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anti-national - Page 899

  • La diablerie de Maëstricht

    Le traité de Maëstricht est entrée en vigueur il y a vingt ans, le 1er novembre 1993. Instituant l’Union européenne, il annonçait la création d’une monnaie unique, aujourd’hui menacée par la crise. Pierre Pujo disait et écrivait "Maëstricht", l’orthographe néerlandaise de Maastricht, pour mieux disqualifier le traité européen soumis à référendum en France le 20 septembre 1992.

    L’Action française comme quelques compagnons de route venus d’horizons divers, Philippe Seguin, Jean-Pierre Chevènement, Philippe de Villiers ou encore Alain Griotteray, ferraillèrent alors dans un esprit de compromis nationaliste pour tâcher de faire obstacle au funeste projet. « Maëstricht au panier, Mitterrand à Latché ! » titrait le journal de l’AF à la une de son numéro d’août de cette année-là.

    Supranationalité

    Peine perdue, ou mal récompensée  : les chambres réunies en congrès ayant auparavant modifié en conséquence la constitution française, la ratification du traité de Maastricht fut acceptée avec une majorité de 51,04 % des voix au référendum du 20 septembre. Une faible majorité qui en disait long sur la répugnance de nombreux Français à sacrifier la souveraineté du pays. Une fois achevée la procédure de ratification dans les différents États membres de ce qui était encore la Communauté européenne, le traité de Maastricht entra en vigueur le 1er novembre 1993, il y a donc vingt ans. Coïncidence ou malédiction, c’est au siège de Maastricht, en 1673, que perdit la vie notre valeureux d’Artagnan...

    La "construction européenne" représente une longue suite de déconvenues pour les patriotes et nationalistes. Sans en refaire l’historique, rappelons que le traité de Maastricht avait été précédé de l’Acte unique européen visant à réaliser un grand marché intérieur (européen), puis d’un accord sur la libération des mouvements de capitaux et, en 1990, de la signature de la convention de Schengen sur la libre circulation des personnes.

    Monnaie unique

    Il y a incontestablement une cohérence dans cette progression vers la supranationalité et le libéralisme économique. Cependant, le traité de Maastricht en constitue l’expression la plus explicite. Dans son préambule, il est précisé que le traité « marque une nouvelle étape dans le processus créant une union sans cesse plus étroite entre les peuples de l’Europe ». Cette formulation a été préférée à la référence à une « vocation fédérale » vivement combattue par les Britanniques. Ceux-ci exigeront d’ailleurs, et obtiendront, plusieurs clauses d’exception avant de ratifier le traité, la plus importante de ces "exemptions" étant le maintien de la livre sterling.

    Car la principale innovation du traité de Maastricht prévoit la création – au plus tard le 1er janvier 1999 – d’une Union économique et monétaire (UEM) dotée d’une monnaie unique, l’euro, qui se substituera aux monnaies nationales, en particulier au franc français. Ce sera chose faite dans les délais ; en même temps sera créée la Banque centrale européenne (BCE) avec siège à Francfort, satisfaction d’une exigence allemande en contrepartie de l’abandon du mark.

    Pour les pays de la zone euro, la mise en oeuvre de ce dispositif devait permettre une convergence en matière de dette et de déficits publics. Vingt ans après, ces objectifs paraissent à tout le moins problématiques et sont, pour certains États, de réels facteurs de récession – un risque d’ailleurs prévu dès 1993 par la Cnuced (Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement). Outre un substantiel volet économique et monétaire, le traité de Maastricht comprend des aspects politiques, sociaux, environnementaux et même militaires. Et en application de ce texte, une citoyenneté de l’Union est créée en 1993 ; depuis lors, nos passeports en portent l’empreinte.

    Référendum pour rien

    Pour couronner ce schéma ne manquait plus qu’une constitution européenne. En 2004-2005, l’UE compte vingt-cinq États membres. En France, la ratification du traité constitutionnel exige soit la sanction référendaire, soit l’approbation des chambres réunies en congrès. Sûr de son fait, Jacques Chirac, président de la République, opte pour le référendum. Et c’est la claque en mai 2005 : à la majorité confortable de 54,68 % des suffrages exprimés, les Français rejettent le traité constitutionnel. Qu’à cela ne tienne ! Nouveau président de la République et démocrate à géométrie variable, Nicolas Sarkozy décide de passer en force. Au premier trimestre 2008, il fait adopter par la Chambre et le Sénat le traité de Lisbonne (décembre 2007), un texte présenté comme une « version simplifiée » du projet retoqué de constitution européenne.

    Tous ces abandons et reniements depuis vingt ans pour aboutir au chaos actuel, une France plombée par une dette abyssale et un mécontentement social d’une rare ampleur. Le prix, finalement, de la diablerie de Maastricht.

