Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 994

  • Répression en perspective

    Face au retour du pays réel, le pouvoir opte pour la stratégie de la tension

    Plus les semaines passent, plus la ligne de fracture se précise : d’un côté le pays réel ; entendons, la France enracinée ; et de l’autre, le Régime, qui regroupe toutes les institutions privées et publiques cherchant à imposer au peuple les différents avatars du mondialisme.

      La résurrection du pays réel est pour le Système un objet politique non identifié et imprévu. Avec effarement, il découvre que les effets de la servitude cérébrale dans laquelle il avait plongé la France s’estompent petit à petit. Cela a pris du temps, mais de fait, chaque jour qui passe voit des Français se débrancher de la matrice mondialiste. Chaque jour qui passe apporte son lot d’estocades supplémentaires dans les omoplates du libéralisme-libertaire et du politiquement correct.

    Le basculement des consciences est très lent, certes, mais il est enclenché, et cela suffit à faire paniquer le Régime. Dès lors, les domestiques de l’oligarchie financière qui nous dirigent doivent avoir recours à une autre arme que la servitude cérébrale. Cette arme est la stratégie de la tension, soit la stratégie qui consiste à mettre en place une atmosphère de violence et d’insécurité pour neutraliser le pays réel par la peur et prolonger de la sorte la domination mondialiste sur la France.    

    La République répudie ses propres principes

      Pour contrer la pression exercée par le pays réel sur le Système, le gouvernement a décidé de s’attaquer à nos libertés publiques, malgré la protection constitutionnelle dont jouissent certaines d’entre elles. Pour n’en citer que quelques-unes, relevons les violations de la liberté de réunion (charges des CRS sur les manifestants aux Invalides), du droit à la sûreté (violences policières, arrestation abusives), du droit à un procès équitable, de la présomption d’innocence (condamnation médiatique du jeune Esteban) et de la liberté d’association (procédure de dissolution arbitraire).

    La liste de libertés attaquées est encore longue, si bien que le seul véritable acquis politique de notre modernité, l’Etat de droit, a fortement reculé ces dernières semaines et cela en toute logique : ce n’est que sous perfusion d’un surcroît de répression que la domination mondialiste se maintiendra à la tête de la France.  

    Un crescendo répressif ?

      Ce gouvernement de faux durs - qui ne touche ni aux racailles d’en haut, ni aux racailles d’en bas - paraît être prêt à tout pour enrayer le retour du pays réel. Dès lors, la brutalité d’Etat déployée ce printemps peut laisser craindre un crescendo répressif. Ce scénario toutefois, ne se produira vraisemblablement pas avant le printemps 2014. Un solide garde-fou est là pour nous le garantir : les élections municipales et européennes.

    Le gouvernement n’est pas encore au fond du trou en termes de popularité, mais il s’y rapproche. Prisonnier du droit européen, il ne peut structurellement pas améliorer la situation économique de la France. Laissant l’économie parallèle prospérer, il s’autoligote en matière de lutte contre l’insécurité. Inéluctablement, le PS va devoir porter ce bilan lors des élections et la facture risque d’être très salée. Cette situation n’a pas pu échapper aux notables de la rue de Solférino. Appuyer sur l’accélérateur répressif conduirait à un véritable hara-kiri électoral. Un, parce que l’électorat centriste capté suite aux maladresses de Sarkozy prendrait ses distances avec la bobocratie. Deux, parce que la base électorale de la gogôche elle-même finirait par être effrayée.

    Personne ne doit s’illusionner : la diffamation, la calomnie, les insultes, la diabolisation, les arrestations arbitraires, les coups de matraques et le gazage gratuit seront à nouveau employés par le Régime. Mais le gouvernement ne pourra pas passer à un stade supérieur de répression…du moins pas avant le printemps 2014.

