Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 993

  • Une situation qui peut se radicaliser

     

    130625

    Plusieurs événements ces derniers jours m'ont semblé revêtir une importance considérable pour l'avenir.

    Le premier s'est déroulé dans la Lot-et-Garonne marque peut-être pas la fin du prétendu front républicain mais le recul décisif, peut-être définitif, de ce mot d'ordre. Les électeurs de gauche eux-mêmes ne marchent plus. Un nombre considérable s'est déplacé pour voter blanc, plus de 5 000. Accessoirement les résultats bruts semblent aussi indiquer la persistance de ce qu'on a appelé "l'anti-sarkozysme", moteur essentiel de la victoire du candidat Hollande en 2012, et dont manifestement le pouvoir actuel cherche encore à se servir encore. Il ne dispose d'ailleurs guère d'autres arguments.

    Le discrédit de la classe politique dans son ensemble progresse dans le pays.

    Un autre fait doit être souligné : le rassemblement des bandes gauchistes dans le Quartier de l'Opéra dimanche soir avec quelques violences notables. Le chiffre de "6 000 manifestants antifascistes" est sans doute inflaté, mais il n'en annonce pas moins de prochaines provocations.

    Un point extrêmement positif et à soutenir : la mobilisation en faveur du jeune Nicolas, arrêté violemment le 16 juin lors d'une manifestation pacifique et condamné le 19 juin, alors qu'il avait surtout été la victime des forces de répression. Cette protestation doit être soutenue, notamment parce qu'elle transcende toutes les divisions coutumières de la droite en chapelles. Des pétitions circulent : il faut les signer et les faire connaître.

    Enfin, en filigrane, on notera la montée du péril islamo-terroriste intérieur. Il est largement représenté par des convertis décidés à frapper notre société, et leur pays. Cette situation peut se radicaliser, par la faute du sectarisme du pouvoir et particulièrement celui des ministères de l'Intérieur et de la prétendue Justice.

    http://www.insolent.fr/

  • Liberté d’expression : ce vent mauvais qui souffle sur Internet

    internet censureFaisant écho à la proposition d'Esther Benbassa, sénatrice écologiste du Val-de-Marne, qui réclamait en février dernier la mise en place d'un groupe de travail sur la liberté d'expression sur Internet, le député socialiste Malek Boutih a souhaité, le 12 juin à l'Assemblée nationale, que les pouvoirs publics prennent « le contrôle sur Internet », en confiant cette surveillance au CSA : pour l'ancien président de SOS Racisme « contrôler les tuyaux, c'est contrôler les contenus » !

    Déjà, dans son rapport sur la politique culturelle à l'ère des contenus numériques, remis le 13 mai dernier au Président de la République, Pierre Lescure avait préconisé la dévolution au CSA de missions de régulation nouvelles touchant aux vidéos distribuées via internet et la création d'une taxe sur les plateformes vidéos. Dans une tribune publiée le 13 juin par le Huffington Post, Esther Benbassa récidivait en n'hésitant pas à voir dans la mort de Clément Méric la marque des réseaux sociaux....Répétées à l'envi, ces déclarations troublantes constituent autant de signes avant-coureurs, annonciateurs sans doute d'une loi inédite qui viserait à domestiquer la liberté d'expression en ligne. En procédant à la refonte substantielle de la loi sur la liberté de la presse de 1881, pour l'adapter aux nouvelles technologies, il s'agirait ni plus ni moins pour nos e-censeurs que de faciliter la répression des propos diffusés sur les réseaux sociaux.

    Considérant que l'état du droit français est largement opérationnel pour réprimer les éventuels dérapages qui se produisent sur le net, le SIEL met solennellement en garde le gouvernement Hollande contre la tentation liberticide qui l'anime manifestement en voulant ainsi mettre au pas les libertés numériques. Echappant aux pesanteurs de la pensée dominante et du politiquement correct, Internet demeure en France le dernier espace de liberté d'expression : son intégrité est devenue aujourd'hui à ce point irremplaçable que nos compatriotes ne toléreront jamais qu'il y soit porté atteinte aussi peu que ce soit.

    par Karim Ouchikh
    Président exécutif du SIEL
    Administrateur du RBM  http://www.siel-souverainete.fr

  • 500 personnes soutiennent Nicolas devant le Palais de justice d'Angers

    0

  • Vous avez déjà perdu

    Intervention des Hommen hier soir, place Dauphine :

    "Alors si on fait les comptes:

    *Vous faites adopter une loi qui viole les droits de la majorité et des plus vulnérables pour plaire à un lobby qui représente la minorité d'une minorité.

