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anti-national - Page 990

  • L'ÉCONOMIE DÉTRUIT L'ÉTAT-NATION

    La pensée est devenue unique - parait-il - et l'on peut même dire qu'elle est devenue économique et d'un seul courant. Le seul mot d'ordre actuel est la destruction de tout esprit national et cela passe par la machine de guerre économique.
    La France, plus vieil État-Nation de l'Occident, a toujours eu une politique économique organisée dans un cadre national depuis les rois, et en particulier Louis XIV, jusqu'au général De Gaulle qui était animé du volontarisme économique le plus solide : plan calcul pour l'informatique, programme spatial, armement nucléaire le plus moderne, aérospatiale...
    Depuis Pompidou, ancien directeur de la banque Rothschild, et Giscard, sans discontinuer, les gouvernements n'ont fait qu'organiser le démantèlement économique de la France pour la soumettre aux «lois» du marché mondial.
    Les capitaux, la Finance internationale sont les maîtres de l'économie. L'emploi n'est plus une priorité et, l'on pourrait même dire, qu'il est le dernier des soucis. Vis à vis de celui-ci n'existe que le pieux discours sur la baisse des charges, la flexibilité des salaires ou le discours infantile d'Alain Madelin « si le libéralisme était vraiment appliqué, tout irait mieux dans le meilleur des mondes possibles ». Mais en fin de compte seule compte la bonne santé des marchés financiers.
    L'État ne peut plus intervenir dans un cadre national. D'ailleurs tous les outils qui étaient à sa disposition lui sont enlevés les uns après les autres.
    La Banque de France n'existe plus et la Banque Centrale européenne est indépendante des gouvernements. Toute politique monétaire est donc extrêmement limitée. Quant à la politique budgétaire, les fameux critères de Maastricht l'anéantissent presque totalement.
    L'État de régulateur devient même dérégulateur. La croissance et la création d'emplois ne sont plus des objectifs dans une économie sous la domination des marchés financiers.
    Le productif est soumis au financier. On ne raisonne qu'à travers la sphère monétaire et non plus celle réelle des biens et des personnes. Ceci est bien sur totalement contraire à l'intérêt réel des agents économiques, à part celui de quelques financiers. La pensée keynésienne de régulation, qui a fait ses preuves, qui s'effectuait très bien dans un cadre national et avait comme objectif une augmentation des biens et de l'emploi (donc du bien-être économique), n'a plus de raison d'être dans le contexte économique actuel sauf pour des pays qui ont gardé leur souveraineté comme les États Unis, le Japon, la Norvège, la Suisse et dans une certaine mesure la Grande Bretagne (pays qui ont tous moins de chômage).
    Cette pensée unique qui se veut irremplaçable est bien sûr fondée sur des prémisses idéologiques de la fin des Etats-Nations où tout ce qui peut rappeler l'idée d'une vision nationale est à bannir. L'Euro fait partie de cette logique puisque les nations n'ont même plus leur propre monnaie et seront complètement immergées dans les mécanismes financiers internationaux. De Gaulle disait souvent : « l'intendance suivra ». Maintenant il faut inverser cette, phrase : c'est à partir de l'économie que les Etats-Nations et leurs structures seront détruits de façon inexorable. Jacques Chirac, comme les socialistes, a totalement accepté cette nouvelle pensée économique.
    Un changement de politique ne pourra s'effectuer que par un changement des hommes politiques en place et par un renouveau total de la classe politique et des partis. Les Français par un sursaut de survie pourront alors empêcher la destruction et la mort de leur nation. Ceci serait même avantageux sur le plan économique, car la France aurait de nouveau le choix de la croissance et du plein emploi. Les années où la France était souveraine correspondent aux périodes de forte croissance et de plein emploi. La construction européenne s'est accompagnée, elle, d'une croissance de plus en plus faible et d'un taux de chômage de plus en plus grand. Ce changement est d'autant plus réalisable que la France est, quoi qu'on dise, la 5° puissance industrielle mondiale et n'est pas du tout le nain économique qui nous est décrit par les «anéantisseurs» de notre pays qui cherchent à tout prix des raisons et des prétextes pour accélérer sa disparition et la faire accepter par les Français eux-mêmes. La pensée qui se veut unique n'est pas du tout incontournable mais est un choix idéologique. D'autres choix sont possibles tout en restant dans des cadres nationaux et d'échanges réciproques. La France peut très bien continuer à exister au milieu des autres pays européens sans disparaître.
    Mais ceci ne se fera pas grâce à un gouvernement socialiste qui a complètement accepté la logique de la mondialisation. La seule différence avec la droite est qu'il met un léger baume de social.
    Il faut donc une rupture totale grâce à un parti qui prône de nouveau une France souveraine, tant sur le plan politique qu'économique.
    par Patrice GROS - SUAUDEAU Statisticien - Économiste  1997

  • « Je me fous des Bretons » (Nicolas Sarkozy)

    PARIS (NOVOpress Breizh) – Nicolas Sarkozy a de gros problèmes d’argent. Au 31 juillet, son parti l’UMP, doit – ou devrait – rembourser aux banques un prêt de 11 millions d’euros, or l’Etat ne remboursera pas cette somme au parti en question car les comptes de campagne de M. Sarkozy – correspondant à l’élection présidentielle de 2012 – ont été invalidés par le Conseil constitutionnel. Ben sûr, l’inquiétude n’est pas de mise puisque les banquiers accepteront de bonne grâce le rééchelonnement de la dette.

