L’affaire Couëtoux.
Pour la presse régionale de l’Ouest les choses sont simples : protester contre la construction avec l’argent public d’une grande mosquée à Angers, ce n’est pas une opinion, c’est un délit. A la suite de l’interpellation bon enfant du conseil municipal d’Angers par des Identitaires (en avril 2011), la presse locale s’est déchaînée. Les journalistes n’ont pas rapporté des faits, ils ont réclamé des sanctions. Ils ont fait pression sur la justice et sur la préfecture pour obtenir de lourdes condamnations pénales d’un père de famille nombreuse et sa révocation de la fonction publique. Le corps préfectoral a fait profession de lâcheté. La justice a plutôt bien résisté. La presse locale a renvoyé en bas de page la décision de la Cour de cassation donnant raison à Benoît Couëtoux, sans le citer mais en réitérant ses accusations. Nous n’avons pas affaire à une presse d’information mais à des organes de propagande, subventionnés par les contribuables !
Polémia
La Cour de cassation a définitivement blanchi Benoît Couëtoux le 11 juin dernier en rejetant la demande de pourvoi déposée par le procureur général d’Angers suite à la relaxe dont avait bénéficié le militant Identitaire devant la Cour d’appel d’Angers. Cette affaire, déjà évoquée par Polémia
Affaire Couëtoux : Ubu antiraciste est emblématique de l’influence et du parti pris des médias dans le traitement d’une affaire judiciaire. Si les médias nationaux sont experts en matière de désinformation, les plumitifs locaux d’une ville moyenne de l’Ouest de la France n’ont rien à leur envier, jouant de leur influence afin de dicter la conduite à suivre aux autres pouvoirs : politique, administratif et judiciaire.
« Le journalisme citoyen »
Le 11 avril 2011, un groupe de jeunes Identitaires manifeste, en début de séance du conseil municipal d’Angers, afin de protester contre le projet de construction d’une mosquée cathédrale et dénoncer son éventuel financement par la commune. La séance est brièvement interrompue, il n’y a ni casse, ni violences. Cet innocent chahut n’aurait dû faire l’objet que d’une mention dans le compte rendu du conseil municipal par la presse locale. Mais le maire socialiste porte plainte et l’affaire prend rapidement une tout autre tournure : l’information est très vite diffusée par différents médias nationaux. Il prend surtout localement une ampleur inconsidérée, les journalistes de Ouest-France et du Courrier de l’Ouest frisent l’hystérie, relayant l’indignation des édiles socialistes avec force superlatifs : « L’agression est raciste et islamophobe » ; le groupe de jeunes étudiants entrés dans la salle du conseil à visage découvert devient un « commando masqué ». Le titre barrant la Une du Courrier de l’Ouest du 14 avril, trois jours après les faits, est éloquent : « Vague d’indignation en Anjou après l’agression anti-islam ». Il faut absolument faire croire au brave Angevin lisant son journal le matin que l’action des Identitaires est forcément scandaleuse et condamnée par tous (la « vague d’indignation » n’est qu’une vaguelette, voire une simple ride sur une mer d’huile : seuls le maire socialiste d’Angers, un conseiller municipal centriste jouant un rôle d’opposant de pacotille et l’association des musulmans s’indigneront…). Le tragique le dispute au ridicule avec les déclarations grandiloquentes d’un pigiste du mensuel gratuit Angers Mag Info qui ose écrire : « Il nous appartient, nous journalistes citoyens (sic), de dénoncer ces situations et faire en sorte qu’elles ne se multiplient pas, en rappelant à ceux qui voudraient se tourner vers ces idées que c’est grâce au croisement des cultures que l’on fait progresser la nôtre (…) Il est de notre devoir de dire NON et de refuser ce genre d’action. »
Les « journalistes » de la PQR : des professionnels de la chasse à l’homme