    *Vous manipulez les sondages en dissociant les questions de mariage et d'adoption quand la loi porte sur les deux ensemble.

    *Vous ignorez des centaines de milliers de personnes descendues pacifiquement dans la rue à plusieurs reprises et falsifiez les chiffres de leurs mobilisations.

    *Vous foutez au panier une pétition historique de 700 000 signatures.

    *Vous accélérez le calendrier législatif pour prendre de vitesse les opposants.

    *Vous refusez d'organiser un référendum en invoquant le fait que l'article 11 ne prévoit qu'on y ait recours que pour les questions sociales et non sociétales; alors même que le terme "sociétal" est un néologisme qui n'existait pas en 58, et que la commission choisie pour examiner le texte à l'assemblée est précisément la commission des affaires SOCIALES.

    *Vous laissez des racailles de flics en civil malmener des jeunes filles et tabasser des gamins de 14 ans.

    *Vous refusez aux maires leur droit à l'objection de conscience en les menaçants de 7 ans de prison.

    *Vous faites coffrer des promeneurs parce qu'ils portent un sweat de la Manif.

    *Vous multipliez les détentions arbitraires et les procédures abusives.

    Et maintenant vous foutez en taule un étudiant qui est allé chanter la Marseillaise sur les Champs Elysées...

    Mais continuez M. Hollande! A ce train-là vous finirez par faire tirer sur la foule…

    Continuez mesdames et messieurs les juges, ministres, chroniqueurs et autres bonnes consciences subventionnées! Bientôt vous réhabiliterez la gégène…

    Continuez! Vous êtes en train de forger une génération de résistants.

    Vous croyez n'avoir à faire qu'à des cathos réacs mus par leur sentiment religieux? Vous êtes mal! L'ordre naturel qu'ils défendent est universel et vos coups de tonfa ont trempé leur conscience politique. Ils ont compris que ce mariage homo était le fruit vénéneux d'un arbre pourri par le mépris du peuple, la propagande médiatique et la dictature des minorités. S'ils pointent encore le fruit, ils pensent désormais à couper l'arbre. Et demain ils rallieront à eux le pays réel qui ne supporte plus votre condescendance.

    Continuez! Votre société utopique ne fait plus rêver. Notre génération en a soupé de votre progrès. Nous avons vu où mène votre libération des mœurs, votre marché-roi et votre relativisme déguisé en ouverture d'esprit. Nous sommes les enfants du divorce de masse, de la gay pride et de l'adultère en publicité dans le métro. Nous ne voulons pas de vos vies de merde de cocus compréhensifs et de working-girl dépressives.

    Continuez! De toute façon vous avez déjà perdu... Déjà Cohn-Bendit est tombé, le monde dégueulasse qu'il incarnait le suit. Votre activisme n'y changera rien, c'est du bouche-à-bouche à un cadavre."

    Carole d'Hombelois  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • De pareils monstres ont-ils le droit de vivre ? par Manuel Gomez