     

    En effet le principal créancier concerné, la Société générale, dont le PDG n’est autre que Frédéric Oudéa, ancien conseiller de M. Sarkozy lorsque celui-ci était ministre du Budget, en 1993. Sous la présidence de M. Sarkozy, la Socgé a bénéficié en décembre 2008, de deux emprunts d’Etat de 1,7 milliard d’euros chacun. On voit mal, dans ces conditions, comment la banque et l’UMP pourraient ne pas trouver un accord pour quelques millions (Libération, 09/07/13).

    Cette question ne peut laisser indifférent M. Sarkozy car ce dernier s’était porté caution solidaire du prêt de 11millions d’euros que le parti doit rembourser au 31 juillet (Le Monde, 09/07/13). D’où l’organisation d’un « Sarkothon » destiné à trouver des fonds permettant de couvrir cette dette. SelonLes Echos (22/07/13), près de 7 millions d’euros auraient déjà été récoltés. Une somme suffisante, d’après Jean-François Copé, pour que les banques acceptent d’accorder un nouveau prêt si la somme de 11 millions n’est pas réunie. Donc l’ancien président de la République pourra partir en vacances l’esprit tranquille. Certes, les esprits chagrins font remarquer que le parti compte 44 millions de dettes, en dehors du prêt de 11 millions à rembourser pour la campagne de Sarkozy. Pour revenir à l’équilibre fin 2016, il doit rembourser 11 millions d’euros par an à quatre banques à qui il a emprunté 55 millions d’euros (Le Monde, 03/07/13).

    Bien sûr, il faut tenir compte du financement public dont bénéficie l’UMP, à savoir 19,87 millions d’euros en 2013 (Journal Officiel du 28/05/13), à quoi s’ajoutent les cotisations des adhérents et des élus.

    Soucieux d’aider Nicolas Sarkozy à sortir de ce mauvais pas, le Canard enchaîné (10/07/13) propose six pistes pour « faire du fric » et lutter contre le surendettement. L’une d’elle consiste à « discourir plus ». En effet l’ancien président de la République s’est lancé dans une carrière de conférencier international. Il parait que M. Sarkozy est un orateur recherché. Ses prestations sont généralement évaluées à 100.000 dollars (1 euro = 1,30 dollar).

    En douze mois, Nicolas Sarkozy est allé dispenser ses avis et analyses sur la situation préoccupante de l’Union européenne, l’état de la mondialisation ou les perspectives de sortie de crise aux Etats-Unis, en Russie, en Chine, à Singapour, au Brésil, en Lybie, au Qatar, au Canada et enfin en Grande-Bretagne. Et, d’ici à l’automne, le « Sarko tour » est annoncé en Israël et au Mexique (Le Nouvel observateur, 11/07/13). En octobre dernier, à New York, invité par le groupe brésilien BTG Pactual, principal fonds d’investissement d’Amérique latine, il aurait empoché 120.000 dollars, pour une conférence à Las Vegas, invité par la société américaine de gestion d’actifs Skybridge Capital, il serait reparti avec 200.000 dollars. Début juin, à l’hôtel Intercontinental de Londres, l’ancien président a dû se contenter de la moitié pour s’exprimer devant des représentants de la banque Goldman Sachs. Bref le dépôt de bilan n’est pas pour demain.

    L’entourage de M. Sarkozy s’est empressé de claironner que l’intéressé avait versé 7.500 euros à la caisse du parti, le maximum autorisé par la loi. « Or, en tant que candidat à la présidentielle, Sarko n’est pas tenu à cette règle : il peut légalement, s’il le veut ou le peut, payer l’intégralité de la douloureuse. Soit les 11 millions que l’Etat ne remboursera pas à l’UMP du fait du rejet de son compte de campagne. Ou au moins les pénalités subsidiaires : la restitution au Trésor de l’avance forfaitaire (153.000 euros) ainsi que le paiement au même Trésor de l’« amende » de 363.615 euros infligée au candidat « pour dépassement » par la Commission nationale des comptes de campagne. » (Canard enchaîné, 10/07/13).