Pour les gazetiers locaux, l’objectif est clair : il s’agit de dénoncer, de répéter, de marteler que l’action des Identitaires est forcément, obligatoirement, évidemment islamophobe. Cette accusation sera répétée en boucle lors de chaque épisode du feuilleton judiciaire. Dans les jours précédant le procès, différents articles font monter la pression, annonçant la comparution prochaine du meneur du « commando raciste » et relayant complaisamment les appels à manifester de la communauté musulmane. Aux yeux des journalistes, nul doute que la « Bête immonde » sera lourdement condamnée, et les journalistes envisagent déjà avec gourmandise la radiation de la fonction publique de ce fonctionnaire, père de trois enfants en bas âge… Pourtant, les poursuites pour incitation à la haine raciale sont d’emblée écartées par les magistrats (et pour cause…) et l’essentiel des débats traite de la réalité ou non d’un délit d’entrave des débats du conseil municipal. Les journalistes présents cependant n’en démordent pas et semblent obnubilés par un prétendu mobile raciste : « Etes-vous raciste ? » interroge le journaliste de France 3 à la sortie de l’audience. « Les nez de cochons sont-ils racistes ? » titre sur toute sa Une l’édition du Courrier de l’Ouest du lendemain. A l’évidence, poser la question revient déjà à répondre par l’affirmative. L’avocat des associations musulmanes qui dénonce les pseudo-motivations racistes des Identitaires voit ses accusations largement relayées par la presse tandis que la brillante plaidoirie à dominante juridique de Me Guillou, le défenseur, est expédiée en trois lignes…
Le corps préfectoral tétanisé de trouille par… les médias
Ce parti pris n’est pas sans conséquences : d’ordre professionnel, tout d’abord, pour Benoît Couëtoux. Celui-ci, fonctionnaire excellemment noté à la préfecture d’Angers, a, dès sa mise en cause, prudemment été suspendu par le préfet. Par ses collègues (qui, tous, lui exprimeront une solidarité discrète mais sans faille…), Benoît Couëtoux apprendra que le corps préfectoral est tétanisé de trouille par cette affaire. En effet, si jamais le fonctionnaire était condamné pour incitation à la haine raciale, la radiation du fautif serait immédiate !
Le comportement des médias n’est sans doute pas également sans conséquence sur la décision du tribunal : s’il apparaît, lors de l’audience, que les trois magistrats sont sensibles aux arguments de la défense, la pression médiatique est telle qu’une relaxe semble inenvisageable en première instance. De fait, Benoît Couëtoux est condamné à 1500 euros d’amende, à la grande déception du Courrier de l’Ouest dont le journaliste regrette la « relative clémence » du tribunal. Preuve de la gêne des magistrats vis-à-vis des médias, les attendus du jugement ne sont pas rendus publics comme il est de coutume habituellement. Mais les journalistes se rassurent : il y aura un deuxième round, le parquet fait appel de la décision judiciaire tandis que la préfecture, après avoir envisagé d’entamer une procédure disciplinaire à l’encontre de son agent, maintient prudemment sa mesure de suspension au cas où…
Juger selon le droit et non ce qui s’écrit dans les journaux
Six mois plus tard, lors du procès en appel à Angers en juin 2012, la pression médiatique est retombée et l’audience se déroule cette fois dans une indifférence quasi générale. L’avocat général se félicite d’ailleurs du climat apaisé permettant un jugement en toute sérénité pour les magistrats de la Cour d’appel, selon le droit et non selon ce qui s’écrit dans les journaux : Benoît Couëtoux est relaxé ! Il n’y a pas eu d’entrave aux débats, ni bien entendu de racisme… Le journaliste du Courrier de l’Ouest semble catastrophé et écrit : « Benoît Couëtoux n’est pas condamné et va pouvoir réintégrer ses fonctions à la préfecture… » Mais le parquet général se pourvoit en cassation du jugement de la Cour d’appel. Quant au préfet, il attend deux longs mois avant de décider de sanctionner le fonctionnaire mal pensant, contre l’avis du conseil de discipline (!). Le fautif est muté loin de la préfecture. On aimerait une telle sévérité pour les nombreux étrangers en situation irrégulière dans le Maine-et-Loire…
Au terme de deux ans de procédure, la décision de la Cour de cassation confirmant la relaxe de Benoît Couëtoux sera traitée très laconiquement par la presse locale : rien dans le Courrier de l’Ouest et un article relégué en page locale dans Ouest-France. Comme le constate Jean-Yves Le Gallou dans son livre La Tyrannie médiatique, le bruit médiatique décline avec le temps : considérable à l’annonce des poursuites, fort à l’annonce de la condamnation de première instance, faible en cour d’appel et quasi inexistant en cassation…
La conclusion de ce dernier article est édifiante, ressassant une fois encore les arguments de l’avocat de la communauté musulmane, il se termine ainsi : « Il est dommage que le ministère public ait requalifié les faits de provocation à la haine raciale, ces faits eux-mêmes étaient condamnables… ».
