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anti-national - Page 897

  • 11 novembre, insulte ?

    Suite à la stigmatisation des résistants du 11 novembre  2013 par le Général Dary, que vous trouverez ici, Mathieu Epinay fait sur Politique magazine cette mise au point :

    "Nous avons beaucoup de respect pour le général Dary, c'est un grand soldat, c'est un grand serviteur de la France, du lieutenant de Kolwezi au commandant  opérationnel de la Manif pour tous. Mais lorsqu'il publie, obséquieusement relayé un journaliste de gauche, un texte incantatoire sur  l'insulte à nos morts après les sifflets du 11 novembre, il en fait trop. Une sage réserve du président du comité "La flamme sous l'arc de triomphe" eut été préférable. 

    Aucun des manifestants présents n'était venu insulter nos morts pour lesquels ils ont beaucoup plus de respect que n'en a la nomenklatura de courtisans qui suivait le président.  D'ailleurs la cérémonie elle-même n'a pas été troublée sinon peut être par inadvertance : ce n'était pas intentionnel. La cible des manifestants c'était bien le président.

    Le Général Dary sait bien tout cela. A-t-il subi des pressions ? En tout état de cause, sa déclaration sert ce président qui insulte nos morts en les vouant à la République plutôt qu'à la France et en invoquant les déserteurs (dont  personne ne songe à ternir la mémoire) plutôt que les héros. Elle sert le tyran qui insulte les vivants par la perversité des lois qu'il se croit le droit d'imposer parce que le verdict des urnes l'aurait mis au-dessus de Dieu même.

    Mon général oui, c'est devant le soldat inconnu avec ceux de la Marne et de Verdun, l'union sacré des bonnets rouges, des veilleurs, des paysans, des sentinelles, des étudiants, des Français, une génération qui se lève contre "l'étendard sanglant de la  tyrannie". Ils n'ont pas de leçons de morale à recevoir et ce texte  maladroit ne peut que prolonger la garde à vue des 70 victimes de la rafle policière du 11 novembre."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • 26/11 : conférence sur le gender à Issy-les-Moulineaux

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  • L’antiracisme outil de domination

    L’antiracisme est un cache-sexe : celui d’une France officielle qui n’a d’autres moyens pour cacher ses reniements que le rideau de fumée. Entendons-nous bien : dénoncer le dogme de l’antiracisme, ce n’est pas – à quelque degré que ce soit – vouloir habiliter le racisme, qui restera toujours une aberration.

    Mais sortir du manichéisme, c’est si compliqué pour un socialiste…

    La « semaine de la haine » est terminée. Le déferlement s’est tari… jusqu’aux prochains mots d’ordre. Toujours la mê­me « ferveur mimétique de no­tre presse pluraliste. On rivalise dans la colère grave » (Elisabeth Lévy, Les Maîtres censeurs). D’autant que je mettrais ma banane à couper (enfin, façon de parler…) que pas un de ces gueulards n’a lu l’article de « Minute ». Tous ont suivi la meute des cris et des lamenta­tions, qui s’auto-alimente de son pro­pre bruit. « Mimétisme médiatique et hyperémotion », résume Ignacio Ramonet.

    Quelle rigolade pourtant ! Car cet­te gamine, avec sa peau de banane à Angers, méritait une bonne fessée et peut-être ses parents aussi. Pas ce brouhaha de cœur de vierges effarouchées toujours prompt à rejouer l’arrivée d’Hitler au pouvoir. Parce que, franchement, qui croit vraiment à une « résurgence » du racisme ? De l’antisémitisme, oui, mais de façon circonstanciée, et à cause de certaines franges radicales de l’islam. Mais sinon ? [...]

    La suite sur Minute

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-antiracisme-outil-de-domination

     
  • Hervé Ryssen condamné à 3 mois ferme

    L’essayiste nationaliste Hervé Ryssen (spécialiste du lobby juif) a été condamné à trois mois de prison pour des « menaces de mort homophobes » contre Bertrand Delanoë. Le tribunal correctionnel de Paris l’a également condamné à un euro de dommages et intérêts et 1000 euros de remboursement de frais de justice.

    Ryssen explique qu’à la suite d’une visite de la police, il avait en 2011, sur son blog d’alors, écrit ironiquement :
    « En revanche, les super-flics du RAID ont sans doute été informés de notre projet de pulvériser cette grosse tantouze qu’est Bertrand Delanoë. D’où vient la fuite ? Qui nous a trahi ? Nous l’ignorons encore. Une seule chose est certaine : ce sac à [...] qu’est Delanoë a eu chaud aux miches. Mais ce n’est que partie remise. »

    Hervé Ryssen réagit en concluant que « les pédés n’ont pas d’humour » et que « le fait est que le pouvoir judéo-démocratique essaye de me faire taire par tous les moyens. Incapables de me faire condamner pour mes livres, bourrés de citations accablantes qu’il vaut mieux passer sous silence, ces petits larbins de juges me font condamner pour des phrases insignifiantes. En 44, des comme eux, on en fusillait par paquets de douze. »

    Pour se procurer les livres d’Hervé Ryssen, et soutenir ainsi ce courageux militant de la libre parole, c’est ici.

    http://www.contre-info.com/herve-ryssen-condamne-a-3-mois-ferme

  • Pour Hollande, Minute et Mohamed Merah même combat !