      La banquise du Régime craquèle

    Une fenêtre de tir s’est ouverte pour au moins une année. Le pays réel devra en profiter pour accentuer sa pression sur le Système. Contrairement à ce que certains commentateurs du Régime prêchaient haut et fort, la mobilisation du pays réel n’a pas faibli suite à l’adoption de la loi Taubira. Ceux qui d’ailleurs ont cru une seule seconde que le pays réel baisserait les bras après le vote de celle-ci, témoignent d’une profonde incompréhension du choc sismique qui balaye la France. Si le pays réel s’est levé, ce n’est pas uniquement pour éviter que la France ne se ridiculise en instituant le mariage gay. Le pays réel s’est levé parce que pour tout Français enraciné, l’air est proprement irrespirable. Et le vote de la loi, loin de purifier notre air, l’a au contraire pollué d’avantage. Le pays réel ne cessera pas la lutte tant qu’il ne pourra pas mieux respirer. Que les Français l’aient déjà compris ou non, cette bulle d’oxygène que nous attendons tous, ne s’offrira pas à nous tant que le Système actuel sera en place.

    C’est par nos actes quotidiens, même les plus simples, multipliés par plusieurs millions, que la banquise du Régime, qui craquèle déjà, s’effondrera définitivement.

    Face à la stratégie de la tension, ultime va-tout du gouvernement, le pays réel ne doit obéir qu’à un seul mot d’ordre : ne pas fléchir.

    Adrien Abauzit - L’AF 2865  http://www.actionfrancaise.net

  • Le "Salon du mariage gay" est un fiasco

    Lu ici :

    "Ils avaient prévu champagne, jus de fruits et des montagnes de petits fours… ils ont fini par «liquider tout ça» eux-mêmes. En deux jours, la soixantaine d'exposants présents au premier Salon du mariage pour tous a croisé à peine 150 visiteurs, dont… quelques «figurants», selon eux. «Remboursez!, Remboursez!», criaient-ils dimanche en début d'après-midi, tout en commençant à démonter leurs stands.

    Allées désertes, hôtesses désœuvrées, agents de sécurité apathiques, en fin de matinée, Le Figaro n'avait pu rencontrer que trois clients. «Les gays se lèvent tard…», avait hasardé l'attachée de presse. Mais quelques heures plus tard, «il n'y a toujours pas un chat, s'énerve le bijoutier du Comptoir La Fayette. En quarante ans de métier, je n'ai jamais vu ça. J'ai investi 30.000 euros et je n'ai vendu qu'une seule paire d'alliances… à des hétéros!»

    À côté, Johanna, qui vient de créer sa société organisatrice d'événements Eden Day, n'a signé aucun contrat. «C'est juste une catastrophe!, se désole la jeune femme. C'est mon premier salon, je comptais dessus pour démarrer. J'ai vu en tout et pour tout cinq personnes, et en parlant avec les autres, on a compris qu'on avait tous vu les cinq mêmes…» Pire, «aux questions qu'ils posaient, j'ai bien vu qu'ils n'étaient pas là pour se marier, raconte le bijoutier. On a tous remarqué que des gamins de 20 ans avaient passé toute la journée de samedi ici, pour faire semblant devant les journalistes».

    Furieux de ce «fiasco total», le DJ Emmanuel Attiach, de 1dream1event, fait signer une pétition aux autres exposants [...]"

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La république impopulaire de France va t-elle imposer un permis d'être parent?

    C'est l'idée que souffle un sociologue au président de la République. Le niveau de réflexion laisse songeur, mais le pire, c'est que certains pourraient y apporter du crédit et s'en servir pour initier et entériner une violation des droits innés de l'Homme : 

     

    "Permis de conduire, permis d’être parent ? À vous de jouer Monsieur le président Hollande !

     L’éducation demeure en partie responsable de l’état de la société actuelle. Elle constitue l’une des activités, voire l’un des métiers à haut domaine de compétences qui influe fortement sur les parcours individuels et collectifs. Pourtant, elle n’est pas enseignée à tous les parents.

    Curieux ? Scandaleux ? Inapproprié ? L’intérêt du permis de conduire n’est pas contesté ni à l’assemblée nationale, ni par nos politiques. Or, dans le même temps, le permis pour être parent n’existe pas et n’est même pas discuté. 

