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anti-national - Page 916

  • L'intox du jour : le racisme à toutes les sauces

     

    Pour ne pas avoir à traiter les vrais problèmes, le gouvernement se plaint du racisme, avec la complicité des médias, selon Ivan Rioufol :

     

    R"Assiste-t-on à une montée du racisme en France ? Deux quotidiens –Libération et Le Parisien- font leur Une sur ce thème, ce mercredi. "La France raciste est de retour", s’alarme le présentateur de TF1, Harry Roselmack, dans Le Monde daté de ce jour. Les réflexions imbéciles d’une ex-candidate FN aux municipales, qui avait comparé Christiane Taubira à un singe, alimentent l’accusation. L’Internet sert aussi de défouloir à des propos indéfendables. Mais dans l’esprit des deux confrères, ce racisme serait exclusivement porté contre les "minorités visibles". Le Blanc serait l’unique responsable de cette régression. Ce qui fait d’ailleurs regretter à la militante du multiculturalisme et du port du voile islamique, Rokhaya Diallo, que votre serviteur soit présent dans les médias : "Des polémistes comme Ivan Rioufol, que personne n’invitait il y a quinze ans, car leurs propos n’étaient pas jugés respectables, sont devenus audibles", se désole-t-elle dans Libération. N’étant pas raciste - je n’ai rien contre Rakhaya Diallo et je la mets au défit de sortir une phrase de moi qui pourrait alimenter ce procès en sorcellerie - j’en conclus que c’est ma propre personne - Français dit "de souche" - qui est insupportable à cette arbitre des élégances. Or je ne l’ai jamais entendue non plus prendre ses distances avec les nouveaux discours "nauséabonds" anti-juifs, anti-français et anti-blancs qui font le fond de sauce de l’idéologie différentialiste et querelleuse qu’elle cautionne.

    AJe sais bien que de telles remarques sont immédiatement récusées par les "antiracistes", qui ont décidé d’y voir la marque de l’extrême droite. Mais ce petit jeu ne trompe personne. Le racisme anti-gaulois et l’antisémitisme qui s’observent dans les cités mériteraient la même vigilance des sonneurs de tocsin. Or leur silence les décrédibilise. Pour ces sectaires et ces fanatiques, est raciste celui qui ne leur ressemble pas. Je suis vu comme raciste aux yeux des inquisiteurs, car je mets en garde, en effet, contre la salafisation des esprits, la montée des communautarismes, les atteintes portées à la laïcité par l’islam politique, le nouveau fascisme qui dresse ses listes noires d’indésirables. Je suis vu comme raciste car je dénonce le refus de s’intégrer de ceux qui n’estiment pas devoir faire l’effort de devenir français. Je suis vu comme raciste car j’estime qu’il ne revient pas à la république de se soumettre aux exigences des minorités, mais l’inverse. Dans Le Parisien, Alain Jakubowicz, président de la Licra, voit même du racisme dans le fait que "les Français sont 73% à penser que les étrangers viennent en France pour profiter de son système de protection sociale". Cette opinion serait-elle aussi délictueuse ? Tout ceci me fait dire que le pire danger qui nous menace est moins ce racisme-là, indéfini et mis à toutes les sauces, que le totalitarisme qui le porte, pour l'exhiber unilatéralement."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/lintox-du-jour-le-racisme-%C3%A0-toutes-les-sauces.html

  • La Turquie remercie François Hollande pour son soutien…

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    L’Union européenne et la Turquie ont ouvert hier mardi à Bruxelles un nouveau chapitre dans les négociations d’adhésion de ce pays et ont affirmé leur volonté d’accélérer le processus après plus de trois ans de paralysie.

    « C’est un tournant dans les relations entre l’UE et la Turquie après un hiatus de 40 mois », s’est félicité le ministre turc des Affaires européennes, Egemen Bagis, à l’issue de la dixième réunion consacrée au processus d’accession de la Turquie.

    M. Bagis et le commissaire à l’élargissement, Stefan Füle, ont officiellement ouvert le chapitre 22 portant sur la politique régionale.

    Le feu vert avait été donné en octobre par les ministres de l’UE chargés des Affaires européennes, soit quatre mois après la date prévue en raison de la répression par les autorités turques de la vague de contestation civile partie de la place Taksim à Istanbul.

