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anti-national - Page 902

  • Un climat insurrectionnel

    De Guillaume Bernard dans Valeurs Actuelles :

    "L’incapacité des politiques à saisir la nature profonde de la crise qui frappe le pays le met dans un état d’écoeurement et de colère incontrôlés.

    [...] L’actuelle situation de la France est, pour le moins, inquiétante, car elle doit faire face à une pluralité de crises : insécurité physique et matérielle (depuis les incivilités jusqu’à la plus violente des criminalités), insécurité économique et sociale (chômage de masse, retraites incertaines), insécurité culturelle (multiculturalisme dû à une immigration non assimilée, déracinement en raison de la mondialisation, bouleversement des moeurs). L’aggravation possible de chacune de ces crises est naturellement anxiogène. Mais la crispation de l’opinion publique vient également de ce que nombre d’hommes politiques relativisent l’importance, voire nient l’existence, de certaines de ces crises, se contentant d’incriminer la fermeture à l’autre et le passéisme moralisateur.

    L’incapacité des politiques à appréhender la réalité de la multiplicité et de l’interaction des crises procède essentiellement de leur idéologie matérialiste : ils réduisent les dysfonctionnements de la société à un trouble dans le domaine de l’avoir. Ils ne parviennent pas à identifier la nature profonde des enjeux, à déterminer le dénominateur commun de toutes les frictions. Ils ne saisissent pas qu’il y a, à leur racine, une crise de l’être : incertain quant à sa persistance en tant que puissance industrielle, militaire ou civilisationnelle, le corps social français vit une étape périlleuse et décisive dans son existence. La porosité des frontières extérieures de l’espace Schengen, les abandons de souveraineté à l’Union européenne, l’explosion de la dette publique, la baisse du niveau scolaire ou encore les émeutes urbaines sont autant de sujets qui illustrent, tant sous l’angle individuel que collectif, la perte des libertés, la dépossession de soi et la dilution de la maîtrise de son destin. [...]

    Leur écoeurement se traduira, sans doute, à l’occasion des prochaines élections, par l’abstention ou le vote FN. Mais se réduira-t-il à cela ? Ce n’est pas être alarmiste que de poser la question. L’expérience montre que, lorsque la confiance des citoyens dans le personnel politique disparaît (à cause de l’impuissance ou de l’inconséquence de ses mesures), la légitimité du pouvoir est réduite à peu de chose. Par le passé, en 1848 comme en 1958, le régime s’est effondré en quelques semaines. Il suffit d’un événement, même anodin, pour cristalliser les mécontentements et révéler leur unité."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • "Il n'y a pas de jour férié pour le combat politique"

    Communiqué de l'Action française :

    "A la suite des sifflets patriotiques du 11 novembre, 3 militants en garde à vue depuis 48h ont été condamnés par le Tribunal de Paris à être sous contrôle judiciaire en attente de leur procès le 18 décembre prochain. L'Action Française, dont beaucoup de membres étaient spontanément venus siffler le Président de l'Elysée, comme beaucoup de badauds, tient à préciser :
    1. Contrairement aux affirmations de M. Valls, parmi les 73 interpellés, nous comptions une cinquantaine d’étudiants et de lycéens de l’Action Française. L'AF est, depuis un an, en première ligne dans tous les combats contre la fracture anthropologique. L’intensification de nos actions est d’actualité…
    2. Les Patriotes qui ont conspué l'homme qui glorifie les déserteurs de 1915, l'ont fait avant et après l'hommage sous l'Arc de Triomphe, respectant l'hommage aux Morts pour la France. Les Camelots du Roi n'ont pas de leçons de morale à recevoir de ceux qui ne cessent de brader la France et sa souveraineté. Les Royalistes français aiment leur Patrie jusqu'à donner leur vie pour elle ! Le mouvement royaliste a perdu dans les tranchées 80% de ses cadres tombés au champ d'honneur entre 1914 et 1918.
    3. A l'instar des étudiants d’Action Française qui, le 11 novembre 1940, bravèrent l'Occupant pour déposer une gerbe interdite, et qui, pour beaucoup, rejoignirent la Résistance alors que la Gauche pacifiste collaborait, les militants royalistes de 2013 sont aussi entrés en résistance. Certes, avec d'autres armes et d'autres risques mais avec le même amour de la Patrie.
    4. L'Action Française dénonce la justice politique de la république qui ne poursuit pas les fauteurs de troubles en banlieue mais s'acharne sur des étudiants au simple motif qu'ils ont sifflé un homme haï par 77% des Français, qui a, par ailleurs, supprimé le délit d'outrage au Chef de l'Etat : pathétique paradoxe de cette république coupée du pays réel.