    Savoir conduire serait-il plus important, plus facile que savoir être parent ? Conduire s’apprendrait alors qu’être parent serait inné ? Éduquer serait-il naturel ? Si ce n’est pas naturel, pourquoi n’apprenons-nous pas à devenir parent ? Permis de conduire, permis d’être parent ? (etc.)".

     

    L'idéologie totalitaire qui voudrait que ce soit l'Etat qui choisisse les humains autorisés à être parents relève d'un violent déni de libertés élémentaires de l'Homme. Ce serait accorder au seul politique, le pouvoir de définir les droits (de l'homme) dont pourraient jouir certains et en priver les autres. Ce serait reconnaître à l'Etat une suprématie sur Dieu, maître de la Vie, sur l'Homme, procréateur, et la Création, qu'il n'a pas et qu'il ne peut avoir. 

     

    C'est aussi nier toute l'aide que naturellement, la famille, les ami(e)s, les parrains et marraines, les proches, etc. apportent depuis des lustres aux jeunes parents. Non, une fois encore, la Famille, la charité fraternelle et la proximité sociale naturelles n'ont pas attendu un super-Etat envahissant et dictateur pour tendre au Bien !

     

    Ce cauchemar d'un diktat rouge, un autre l'avait imaginé puis évoqué en 2010, avec ses mots, pour n'avoir pas à le vivre un jour : 

     

    "Demain, c’est le grand jour : on passe le permis. Si on le rate, on devra avorter, car après on aura dépassé les délais. Il faut que l’on réussisse. Ce système inspiré du permis de conduire paraissait inimaginable en 2010 encore, mais en dix ans les mentalités ont beaucoup bougé. L’école ne suffisant plus à inculquer des valeurs à des gamins en perdition, l’Etat a dû intervenir à la source-même des problèmes, les familles.

    Avant, cela aurait pu paraître choquant, aujourd’hui on trouve cela rassurant et normal. Aujourd’hui, c’est la situation d’autrefois qui parait aberrante. Franchement, permettre à tout le monde d’avoir des enfants… Quelle drôle d’idée".

     

    Pour la liberté de l'homme intérieur, là non plus, il ne faut rien lâcher!

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Nouveau témoignage révoltant sur les barbouzes de Manuel Valls

    EXCLUSIF : "DANS MA CELLULE, J’AI VU LES INSCRIPTIONS DES HOMMEN... CELA M’A RECHAUFFE LE COEUR"

    certains policiers font du zèle pour faire plaisir à leurs supérieurs. Même quand ils sont débordés par les vols comme lors de la fête de la musique, il provoquent et recherchent le moindre prétexte pour arrêter un opposant au "mariage" homo.

    Malgré les SCANDALE de la condamnation de Nicolas, cela n’arrête nullement les policiers qui semblent faire une compétition à qui harcèlera mieux les idéalistes défenseurs des enfants.

    TEMOIGNAGE EDIFIANT !

    "Vendredi soir vers 20 heures, après la manifestation déclarée de La Manif Pour Tous au Panthéon, j’ai passé un moment et bu un pot avec un camarade Saint-Cyrien, et vers 22h30, nous nous sommes quittés. J’ai pris le métro à Sèvres-Babylone et suis arrivé à ma station à 23 heures. Arrivé à un angle de rue, j’ai changé mon sac d’épaule et me suis rendu compte que mon drapeau rose LMPT était en train de sortir. Je l’ai repositionné et j’ai commencé à traverser une rue, au feu rouge, sur le passage piéton. Il y avait deux ou trois voitures, qui arrivaient en ralentissant fortement pour s’arrêter au passage clouté. La voiture la plus proche de moi était une voiture sérigraphiée de la police. En me voyant, le conducteur a cessé de freiner et a délibérément franchi le passage piéton. Je l’ai évitée de justesse en reculant d’un pas. La voiture de police s’est arrêtée exactement après le passage clouté. J’ai repris ma traversée, et en arrivant à la hauteur de la voiture de police, à l’arrière de celle-ci, j’ai toqué au pare-brise arrière en disant : "Ca va pas, non ?! Vous l’avez fait exprès ?". [...]