    Consentir un effort supplémentaire ne serait pas de trop pour celui qui chantait au début de l’année 2008 : « Pour l’instant je fais président, mais un jour j’irai faire du fric. » Rappelons que le candidat Sarkozy s’est porté « caution personnelle » auprès des banques pour obtenir un crédit relais de 11 millions d’euros ».

    En attendant, les adhérents sont priés de faire un effort pour aider le parti et éviter à M. Sarkozy d’avoir à sortir un chèque autrement plus conséquent que celui de 7.500 euros donnés récemment. A cette occasion, il ne semble pas inutile d’attirer l’attention des adhérents bretons de l’UMP sur ce que le « petit mari » de Carla pense d’eux.

    Dans son dernier ouvrage, « Breizh bric-à-brac » (Palantines), Yann Lukas rappelle un évènement qui situe le personnage Sarko. « Qu’est-ce qu’on va foutre dans un cercle opérationnel sinistre, à regarder un radar ? Je me fous des Bretons. Je vais être au milieu de dix connards en train de regarder une carte ! Grand sens politique, vraiment ! ». C’était le 1er mai 2007 au Cross Corsen, dans le Finistère. Yasmine Reza rapporte ces propos de Nicolas Sarkozy dans son livre-enquête, L’Aube, le soir ou la nuit, sorti le 24 août 2007. A partir de l’automne 2006, elle avait suivi le candidat pendant sa première campagne présidentielle. Sa relation des faits n’a pas été démentie. Des propos qui font dire à certains qu’un(e) Breton(ne) possédant un brin de dignité de donne pas un sou à Sarko.

    http://fr.novopress.info/

  • Un peu de jugeote, M. Le ministre de l’Intérieur, par Manuel GOMEZ

     

    Ne noyez pas le poisson, Manuel Valls, ce ne sont pas des « fondamentalistes » qui ont assiégé le commissariat de Trappes, qui ont créé une émeute, brûlé des voitures et des poubelles et jeté des cocktails Molotov, mais de jeunes musulmans qui refusent que les lois de la république leurs soient appliquées…

     

    Même si c’est un « fondamentaliste » qui a exposé sa femme entièrement voilée afin de provoquer justement cette réaction.

     

    Heureusement d’ailleurs car, dans le cas contraire, ce serait tous les musulmans qui seraient « fondamentalistes »… ce que je ne veux pas croire.

     

    Je suis d’ailleurs très étonné du silence de toutes ces associations communautaires qui se gardent bien de sanctionner cette mini-révolte, alors qu’elles s’empressent de s’émouvoir et d’intervenir auprès de tous les médias dès le moindre contrôle au « faciès » ou le plus petit propos qu’elles estiment « raciste ».

     

    Après tout, enfreindre les lois républicaines est-ce que c’est si grave ?

     

     

    On promène sa femme entièrement voilée, on tente d’étrangler un policier, on est à l’origine volontaire d’une agression massive contre les forces de l’ordre, et on est remis en liberté !!

     

     

    Alors qu’un simple manifestant contre le « mariage pour tous » a été maintenu, lui, en prison.

     

     

    Bizarre la justice en France, de nos jours… oui j’ai bien dit « bizarre ».
  • France, Europe, Vie : une liste pour faire vaciller le système

     

    Béatrice Bourges explique à Nouvelles de France l'intérêt de la liste constituée pour les élections européennes :

     

    "[N]otre annonce a créé la surprise et tant mieux. Ceux qui ont été les plus virulents sont ceux qui font partie du système des partis traditionnels.

    D’une part, l’UMP qui a été prise de court et a eu l’impression de se faire doubler alors que certains cadres sont actuellement en train d’effectuer de grandes manœuvres pour aller draguer les électeurs du FN, tout en continuant à prendre des airs choqués lorsqu’on leur parle de ce parti. Ils vont continuer à appeler au front républicain, ce que je trouve insupportable et d’une grande hypocrisie. Voilà des années qu’ils se trompent d’adversaires.

    D’autre part, le FN qui, avouez le, n’a pas été clair sur les sujets qui nous mobilisent depuis maintenant 10 mois. Il ne suffisait pas de dire qu’on était contre la loi, il fallait le prouver. Mais c’était bien difficile puisqu’on sait qu’à l’intérieur même du FN, les avis sont très partagés. En revanche, certaines personnes à l’intérieur de ces partis se sont battues avec courage et détermination. Je pense par exemple à Marion Maréchal-Le Pen, qui n’a pas eu le droit de monter à la tribune des grandes manifestations alors que son discours était particulièrement clair et sans ambiguïté. Du côté de l’UMP, certains élus se sont aussi battus avec courage. À gauche aussi, on a pu apprécier les prises de position à contre-courant de certains élus particulièrement valeureux, tels Bruno Nestor Azérot.

    Ce qui prouve bien qu’il faut inventer autre chose.