    Guy C. Menusier - L’AF 2873

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-diablerie-de-Maestricht

  • Quand les frais d'inscriptions à la fac financent l'homosexualisme et l'antiracisme

    ... sans oublier la diversité, et... le syndicat gauchiste de l'UNEF !

    Le Rouge & le Noir consacre tout un dossier au FSDIE, ce fonds alimenté par une partie des frais d'inscription à l'université, censé financer des projets étudiants et l'aide sociale des élèves en difficulté. Bilan : une rare opacité, une absence totale de rigueur budgétaire, des rappels à l'ordre restés lettre morte et le fameux financement de toutes les causes gauchistes. Bref, une caricature de la "redistribution" socialiste.

    Louise Tudy

  • Médias Presse Info: « Rafle de la manifestation pro-vie de SOS Tout-Petits, j’y étais ! »

    Médias Presse Info a assisté ce samedi matin Boulevard Port-Royal à la véritable rafle par la police de la manifestation pro-vie de SOS Tout-Petits.  

    Un étudiant également présent témoigne :

    « Avec plusieurs amis, tous étudiants, nous avions projeté depuis une semaine environ de nous rendre à la manifestation SOS Tout Petits ce samedi à 10h30 afin d’apporter notre soutien au Docteur Dor et de manifester l’admiration et l’intérêt que notre génération prenait à son engagement. La lutte pour la Vie et contre le génocide de l’avortement n’est pas un combat réservé au 3e âge ! il nous concerne aussi !

    Lorsque nous sommes arrivés, nous avons été frappés par l’importance du déploiement des forces de police. J’ai entendu des gens se dire entre eux que c’était sans doute à cause des manifestations contre l’écotaxe… On  a cherché les bonnets rouges et les gros bras mais on n’a vu que des chapeaux en fourrure et une dizaine de petites dames adorables ressemblant à miss Marple, qui nous ont accueillis avec de grands sourires heureux: « enfin des jeunes, c’est tellement gentil d’être venu ! » . Le docteur Dor était là bien sûr, face à une caméra, bon pied, bon oeil, ainsi que quelques autres personnes .

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  • Violences policières lors de l'accueil de Taubira à Versailles

    Témoignage :

    9"Je reviens de la rue Carnot à Versailles où je suis allée accueillir comme il se doit la ministre de la justice. Nous étions 8 à être à l'entrée de la Cour d'Appel lors de son arrivée, les autres personnes étant parquées place Hoche. Quand la voiture du ministre est arrivée à peine avons nous ouvert la bouche pour huer le cortège qu'une flopée de CRS armés jusqu'au dents et boucliers au poing ainsi que des policiers en civil (dont une femme particulièrement agressive) se sont jetés sur nous en nous poussant dans une cour d'immeuble avec une rare violence. Il y avait : un homme assez jeune, 3 mères de famille dont une avec un bébé dans les bras, deux femmes d'une soixantaine d'années et une plus âgée qui n'a pas non plus été épargnée. Une véritable menace pour la république et qui justifiait un tel déploiement de force...

    Cette violence a été très impressionnante, je n'avais jamais vécu cela même lors des grandes manifs. Par la suite nous avons quitté le cortège par un chemin "sécurisé"."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les ficelles usées de l’antiracisme malodorant…

    Pas de quoi avoir la banane en ces temps de totalitarisme idéologique. Ras le bol de ces bûchers allumés, çà et là, par les Torquemada de cette pseudo-gauche en perte de vitesse ! Minute fait sa une – bête et méchante, aurait, naguère, clamé feu Hara-Kiri – sur un ministre malgré tout impopulaire – qu’une impudence infatuée fait opportunément sortir du bois –, voilà la machine d’État – pachyderme impotent depuis que Bruxelles la supplée en tout – qui sort de sa torpeur, s’ébroue et expectore en un râle moribond une indignation bon marché, jusque-là réservée aux valets stipendiés du MRAP et de SOS Racisme.

    Au lieu d’affronter les problèmes du jour que sont les dramatiques fermetures d’usines, les licenciements douloureux ou le chômage endémique, Hollande, s’inspirant de son maître Mitterrand – le talent et la culture en moins –, tire les ficelles usées de l’antiracisme malodorant, avatar de l’antifascisme des années trente. Hollande est contesté, conspué même, le « gouvernement » conchie sur le peuple de France qui n’en peut mais. Et tout le monde se met à entonner le couplet de la « République en danger », des « valeurs bafouées » d’icelle et de son corollaire indispensable, la « terrrrible » extrême droite, cette brechtienne « bête immonde » au « ventre encore fécond ».

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  • Merci à Jean Quatremer de nous prouver, une fois de plus, que l’ "Europe", ça n’existe pas !