    La suite sur Prisonnier Politique

  • Le système va-t-il craquer de l’intérieur ?

    PARIS (NOVOPress) – Dans Le Point du 21 juin, un magistrat écrit une tribune sous le pseudonyme de Malesherbes (l’homme qui défendit Louis XVI au procès qui le condamnera à mort).
    Il parle de la France comme d’une “dictature” et rappelle l’article II (image en Une) de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen qui “élève au rang de droit naturel et imprescriptible la résistance à l’oppression”.

    Et de poursuivre en disant: “Oui, la résistance est un devoir. Et elle s’appelle rébellion dans notre droit positif. Mais ce n’est pas une infraction, c’est un devoir de l’homme libre.” Bravo à ce magistrat.

    Il y a toujours eu des amoureux de la France et de ses valeurs ancestrales. 1,5 million d’opposants à la singerie de mariage qu’on nous a imposée, ce n’est pas rien,
    Cela dit, la loi est quand même passée et trois jours après son vote, un premier couple gay sortait “marié” de la mairie de Montpellier (29 mai 2013). En terme militaire, on appelle ça une défaite. Fort de cette victoire apparente, notre gouvernement semble ne plus rien avoir à craindre.

    Mais voilà, il a oublié que sa force, il la doit aujourd’hui aux fonctionnaires qui acceptent encore d’obéir sans se poser de questions. La pénibilité de cette situation est renforcée par leur prise de conscience qu’ils agissent de plus en plus pour “le mal public”, qu’ils obéissent à des ordres que la morale la plus élémentaire désapprouve, qu’ils protègent un système non la République et n’agissent pas pour l’intérêt de leurs concitoyens…

    Si l’on fait la sale besogne pour un système que l’on condamne secrètement, il faut parvenir à étouffer sa conscience quand on se retrouve seul avec ses mains sales le soir venu. Le policier par exemple se rappelle ce pour quoi il a décidé d’entrer dans la police : arrêter les racailles et les violeurs, protéger les citoyens, etc. Or le voilà qui remplit les paniers à salade par des arrestations abusives… Se cacher derrière le devoir d’obéissance ne suffit plus.

    Le gouvernement PS est bel et bien en passe de perdre une partie des membres de son allié historique, le corps des fonctionnaires. Ces derniers comprennent qu’ils ne sont plus là que pour contenir la colère populaire, arrondir les angles et mâter “les rebelles”. Mais Il arrive un point de rupture où la conscience de l’homme juste ne lui permet plus de suivre les ordres… La tribune de Malesherbes est dans ce sens un cri de libération…

    Franck Vinrech http://fr.novopress.info

  • Lyon : gazage pour tous !

    C'est vrai qu'il y a danger pour les forces de l'ordre et l'ordre public!!

    Lyon

     

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • 32 catholiques condamnés pour avoir manifesté leur indignation face aux pièces de théâtre blasphématoires

    christianophobie.jpgDes peines d’amende ferme de 200 à 2 000 euros ont été prononcées ce vendredi à l’encontre de 32 catholiques (proches de Civitas et du Renouveau français) ayant perturbé en octobre 2011 le déroulement au Théâtre de la Ville, à Paris, d’une pièce de Romeo Castelluci qui avait créé la polémique par son côté antichrétien et blasphématoire (voir nos articles ici).

    « Les catholiques se sont indignés mais il y a les bons et les mauvais indignés », a ironisé vendredi leur avocat Me Jérôme Triomphe.

    La plupart devrait faire appel.

    Nous vous tiendrons au courant.

    On peut aider certains des condamnés via le CSVR (en mentionnant « théâtre ») sur cette page.

    Précisons quand même que le « délibéré a consacré l’accès au service public de la culture et un droit absolu à la liberté d’expression » !
    Quand on sait que chaque année des Français sont lourdement condamnés, parfois à de la prison, pour s’être simplement exprimés hors du politiquement ou de l’historiquement correct, on savoure le cynisme parfait de cette sentence !