    Tous les experts psychiatres s’accordent aujourd’hui pour affirmer que Mathieu M. est un psychotique, un pervers et d’une dangerosité majeure. Dans un langage « Rabelaisien » on dirait : « Quand on voit les c……. on dit que c’est un mâle ».
    Il a fallu qu’il viole, assassine de 17 coups de couteau et carbonise une jeune fille de 13 ans, Agnès, pour qu’ils en arrivent à cette conclusion. Est-il besoin d’être un expert pour parvenir à une telle évidence ?
    Après avoir déjà violé, sous menace d’un couteau, et traumatisé à vie une autre jeune fille, Julie, en son village de Noges-et-Solorgues (Gard) en août 2010, Mathieu est libéré après quatre mois de détention provisoire, en novembre 2010 (sous soi-disant contrôle judiciaire !) car considéré comme « non dangereux » par l’expert psychiatre le Dr Claude Aiguesvives.
    Est-ce que ce médecin, est-ce que les juges, est-ce que tous les magistrats qui en avaient la responsabilité, ne se sentent pas complices des atrocités subies par Agnès ?
    Passons sur les détails qui ont conduit Mathieu M. à rejoindre l’établissement cévenol de Chambon-sur-Lignon (dissimulation du père, non présentation du dossier de suivi médical, etc.)
    Mathieu va probablement être condamné à une très lourde peine mais il est jeune et sortira un jour.
    Aura-t-il été soigné afin qu’il ne récidive pas ?
    Aura-t-il été castré chimiquement ?
    Aura-t-il été « lobotomisé », comme cela se pratiquait à l’époque, avant les années 50 ?
    Certainement pas… nous ne sommes pas des sauvages !
    Il ne faudrait pas que la fille, ou la petite fille, de l’un de ces experts, juges, magistrats, etc. tous complices de l’assassinat d’Agnès, croise le chemin de cet être malfaisant quand il sera libre de sévir de nouveau car leur analyse sera certainement différente !
    Un monstre pareil a-t-il le droit de vivre ?  Éternelle question.
    Je ne sais pas si la peine de mort est dissuasive mais ce dont je suis certain c’est qu’elle nous débarrasserait de ce monstre à tout jamais.
    Mais ne sommes-nous pas des humains civilisés ? Alors laissons-leur le droit de vivre pour qu’ils puissent récidiver.

  • Le Venezuela en état d’alerte

    Ce n’est pas d’aujourd’hui que le Venezuela est mis à l’épreuve des forces oligarchiques nationales et des politiques agressives de Washington. Depuis l’élection d’Hugo Chavez, en 1998, de l’adoption d’une nouvelle constitution , en 1999, d’une nouvelle élection présidentielle, conformément à la nouvelle constitution, en 2000, les anciens maîtres du Venezuela ne déragent plus. Oligarchies nationales, cupule ecclésiale et Washington serrent les rangs pour briser à sa racine ce nouveau régime.

    Dès 2002, une première tentative de coup d’État qui n’aura duré que quelques heures aura mis au grand jour les adversaires de la révolution bolivarienne. On se souviendra qu’avec l’aide de certains hauts gradés de l’armée, l’oligarchie nationale prit le contrôle des lieux décisionnels de l’État. Chavez fut transporté dans un lieu secret et les principaux acteurs de ce coup militaire (le patronat, la hiérarchie ecclésiale, les représentants oligarchiques et les médias meanstream célébrèrent cette victoire, le temps que le peuple et une partie de l’armée, restés fidèles à Chavez, interviennent et mettent fin à la fête. Chavez est aussitôt localisé, libéré et ramené au poste auquel le peuple l’avait élu, à savoir celui de Président.

    En 2004, selon une procédure prévue par la constitution, les opposants de Chavez font campagne afin d’obtenir suffisamment de signatures pour demander sa destitution. Un référendum a lieu et Chavez en sort encore plus fort. Il peut compter sur la majorité du peuple. À la même époque, mai 2004, 126 Colombiens, paramilitaires en mission au Venezuela, sont capturés. Ils avaient pour mission d’assassiner Chavez et de déstabiliser le gouvernement par des actions de sabotages. À cette époque, la Colombie est sous la gouverne d’Alvaro Uribe.

    Cette guerre souterraine contre Chavez et la nouvelle démocratie, celle du peuple pour le peuple, n’a jamais cessé. Les oligarchies et Washington avec la collaboration de la Colombie ne décolèrent toujours pas.

    En mars 2013, le président Chavez meurt d’un cancer bien mystérieux. Cette mort donne un nouvel espoir à ses adversaires, celui de reprendre le contrôle du pays et des richesses pétrolières. À ces objectifs s’ajoute également le sabotage des organismes régionaux d’intégration et d’unification des pays de l’Amérique latine et des Caraïbes. Il faut penser à UNASUR, MERCOSUR, ALBA, CELAC. Dans aucun de ces organismes ne figurent les États-Unis et le Canada.