    Le paysage politique va se recomposer autour de deux visions de la société : celle qui est fondée sur le réel, qui a pour objectif le Bien commun. C’est celle qui ouvre notre société à la vie, aussi bien la vie économique, que la vie sociale, sociétale etc. et, a contrario, celle qui nous emmène dans une impasse car fondée sur une vision idéologique et mortifère. C’est celle qui fonde les lois sur le désir des minorités et donc favorise le communautarisme, celle qui veut faire des personnes humaines de simples individus producteurs consommateurs. [...] 

    Patrick Louis était d’accord sur la démarche. J’étais moi-même allée à Lyon pour lui demander de se joindre à l’aventure. Il a accepté rapidement, après avoir obtenu l’accord de Philippe de Villiers. Mais l’opération s’étant faite en quelques jours,  le rôle de chacun n’a pas été suffisamment bien préparé et quelques maladresses, en particulier en temps de parole, ont pu faire croire à Patrick Louis qu’il n’avait pas autant de place dans l’initiative qu’il était en droit de réclamer. Ce que révèle cet épisode, c’est que les personnes ne doivent pas occulter le fond. La convergence entre les hommes se fera le moment venu. [...]

    Les journalistes n’ont pas compris ce qui se jouait. Ils ont donné une vision uniquement centrée sur quelques personnalités politiques. Ce n’est pas surprenant. On ne bouscule pas des décennies de conformisme en une seule conférence de presse !

    [...] Nous n’avons pas pour objectif des pourcentages mais de faire vaciller un système à bout de souffle. La question des résultats attendus est une bonne question si on la resitue dans la perspective européenne. [...]

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Élargissement de l'Union européenne : un chaos annoncé (arch 2002)

    ❏ Si Jean de La Fontaine était encore de ce monde, sa fable sur la grenouille qui se voulait plus grosse que le bœuf caricaturerait à merveille le processus d'élargissement du Moloch européiste. 6 hier, 15 aujourd'hui, 25 demain ... Où s'arrêtera la boulimie fédéraliste des technocrates qui nous gouvernent ? L'Europe de Madère à Riga fait rêver tous les ayatollahs du mondialisme. Or, comment une Europe déjà incapable à 15 d'adopter une position commune sur la crise irakienne pourrait-elle dégager un semblant de consensus à 25 ? Pourquoi cacher plus longtemps que ce énième charcutage vise à rogner au nom de la nécessaire cohésion les dernières parcelles de souveraineté que possèdent encore les États ?
    Après le «oui» arraché à des Irlandais soumis à une intense campagne de désinformation aux accents comminatoires, Bruxelles est prête pour le saut dans l'inconnu, disposée à accueillir dix nouveaux pays d'Europe centrale et de l'Est, dont le revenu par tête n'atteint en moyenne que 40 % de celui des Quinze et qui entrent dans l'Union européenne plus pour bénéficier de la manne financière que pour contribuer à sa relative prospérité. Et dans un marché européen où la récession et le taux de chômage touche déjà près de 9 % de la population active, l'entreprise est plus que risquée, elle est suicidaire. Tout d'abord pour les finances d'États déjà fortement endettés et qui devront débourser 40 milliards d'euros pour financer l'élargissement (une hausse de 5 % pour la France dont la contribution au budget communautaire pour 2003 est déjà de 15,8 milliards d'euros), mais aussi pour les fonds structurels et plus précisément la Politique agricole commune qui constituent à eux deux les trois quarts du budget européen.
    ❏ La France n'a rien à gagner
    En se mettant d'accord sur un plafonnement du budget européen de 2007 à 2013, Chirac et Schroder vont contraindre les 25 à vivre sur le même budget que celui attribué aujourd'hui aux Quinze. La mort à court terme pour des agriculteurs qui devront de surcroît subir la concurrence déloyale des produits fabriqués à des coûts moindres.
    Qu'a donc à gagner la France d'une Union européenne élargie, contraire aux intérêts de ses peuples et qui ne sert, comme le souligne Jean-Marie Le Pen, que « les intérêts mercantiles des uns (les multinationales) et les idéaux utopistes et antinationaux des eurocrates de Bruxelles » ? Rien si ce n'est une perte d'influence dans une Europe noyautée par Berlin et dans une moindre mesure par Londres et un afflux d'immigrés attirés par une législation sociale incitatrice. Sans compter une hausse du chômage qu'entraîneront inéluctablement les délocalisations d'entreprises soucieuses de s'installer dans des pays où les salaires sont largement inférieurs à ceux en vigueur à l'Ouest. C'est dans ce magma fédéraliste où la France ne conservera qu'un commissaire sur vingt-cinq, 9 % des voix au Conseil et 9 % d'élus au Parlement européen, que les nations européennes sont invitées à se dissoudre, passant du mirage européiste à la prison des peuples.
    ✍ Éric Domard FDA décembre 2002