    Pour mémoire, une des protestations de l’époque parmi les plus médiatisées :

    http://www.contre-info.com/

  • Journalistes et politiques : la proximité jusque dans l’intime

    Le couple formé par le chef de l’État et une journaliste en vue représente l’illustration symptomatique de la complicité entre la classe politique et le monde médiatique. Exemple puisé au plus haut niveau de l’État, il est pourtant loin d’être isolé.

     

    Trop souvent confinés aux rubriques people, ces nombreux couples soulèvent la question de l’indépendance des journalistes. Et si ces deux professions n’en formaient plus qu’une seule ?

    http://fr.novopress.info

  • L’ARGENT DES TOURANGEAUX NE DOIT PAS SERVIR À SPONSORISER L’ISLAMISATION !

    Vos Populi

    Nous apprenons, dans l’entretien que Madame Blosch (adjointe au maire de Tours) a accordé à La Tribune de Tours hier, que Tour(s)-plus et le Conseil Régional veulent financer, à hauteur de 2,5 M d’€, la Grande Mosquée de Tours dont les travaux ont été interrompus faute de dons.

    Au mépris des principes de laïcité que la gauche n’hésite jamais à utiliser contre les catholiques, et à bafouer en faveur des musulmans, voilà que nos responsables politiques volent au secours d’une communauté dont les codes (hallal, voile, prières de rue) relèvent davantage du symbole de conquête que de l’assimilation discrète…

    Les citoyens tourangeaux, eux, sont aussi en droit de s’interroger sur le financement de cette mosquée géante (dont le coût s’élève à 7 millions d’euros) par la collectivité… Tout comme il semble légitime aussi de s’intéresser aux activités parallèles qui seront rattachées à ce lieu. Car comme c’est bien souvent le cas, la mosquée de Tours ne sera pas qu’un lieu de culte mais sera également dotée d’un « centre multiculturel » dédié à l’enseignement du Coran et de la langue arabe. On sait malheureusement trop bien le type d’endoctrinement qui a parfois été professé dans de tels lieux, y compris en France (on peut notamment évoquer les djihadistes formés dans la région lyonnaise et retrouvés combattant à l’étranger). Alors que le traumatisme Merah est toujours présent, il n’est pas interdit de s’inquiéter, ou tout au moins de se questionner.

    En démocratie, on consulte le peuple avant de prendre de telles décisions avec son argent. Nous exigeons un référendum local sur le financement de cette mosquée par les pouvoirs publics car c’est avant tout aux tourangeaux de décider s’il est légitime.

    Car l’argent des Tourangeaux ne doit pas servir à sponsoriser l’islamisation de notre ville, Vox Populi étudie d’ores et déjà tous les recours possibles contre les financements directs ou déguisés (via l’aspect cultuRel) qui viendraient à intervenir.

