Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

avortement et euthanasie - Page 121

  • Avortement, euthanasie, famille, théorie du genre : des sujets pour la campagne des élections européennes

    Si le gouvernement cherche à endormir les défenseurs de la famille en annonçant le retrait du projet de loi Famille de Dominique Bertinotti, il faut par contre rebondir sur une précédente déclaration de Najat Vallaud-Belkacem.

    En effet, le 12 janvier dernier, une dépêche AFP signalait que le ministre des Droits des femmes, par ailleurs porte-parole du gouvernement, souhaitait que des sujets comme l’avortement, fassent partie du débat des prochaines élections européennes.

    Najat Vallaud-Belkacem dénonçait « un certain nombre de lobbies très conservateurs qui, partout en Europe, essayent de remettre en cause les acquis fondamentaux ». Mme Vallaud-Belkacem n’en est pas à une énormité près. Au parlement européen comme en France, il saute aux yeux qu’il existe bien des lobbies qui exercent une influence prépondérante sur la classe politique, en effet. Mais il s’agit plutôt du lobby homosexuel, du lobby de la culture de mort, de la franc-maçonnerie et d’autres forces occultes apatrides et mondialistes.

    Et Vallaud-Belkacem de déclarer : « il faudra clairement nous exprimer parce que les élections européennes devront être l’occasion aussi de parler de ces sujets-là ».

    Il n’y a plus qu’à espérer qu’elle soit prise au mot. Que l’avortement, l’euthanasie, le mariage, l’instruction des enfants, la procréation médicalement assistée (PMA), la gestation pour autrui (GPA) et la théorie du genre deviennent des sujets incontournables de cette campagne électorale qui approche. En espérant que se lèvent quelques personnalités courageuses. C’est hélas ce qui manque cruellement dans le paysage politique du moment…

    http://medias-presse.info/avortement-euthanasie-famille-theorie-du-genre-des-sujets-pour-la-campagne-des-elections-europeennes/6066

  • Les 2/3 des femmes qui avortent utilisent une contraception

    Alors dire que la contraception permet de réduire le nombre d'avortements, c'est se moquer du monde.

    Michel Janva

  • Un foetus reconnu comme victime d'homicide, c'est donc bien un enfant ?

    Elle apparaît au grand jour, l'injustice de notre jurisprudence. A tel point qu'un tribunal et toutes les parties concernées ont choisi délibérément aujourd'hui de ne pas la suivre. Oui, un enfant, dans le ventre de sa mère, est bien vivant, même s'il n'est pas né. Et donc oui, il peut être victime d'homicide involontaire, n'en déplaise à la Cour de cassation, qui a considéré l'inverse dans un arrêt de juin 2002.

    Le tribunal de Tarbes a donc condamné aujourd'hui à trois ans de prison avec sursis, un automobiliste qui avait renversé une femme enceinte de six mois et demi, provoquant la mort de l'enfant qu'elle attendait :

    "Le parquet ne fera pas appel de la décision du tribunal, pas plus que la défense de l'automobiliste. Celle-ci refuse délibérément d'invoquer la jurisprudence de la Cour de cassation dans un souci d'apaisement et d'humanité vis-à-vis de la mère et de son client. "Le droit, c'est aussi traiter les humains, ce n'est pas que l'application des textes", a déclaré sa défense, expliquant avoir fait un "choix philosophique", afin que l'automobiliste qui éprouve depuis un fort sentiment de culpabilité puisse tourner la page et que la victime puisse "faire son deuil". La mère a donné un nom à son enfant et l'a enterré, a souligné cette avocate qui se dit "féministe" et qui n'a pas souhaité que son nom soit publié."

    Un coup porté à la culture de mort, qui permet l'homicide volontaire des enfants handicapés jusqu'à la naissance. Raison pour laquelle le statut de victime et a fortiori d'être humain, est refusé au foetus. L'avocate féministe semble le pressentir...

    Louise Tudy

  • Déchaînement antichrétien des pro-avortement espagnols

    L’Espagne a à nouveau été en proie à une offensive antichrétienne le 1er février dernier, comme en témoignent les photos que nous venons de recevoir de nos correspondants sur place.

    Les viragos pro-avortement se déchaînent et crachent simultanément leur haine du christianisme.

    Un rassemblement s’est tenu devant la cathédrale de Tarrasa. Des extrémistes pro-avortement se sont même enchaînés aux grilles du porche de la cathédrale, cherchant à empêcher les fidèles catholiques de pouvoir y entrer.

    Parmi les slogans scandés : « Si vous vous occupez de nos corps, nous occuperons vos églises ». Et bien sûr quantité de blasphèmes vociférés avec rage.

    A Barcelone également, quelques 500  manifestants braillaient « Gardez vos rosaires hors de nos ovaires » et autres slogans anticatholiques.

    Un peu partout, les églises deviennent les cibles de graffitis haineux des pro-avortement et des anarcho-communistes. Parmi les lieux profanés, l’église de Santa María del Mar, joyau architectural du XIV siècle, a été vandalisée par des graffitis pro avortements.

    http://medias-presse.info/dechainement-antichretien-des-pro-avortement-espagnols/6048

  • L’embryon et le fœtus sont bien des êtres humains, au stade embryonnaire et fœtal

    Extrait d'une tribune de Gregor Puppinck dans Famille chrétienne :

    "Avec 1,2 million d’avortements chaque année dans l’Union européenne et 220 000 en France, il faut effectivement changer les mentalités, cependant non pas dans le sens d’une impossible banalisation de l’avortement, mais dans celui d’un plus grand respect de tout être humain, dès sa conception, et d’une plus grande solidarité avec les femmes enceintes.