    La Commission rappelle l’Allemagne à la solidarité

    Trop forte, l’Allemagne ? Au risque d’indisposer Berlin, la Commission européenne a osé hier déclencher un « examen approfondi » des déséquilibres de l’économie allemande, coupable d’une balance trop opulente de ses comptes courants - commerce extérieur, mais également flux de capitaux qui rentrent plus qu’ils ne sortent du pays.

    Cette procédure pour excédent excessif est du jamais vu à Bruxelles, qui n’épinglait jusqu’ici que des déficits. Marchant sur des œufs, le président de la Commission, José Manuel Barroso, a expliqué qu’il s’agissait de « voir si l’Allemagne peut faire plus pour aider à rééquilibrer l’économie européenne ». Accusé de jouer trop perso, le bon élève de la zone euro a très mal accueilli la critique.

    Dès hier, Markus Ferber, député de la CSU (conservateurs bavarois), a dénoncé un « affront incroyable ». Outre-Rhin, le monde politique et les médias devraient être, aujourd’hui, à l’unisson : « il n’y a aucun déséquilibre en Allemagne qui nécessiterait une correction de notre politique économique », avait déjà rétorqué le ministère des Finances allemand, fin octobre, à la suite des critiques équivalentes du Trésor américain et du Fonds monétaire international (FMI). [...]

    La suite sur Coulisses de Bruxelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Merci-a-Jean-Quatremer-de-nous

  • Opération casseroles contre Hollande

    Lu ici :

    "2 MINUTES pour la FRANCE

    QUAND : Lundi 18/11 à 19h, quand Hollande passe à la télévision

    QUOI : « opération casseroles », pour rappeler toutes les casseroles qu’il traîne

    COMMENT : avec vos couverts, frappez vos casseroles, vos assiettes, vos verres, faites du bruit

    Où : Là où vous êtes, à vos fenêtres, dans un restaurant, dans le métro, au boulot…

    Avec QUI : avec tous ceux que VOUS aurez informé

    POURQUOI : parce que le courage de dénoncer l’incompétence, et d’affronter la répression, ça commence par un geste simple à faire soi même".

    Michel Janva

  • Le seul portique écotaxe qu'Ecomouv' veut voir disparaître

    Le Printemps français a construit un portique devant le siège d'Ecomouv, l'entreprise chargée de collecter l'écotaxe, qui se trouve dans le 8e arrondissement de Paris.

    Ecomouv

    Le communiqué du Printemps français.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Manifestation interdite à Amiens : entretien avec le secrétaire général du PdF

    Depuis l’accès au pouvoir des socialistes, nous assistons à un fort regain de répression contre les opposants politiques.
    Trois mouvements politiques ont été arbitrairement dissous (pour rappel : Troisième voie, l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes) et les interdictions de manifestation sont de plus en plus fréquentes.
    La dernière manifestation interdite est celle du 16 novembre à Amiens, organisée par le Parti de la France.
    Nous avons donc interrogé son secrétaire général, Thomas Joly.
    C-I : Que comptiez-vous faire le 16 novembre ?
    T. Joly : le 16 novembre, le Parti de la France comptait organiser un grand rassemblement à Amiens-Nord, devant l’emplacement de la future grande mosquée d’Amiens au doux nom pacifique de « La Conquête » (« Al Fath »), pour dénoncer la colonisation migratoire et l’islamisation de la ville d’Amiens mais aussi de notre pays tout entier. Une forte et encourageante mobilisation s’était mise en place et plusieurs centaines de participants étaient attendus. Le Parti de la France estime que la politique se pratique avant tout sur le terrain et pas seulement derrière un clavier d’ordinateur ou sur les plateaux télés, où d’ailleurs nous ne sommes jamais invités ; notre discours de résistance nationale et civilisationnelle n’étant pas médiatiquement compatible, contrairement à celui de Madame Le Pen totalement acquise à l’idéologie républicaine, laïcarde et franc-maçonne.
    Que s’est-il passé avec la préfecture ?
    Visiblement affolé par cette annonce de manifestation déposée dans les règles à la préfecture, le préfet de la Somme, qui avait déjà interdit notre conférence de presse l’année dernière devant les ruines encore fumantes d’une école maternelle incendiée à Amiens-Nord lors des traditionnelles émeutes ethniques estivales, a entamé un « dialogue » via la DCRI avec moi. L’objectif était clairement de me faire renoncer à notre rassemblement ou bien de le déplacer dans un autre quartier d’Amiens considéré comme moins « sensible ». J’ai évidemment refusé de me plier à ces recommandations guidées uniquement par le fait que les autorités publiques sont tout bonnement incapables de maintenir l’ordre dans cette zone de non-droit que sont les quartiers nord d’Amiens. Le Parti de la France estime qu’il a le droit et même le devoir de se rendre partout en France où il le souhaite pour délivrer son message de reconquête nationale. Le représentant de l’État socialiste a donc interdit notre rassemblement et s’est donc lamentablement couché devant la racaille étrangère, l’islam conquérant et l’extrême-gauche xénophile. Refusant de donner l’occasion à Manuel Valls de persécuter nos militants et un motif pour dissoudre notre mouvement, nous avons pris la décision de respecter cette interdiction. Carl Lang et moi-même avons tout de même organisé le 16 novembre à Amiens une conférence de presse et un déjeuner-débat qui a connu un grand succès.
    Que cela vous inspire-t-il ?