    L’élection présidentielle du 14 avril dernier donna gagnant Nicolas Maduro, le candidat désigné par Chavez. Sa victoire a été bien en deçà de ce que les sondages disaient, mais il en est sorti gagnant.

    Une élection qui s’est déroulée dans un climat de paix et sous l’œil vigilant de plus de 300 observateurs étrangers. Une victoire, reconnue par tous des pays de l’Amérique latine. Les États-Unis sont le seul pays qui ne reconnaît pas les résultats de cette élection. En cela, l’Administration Obama apporte tout son soutien à l’opposition vénézuélienne sous la direction du candidat perdant, Henrique Capriles. Il faut préciser que ce dernier avait refusé, tant avant que pendant l’élection, de reconnaître les résultats de l’élection. Ces derniers jours, le Conseil électoral national a rendu publiques les conclusions de la révision totale des résultats de la dernière élection. À 99.009 %, ces résultats confirment ceux du 14 avril 2013.

    Le soir des élections, le candidat perdant, Henrique Capriles a invité ses partisans à aller manifester et à exprimer leur colère. Ce fut le début de nombreux saccages dans des lieux publics, dans des centres médicaux, dans des locaux du Coneil national électoral et ainsi que de nombreux blessés et de plusieurs morts. La nuit du 15 avril demeurera une page tragique de l’histoire vénézuélienne.

    « Dès l´annonce de Capriles, des groupuscules néofascistes déferlent dans les rues du pays. Des symboles du chavisme sont détruits, des militants attaqués et assassinés, des petits commerces sont saccagés et brûlés. On dénombrera 7 morts et 61 blessés, par balle pour la plupart. Cinq sièges régionaux du Parti socialiste Uni du Venezuela (Psuv) sont dévastés par les flammes, tout comme douze cliniques populaires où officient des médecins cubains. »

    Le 26 mai, Jos Biden arrive à Bogota pour une rencontre avec le président Santos. Il vient donner le signal d’une nouvelle offensive contre le Venezuela. En effet, à peine reparti de Bogota pour le Brésil, le président Santos reçoit officiellement Enrique Capriles, cet opposant qui n’a jamais voulu reconnaître les résultats de l’élection du 14 avril en dépit du fait que tous les pays de l’Amérique latine, y incluant la Colombie, les aient reconnus et que tous les observateurs internationaux en aient confirmé la pleine crédibilité. Capriles, c’est, également, celui qui a incité à la violence laquelle a fait plus de 63 blessés et 7 morts.

    Le Venezuela est en colère. Les principes de bonne entende, établis en 2010 entre les deux gouvernements, viennent se heurter à un autre agenda qu’a la Colombie. Les médias meanstream trouvent la réaction du Venezuela exagérée et présentent l’événement comme quelque chose de normal et d’interne à la Colombie.

    Pour le président Maduro, il ne s’agit pas d’un événement normal, relevant de la seule souveraineté de la Colombie. Cette colère vient du fait que le président Santos était bien au fait des crimes de Capriles et qu’il sait pertinemment que la dernière élection, sanctionnée par le Conseil électoral national, instance suprême de validation de toute élection, est la référence à prendre en considération. D’ailleurs, ce même président Santos avait participé avec tous les membres d’UNASUR pour discuter des élections au Venezuela et de la légitimité du président Nicolas Maduro. Tous, sans exception, y compris Santos, avaient alors reconnu la validité de l’élection et confirmé leur soutien au nouveau Président.

    Imaginons un seul instant que le Président du Venezuela reçoive officiellement le chef des groupes armés qui veulent renverser le gouvernement colombien ! Que se passerait-il alors de la part des autorités colombiennes et de ses alliés ? Ce serait, à n’en pas douter un motif suffisant pour couper toutes les relations diplomatiques entre les deux pays.

    Ce n’est pas tout. Deux jours à peine après cette rencontre explosive, le président Santos annonce son intention de demander l’intégration de la Colombie à l’OTAN. Une autre intervention qui vient semer la confusion dans les relations des pays de l’Amérique latine qui ont déjà décidé de faire de ce territoire une terre de paix.