  • L'IMMIGRATION A-T-ELLE ENCORE UN INTERET ECONOMIQUE (arch 2004)

    L'époque actuelle est celle de la mondialisation. Tout le monde sait cela mais n'a pas encore conscience que cela a changé la perception et le rôle de l'immigration. Les entreprises délocalisent là où la main d'œuvre est la moins chère. Les multinationales, négriers des temps modernes, ont compris cela depuis longtemps et savent très bien que les immigrés sont donc moins chers chez eux plutôt que chez nous. Tout immigré lorsqu'il entre en France ou en Europe, bénéficie du système social en place et devient par le fait même trop cher, en tout cas beaucoup plus cher que celui qui est resté sur place. Il n'y a donc plus aucun intérêt économique (en admettant qu'il y en ait eu) pour un pays comme la France de faire venir une main d'œuvre massive non qualifiée comme on continue de le faire. De plus, les entreprises qui-ne-délocalisent-pas licencient, pour rester compétitives, la main d'œuvre non qualifiée en automatisant et font donc appel à une main d'œuvre plus qualifiée. Les immigrés n'intéressent donc plus les négriers puisqu'ils délocalisent. On a donc voulu substituer au vieux slogan éculé : « Les immigrés font le travail que les Français ne veulent pas faire » un slogan tout aussi creux : « Les immigrés font le travail que les Français ne peuvent pas faire » comme si les Français étaient trop bêtes pour faire certains travaux ou le pouvoir politique trop stupide pour anticiper les besoins professionnels de la France.
    A propos de l'immigration pour des raisons idéologiques, on a dit tout et le contraire de tout pour la faire accepter par les Français. Actuellement en France entrent les «bac moins 5» et sortent les «bac plus 5» comme l'écrivait Nicolas Baverez dans son livre « La France qui tombe ».
    La politique se faisant malheureusement à coup de slogans, certains répètent celui-ci : « les immigrés paieront les caisses de retraites » alors que plus de 90% des immigrés qui entrent en France sont à la charge de la collectivité et sans emploi. Comment peuvent-ils participer aux caisses de retraite ? Tout cela représente des sommes considérables qui pourraient être utilisées pour autre chose (recherche, investissement...)
    La politique de l'immigration massive a été décidée dans les années soixante pour peser sur les salaires. D'autres pays avaient fait un autre choix puisque comme le soulignait Paul Lambert, le Japon par exemple avait pratiqué l'immigration zéro forçant le patronat japonais à moderniser l'appareil productif et ne pas recourir à la facilité de l'appel à l'immigration. Le résultat a été celui-ci : le Japon, qui dans les années cinquante avait une économie inférieure à la nôtre, nous a surpassés dans l'absolu. Sans immigration, par sa modernisation, le Japon a connu des taux de croissance de 10% l'an. Cet exemple montre que des choix politiques autres sont toujours possibles.
    Pourquoi, puisque l'immigration n'est plus une nécessité, connaît-on encore celle-ci sous sa forme massive : 200 000, 300 000 personnes chaque année comme si cela était une fatalité ou une nouvelle norme dictée par qui ? l'ONU ? Bruxelles ? Alors que la France est lourdement endettée, (mille milliards d'euros) cela pèse sur notre économie. A côté, le chiffre de quelques milliers de fonctionnaires que l'on voudrait supprimer semble bien léger.
    Les fondements politiques de l'immigration sont masqués idéologiquement. Veut-on à tout prix détruire les vieux peuples européens ? Les lendemains qui chantent se trouvent-ils dans les banlieues ? A-t-on envie d'y chanter « le temps des cerises » ? II faudrait demander leur avis aux Français de souche qui y vivent comme aux Français de confession juive. La France, dans un contexte de mondialisation impitoyable où ne s'en sortiront en Occident que les pays les plus performants ou les plus qualifiés, doit donc repenser totalement sa politique d'immigration.
    La survie du peuple français est liée plus que jamais à sa survie économique.
    par Patrice GROS-SUAUDEAU 2004

  • L'Académie de médecine prépare les esprits à la PMA et la GPA

    Lu sur Le Figaro :

    "Un questionnaire portant sur leur expérience et leur opinion sur l'assistance médicale à la procréation (PMA) pour les couples de même sexe vient d'être adressé aux gynécologues obstétriciens par l'Académie nationale de médecine. Cette «enquête confidentielle», menée «notamment» pour le compte de l'Académie, explique une lettre d'accompagnement, et avec l'aide du Collège national des gynécologues obstétriciens français, s'inscrit dans le cadre d'un «groupe de réflexion sur l'ouverture éventuelle de la PMA et de la GPA à des indications non médicales». Un rapport prenant en compte les résultats de cette enquête, précise le courrier, sera rédigé avant la fin de 2013…