    Le pouvoir socialiste est totalement aux abois, prisonnier de ses délires idéologiques antifrançais et de la nullité sidérante du Président de la République autiste face à la légitime colère populaire. Comme dans toute dictature ébranlée, la répression policière et judiciaire à l’égard de ceux qui veulent réellement en finir avec ce système pourri jusqu’à la moelle s’intensifie en cette période de crise économique, sociale, politique, morale, identitaire, etc. Nos gouvernants souhaitent museler les véritables forces d’opposition et entreprennent donc d’interdire nos rassemblements, de persécuter nos militants, de dissoudre nos organisations. Mais ils ne pourront éternellement nous empêcher de dire la vérité à nos compatriotes et, tôt ou tard, toute cette engeance devra être balayée pour que se mette en place un processus salvateur de décolonisation migratoire et de reconquête nationale.

    http://www.contre-info.com/manifestation-interdite-a-amiens-entretien-avec-le-secretaire-general-du-pdf#more-30147

  • [Pétition] Avortement : refusons le négationnisme !

    Pétition À DIFFUSER SANS MODÉRATION : plus de négationnisme sur l’IVG, respect du délai de réflexion !!!

    Le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh) remettait un rapport jeudi 7 novembre, au gouvernement, pour améliorer la prise en charge des interruptions volontaires de grossesse (IVG).

    Après un premier volet, remis mi-septembre, le Haut conseil propose cette fois des pistes pour préciser la loi et réorganiser les soins.

    L’auteur du document, Françoise Laurant, présidente de la commission Santé, droits sexuels et reproductifs du HCEfh, en détaille les grandes lignes. "L’IVG a toujours été perçue comme une concession et non comme un droit à part entière. Le code de la santé publique dit qu’une femme "placée dans une situation de détresse peut demander à son médecin le droit d’interrompre sa grossesse". Nous suggérons de revoir l’obligation de délai de réflexion pour les femmes souhaitant avorter. La loi prévoit en effet un délai de huit jours (qui peut être réduit à deux jours en cas d’urgence) entre la première consultation médicale en vue d’une interruption de grossesse et le deuxième rendez-vous, qui permettra soit de délivrer les comprimés pour une IVG médicamenteuse, soit de fixer la date d’une intervention en cas d’IVG chirurgicale. Pour certaines femmes, ce délai est indispensable et elles doivent impérativement être accompagnées dans leur réflexion. Mais pour d’autres, la décision est prise depuis longtemps et ce délai, qui rallonge le parcours de soins, peut être vécu comme une humiliation."

    "Nous proposons aussi que la première consultation, qui donne lieu à la délivrance d’une attestation et au déclenchement de ce fameux délai de huit jours, soit transformée en consultation d’information (et non plus en consultation médicale) réalisée par une structure habilitée et un personnel formé, dans un centre de planification ou un centre de santé. On constate en effet que beaucoup de femmes ne savent pas à qui s’adresser pour ce premier rendez-vous : médecin généraliste, hôpital… Or cette consultation a d’abord pour but d’informer les patientes sur les possibilités qui s’offrent à elles et de les orienter vers les bonnes structures, ce que peuvent très bien faire des centres qui fonctionnent en réseau. Cela permettrait de raccourcir les délais".

    La logique des auteurs de ce rapport est claire : rendre l’IVG comme l’acte le plus banal qui soit, et empêcher les femmes enceintes de réfléchir de manière posée et éclairée au geste qu’elles vont poser. Nous vous sollicitons pour diffuser plus encore cette pétition qui demande qu’un VRAI DROIT A L’INFORMATION soit offert aux femmes, et qu’un RESPECT DU DELAI DE REFLEXION SOIT MAINTENU !

    SIGNEZ ICI

    N’hésitez pas à vous rendre sur http://www.ivg.net pour nous soutenir !

    EN EFFET, il est important qu’IVG.net, site de réinformation sur l’avortement puisse, face aux attaques d’un gouvernement dirigé par l’instinct de mort, continuer d’aider les femmes en détresse. Pour cela, il doit rester le premier site d’information et d’écoute en matière d’avortement accessible sur la Toile, face à la politique agressive du gouvernement. Plus vous vous rendrez régulièrement sur ce site, plus vous lui conserverez sa lisibilité sur internet et plus vous participerez à sauver des enfants !

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Petition-Avortement-refusons-le