    Arrêtez de ricaner bêtement. Quoi qu’on en dise, François Hollande est encore président de la République.

    Lundi, interrogé sur la chaîne BFMTV aux côtés du président israélien sur les propos racistes contre la ministre de la Justice, François Hollande a assuré qu’il ne laisserait « jamais en paix ceux qui se mettent du côté de l’antisémitisme et du racisme », et fait le lien entre les attaques racistes contre Christiane Taubira et les tueries de Toulouse début 2012. Comme le rapporte Libération, « le président de la République a assuré que les tueries de Toulouse en 2012 et les attaques racistes dont a été victime Christiane Taubira participaient de la même dynamique ».

    Arrêtez de ricaner bêtement. Quoi qu’on en dise, François Hollande est encore président de la République.

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  • De 1675 à 2013 : la Bretagne, une insoumission particulière ? (1ère partie)

    Un samedi de la fin du mois d’octobre dernier, quelque part en Bretagne, à Pont-de-Buis plus exactement, des manifestants hostiles à l’écotaxe et à ses portiques truffés de caméras et de boîtiers électroniques ont coiffé un bonnet rouge, comme le rappel d’une histoire lointaine qui avait durablement marqué la mémoire et la conscience de cette extrémité occidentale de la nation France… Effectivement, c’est en 1675, sous le règne du Roi-Soleil, que les premiers Bonnets rouges sont apparus à l’occasion d’une révolte qui, si elle est souvent décrite comme fiscale, ne peut être limitée à ce seul aspect, sous peine de ne pas la comprendre et de ne pas saisir aussi la particularité de l’actuel mouvement homonyme.
    Il n’est pas indifférent de noter que c’est en Bretagne, et non ailleurs alors, qu’a lieu cette jacquerie au moment où le royaume de France est en guerre, difficile, avec la Hollande, grande puissance maritime et commerciale de l’époque. La guerre, hier comme aujourd’hui, coûte cher et les caisses de l’Etat ne sont guère remplies : Colbert, maître scrupuleux des finances, est d’une grande inventivité dans la création d’impôts et de taxes, et il annonce bientôt quelques nouvelles impositions qui doivent permettre à l’Etat de retrouver quelques ressources bien nécessaires. Désormais, tout acte notarié devra être rédigé sur un papier timbré (donc fiscalisé) et le tabac sera lui aussi plus lourdement taxé… Mais la rumeur se répand en Bretagne que ce n’est rien d’autre que l’annonce de l’introduction de la gabelle, cet impôt sur le sel si impopulaire et dont la province armoricaine est exemptée depuis son Union à la France, ce que confirme la lecture du traité de 1532 signé sous le roi François Ier : rumeur fiscale pourtant sans fondement mais qui suffit à mettre, véritablement, le feu aux poudres et à provoquer des manifestations à Rennes et dans d’autres villes de Bretagne aux cris de « Vive le roi sans gabelle », accompagnées de quelques désordres encore légers par rapport à ce qui suivra, en particulier dans les campagnes de Basse-Bretagne.
    Tout cela peut paraître bien surprenant quand on sait que la Bretagne était, donc, privilégiée au regard des contributions qu’elle devait à l’Etat central et par rapport à bien d’autres provinces : mais il est d’autres facteurs qu’il faut prendre en compte pour expliquer la révolte, comme le contexte économique peu favorable et l’impression d’un appauvrissement qui n’est pas fausse, mais qui n’est pas seule réservée à la Bretagne. Une conjonction de causes économiques et fiscales, mais aussi politiques : les restes d’autonomie de la province, qui dispose d’« états » jaloux de leurs prérogatives et dominés par une noblesse d’esprit indépendant mais aussi, parfois, dure avec ses paysans, sont fort vivaces et toute taxe nouvelle apparaît aux Bretons, quelles que soient leurs conditions individuelles, comme une atteinte aux libertés bretonnes et comme un empiétement insupportable de l’Etat central qui, pourtant, n’est pas encore « jacobin »… Autre élément à noter : la révolte est la plus dure et la plus violente, voire cruelle, là où les seigneurs se comportent en petits tyranneaux, ce que, d’ailleurs, dénonce même le très impopulaire duc de Chaulnes, gouverneur de la province au nom du roi… Certains historiens, à la suite du Russe Boris Porchnev, y verront une véritable lutte des classes et, parfois, la préfiguration de la Révolution française ! Mais c’est résumer trop vite la révolte des Bonnets rouges et ne pas en comprendre les racines purement bretonnes.
    Car, ce qui est certain, c’est la réactivité de la Bretagne aux atteintes, réelles ou supposées, à ses droits historiques, mais aussi aux libertés de ses « collectivités », qu’elles soient provinciales, villageoises ou paroissiales : réactivité « régionaliste », diraient certains, ce qui n’est pas entièrement faux même s’il serait plus exact de la qualifier de « régionale », tout simplement, car au-delà des habituels clivages partisans, au risque d’ailleurs d’en créer de nouveaux, comme on le verra sous la Révolution française mais aussi en cet automne 2013…
    J.P. Chauvin (à suivre)
    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1103:de-1675-a-2013-la-bretagne-une-insoumission-particuliere-1ere-partie&catid=47:2013&Itemid=58