    L’Union européenne a appelé Ankara à « s’engager davantage » afin de permettre l’ouverture de deux autres chapitres, les 23 et 24, portant sur les droits fondamentaux, la justice, la liberté et la sécurité. « Cela prendra, nous l’espérons, moins de trois ans et demi », le délai depuis la dernière ouverture, a-t-il déclaré devant la presse.

    M. Bagis a assuré qu’Ankara était prêt « pour le mariage, c’est-à-dire l’accession totale à l’UE » même si l’opinion turque souffrirait de « lassitude » vis-à-vis de ce long processus, a-t-il ajouté avec un brin de reproche. Et de se permettre une audacieuse affirmation : « L’UE a besoin de la Turquie au moins autant que la Turquie a besoin de l’UE ». Ce qui ne manque pas de culot quand on sait que l’entrée de la Turquie dans l’UE signifierait au contraire à plusieurs titres un effondrement de l’Europe. Un déferlement sans précédent d’immigration incontrôlée et une islamisation galopante du continent en seraient les premières conséquences dramatiques.

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  • Vincent Peillon : ministre fasciste

    Chantal Delsol répond à Politiqque Magazine :

    "[...] Quand le ministre de l'éducation nationale déclare « qu'il faut arracher l'élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social », quand il concocte une charte de la laïcité obligatoire, est-il dans son rôle ?

    Il est dans le rôle parfait d'un idéologue un peu daté, persuadé que l'état peut éduquer les enfants à la place des parents et en faire un bataillon de petits soldats à son service et à sa solde. Il ne faut pas hésiter à le dire : c'est du fascisme. Ce n'est pas parce que Monsieur Peillon parle au nom des Lumières qu'il peut tout se permettre. Arracher l'enfant à l'influence de sa famille pour le mettre sous influence étatique, c'est meurtrier de toute façon, quelle que soit l'idéologie au nom de laquelle on le fait. Devant cela, nous n'avons plus qu'à entrer en dissidence. [...]

    Les parents sont souvent absents en raison de cette idéologie de la toute-puissance républicaine qui prend les parents pour des demeurés auxquels il faudrait arracher les enfants pour que ceux-ci deviennent enfin modernes... L'idéologie républicaine est une pensée de la défiance : elle prend la majorité des citoyens pour des imbéciles et confère tout pouvoir à un petit groupe de sachants (c'est le « fer de lance » de Lénine) dont les professeurs laïcs. Ce serait une grande victoire d'entrer dans une pensée de la confiance (qui correspond, soit dit en passant, à notre culture chrétienne originelle et à la pensée démocratique en général), et de faire en sorte que les enseignants et les parents travaillent le plus possible ensemble."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Manifs lycéennes pour Léonarda : une enflure médiatique

    La photo ci-dessous en dit long. On y voit la manifestation d’aujourd’hui des lycéens parisiens exigeant le retour et la rescolarisation de la clandestine rom Léonarda (qui séchait d’ailleurs allègrement les cours).

    Une manif annoncée dans les médias, réunissant seulement quelques dizaines de gogos ou de gauchistes, mais avec là encore grand renfort de médias sur place.

    50 idiots d’extrême-gauche feront toujours plus de bruit dans les médias qu’un manifestation de 5000 nationalistes, c’est comme ça ! Il faut toujours garder en tête que les gros médias ne sont pas là pour informer, ce sont des outils militants.

    http://www.contre-info.com/

  • Avez-vous fait votre petite commission (européenne) ?

    On s'occupe à Bruxelles, comme le montre Minute :

    M"Dans les prochains jours, la Commission européenne doit annoncer des mesures de la plus grande importance et de la plus extrême urgence. A-t-elle trouvé comment procurer du travail aux près de 30 millions de chômeurs de l’Union européenne? Pas encore mais chaque chose en son temps. Ce qui l’occupe aujourd’hui, c’est autre chose. De tout aussi vital. C’est la question des critères à fixer pour attribuer le label écologique aux « toilettes à chasse d’eau et urinoirs ». En english, qui est la langue de l’UE: « Development of EU Ecolabel Criteria for Flushing Toilets and Urinals », selon le titre d’un rapport technique (sic) de 60 pages remis en mai 2013 après plusieurs années de travail et qui doit servir de base aux décisions qui vont être prises (pour ceux que la question passionne, les travaux ayant débuté en 2011, des kilos de rapports intermédiaires sont disponibles sur un site intégralement consacré au sujet!). [...]