    La lettre, signée des professeurs Pierre Jouannet et Roger Henrion, tous deux spécialistes de PMA, est explicite: «Lors des débats (sur la loi Taubira, NDLR),les possibilités d'ouvrir l'accès de ces couples à la PMA et à la gestation pour autrui (GPA) ont régulièrement été évoquées, écrivent-ils. Ces possibilités seront peut-être prévues dans de prochains projets de loi après un débat qui devrait être organisé sur le sujet, notamment par le Comité consultatif national d'éthique.» Quant au questionnaire, il porte sur le nombre de «couples homosexuels souhaitant devenir parents» reçus en 2011 et en 2012 et les «types de demande» (PMA ou GPA, en France ou à l'étranger). Il se termine par les questions: «Pensez-vous que la PMA devrait être accessible aux couples homosexuels en France? Si oui, devrait-elle être prise en charge par les caisses d'assurance-maladie?» Sont ensuite demandés des renseignements sur l'âge et le lieu d'exercice du médecin, qui peut rester anonyme.

    Ce gynécologue obstétricien, qui a contacté Le Figaro après avoir reçu le courrier, n'a pas de mots assez forts pour condamner la démarche. «C'est un scandale invraisemblable!, s'offusque-t-il. On nous demande carrément si on transgresse la loi! Et si on est pour la PMA et la GPA pour les homosexuels! Tout cela émanant d'une haute instance morale qui a pour vocation de conseiller le gouvernement…» Ce médecin raconte avoir refusé une PMA à un couple de lesbiennes, «non par homophobie, mais parce que la loi ne l'autorise pas». Ce qui ne l'a pas empêché, «sans rien dire», de «suivre la grossesse de plusieurs femmes s'étant fait inséminer à l'étranger». Mais là, le gynécologue «sent le piège» : «Le médecin qui fraude et qui reçoit cela, il est déculpabilisé!, analyse-t-il. Il y a donc une volonté de préparer les esprits, de dire “puisque ça se passe à l'étranger, pourquoi pas en France?”, puis de mettre la loi en accord avec certaines pratiques marginales.»

    Même stupéfaction chez les professionnels de Gènéthique, un site d'information et d'analyse de l'actualité en bioéthique. «Comment ne pas penser que l'objectif réel de cette enquête s'inscrit dans la même logique que la circulaire Taubira sur la GPA, c'est-à-dire qu'elle se propose de partir de la réalité de quelques cas contra legem pour faire changer la loi?, s'interroge l'équipe. Comment l'Académie nationale de médecine peut-elle demander à ses propres confrères d'avouer des comportements considérés à ce jour contraires à la déontologie médicale et à l'ordre public français?»"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Victoire du Réseau Identité sur le DAL

    COMMUNIQUÉ du Réseau identités Gironde, le 17 juillet 2013 : Une première victoire contre le DAL ! Il faut continuer la lutte !

    L’occupation scandaleuse de l’appartement de Mme Lagrenaudie au n° 13 Rue Planterose à Bordeaux sous la responsabilité du DAL (association « Droit au Logement »), amène plusieurs réactions :
    Le DAL a violé délibérément le droit fondamental de propriété, en bénéficiant de la bénédiction des autorités, lui permettant de s’affranchir des règles générales du Droit.
    Le DAL s'est attaqué à une personne modeste n’ayant pas les moyens à d’entretenir sa maison du fait de sa pension de retraite misérable. Après la révélation de cette occupation scandaleuse, le DAL a tenté d'écarter toute responsabilité et à aucun moment ne s'est préoccupé de Mme Lagrenaudie, qui pourtant avait droit elle aussi à SON logement.
    Si les membres du DAL veulent faire du social, qu’ils le fassent avec leur argent et montrent l’exemple en hébergeant chez eux les sans-logis. Ils commenceront ainsi à être crédibles.
    Qui va payer les factures d’eau et d’électricité, taxe foncière et d’habitation, ordures ménagères ? Mme Lagrenaudie bien sûr en sa qualité de propriétaire !
    Le Réseau Identité se félicite de la large mobilisation citoyenne autour de cette affaire et y a participé activement avec le Rassemblement Patriote Girondin et de nombreux bordelais dans le cadre du Comité de soutien à Odette Lagrenaudie.
    Une avalanche d’appels et de mail auprès des autorités et du DAL, ainsi que l’intervention de l’ALMA, organisme officiel contre la maltraitance des personnes âgées que nous avons saisi, ont amené la Préfecture à expulser enfin les squatteurs illégaux.
    Mais le combat ne s’arrête pas là. Un mouvement de solidarité active pour nettoyer et remettre en état le logement est en train de s’organiser, ainsi que des suites judiciaires pour que le DAL indemnise la propriétaire : la solidarité avec nos anciens n’est pas un vain mot !
    En exclusivité, les coordonnées des responsables du DAL33, afin de leur exprimer avec fermeté mais courtoisie, votre opinion sur leurs agissements au quotidien.¢
    La présidente : Evelyne CASSAN, 06 81 13 56 05.