Pour les journalistes, quelles que soient les décisions de justice, y compris celle de la plus haute juridiction, Benoît Couëtoux devait être condamné, il est coupable, c’est un raciste et un islamophobe…
http://www.polemia.com
Voir aussi :
anti-national - Page 996
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Presse totalitaire : l’exemple de la mosquée d’Angers
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Voudrait il mettre en route le Printemps français qu'il ne s'y prendrait pas autrement !
Question du député Jacques Myard au Premier ministre :
"M. Jacques Myard appelle l’attention de M. le Premier ministre sur la disproportion et l’ampleur des moyens mis en œuvre par les services de l’Etats à l’encontre des opposants au mariage anti homosexuel, parfaitement indignes d’un Etat de droit tel que le nôtre. Les témoignages et preuves étayées sur de très nombreux supports abondent et traduisent une dérive très préoccupante vers une répression politique qui bafoue les libertés publiques. Ainsi le seul port d’un t- shirt avec le label « la manif pour tous » ou un drapeau vaut confiscations, interpellations et arrestations, gardes à vue avec une pratique tout à faitarbitraire et disproportionné des moyens répressifs à l’encontre de manifestants. Dernier exemple en date, proprement scandaleux un jeune homme qui a osé manifester sous les fenêtres d’une chaîne audiovisuelle où était interviewé le président de la République fait l’objet d’une comparution immédiate et se retrouve aussitôt en prison, avec une peine de 4 mois dont deux fermes ! Cette sévérité hors norme et sans aucun fondement est à mettre en parallèle avec le traitement plein de mansuétude de délinquants acteurs de violences inqualifiables comme les jeunes braqueurs du RER D de Grigny., Il est aisé pour nos concitoyens choqués de voir qu’il y a une politique de deux poids deux mesures. Ces agissements arbitraires ne démobiliseront pas nos concitoyens qui veulent pouvoir continuer à manifester leur opposition vigoureuse mais pacifique à ce projet de société. Jacques Myard lui demande de bien vouloir faire cesser sans délai ces pratiques abusives , et de garantir effectivement aux Français le droit de manifester sans être inquiétés par les excès de zèle policiers, contraires aux principes qui fondent notre démocratie."
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Manif pour Nicolas au Panthéon : "La vérité est avec nous et la vérité rend libre"
Ainsi s'exprime en direct et devant une foule immmense la mère de Nicolas qui lance un appel au calme avec une dignité qui invite à l'admiration (lire ici la lettre des parents de Nicolas).
Avant c'était maître Gruau qui avait la parole :
"Il a été coursé par les forces de police sans raison (...)
3 jour et 3 nuits avant d'être jugé pour rien. On commence à être habitué (...)
Il a été purement et simplement mis en prison. Nous avons fait une demande de liberté en appel".
Auparavant, c'était M Legaret qui prononça un discours :
"La France est un pays de liberté, liberté qui a été conquise parfois au prix de la vie de nos ancêtres (...)
Aujourd'hui, Nicolas est victime d'une lettre de cachet (...)
On a gardé à vue des étudiants, des Marianne. Aujourd'hui, on a embastillé Nicolas".
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Le Pape appelle à abroger la loi Taubira : merci François !