    Depuis l'arrestation arbitraire de nos militants, la vague de soutien aux prisonniers politiques ne cesse de prendre de l’ampleur : le pays réel n'est plus dupe des mensonges du pays légal. L'Action Française ne lâchera rien. Partout et tout le temps, ce régime nous trouvera pour lui barrer la route à chaque fois qu'il tentera de priver les Français de leurs libertés fondamentales.

    Il n'y a pas de jours fériés pour le combat politique.
    Il n'est pas d'armistice pour la résistance à l'oppression."

  • La gauche récolte ce qu’elle a semé [Vidéo]


    La gauche récolte ce qu'elle a semé par rtl-fr

  • Entre Bonnets Rouges et policiers, bientôt la « coagulation » ?

    Manuel Valls a du souci à se faire, lui qui craint la « coagulation » des mécontents. Des policiers ont manifesté il y a quelques heures en scandant des slogans qui faisaient référence aux Bonnets Rouges et à la fronde générale anti-Hollande.

     En fin d’après-midi, ce sont les policiers qui ont manifesté devant l’Assemblée nationale à l’appel du syndicat Alliance. Après des manifestations à Ajaccio et à Marseille le 5 novembre dernier, voici la police sous les fenêtres des députés ! Les policiers dénoncent leurs conditions de travail :

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  • L’ETAT SOCIALISTE INTERDIT LE RASSEMBLEMENT DU PDF A AMIENS

     

    COMMUNIQUE DE PRESSE DU PARTI DE LA FRANCE :

    La répression et les interdictions du pouvoir socialiste contre les patriotes français prennent une dimension de plus en plus inquiétante et totalitaire.

    Après des dissolutions arbitraires et injustifiées et des méthodes d’interpellation dignes des anciennes démocraties populaires de l’Est lors de différentes manifestations de rue, un arrêté du préfet de la Somme en date du 7 novembre interdit le rassemblement prévu par le Parti de la France le 16 novembre à Amiens-Nord contre l’islamisation de la France. Cette soumission du représentant de l’État aux islamistes et aux bandes ethniques qui ont fait de ce quartier une zone de non-droit est révélatrice de l’esprit de collaboration et d’abandon du pouvoir socialiste.

    Alors que, l’organisation révolutionnaire et djihadiste des Frères musulmans a été autorisée à manifester à Paris, par deux fois au mois de juillet, les patriotes français sont dans leur propre pays interdits de manifestation.

    Les motifs invoqués sont sidérants puisque, selon le préfet de la Somme, affirmer notre droit à rester maître chez nous constitue « une provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’un groupe de personne en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. »

    Cerise sur le gâteau, le représentant de l’État socialiste, avoue qu’il est absolument incapable de maintenir l’ordre dans un quartier où « des fonctionnaires de police ont essuyé des tirs à l’arme de chasse. »

    Cet aveu caractérisé d’impuissance à maintenir l’ordre à Amiens-Nord, doublé d’une volonté politique de museler les défenseurs de la France des terroirs et des clochers, s’inscrit dans la tradition socialiste de destruction de l’identité française.

    Le Parti de la France appelle ses militants et ses sympathisants à ne pas braver l’arrêté préfectoral afin de ne pas prendre le risque d’encourir les persécutions policières et judiciaires annoncées et de ne pas donner à Manuel Valls le motif pour dissoudre notre mouvement.

    D’autres initiatives, sous d’autres formes, seront prises afin de poursuivre notre action de résistance nationale et européenne contre l’islamisation et la colonisation de la France et de l’Europe.
    Aidez-nous à mener cette bataille de civilisation pour la défense de nos libertés et de notre identité. Rejoignez le Parti de la France !

     http://www.national-hebdo.net/L-ETAT-SOCIALISTE-INTERDIT-LE

  • Manifestation de La Manif Pour Tous à Nantes le 23 novembre

  • Il a dénoncé Cahuzac, il doit être condamné

    Le régime gouverne mal mais il se défend bien en voulant museler les opposants. Olivier Thérondel, enquêteur de la cellule Tracfin (chargée de traquer les circuits financiers) avait dénoncé sur le site Médiapart les côtés occultes du rapatriement des fonds de Jérôme Cahuzac. Il doit répondre de ces fuites aujourd’hui devant un tribunal. Il explique comment le pouvoir a tenté de masquer les opérations de l'ex-ministre socialiste :