     Le vice-président : Francis CHIROL, f.chirol@wanadoo.fr

    Le secrétaire : Hadrien CLAIR, clair.hadrien@gmail.com, 06 77 94 27 40
    Réseau identités
    BP 1-7114
    30912 Nîmes Cedex 2
    www.reseau-identites.org
    contact@reseau-identites.org / +33(0)6 86 66 71 85
  • Consigny : «Si rien n’est fait, nous aurons la guerre civile, ce qui est déjà un peu le cas»

     

    scene-de-violences-a-trappes-vendredi-19-juillet.jpg

    Selon Charles Consigny, la gauche fait comme si le pays n’avait pas de problème, disqualifiant ainsi sa parole en ces temps de violence extrême. Il estime même que «la gauche sombre dans le négationnisme»

    Quand quelque chose ne correspond pas à sa grille de lecture du monde, la gauche affirme que ça n’existe pas et lapide en place publique quiconque oserait dissiper le rideau de fumée qu’elle s’époumone à dresser.

    Nous avons été contraints d’apprendre qu’il y avait bien eu, contrairement à ce qu’avaient affirmé toutes nos autorités publiques, des «vols» et des «caillassages» après le déraillement du Paris-Limoges à Brétigny. Lors des faits, quand certains sites internet avaient relayé ces informations, j’ai d’abord été horrifié, mais pas surpris, et finalement rassuré en entendant les voix officielles démentir ce que j’ai alors pris pour des rumeurs venues de l’extrême droite. J’ai pensé que, tout de même, on n’en était pas là.


    Si les médias font leur travail, nous sommes au début d’un gigantesque scandale. Bien sûr, et malheureusement, mais depuis longtemps, la population est habituée à ce que ses gouvernants lui mentent. […]

    Les barbares sont non pas à nos portes, mais dans la cité (si j’ose dire) depuis une trentaine d’années.

    Or, si rien n’est fait, les oracles vilipendés par des Inrocks aveugles auront raison, et nous aurons la guerre civile, ce qui est déjà un peu le cas. Comme dit Finkielkraut avec drôlerie, il ne s’agit pas d’annoncer toujours l’imminence de la catastrophe, car elle a déjà eu lieu.

    Vous allez voir que le gouvernement ne réagira pas au scandale. Il éludera. Sa parole est désormais totalement disqualifiée. Elle n’avait pas grand intérêt avant, elle est maintenant inaudible. Les pouvoirs publics sont tenus par des fous.

    Le Point  via Fdesouche.com

  • Une réponse à Boulevard Voltaire (ou du moins à Christine Tasin)

    Sur Boulevard Voltaire, Christine Tasin nous dit le peu de considération qu'elle éprouve pour le Printemps français en général et pour Béatrice Bourges, nommément citée, en particulier. Riposte laïque, qu'elle représente, aurait le filon en matière d'action politique : il faut être anti-islam en France avant tout. Et le Printemps français, en se plaçant sur le plan de la morale, n'aurait rien compris et retomberait dans l'ornière de tous les réacs. Mais le mieux est de la citer : 
    "Non seulement l’aile catholique traditionnelle la plus véhémente – celle qui refuse l’avortement, voire la contraception et, forcément, demain, l’euthanasie -, était là, avec à la fois Civitas – dont le président, Alain Escada, affirme tranquillement que l’homosexualité est un péché (on ne rit pas) et que les homos doivent carrément se faire hara-kiri pour ses beaux yeux – mais, surtout, Fils de France, en la personne de Camel Bechikh, qui était invité aux préparations de manifs en compagnie de Béatrice Bourges et présent à la tribune avec ses femmes voilées… "
    Chère Christine Tasin, toutes les révolutions auxquelles vous avez pu participer intellectuellement (et peut-être plus si affinités, je n'en sais rien) sont des révolutions anti. Vous croyez qu'on fait la Révolution en étant contre. Mais ces révolutions là ont toujours échoué parce qu'elles étaient purement dialectiques. La Révolution contre ? Cela ne va nulle part, on le sait trop aujourd'hui.
     
    La Révolution française (contre l'Eglise et contre les nobles - à la lanterne) a produit le grand déclassement français comme l'a expliqué naguère Pierre Chaunu (ou encore Jean Sédillot). La Commune et la résistance à outrance et sans espoir aux Boches, au nom du nationalisme le plus éruptif à produit le Traité de Versailles et... la guerre suivante - Merci Gambetta. La Révolution russe a engendré des dizaines de millions de morts et une glaciation historique sans exemple. Bref, on ne fait pas une Révolution contre... Aujourd'hui si vous faites une Révolution contre l'islam, cela donnera quoi ? De nouveaux pogroms ?
     