Il n’a pas sa langue dans la poche, notre pape François, et c’est pour cela qu’on l’aime. En rappelant aux 45 députés et sénateurs français, reçus en audience samedi au Vatican, que leur tâche peut également consister à « abroger des lois », en affirmant que l’Église « désire apporter sa contribution spécifique sur des questions profondes qui engagent une vision plus complète de la personne et de son destin », non seulement au niveau « anthropologique ou sociétal, mais aussi dans les domaines politique, économique et culturel », et en se félicitant que « la société française redécouvre des propositions faites par l’Église […] qui offrent une certaine vision de la personne et de sa dignité en vue du bien commun », le nouvel apôtre des pauvres prouve à nouveau son courage et sa perspicacité.
Son courage, on n’en doutait plus ; la réforme de gouvernement de la curie qu’il a engagée, sa parole vraie, directe et incisive vis-à-vis de quelques princes cléricaux carriéristes en attestent. Mais l’allusion claire à l’abrogation de la loi Taubira, qu’il relie à une redécouverte en France de la doctrine sociale de l’Église, révèle sa capacité à comprendre ce qui se vit chez sa fille aînée, éternelle jouvencelle, d’une manière bien plus lucide que la plupart des administrateurs, élus ou non, du vieil Hexagone.
S’il est une nation qui a été ratiboisée dans son identité par un laïcisme anticlérical, c’est bien la France. S’il est un pays où moins qu’un autre on pouvait imaginer que des chrétiens, que l’on croyait affadis et tous au moins septuagénaires, se lèvent au nom de leurs valeurs contre un projet de loi gay-friendly, c’est bien celui de la première convention.
Pourtant, la profondeur de ce qui se dit dans les assemblées de Veilleurs partout en France chaque soir, la vitalité des engagements de groupes comme les Mères Veilleuses ou les Hommen, la sagesse qui inspire des associations soucieuses de la formation des leurs, comme Alliance Vita ou Renaissance catholique, témoignent d’une singulière conception anthropologique puisée aux sources d’une Église aussi inspirée qu’à son origine.
Ils ont raison, les commentateurs, quand ils parlent de radicalisation, à condition qu’on la comprenne au sens de retour aux racines que donne son étymologie. Et n’en déplaise à quelques culs bénis, faux chouans et vrais tartuffes, qui cachent leur tiédeur derrière une pseudo-prudence de façade, c’est une bonne chose ! C’est le retour aux racines d’une civilisation qui a porté au plus haut la dignité de l’être humain et à laquelle quelques apprentis sorciers alliant malthusianisme et théorie du genre voudraient substituer la leur, toute imaginaire qu’elle est.
45 parlementaires français vont revenir de Rome, exhortés par le Pape d’insuffler aux lois un « esprit, une âme qui ne reflète pas uniquement les modes et les idées du moment ». Ils vont rencontrer dans leurs départements et leurs circonscriptions des Français galvanisés par neuf mois de combat et de résistance contre une loi parfaitement emblématique de ce qu’est un « projet tendance » dépourvu de tout fondement naturel solide. Si tout ce petit monde est capable de s’entendre, d’entendre surtout le souffle mystique qui peut rendre au sel d’un peuple le goût qu’il croyait avoir perdu, les mois qui viennent nous promettent d’être particulièrement épicés.
Merci François !
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TOUS A PARIS DIMANCHE
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23 juin : manifestation devant la Préfecture de Lyon à 18h
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Communiqué de l'Action française : Nicolas, prisonnier politique
Quand le sectarisme le dispute à la haine.
On ne cesse de le répéter, nous sommes sous le joug d’un Etat totalitaire qui utilise la justice comme une arme de répression. Il ne suffisait pas que les « inspecteurs la bavure » sévissent sur nos trottoirs matraquant et gazant tout ce qui de près ou de loin ressemble à un manifestant anti-Taubira.
Maintenant on est passé au degré supérieur : vous êtes patriote, vous êtes catholique, ? Allez tout droit en prison sans passer par la case départ.
La justice, comme son nom l’indique, est censée analyser les situations, examiner le contexte, être juste quoi.