    "Je suis, à l’origine, contrôleur des douanes, et je travaillais depuis 2004 au sein de la cellule Tracfin, sur toutes sortes de dossiers, financements occultes, blanchiments…

    [...] Le 2 avril, Jérôme Cahuzac démissionne. Il indique à sa banque qu’il va rapatrier les fonds de Singapour. Or, nous, le 5 avril, nous recevons de sa banque une télédéclaration de soupçons. Je suis le premier à recevoir ces éléments. Je me renseigne sur les virements, je vois que d’autres personnes apparaissent, bref, je fais mon travail. Et la même banque envoie des compléments de déclarations au fur et à mesure des virements qui arrivent de Singapour. [...] C’est à partir de là qu’on va me demander de ne plus ajouter les noms des personnes qui sont citées par la banque. Et dès que les informations arrivaient, mon directeur masquait le nom de Cahuzac. Ce qui fait que lors des saisies informatiques, à chaque fois, on recréait une fiche au nom de Cahuzac, puisque la précédente avait été maquillée ! Maquiller les noms, cela veut dire qu’on va empêcher à toute personne susceptible d’enquêter de faire son travail, comme un juge, par exemple. Moi, je trouve cela assez malsain et en tout cas, pas très légal. Par ailleurs, je constatais que les informations que j’avais récupérées, n’étaient pas «orientées». Normalement, dans les 24 heures, on procède à un suivi, on enquête sur ces informations. Là, stand-by. Dans le même temps, rien ni personne dans la presse n’indique que Cahuzac a rapatrié son argent. Sur BFM, il est interviewé mais n’en parle pas. Une chose aussi est étrange : la commission d’enquête parlementaire s’est arrêtée le 2 avril. Elle n’a donc pas pu avoir connaissance de ce retour des fonds depuis Singapour.

    [...] J’ai reçu un courrier où on m’indique que mon habilitation du service Tracfin m’a été retirée «Des faits ont été portés à ma connaissance. Ils me paraissent porter une atteinte grave au bon fonctionnement du service et être incompatibles avec les fonctions que vous y exercez», m’écrit le directeur. Depuis, j’ai été réaffecté à mon service d’origine, les Douanes. On ne m’a pas fait de cadeau. Mon avocat n’a pas encore toutes les pièces du dossier. J’ai subi des perquisitions, des réquisitions à ma banque… J’estime avoir fait mon devoir de lanceur d’alerte et je veux que ce statut me soit reconnu. Je n’ai pas divulgué d’éléments qui puissent nuire à l’enquête. Je risque de perdre mon emploi dans la fonction publique. Mais j’irai devant la Cour européenne s’il le faut."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le naturalisé Valls insulte les Français de souche !

    Un lecteur de Cours-la-ville nous

    fait part de son indignation :

    Tous nos amis ont sûrement apprécié la déclaration de Valls : « l’extrême-droite n’aime pas la France ».

    Ce petit maître n’a jamais dû entendre parler de René Fonck et de sa Croix de guerre à 28 palmes, ni de Franchet d’Espèrey ou de Scapini, aveugle de guerre, ni de Vallat qui avait laissé une jambe sur le champ de bataille, etc.

    Combien de gars qui conchiaient la république et aimaient la France sont restés sur le carreau en 14-18 ? Et dire que les grands-pères de Valls n’ont dû entendre parler de Verdun que par la Vanguardia de Barcelone ou par la presse italienne ! Il faudrait aussi lui causer de Salan ou de Chateau-Jobert (onze citations, dix palmes). Ou lui rappeler que les Croix de Feu avaient 500 000 membres en 36 quand Blum a dissous le mouvement comme « fasciste » – et que pour être membre, il fallait être ancien combattant de l’avant ou blessé cité pour action d’éclat… Vraiment dommage que personne de chez nous n’ait accès aux grands médias pour clore le bec des types de ce genre !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2013/11/12/le-naturalise-valls-insulte-les-francais-de-souche-5219966.html

    Via http://www.altermedia.info/france-belgique/synthesenationale/le-naturalise-valls-insulte-les-francais-de-souche_89006.html

  • Vous trouvez ça drôle ?