    Avec un peu de subventions de l’Etat et beaucoup d’argent des entreprises, dans un premier temps, puis des particuliers, dans un second, c’est tout le renouvellement du parc de pissotières publiques et de toilettes privées des 500 millions d’Européens que les fabricants de modèles économes en eau peuvent viser. Comme disait le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso: l’Union européenne « doit être très visible sur les grands enjeux, plus discrète sur les questions de moindre importance »."

  • Le fils de Hollande au sein d'un Think Tank pronant le gender

    Le Think Tank Different a été fondé notamment par Thomas Hollande, le fils du président et de Ségolène Royal. L'une des notes récentes de ce Think Tank, rédigée par Darren Rosenblum, montre le lien entre l'idéologie du gender et la déconstruction de la famille. Extrait :

    "Cette note propose une réflexion sur la conception de la parentalité, et ce à partir d’une remise en question des rôles traditionnels homme – femme. Aujourd'hui encore dans notre société contemporaine, les fonctions parentales sont, à travers les conventions socioéconomiques, le plus souvent réduites à un travail féminin. Cependant, si nos principes juridiques sont certes basés sur la neutralité ou l’égalité sexuelle, il n’en reste pas moins que nos institutions promeuvent un statu quo sans poursuivre d'idéal désexué.

    La théorie présentée vise à séparer les droits et le statut social des rôles sexués liés au biologique : le terme « désexué » permet de remettre en cause le lien entre le sexe biologique et les rôles sexués. La parentalité est différenciée entre les fonctions de « maternité » et de « paternité », directement lié au sexe biologique. Pour échapper à cette division sexuée de la parentalité, nous devons la désexuer afin de permettre à des hommes et des femmes de devenir alternativement « parent », « mère » ou « père ». Ainsi, les parents peuvent être de sexe biologique différent ou de même sexe. Pour les parents hétérosexuels, cela signifie que chacun refuse de présumer que son partenaire sera enfermé dans un rôle particulier. Les parents homosexuels ou transgenres vivent en effet au-delà de la dualité masculin – féminin, cela signifie que chaque rôle est indéterminé et non exclusif. Cela permettrait également aux hommes de s’investir davantage dans l’éducation des enfants sans rester confinés à leur rôle de « breadwinner ». Cette théorie permettrait aux femmes de pouvoir tendre à une plus grande égalité socioéconomique sans rester confinées au rôle de « mère au foyer » et donc de « female carer ». [...]

    Au total, une politique familiale désexuée tend à effacer les stéréotypes sexués des fonctions parentales et permet d'inhiber en partie les dominations hommes-femmes. Cette théorie permet également de penser l’homoparentalité dans une nouvelle perspective où les responsabilités parentales seraient bien plus uniformes. Cette politique a par ailleurs des effets positifs en matière de rémunération des femmes."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/le-fils-de-hollande-au-sein-dun-think-tank-pronant-le-gender.html

  • La sénatrice UDI Sylvie Goy-Chavent, cible de sites juifs

    Des sites juifs mènent en ce moment une campagne de pétitions pour obtenir que la sénatrice Sylvie Goy-Chavent soit exclue de l’UDI. Pour quelle raison ? Parce que le combat mené par cette sénatrice contre l’abattage rituel est considéré rien moins que comme une attaque antisémite à l’encontre des « traditions millénaires » de la communauté juive.

    C’est que la sénatrice Goy-Chavent a brisé un tabou : parler des sommes prélevées par le Consistoire lors de la vente de viande cashère, de même que de l’argent est prélevé pour des organismes musulmans sur la vente de la viande halal.

    La sénatrice Sylvie Goy-Chavent est par ailleurs dénoncée pour avoir abordé ce sujet avec des médias alternatifs . Le Cercle des Volontaires – qui a publié une vidéo dans laquelle s’explique la sénatrice – devient aussitôt un site internet… « judéophobe et anti-israélien ».

    lire la suite=> http://medias-presse.info/la-senatrice-udi-sylvie-goy-chavent-cible-de-sites-juifs/

  • Maître Jérôme Triomphe obtient la condamnation d’un militant LGBT auteur d’une menace d’attentat contre Civitas

    Civitas communique :

    En mai 2013, le secrétariat de Civitas avait été menacé d’un attentat à la bombe par un homme se présentant comme militant LGBT. La presse avait quelque peu évoqué le sujet. L’auteur des faits avait rapidement pu être identifié par la police.

    Le dossier a été plaidé le 24 octobre devant le tribunal de Grasse.