    Source  www.actionfrancaise.net

  • De la Marche des Beurs à celle de leurs victimes

    L’occasion était trop belle pour les épigones d'Harlem Désir. Rester sous le boisseau, le projet cinématographique consacré à ce que les média du Système a appelé La Marche des beurs (une sorte de manifestation très encadrée et interminable organisée en 1983 à la suite des événements de l'été de la même année aux Minguettes dans la bonne ville de Vénissieux près de Lyon) a facilement trouvé preneur puisque le réalisateur Nabil Ben Yadir s'est lancé dans l'aventure, assurément lucrative (puisqu'il jouira certainement d'une publicité monstre), en engageant comme acteur vedette l'allogène primesautier Jamel Debbouze. Trente ans après cette mascarade de pleurnicheries publiques, les Français résiduels seront-ils aussi sensibles au discours prétendument antiraciste (pour la plus grande joie du gouvernement en place et des agitateurs cosmopolites) ?
    LA MARCHE POUR L'ÉGALITÉ ET CONTRE LE RACISME OU UNE HOUTZPA DE "RÊVE"...
    La démonstration de force orchestrée par les agents de la dissolution de notre nation le 15 octobre 1983 constitue un véritable horion balancé dans la face du peuple blanc autochtone dont la candeur politique a atteint apparemment son acmé. Comment les petites familles françaises Martin, Dupont, Cordonnier, Faure, Durand ont-elles pu se faire avoir de la sorte ? Comment une telle masse de Français a-t-elle  pu  prendre  pitié d’une population qui avait d'emblée fait la preuve de « ses capacités » ? Pendant l'été 1983, la bonne jeunesse beurette, émoustillée par un climat torride lui rappelant quelque inclinaison atavique, se mit à faire un gros bazar dans la cité. La police intervint et dérangea une faune qui avait pris goût à la pratique du rodéo urbain et d’une manière générale à la violence tous azimuts confrontation avec la police ressembla à un nouveau jeu urbain inventé par des "jeunes" considérant la France comme un immense terrain vague où tout était permis. La police pensait encore avoir le droit de se défendre (avec prudence) contre la délinquance allogène il y a trois décennies. Les autorités systémiques en avaient décidé autrement. L'Engeance médiatisa intensivement un petit bobo et l'hospitalisation de Toumi Djaïda, un responsable associatif qui s'était mêlé à la petite guérilla menée contre des « forces de l'ordre » qui ne bastonnaient pas encore des familles placides lors de manifestations de salubrité publique. Les "jeunes" surexcités redoublèrent alors de violence pour protester, selon le média propagandiste, contre le racisme de la police et de la société blanche, « cette salope » (vocable utilisé aujourd'hui sans compter par les rappeurs "revendicatifs" de nos cités). Alors que la néo-barbarie mise en pratique par une myriade de xénopithèques aurait dû être flagrante pendant cet épisode de violences, ce fut paradoxalement le moment choisi par l'énorme machine de guerre propagandiste et de toutes les forces confédérées du métissage pour prôner, en pleurnichant sur les ondes, le combat absolu contre l'intolérance, la "xénophobie", le chauvinisme...
    L'ANTIRACISME COMME PROGRAMME POLITIQUE...
    L'année 1983 constitue en effet une période charnière de l'histoire politique récente de notre malheureuse nation. Non pas parce qu'un guignol mulâtre a remporté, il y a exactement trente ans, le tournoi de tennis de Roland-Garros malgré une coupe de cheveux agaçante et épouvantable. Quoique ce succès pesât d'une manière subliminale sur l'explosion du sentiment antiraciste en France. Les ménagères, téléspectatrices et étudiantes boutonneuses ne furent-elles pas abusivement émues lorsqu'elles virent le grand coloré se jeter dans les bras de son papa camerounais ? Comment les "racistes" pouvaient-ils être si fermes vis-à-vis de la question immigrée alors qu'un tel talent a origine étrangère avait le don de les émoustiller ?