    C’est hier que le MRAP a officiellement porté plainte, une première pour un ministre de gauche, contre Manuel Valls, coupable aux yeux de cette officine antiraciste d’obédience communiste d’avoir enfoncé une porte ouverte en déclarant que les populations Roms  ont vocation à rentrer en Bulgarie et en Roumanie. Et ce, précisait le ministre de l’Intérieur, parce qu’elles «ont des modes de vie extrêmement différents des nôtres et qui sont évidemment en confrontation». Les habitants des quartiers pluriels pourraient certes en soumettre d’autres à M. Valls…

     Coïncidence (?) des dates, c’était hier aussi qu’à l’ initiative des parlementaires socialistes du courant dit de La Gauche forte, était organisé dans la soirée un débat à l’Assemblée consacré aux  « réponses que la gauche doit apporter face à la montée du FN», en présence de Manuel Valls et du ministre de la Justice Christiane Taubira. Ces deux là se sont embrassés chaleureusement,  ostensiblement, pour manifester symboliquement l’unité du gouvernement face à l’adversité.

     En fait des réponses à apporter à la montée du FN, rien n’a filtré puisque ce n’était pas tant le but de ce débat bidon que d’essayer une nouvelle fois de ressouder les rangs contre le péril frontiste, de faire peur dans les chaumières. La formule est toujours peu ou prou la même: faire croire que la République est menacée par les factieux, pratiquer l’amalgame entre l’extrême droite et le Front National.

     Comme il l’avait fait lors de l’université d‘été du PS, M. Valls a attaqué  nommément ses deux têtes de turcs, l’humoriste Dieudonné et l’essayiste Alain Soral –ça ne mange pas de pain- et a enchaîné  les formules toutes faites, appelé la gauche « à se ressaisir face au racisme.»

     « Quand on siffle le président de la République et que les sifflets viennent de l’extrême droite, il faut que la gauche se ressaisisse, il faut que les républicains s’unissent et disent ça suffit ». Autre pensée forte du ministre de l’Intérieur : la réponse face à l’extrême droite, c’est « l’efficacité » de la politique. «Vous croyez que nous n’agissons pas ensemble avec Christiane Taubira ? (…). Vous croyez que nous nous laissons impressionner par ceux qui veulent nous opposer ? ». On reste pantois devant la fulgurance et l’intelligence du propos …

     Certes, dans l’enfilage de perles, Mme Taubira n ’a pas été en reste en demandant « aux voix de la France (de) couvrir » celles du racisme et en affirmant :  « Nous devons rappeler que la gauche a su construire des réponses de progrès » (sic) . Formidable…

     Bien sûr l’affaire du moment était la Une volontairement provocatrice de l’hebdomadaire Minute consacrée au garde des sceaux, « Maligne comme un singe Taubira retrouve la banane »,  dont on peut en effet ne pas goûter « la finesse » et les clins d’oeil à l’actualité récente, mais qui a déchaîné une tempête assez ahurissante. L’unanimisme des indignations n’est en fait pas tellement pour surprendre chez les mutins de panurge (dixit Philippe Murray) de la caste politico-médiatique, dont le grégarisme ne se dément pas.

     Manuel Valls a affirmé que le gouvernement étudiait « les moyens d’agir contre la diffusion » de Minute ; le ministre de la Santé, Marisol Touraine, y a une « incitation à la haine raciale »; Jean-Marc Ayrault a saisi le procureur de la République de Paris en portant à sa connaissance « ces faits susceptibles de constituer l’infraction d’injure publique à caractère racial»; le premier secrétaire du Parti socialiste, Harlem Désir, a dénoncé une « ignoble Une » ;  l’UEJF et SOS racisme ont annoncé des dépôts de plainte…

     « Ils n’ont donc pas de limites. C’est même à ça qu’on les reconnaît. Pas une #Minute à perdre. Les nazes en cage  », a affirmé Jean-Luc Mélenchon avec sa mesure légendaire dans un tweet. Le chef de file des députés PS, Bruno Le Roux a appelé la société à faire « rempart contre ces extrémismes » et au nom de l’UMP, le député filloniste  Eric Ciotti a dénoncé « une dérive ».