    La seule Révolution qui marche et qui impose sa marque à l'histoire est celle qui va en avant : c'est d'ailleurs pour cela que l'islamisme est tellement a craindre : il a une foi. Demandez aux nombreux Français de souche convertis à l'islam, demandez aux Françaises voilées... Mais vous ne ferez pas face à l'islamisme avec pour seule mot d'ordre la diabolisation et la dialectique.
     
    Vous n'avez pas le choix, Christine Tasin : votre révolution à vous, ça devrait être la Révolution chrétienne, celle pour laquelle marchent la nuit tous ces Veilleurs, celle au nom de laquelle s'insurgent les "Comités d'accueil" pratiquant le harcèlement démocratique un peu partout en France. Celle qui se révolte contre la Police politique. Celle que porte une foi et une espérance pour l'homme. Celle qui refuse que la vie soit un matériau qui se gère, celle qui considère toute vie comme un don. Je pense que c'est ce que vous avez pu ressentir lorsque, avec Pierre Cassen, vous êtes venus au Centre Saint Paul pour un débat animé il y a deux ans : votre place devrait être avec cette France-là..
     
    Le pire ennemi de la France, ce n'est pas l'islam, c'est elle-même. C'est le nihilisme dans lequel elle donne, comme une nouvelle religion, c'est l'à quoi-bonisme de notre société dépressive. Le Printemps français représente l'insurrection de la jeunesse contre la démoralisation obligatoire, contre le "tout vaut tout" qui est synonyme de "rien ne vaut rien". Lorsque la France - ou au moins une large élite de Français jeunes et ardents - aura repris conscience de la beauté de la vie, de la grandeur du destin humain, alors, à cette France là rien ne résistera et surtout pas l'islam. 
     
    Et là bien sûr vous m'arrêtez tout de suite, en me disant que je fais le jeu des réactionnaires que l'on vous a appris à haïr. Pour vous, l'aile catholique la plus véhémente est celle qui refuse l'avortement, la contraception et demain l'euthanasie... Mais c'est toute l'Eglise catholique que vous visez là. Et que proposez-vous en échange de cet idéal que Jean-Paul II a nommé "l'évangile de la Vie" ? La guerre à l'islam ? Ce n'est pas un idéal, c'est une dialectique.
     
    Ce dont la France a besoin, c'est d'un bien commun que chacun puisse nommer. Or les valeurs républicaines dont vous vous réclamez jusqu'à maintenant sont purement négatives : la liberté, mais pour quoi faire ? L'égalité, si c'est pour emm. le voisin qui réussit et justifier les revendications les plus déraisonnables... La fraternité ? Parlons-en : ça débouche sur ce que Mona Ozouf appelait la fête révolutionnaire. En 1792 et 1793 à Paris on a mangé de la chair humaine dans des transes collectives sans nom. La fête révolutionnaire ? Non merci. La Fraternité révolutionnaire ? Elle ne signifie rien puisqu'elle est un décret purement abstrait et sans idée de père et que l'on ne reconnaît comme frère que celui qui a les mêmes idées que soi.
     
    Ce sont les valeurs chrétiennes d'amour, de fécondité, de respect et de responsabilité (s'opposant à la "fraternité" à "l'égalité" et à la "liberté") qui ont fait notre pays. Ce que le printemps français - tout laïc qu'il soit - nous montre, c'est que ce sont ces valeurs, les seules vitales et vitalisantes, les seules qui ne mènent pas à l'apologie de la culture de mort, qui feront notre avenir. Ou nous les adopterons vraiment et nous vivrons. Ou nous les refuserons et nous crèverons dans notre refus compulsif de la vie, de tout ce qui la respecte et de ce qui lui donne sens. Le déclin démographique de notre Pays deviendra irrémédiable et tout ce que vous craignez arrivera, non pas comme vous l'imaginez, d'une attaque islamique, mais d'une immuno-déficience du corps social français, en autodestruction par dépression collective, autodénigrement et non-remplacement des générations. La France tout entière sera un vaste Massif central - vide.
     
    Vous ne voulez pas cela ? Réfléchissez : les valeurs du christianisme (je ne parle pas ici de foi chrétienne, mais dans l'ordre, de l'amour, du respect et de la responsabilité) sont les seules qui permettent à la France de se payer un avenir, loin du nihilisme ambiant. Au lieu de vous enferrer dans une dialectique anti-islam, censée tout conjurer, travaillez à votre manière pour redonner son âme à notre peuple. Je suis à votre disposition quand vous voulez et si vous le souhaitez pour évoquer ces questions fondamentales, qui sont forcément des questions d'âmes. Les problèmes politiques se sont tellement radicalisés aujourd'hui qu'ils sont devenus, vous le sentez en mettant en cause l'islam, des problèmes spirituels.