catholique, compte-tenu que les racines de la France sont catholiques de par le baptême de Clovis.

    Mais l’observation de l’attitude de Manuel Valls, loin de ces deux hypothèses, pose une question : est-il ministre de France ou d’Israël ?

    Cette question n’est pas une provocation. L’addition de faits et de déclarations légitiment notre interrogation. Osons rappeler des éléments précis.

    Le 1er novembre 2010, Manuel Valls cosigne une tribune intitulée « Le boycott d’Israël est une arme indigne » publiée par le journal Le Monde.

    Le 17 juin 2011, dans un centre communautaire juif de Strasbourg, Manuel Valls déclare : « Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël ! Quand même ! ».

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  • Alerte à la dictature !

    L'Etat contrôlait déjà les médias traditionnels, il commence à contrôler discrètement les médias internet, ce sont les signes critiques d'une dictature. 

    Si l'on prend l'exemple de l'affaire Dieudonné. Nous n'apprécions pas tous son humour, certains considèrent qu'il va trop loin, alors pourquoi ne peut il pas y avoir un débat public à son sujet ? Au moins dans les réseaux sociaux.
    Les principaux médias internet publient régulièrement de nombreux articles très nettement orientés contre Dieudonné. Mais depuis quelques jours on peut remarquer que tous les commentaires sont eux aussi clairement orientés contre lui. On ne trouve plus aucun commentaire en sa faveur, comment croire que tous ses partisans se taisent ? La censure est passée par là. Les seuls commentaires qui ne sont pas censurés sont faibles et n'ont aucune valeur.
    Qu'est ce que cela signifie ?
    L'Etat tente de diaboliser l'humoriste, par l'intermédiaire des médias qu'il contrôle. L'Etat organisera ensuite des troubles publics à la fin des spectacles pour avoir une raison valable d'interdire ses représentations.
    Suivront ensuite des condamnations pécuniaires très élevées, assorties de l'interdiction légale de demander de l'aide par Internet pour payer.
    Dieudonné sera ruiné et les médias auront l'interdiction de parler de lui. Il ne sera pas mis en prison, pour éviter tout mouvement massif de contestation, il lui sera interdit de s'exprimer sur Internet.
    Et voila, le tour est joué.
    Dieudonné disparaîtra de la scène publique et les médias distrairont la population avec d'autres thèmes : burqa dans les écoles, coupe du monde de foot, puis le grand duel qui s'annonce entre Sarkosy et Hollande.
    L'Etat a clairement l'intention de tout contrôler, étouffer tous les mouvements d'oppositions par des moyens discrets mais efficaces. Même s'il y a un réel mouvement de contestation catalysé par Dieudonné et non pas créé par lui, empêcher d'en débattre va faire resurgir cette contestation autrement et de façon beaucoup plus violente.
    Mais ça n'ira pas très loin. Les meneurs seront eux aussi mis hors d'état de nuire, les médias ne relaient et ne relayeront pas ce qu'il se passe réellement.
    Cela continuera ainsi pendant longtemps.
    Mais nous n'irons pas vers une dictature… puisque nous y sommes déjà depuis toujours ! Rien ne changera. Les seuls changements se font sur la forme, mais dans le fond, c'est toujours la même chose.
    C'est à chacun de nous d'arriver à se débrouiller, se passer l'information pour ne pas se faire avoir par les rouages tous puissants du système.
    Merci à des médias encore libres comme AgoraVox de nous laisser nous exprimer, pour encore combien de temps ?
    source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Entretien avec Magnus Martel La grande misère de l’armée française…

    Pourquoi si peu de militaires osent-ils dénoncer la situation actuelle de l’armée ? À cause de leur devoir de réserve ?

     

    Cela reste un mystère. Y compris pour votre serviteur. Pourtant, je peux vous assurer que chaque jour que Dieu fait, ça râle dans les popotes. Le problème essentiel tient au fait que si les militaires sont courageux physiquement, ils ont oublié qu’ils exerçaient un sacerdoce au service d’une terre et d’un peuple et non d’un gouvernement. Cela étant, ce devoir de réserve est plus que jamais imposé par des politiciens qui redoutent les forces armées et l’on constate tristement que la parole est beaucoup moins libre aujourd’hui qu’elle l’était dans les années 1930. La « grande muette » conserve plus que jamais son appellation.

     

    Les opérations extérieures auxquelles notre armée participe ne prouvent-elles pas qu’elle est encore opérationnelle ?

    Opérationnelle pour quoi ? Par rapport à quoi ? Cela dépend avant tout de la nature de l’adversaire. À quelle armée digne de ce nom l’armée française a-t-elle été confrontée depuis la chute de l’URSS ? Quant à l’engagement en Afghanistan, l’opération est loin de constituer un succès. Lors de l’embuscade de la vallée d’Uzbin à l’été 2008, c’était la première fois depuis très longtemps que notre armée perdait autant de soldats en si peu de temps ! Alors, bien sûr, il arrive que notre armée, à force de système D, de volonté et de ténacité fasse de véritables miracles. Comme au cours de l’opération Serval au Mali. Mais sérieusement, quel ennemi avions-nous face à nous ?

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  • Les associations LGBT ne vivent que grâce aux subventions

    Sans l’argent du contribuable par l’entremise de subventions publiques, les associations LGBT disparaissent. Dernier exemple en date, la coordination LGBT de Catalogne a annoncé sa dissolution.

    C’est ce qu’a annoncé cette organisation le 17 décembre dernier sur sa page web dans un communiqué faisant référence à un projet phare, le service d’information 900 Rosa, financé durant des années par le Plan national du sida du ministère de la santé.

    Mais la crise économique est passée par là et voilà deux ans que l’association LGBT est priée de se débrouiller pour faire vivre « 900 Rosa » sans subventions. Or, cette association s’est montrée incapable de trouver des financements privés.

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