    Sur ce point précis de l’OTAN, je vous invite à lire cet excellent article d’Alberto Rabilotta.

    Depuis, les évènements se succèdent.

    D’abord deux groupes de paramilitaires colombiens ont été arrêtés, début juin, en sol vénézuélien. Leur mission devait les conduire jusqu’à Caracas pour y assassiner le Président et d’autres personnalités du gouvernement.

    Vient par la suite cette information, transmise par le journaliste et ancien vice-président du Venezuela, Jose Vicente Rangel, à l’effet qu’une représentation de la opposition s’est rendue à San Antonio, Texas, pour y acheter 18 avions de guerre à être livrés sur une des bases militaire étasuniennes en Colombie.

    Je termine ce survol d’évènements avec cette double information. La première porte sur l’audience privée que le pape François accordera au président Maduro, lundi, le 17 juin. Une rencontre à suivre de près.

    La seconde est que trois représentants de l’opposition vénézuélienne seront reçus, deux jours plus tard, par le grand patron de la diplomatie vaticane. Il semblerait que ce soit pour réclamer la libération des soi-disant prisonniers politiques au Venezuela.

    Ce dernier point met en relief les relations privilégiées qu’a cette opposition avec l’épiscopat et le nonce apostolique vénézuéliens. À ma connaissance, c’est la première fois qu’une telle requête est présentée par une opposition politique à un si haut niveau. En général, elle s’adresse à l’épiscopat national qui voit ou non la pertinence d’en saisir le Nonce apostolique et par la suite ce dernier décide de s’en faire ou pas l’avocat auprès des plus hautes autorités de l’Église. D’autant plus que le Venezuela n’a pas la réputation d’avoir des prisonniers politiques, à tout le moins, pas depuis l’arrivée de Chavez à la Présidence, en 1998.

    On verra bien ce que la presse internationale va nous en dire de ces deux rencontres. Je vous promets que je vais y être attentif.

    Il n’y a pas de doute que la presse internationale meanstream sera là pour recueillir les commentaires et observations de ces représentants de l’opposition. Sur la rencontre du Président avec le Pape, il faudra, sans doute, que des scribes de l’information alternative prennent la relève.

    Bonne journée à vous tous et toutes qui avez eu le courage de me lire jusqu’à la fin.

    Oscar Fortin  http://chantaldupille.over-blog.com/

    http://humanisme.blogspot.com

    * http://humanisme.blogspot.fr/2013/06/le-venezuela-en-etat-dalerte.html

    http://www.mondialisation.ca/le-venezuela-en-etat-dalerte/5339349.

  • L’impossible racisme anti-blanc

    Au tribunal, la LICRA n’a pas voulu aller au bout de sa logique

    Logiquement, le tribunal correctionnel qui, vendredi à Paris, a condamné Arnaud Djender à trois ans de prison ferme pour une agression commise en septembre 2010 gare du Nord, n’a pas retenu contre lui la circonstance aggravante de racisme, en l’occurrence anti-blanc, requise par le procureur le 26 avril dernier.

    Térence C., une vingtaine d’années, avait été violemment frappé par deux individus, dont Djender – le coauteur des coups, en fuite, n’a, lui, jamais pu être identifié. Selon des témoins, les auteurs de l’agression avaient proféré des insultes racistes, « sale Blanc » notamment, à l’endroit de la victime, ce que l’accusé, défendu par Me Grégoire Etrillard, avait nié.

    La première condamnation en France pour racisme « anti-blanc » n’a donc pas été prononcée. Logiquement, car la LICRA (Ligue contre le racisme et l’antisémitisme), partie civile à l’audience du 26 avril, qui tenait à démontrer qu’un Blanc pouvait être victime de racisme, ne s’est pas donné les moyens d’étayer sa démonstration. Trop casse-gueule, sans doute. Comme si la LICRA avait fait sienne, en quelque sorte, la théorie des Indigènes de la République, selon laquelle il existe en France un « racisme structurel », procédant de la domination des « Blancs » sur les « Arabes », les « Noirs » et autres personnes de « couleur ». Chercher à démontrer, jusqu’au bout, que la victime avait été frappée parce que blanche aurait immanquablement conduit Me Mario-Pierre Stasi, l’avocat représentant la LICRA, à « ethniciser » sa plaidoirie contre le coauteur présumé des coups, par ailleurs tout à fait blanc de visage mais dont le patronyme, Djender, renvoie à une origine berbère. [...]