    Mais l'idéologie antiraciste n'était plus seulement ce vernis logique utilisé par les petites Françaises effarouchées et les jocrisses bernés par la télévision. Elle devenait d'une importance vitale pour toute une gauche qui avait failli sur le plan économique. Incapable de juguler le chômage massif qui touchait déjà toutes les populations hexagonales, la gauche et Mitterrand mirent l'accent sur des thématiques sociétales afin de rassembler une jeunesse écervelée et séduite par la geste théâtrale de Jack Lang, la musique festive, l'anarchisme de papier, le mélange des races, une sexualité débridée malgré un SIDA qui devait hanter tous les cerveaux, la légèreté momentanée d'une existence sans transcendance malgré leur Shoah vénérée, et la fumette cannabique malgré les méfaits du tabac exposés dès l'école primaire. Cette jeunesse était toute prête à s'engager culturellement, idéologiquement, politiquement, religieusement, pour promouvoir, défendre, enrichir les hordes d'allogènes qui déferlent chez nous depuis 40 ans et l'instauration de ce funeste regroupement familial qui signa la colonisation effrénée de notre terre. Aussi n'est-ce pas un hasard si la création de SOS-Racisme suit de peu la Marche des beurs... et l'enterrement de la politique dirigiste du pouvoir alors en place. Remarquons, en passant, que pour fonctionner à plein régime, c'est-à-dire pour que la nécessité apparente de l'idéologie antiraciste semblât évidente et impérieuse, le Système médiatisa comme jamais un Front National encore balbutiant, parti réifiant la menace raciste et l'intolérance dénoncées par les jeunes et les progressistes à la manette. Avant même la création officielle de SOS-Racisme, les méthodes, utilisées ensuite par Harlem Désuet ses acolytes pour asseoir leur magistère moral sur la société, étaient appliquées ; d'une manière, certes, moins systématique.
    PAS D’ANTIRACISME SANS RACISME OSTENTATOIRE
    Jouissant d'un monopole médiatique fort précieux, les antiracistes (dont les responsables sont, dans leur immense majorité, juifs) ont arrosé les journaux télévisés et radiophoniques de faits divers impliquant une victime ou une prétendue victime frisée. Une bousculade, une claque, une bagarre pluriethnique et hop les racistes fantasmes sont convoqués ! Momo est tombé de sa mobylette ? C'est un crime raciste ! Mouloud n'a pas de boulot ? C'est la faute à Jean-François ! Mamadou n'a pas de petite amie ? Un scandale raciste évident révélant l'égoïsme des Françaises et des blondes qui refusent de tripoter l'ébène ! Et puis, il y a les drames savamment utilisés par les orfèvres de la désinformation. C'est bien opportunément que se produisit pendant la marche sur Lyon (La Marche des beurs prit son départ à Marseille avec une trentaine de participants pour finir à Lyon avec plus de mille fanatiques antifrançais), une stupide agression dans le train Bordeaux- Vintimille perpétrée par trois candidats légionnaires qui balancèrent du wagon un jeune Algérien qui décéda sur le coup. Le média obèse s'est gavé de cette sordide histoire mais en la garnissant de sa mayonnaise maison. Les agresseurs étaient présentés comme des Gaulois de souche, racistes et nationalistes alors qu'au moins deux sur trois sont juifs (l'un d'entre eux a d'ailleurs envoyé une lettre au Nouvel Observateur en 1986, une semaine avant son procès, dans laquelle il explique que le juif qu'il est ne peut se pardonner...). La propagande orchestrée autour de cet homicide galvanisa les immigrés et leur progéniture. Roger Hanin, acteur israélite, en fit même un film dans lequel il effaça, éhonté, la judaïté des tueurs pour les grimer en nationalistes et militants investis... Les promoteurs de la future association SOS-Racisme ne pouvaient rêver meilleur "lancement" ! Tout était parfaitement millimétré ! La manifestation était encadrée par le pasteur Jean Costil et l'obscur curé, star de la messe dominicale sur France 2, Christian Delorme (le 4 juin 2008, Delorme publie une tribune incroyable intitulée « Non, l'Algérie n'est pas antichrétienne » dans le journal Le Monde. Celle-ci justifie tout simplement les mauvais traitements dont sont victimes des chrétiens en Algérie. En 1975 il est "l'avocat" des prostituées qui occupent l'église Saint-Nizier à Lyon ). Comme on le voit, l'antiracisme captieux amène à la détestation de soi et au suicide collectif.
    TRENTE ANS APRÈS, LES MINGUETTES, C'EST LA FRANCE !