  • Christiane Taubira "anti-française" pour Jean-Marie Le Pen : France Inter s’est-elle transformée en machine à inventer de fausses polémiques ?

    Les déclarations de Jean-Marie Le Pen sur l'antenne de France Inter ont suscité une levée de bouclier. Des propos tenus à la marge de la présentation des candidats FN aux municipales par un personnage en retrait de la vie politique : l'ampleur de la polémique dépasse de loin son contenu.
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    Les déclarations de Jean-Marie Le Pen sur l'antenne de France Inter ont suscité une levée de bouclier. Des propos tenus à la marge de la présentation des candidats FN aux municipales par un personnage en retrait de la vie politique : l'ampleur de la polémique dépasse de loin son contenu.

    Atlantico : France Inter a diffusé une intervention de Jean-Marie Le Pen (enregistrée dimanche 17 novembre) où celui-ci qualifie Christiane Taubira "d'anti-française", rajoutant "Je pense qu'elle a été choisie parce qu'on pensait que sa couleur pourrait lui servir de bouclier quand elle aurait à proposer des choses absolument inacceptables". Ces propos, présentés comme sulfureux, ont provoqué un tollé dans de nombreux médias et dans une partie de la classe politique. Y voyez-vous un dérapage ?
    Dominique Jamet : Dans le contexte actuel de l’affaire Taubira, il est évident que toute personne publique dont on entend qu’elle fait des déclarations autour de ces problèmes d’appartenance ethnique est immédiatement signalée à la collectivité et stigmatisée. L’hypothèse de Jean-Marie Le Pen que Christiane Taubira soit ministre à cause de sa couleur de peau n’est basée sur rien et elle n’est rien d’autre qu’une hypothèse, justement. Et même si ce propos peut choquer dans la période où nous sommes, ou même si on peut le trouver stupide, on voit où sont les limites assignées à la liberté d’expression. On a vraiment l’impression qu’un certain nombre d’hommes politiques et de journalistes se trompent d’époque ou de métier. Autrefois, il y avait des fonctionnaires qui travaillaient dans des bureaux de la censure, pour le théâtre ou les journaux, et il y a des gens qui ont manifestement la vocation anachronique d’être des censeurs…
    La volonté de faire intervenir Jean-Marie Le Pen – adepte des déclarations sulfureuses – alors même qu'il n'occupe plus de fonctions politiques majeures, n'est-elle pas une stratégie délibérée qui consiste à générer la polémique ? France Inter ne cherche-t-elle pas le « buzz » au détriment de l'info vraiment pertinente ?
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  • Libye : explication et conséquences d’un massacre

    Vendredi 15 novembre, à Tripoli, les miliciens originaires de la ville de Misrata ont ouvert le feu sur une foule réclamant leur départ, faisant plusieurs dizaines de morts et des centaines de blessés. A la suite de ce massacre, les tireurs furent encerclés par les milices rivales qui s’emparèrent de leur quartier général.

    Samedi 16 novembre, ayant reçu des renforts ils tentaient de maintenir leurs positions.

    Ces sanglants événements traduisent la lutte pour le pouvoir qui se déroule en Libye depuis le renversement du colonel Kadhafi. Comme les Berbères (berbérophones ou arabophones) disposent d’une milice solide, si les miliciens de Misrata étaient chassés de Tripoli, ils constitueraient alors la principale force de la capitale. Clés d’explication d’une redistribution des cartes en cours :

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Libye-explication-et-consequences

  • Barricades devant l'Hôtel de Ville à Paris

    Le tireur fou serait-il dans les parages ?

    Non, juste des Sentinelles, qui ne lâchent rien.

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    Michel Janva

  • SOS Tout-Petits embarqué