    Antoine Menusier - La suite sur Causeur  http://www.actionfrancaise.net

  • Manif pour Nicolas : Intervention de Marion Maréchal Le Pen place Dauphine

  • Si la crise pouvait avoir raison des médias publics

    Le ministre de la culture, Aurélie Filippetti, veut une nouvelle taxe afin d'élargir la redevance audiovisuelle aux nouvelles technologies. Elle a évoqué la piste d'une "déclaration" du contribuable qui indiquerait s'il "consomme du service public de la télévision", quel que soit le support

    Par ailleurs, Mathieu Gallet, président-directeur général de l'Ina et président de la Conférence permanente de l'audiovisuel méditerranéen-Copeam, plaide pour la défense des médias publics, financés par nos impôts mais très peu respectueux de nos opinions, en évoquant -sic- le pluralisme et la démocratie :

    "Imagine-t-on les chaînes de France Télévisions cesser soudain d'émettre, au motif de la rigueur budgétaire ? C'est pourtant ce qui s'est passé la semaine dernière en Grèce, pays membre de l'Union européenne et de la zone euro, où le gouvernement a pris la brusque décision de fermer le groupe de radiotélévision publique ERT. Si cette mesure extrême est sans précédent dans l'histoire de nos démocraties modernes, elle apparaît, hélas, symptomatique des dangers qui pèsent aujourd'hui sur les médias publics, dans l'ensemble de l'espace euro-méditerranéen. [...]

    Sous la pression de la crise économique, les gouvernants remettent en question ces médias en jouant sur deux types d'arguments : d'un côté, la gestion parfois défaillante de ces groupes publics, qui en font les cibles idéales d'une politique de rationalisation budgétaire ; de l'autre, des audiences en berne (autour de 10 % en Grèce), utilisées pour démontrer le caractère apparemment inutile de ces diffuseurs. Quand on veut tuer son chien, on l'accuse de la rage ; quand on veut fermer une télévision publique, on l'accuse de ne pas être regardée. Sans nier la réalité de ces problèmes ni les efforts nécessaires pour y remédier, les attaques de ce type ne laissent pas d'inquiéter. Elles semblent en effet réduire la question du service public des médias à une simple équation budgétaire, alors qu'il s'agit d'abord et avant tout d'un enjeu civique. Si les télévisions et radios publiques existent, sous des formes diverses, dans la quasi-totalité des démocraties modernes, c'est qu'elles apportent une contribution essentielle au pluralisme sous toutes ses formes, d'ailleurs reconnue tant par le Conseil de l'Europe que par l'Union européenne. [...]"

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le pouvoir veut dissoudre l’extrême droite !