    Dernièrement (le premier juin dernier), ce n'est pas à une manif contre le "racisme-assassin" à laquelle se sont adonnées des centaines d'habitants des quartiers nord de Marseille. Non, non... Aucune trace de racisme dans les meurtres et autres exécutions commis par des Beurs de Marseille. Juste une volonté de contrôler un territoire pour vendre plus de drogue, plus d'armes, plus de "filles". Les caïds canardent partout, tuent où ils veulent, quand ils veulent, qui ils veulent. Il est assez compréhensible que les Phocéens et les allogènes vivant cette puissante insécurité se rassemblent pour clamer leur fatigue, leur crainte de voir leurs gosses tués par ricochet ou par vengeance. Il est logique que cette petite population rassemblée ne condamne point l'immigration-invasion, ne la désigne pas comme la principale cause de la délinquance explosive qui contribue, aussi, à « tiers-mondiser » des pans entiers de notre territoire. Initialement, les habitants en colère voulaient manifester pour que le ménage soit fait dans la cité, pour que les assassins soient tous retrouvés (avant d'être tués à leur tour ?). Mais les organisateurs ont eu la drôle d'idée d'ajouter à ces revendications spontanées des slogans débiles prônant « l'égalité des droits et de traitements pour tous et partout. » Que cela signifie-t-il ? Les victimes des règlements de compte médiatisées aujourd'hui seraient-elles aussi et surtout, seraient-elles d'abord, les victimes d'un racisme insidieux relevant d'un défaut de solidarité nationale à l'endroit de ces quartiers abritant moult étrangers ? Les assassins seraient-ils devenus ce qu'ils sont à cause d'une Education nationale défaillante, qui ferait donc preuve d'un pareil racisme ? Bientôt, soyons-en assurés, des sociologues conformes stigmatiseront les derniers blancs de Marseille, et de la France entière, ces privilégiés égoïstes qui ne sont pas concernés par les règlements de compte et par le gros trafic de drogue. Pourquoi les Blancs ne crèveraient-ils pas à l'instar des Beurs sur les trottoirs puants des zones urbaines ? Pourquoi l’espérance de vie de Rachid ou de Mustapha est-elle plus courte que celle de Jean-Baptiste ou de Christophe dans les quartiers populaires de Marseille ?
    PROPAGANDE D'EXTERMINATION CONTRE LES "SOUCHIENS"
    Force est de constater que la marge de manœuvre de l'homme blanc pour se sortir d'une situation socialement et racialement critique, voulue par l'Engeance qui nous gouverne, est fort étroite. Une médiasphère soucieuse de préserver au jour le jour un climat antiraciste, antifasciste, shoatique, cosmopolite, féminin, souvent gnangnan, qui ne favorise pas vraiment la naissance de grands combattants identitaires. Les nationalistes, qui ont été capables de percevoir l'immonde réalité politique du système les entourant et qui se sont engagés héroïquement dans la lutte les opposant à cette engeance de mort, agissent constamment sur le fil du rasoir. Nous voyons, en ce moment même, les conséquences médiatiques, politiques, et demain, peut-être, judiciaires et juridiques, d'une agression gauchiste contre de placides fafs qui a mal tourné précisément du fait de la brutalité des premiers ! Fafs qui auraient dû, si l'on écoute le média proprement démoniaque, se laisser violenter tranquillement comme de vieilles gaupes échevelées et édentées. Ou même se laisser suriner, comme cela se produit régulièrement en Hexagonie...
    Nous retrouvons la même logique assassine lors des agressions commises par des Arabes ou des Noirs à rencontre d'honnêtes citoyens blancs. Si les allogènes tuent le souchien, la presse, les média n'en parlent pas ou si peu. Mais si, par chance, l'agressé parvient à parer les coups des délinquants africains ou à les neutraliser en en blessant un plus ou moins grièvement, alors l'église universelle de l'antiracisme obligatoire se lève et déverse son ire jusqu'à la mortification la plus complète du rescapé qui n'en peut mais. Hier encore, le décès du jeune homme, Gadzart (étudiant de l'école d'ingénieur des Arts et Métier (CNAM), en l'occurrence de Chalon-en-Champagne) de 22 ans, François Noguier, la France pour une raison dérisoire, montre, s'il le fallait, la pertinence de cette macabre réalité. Hollande, Ayrault, Valls, Le Monde, TF1, et j'en oublie, ont-ils pleuré sur le sort de cette véritable chance pour la véritable France ? Evidemment non. On ne va pas en faire un fromage.
    François-Xavier ROCHETTE. Rivarol du 14 juin 2013