    Bertrand DEMIERE, l’auteur des faits, était présent et accompagné d’une dizaine d’amis du lobby LGBT.

    Le président du tribunal ne l’a pas ménagé, pas plus que le procureur. Le prévenu a vaguement tenté de contester avoir fait une alerte à la bombe en prétendant avoir simplement dit que « ça allait péter ».

    Il n’a convaincu personne.

    C’est Maître Jérôme Triomphe qui plaidait au nom des parties civiles, agissant au nom de Civitas et de notre secrétaire qui a reçu l’appel menaçant.

    Il a rappelé l’ensemble des éléments matériels qui démontraient la réalité des infractions commises, tant la reconnaissance de principe du prévenu, ses vagues contestations, que des déclarations circonstanciées et réitérées de la secrétaire de Civitas.

    Surtout, Me Jérôme Triomphe a  rappelé que le prévenu a prétendu s’être senti agressé par ce qu’il entendait à la télévision ou à la radio dans le cadre du débat sur le mariage des invertis.

    En plaidant, l’avocat de Civitas lui ai répliqué que nous n’avions pas du entendre la même chose puisque l’ensemble de la grande presse et des grands médias était totalement acquis à la cause du « mariage » homosexuel.

    L’avocat Jérôme Triomphe a également longuement souligné que s’il y avait bien des agressés dans cette absence de débat, c’étaient bien les opposants au « mariage » homosexuel :

    - agression par les FEMEN de pacifiques manifestants composés notamment de femmes et d’enfants aspergés de « sperme de Jésus » ;

    - agression par le gouvernement méprisant 700 000 pétitions réunies en 15 jours pour seulement réclamer un débat qui n’avait pas eu lieu ;

    - agression par le même gouvernement par le biais d’arrestations arbitraires et policières de manifestants pour le seul motif qu’ils portaient un T-shirt marqué du logo de la « manif pour tous » ;

    - agressions par l’association Act Up, emblématique de la cause que prétendait défendre le prévenu, appelant au meurtre des manifestants opposants au « mariage » homosexuel en appelant à préparer les planches et les clous.

    - agressions enfin par le prévenu dont l’avocat de Civitas a rappelé que, lorsqu’il avait appelé pour faire son alerte à la bombe, il avait une voix extrêmement calme et posée.

    L’avocat Jérôme Triomphe a terminé en indiquant que, contrairement à ce que pouvait penser le prévenu, CIVITAS n’avait rien contre sa personne, mais entendait faire constater sa qualité de victime afin que de tels comportements ne puissent pas tenter d’autres personnes.

    Le président du tribunal et le procureur ont été très attentifs et ont semblé réceptifs.

    Dans son réquisitoire, le procureur a souligné le caractère particulièrement inadmissible de la démarche du prévenu au prétexte de défendre ses opinions. Il a requis une amende de 500 €, ce qui, au regard de l’état d’impécuniosité du prévenu constituait une sanction certaine.

    Le tribunal a été beaucoup plus sévère que les réquisitions du procureur :

    le sieur DEMIERE a été condamné à trois mois d’emprisonnement avec sursis outre 300 € d’amende.

    CIVITAS et la secrétaire de l’association ont été reçus en leur constitution de partie civile et DEMIERE a été condamné à verser à chacun un euro symbolique qui était demandé outre 800 € au titre des frais d’avocat.

  • L’immigration, marqueur politique paradoxal

    Au désespoir des adeptes de controverses argumentées, le débat public est généralement structuré par des polémiques autour de marqueurs symboliques. On discute moins de choix de politiques publiques qu’on ne campe dans un espace de polarité idéologique.

    L’immigration contemporaine, désormais associée à la religion musulmane, se hisse au tout premier plan de ces marqueurs. Il est fascinant de constater à quel point les positions des uns et des autres sur ce sujet se rangent selon un axe d’un implacable simplisme droite-gauche.

    Plus une force politique se classe à gauche et plus elle manifeste une position de principe favorable à l’immigration. Ainsi, Jean-Luc Mélenchon se prononce clairement en faveur de la régularisation de «tous les travailleurs sans-papiers». Au sein du PS, l’aile gauche professe la plus grande ferveur immigrationniste tandis que l’aile droite, incarnée par Manuel Valls, est la plus réservée. Un phénomène symétrique se manifeste au sein de l’UMP tandis que le FN est naturellement le plus hostile à l’immigration, accusée de tous les maux.

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