    Par nature la gauche est persécutrice. Avant même de chercher à savoir ce qui s'est réellement passé au cours de la bagarre qui a conduit hélas à la mort de Clément Méric, la gauche dans son ensemble, le Premier ministre en tête, a déjà décrété qu'il s'agissait d'un assassinat et que l'extrême droite toutes tendances confondues était coupable. Utilisant un langage de guerre civile, le chef du gouvernement a appelé le ministre de l'Intérieur et le garde des Sceaux à « tailler en pièces » les « groupuscules d'extrême droite qui portent atteinte aux valeurs de la République et de la démocratie ». Autrement dit pas de liberté pour les ennemis de la liberté. Le 11 mars, Jean-Marc Ayrault est allé encore plus loin à l'Assemblée nationale, s'engageant à dissoudre différents groupements qualifiés d'extrême droite. Pour l'heure seuls les deux mouvements créés et dirigés par Serge Ayoub, Troisième Voie et les Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR) ont été explicitement cités mais tout laisse à penser que les pouvoirs publics ne s'arrêteront pas là et que d'autres structures pourraient être visées, notamment celles qui avaient été en pointe contre le projet de loi Taubira sur le "mariage" homosexuel.
    Or, contrairement aux délires de la gauche et de l'extrême gauche repris en choeur par les média, il s'agit d'un fait divers, certes dramatique, d'une bagarre qui a mal tourné et dont les principaux responsables, à en juger par les premiers éléments de l'enquête, sont les antifascistes eux-mêmes, c'est-à-dire la bande de Clément Méric. Voilà deux ans environ que ce groupe très violent de quelques dizaines de personnes fait de la provocation, perturbant volontairement toutes les manifestations de droite nationale et radicale. Nous en savons quelque chose puisque le dernier Pot des Amis de RIVAROL, en février dernier à l'Espace Dubail, a failli très mal se terminer : ce groupe, une fois que notre service d'ordre était parti (la réunion s'était terminée en retard), a essayé de pénétrer dans le local, donnant de violents coups de pied contre la vitre et il s'en est fallu de peu pour que la fin de la réunion ne tourne à la catastrophe. Il ne restait en effet qu'une quinzaine de participants, pour la plupart âgés et désarmés (nous étions en train de ranger les affaires et pour être tout à fait sincère nous avons passé un très mauvais quart d'heure en attendant l'arrivée de la police qui fort  heureusement a fait fuir  les assaillants). À l'époque nous n'avons pas voulu parler de cet incident dans le journal de crainte d'affoler nos lecteurs et de les décourager de revenir.
    Mais nous avons d'ores et déjà décidé pour l'année prochaine de prendre des mesures de sécurité supplémentaires. C'est dire que nous n'avons pas à faire à un groupe de militants pacifiques et joyeux mais à une bande désireuse d'en découdre et de « faire la peau aux fachos ». Telle est la réalité. Cela ne nous conduit pas pour autant à nous réjouir de la mort d'un jeune homme de dix-neuf ans qui avait la vie devant lui et il n'est pas de mort plus bête que de décéder dans une bagarre. Mais les plus coupables ce sont les pouvoirs publics qui étant parfaitement au courant des agissements répétés de cette bande lui ont laissé jusque-là une parfaite impunité. En refusant d'agir, le gouvernement est responsable de ce drame qui aurait pu et dû être évité. Il se trouve que la victime est du camp d'en face mais elle aurait très bien pu être du camp national. Si tel avait été le cas, il n'y aurait eu bien sûr aucune médiatisation, aucune manifestation, aucun appel à dissoudre les groupuscules d'extrême gauche et même beaucoup auraient été jusqu'à dire qu'au fond la victime n'avait que ce qu'elle méritait car un bon fasciste (ou prétendu tel) est un fasciste mort.
    La preuve en tout cas qu'il ne s'agit pas d'un assassinat prémédité ni même d'un homicide volontaire, c'est que le juge d'instruction a mis en examen le malheureux Esteban Morillo pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner » alors même que, dans l'excitation politico-médiatique initiale, le procureur de la République avait ouvert une information judiciaire pour homicide volontaire. La qualification retenue prouve que, contrairement à ce qui avait été avancé, il n'a pas été fait usage d'un poing américain. Mais qu'importe la vérité des faits. Cette affaire est du pain bénit pour un gouvernement minoritaire, discrédité, impopulaire. Elle crée une providentielle diversion à un moment où le chômage atteint des sommets, où la récession économique fait des ravages, où la croissance est négative, où les prélèvements explosent, où la délinquance et le crime ne cessent de s'accroître, où la gauche perd toutes les élections partielles (encore deux sièges perdus dimanche dernier chez les Français de l'étranger) et où les cotes de popularité du président de la République et du Premier ministre atteignent des niveaux historiquement bas. C'est l'occasion pour une gauche fanatique et sectaire de s'en prendre à ses plus farouches opposants, de régler ses comptes avec les valeureux adversaires de la loi Taubira en multipliant les dissolutions de mouvements de droite radicale, les arrestations arbitraires de leurs dirigeants, les procédures judiciaires et administratives en tous genres. Un étrange coup de téléphone anonyme nous a prévenus jeudi dernier que RIVAROL était également dans le collimateur et qu'il fallait s'attendre au pire. Cette gauche est vraiment haïssable.
    RIVAROL,
    < jeromebourbon ©yahoo. fr >.