     En l’espèce, la réaction la plus maline et politique est bien celle de Christiane Taubira «qui a fait savoir qu’elle n’engagera pas d’action juridique contre Minute. Réagir d’une manière ou d’une autre, c’est faire augmenter les ventes de l’hebdomadaire de 10%, explique l’entourage de Christiane Taubira au Lab (blog d’Europe 1), se disant convaincu que l‘hebdomadaire a élaboré sa une en s’entourant des conseils d’un avocat. »

     « Si des associations veulent le monter en sauce, c’est leur problème (…) Nous trouvons que c’est indécent, il y a plein d’autres problèmes dans ce pays, a réagi de son côté la porte-parole de Minute, Hélène Valette. Nous assumons cette Une, c’est satirique, personne ne s’offusque des Unes de Charlie Hebdo. »

    Dont certaines furent en effet  particulièrement gratinées se rappelle Bruno Gollnisch, preuves à l’appui, y compris sur le terrain du racisme (de l’humour ?) supposé. Ajoutons que tout ce beau monde préfère aussi ne pas entendre les toutes dernières critiques adressées par Dieudonné, via une vidéo diffusée sur internet, à Mme Taubira. Propos autrement plus carabinés que les formules de Minute, mais il est vrai que sa couleur de peau similaire à celle du garde des sceaux le protège ici de l’accusation de racisme.

     On peut aussi difficilement reprocher à la présidente du FN comme à Bruno Gollnisch d’être racistes -« Je suis heureuse de me faire cracher dessus chaque semaine par Minute quand je vois ce que c’est devenu » a twitté hier Marine .

     Jamais le FN n’a attaqué quiconque du fait de sa couleur de peau, de ses origines ethniques ou religieuses. Le FN combat l’immigration pas les immigrés, des programmes politiques, des idées qu’il juge erronés, néfastes, jamais un individu en tant que tel,  sachant qu’une  personne par ailleurs n’est  pas  entièrement réductible aux idées qu’elle professe.

     Bruno Gollnisch le réaffirmait dans un entretien accordé au site La voix de la Russie  que nous mettrons en ligne demain sur ce blog,   « Nous ne sommes pas des racistes ou des xénophobes mais nous considérons que ceux qui viennent en France pour bénéficier de notre système social, doivent s’adapter à la culture française  (…). » 

     « Nous aimons bien sûr la France poursuit le député européen frontiste et je ne peux pas dire que monsieur Ayrault déteste la France. Il est prisonnier d’un système mondialiste qui veut le brassage universel des individus, des marchandises et des capitaux. Ce système globaliste détruit les nations, les solidarités familiales et les particularités des peuples et, par conséquent, déracine des êtres humains. Je crois que le Front National est le meilleur défenseur de l’identité française et de tous les peuples. Nous n’avons pas l’intention de partir en guerre contre personne, nous voulons tout simplement rester maîtres chez nous. » Est-ce trop demandé ?

    http://www.gollnisch.com/2013/11/13/vous-trouvez-ca-drole/

  • PMA, GPA et marchandisation de l’être humain : la « lettre aux élus » adressée à 40.000 élus locaux

    lettre-aux-élus-2-MPI

    novembre 2013

    « Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire » (George ORWELL)

                Madame, Monsieur le Maire,

       Dans la « Lettre aux Elus » du 5/11/12, nous attirions votre attention sur les risques immenses que ferait courir tant à la société, qu’aux enfants qui pourraient être adoptés, une loi qui ouvrirait à deux personnes de même sexe le droit au mariage ainsi qu’à l’adoption d’enfants.

    Malgré les résultats défavorables de sondages, malgré une opposition inouïe qui s’est notamment traduite par des manifestations d’une ampleur sans précédent depuis les années soixante, une loi aux termes de laquelle des duos homosexuels peuvent être déclarés « mariés » par un officier d’état-civil, a été promulguée le 18 mai dernier. La France devient ainsi le 14ème état sur les 138 que compte la planète à avoir promulgué une telle loi.

    Dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, est inscrit le principe selon lequel « la loi est l’expression de la volonté générale »1. Jamais un tel principe n’aura été à tel point vidé de son sens : en effet, les personnes qui réclamaient une telle loi ainsi que celles qui pourront désormais s’en prévaloir, ne représentent – de l’aveu même de certaines associations d’homosexuels – qu’une infime partie de la population française.

    Comme l’a démontré sur le terrain du droit et de l’éthique le philosophe Thibaud COLLIN, dans son ouvrage intitulé « Les lendemains du mariage gay »2, « l’ouverture du mariage civil aux personnes de même sexe serait un choix garanti par l’Etat de bafouer les droits de certains enfants ».

    Cette ouverture est désormais chose faite et les différents promoteurs de cette transgression inouïe ne s’arrêteront pas en si bon chemin…

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