Non, naïfs que vous êtes, ça c’est fini, c’était avant.
Le changement c’est maintenant.
Nicolas, jeune homme de 24 ans en marge de la manif devant les locaux de M6, sans casier judiciaire, a eu le malheur de prendre la fuite devant une dizaine de flics (en civil) armés de « tazer » et de matraques, et de se réfugier dans un restaurant. Il a été frappé à terre devant les clients de l’établissement horrifiés.
Comme il fallait justifier une telle violence complètement gratuite, il a été déféré, jugé et immédiatement incarcéré. Deux mois de prison ferme et une amende.
Tandis que pratiquement dans le même temps, la bande qui a attaqué le RER D et dévalisé les voyageurs est relaxée.
Si on ne voit pas que notre justice s’intéresse plus au délit d’opinion qu’à la délinquance crapuleuse, que notre république a remplacé nos juges par des accusateurs publics, c’est que ce régime de terreur a déjà fait son œuvre dans les esprits, devenus lâches, résignés ou contaminés par la haine distillée par le pays légal contre les Français sans doute jugés trop honnêtes pour être honnêtes.
Désormais, les choses sont claires. Il n’y a plus d’Etat, plus de justice, une police de « tontons Macoutes ». On n’attend plus que Duvalier pour oindre notre président normal.
Nous disions résistance et on nous disait outranciers.
Les donneurs de leçon, méprisants et/ou bigleux ne voient pas plus loin que leur assiette de « fastfood »
Mais, qu’on me permette cette échappée grandiloquente, ils ne voient pas « le vol noir du corbeau sur nos plaines », ils n’entendent pas « le cri sourd du pays qu’on enchaîne ».
Cela veut dire, petit père, que nous sommes appelés à résister et, de fait, dans une certaine radicalité, puisque le pouvoir use de la force sans modération, comme ferait une armée d’occupation si elle avait à mater les plus dangereux : ceux qui défendent les valeurs constitutives de la patrie.
Alors debout armée de l’ombre, apprêtons nous au combat, sans arme, puisque nous avons choisi la non-violence, mais sans faiblesse.
On ne lâche rien.
Le Centre Royaliste d’Action Française http://www.actionfrancaise.net
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Des magistrats dénoncent la condamnation de Nicolas
Non que ces magistrats soutiennent la Manif pour Tous, mais ils s'inquiètent d'une dérive, d'un glissement, d'une certaine partialité, d'une justice aux ordres. Ces hauts fonctionnaires ne se reconnaissent pas dans les interpellations et condamnations des manifestants anti-mariage pour tous. Et certains affirment être entrés en résistance face à cette dictature. Une défiance qui ne saurait être un bon signe dans une société crispée et fragile. Le Point.fr publie le courrier anonyme d'un magistrat.
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[Vidéo] Les racailles d'Argenteuil, elles, n'iront pas en prison !
Sur FdeSouche : 2013 : Argenteuil, en France
La vidéo permet en outre de voir quelques images (vues de l’intérieur de la mairie) d’une information restée quasiment confidentielle et diffusée uniquement par le site web de M6 et quelques sites spécialisés : ...
...l’agression du commissaire de police d’Argenteuil par une trentaine de jeunes qui lui ont « asséné coups de poing et coups de pied. Les policiers ont dû être exfiltrés dans la mairie » (M6) (montage photo ci-dessous) (voir aussi reportage audio France Bleu ici)
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PRIORITÉ À LA JEUNESSE QU'IL DISAIT ! IL A TENU PAROLE
OUI, RAPPELEZ-VOUS SES FIERS ENGAGEMENTS DE CAMPAGNE, en 2012 ! ses 60 propositions...
"Je veux remettre l’éducation et la jeunesse au cœur de l’action publique.... Mes trois priorités : le redressement des comptes publics et de l’industrie, la justice et la jeunesse...
"Je veux donner confiance dans l’avenir et retrouver la promesse républicaine, et d’abord pour notre jeunesse. "
Il ne fait plus rire personne !