    Ce changement de mentalité souhaité est un progrès en humanité qui se réalise par un progrès des consciences. Il nécessite de prendre conscience qu’un être humain bien réel existe dès avant la naissance et depuis la conception : il est une personne en gestation. En tant qu’être humain, il est lui aussi détenteur de droits naturels et inaliénables, et il mérite une protection renforcée de la société en raison de sa vulnérabilité.

    Ceux qui refusent cette réalité sont incapables de dire à partir de quand l’être deviendrait humain, simplement parce qu’ils séparent l’être de l’humain ; comme si l'homme pouvait exister sans être humain. En réalité, les personnes qui refusent à l’homme toute humanité avant la naissance ne voient en nous que des animaux évolués, rien de plus. C’est vrai, lorsque l’on se fait une idée philosophique, a priori, de ce que serait l’Homme, il est difficile de le reconnaître en un embryon humain. L’embryon ne correspond pas au type d’homme parfait, au kalos kagathos. C’est aussi parce que « le trisomique » n’y correspond pas qu’on se permet de le supprimer.

    Et pourtant, l’embryon et le fœtus sont bien des êtres humains, au stade embryonnaire et fœtal. L’erreur est de vouloir identifier l’homme à partir d’une idée, et non pas de reconnaître l’homme, physiquement, là où il est, et tel qu’il est à chaque moment de son existence, de sa conception à sa mort. Ce sont aussi les idées préconçues sur ce que devrait être « l’Homme » qui causent le racisme et ont prétendument justifiées l’exploitation et l’extermination de certains groupes ethniques. [Lire la suite]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • L’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe se prononce contre l’extension de l’euthanasie en Belgique

    Un peu plus d’une cinquantaine de membres de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe se sont prononcés contre la l’extension de l’euthanasie aux mineurs en Belgique:

    « Considérant le vote de décembre 2013 au Sénat belge, qui approuve par 50 voix contre 17 une proposition visant à légaliser l’euthanasie pour les enfants (sans aucune limite d’âge);

    « Gardant présent à l’esprit que:

    • le Comité des Ministres salue à cet égard le paragraphe 9 (c) de la Recommandation 1418 (1999) de l’Assemblée parlementaire, visant à «encourager les Etats membres du Conseil de l’Europe à respecter et à protéger la dignité des malades incurables et des mourants à tous égards […] en maintenant l’interdiction absolue de mettre intentionnellement fin à la vie des malades incurables et des mourants»;
    • l’Assemblée, dans sa Résolution 1859 (2012), affirme que «l’euthanasie, au sens de tuer intentionnellement, par action ou par omission, une personne dépendante, dans l’intérêt allégué de celle-ci, doit toujours être interdite»;

    Lire la suite

  • L'avortement est redevenu un sujet dont on parle et c’est une bonne nouvelle

    De Jean-Pierre Maugendre :

    "Qu’il s’agisse d’une manœuvre politicienne pour faire oublier la progression continue du chômage et de l’insécurité, les galipettes du locataire de l’Élysée, la détérioration régulière de nos finances publiques ou la montée des « grognes » sectorielles, cela ne change rien à l’affaire : l’avortement est redevenu un sujet dont on parle et c’est une bonne nouvelle.

    La bataille sémantique n’a pas été gagnée par les désinformateurs. Si les élus socialistes, bien formatés, ne parlent que d’« IVG », beaucoup de journalistes et d’intervenants emploient le terme d’avortement qui correspond, lui, aux faits. En effet, le terme IVG est une manipulation de la réalité car une interruption (« nous vous prions de nous excuser pour cette interruption momentanée du son… ») n’est que momentanée alors que l’avortement est, lui, définitif.

    Le discours idéologique martèle que l’avortement est un droit des femmes, remis en cause par une minorité obscurantiste. Face à cela, le défenseur de la vie le plus sollicité par les médias, Jean-Marie Le Méné (président de la Fondation Jérôme-Lejeune) revient en permanence à la réalité de l’enfant qui existe déjà et il parvient généralement à faire admettre à son interlocuteur, ou le plus souvent interlocutrice, qu’il s’agit en fait pour la femme d’avoir la liberté de « garder ou non son enfant » (Axelle Lemaire, député socialiste sur BFM-TV le 20 janvier). Face à ce fait – l’existence de l’enfant – l’argument est alors souvent qu’il faut « s’adapter aux réalités de la société ». Dans ces conditions, il serait logique de légaliser les règlements de compte entre truands à Marseille ou les tournantes en banlieue. Quand le fait crée le droit c’est qu’il n’y a plus de droit.

    Un sujet demeure cependant très largement occulté dans ces débats : c’est la responsabilité du père dans la conception de l’enfant et, partant, son rôle ou plutôt son absence de rôle dans la prise de décision d’avorter ou non. Il a été abondamment glosé sur les femmes poussées à l’avortement par le conjoint, la famille, les amis… C’est une réalité qui en cache une autre, occultée celle-là : celle des pères qui auraient voulu garder leur enfant, car il s’agit aussi de leur enfant, et qui en ont été empêchés par la mère qui souhaitait avorter. Juridiquement, les pères n’ont aucun droit sur la vie ou la mort de leur enfant déjà conçu ! Peut-être un amendement sur ce sujet, au nom de l’égalité homme-femme, eut-il été opportun ?

    Le poids de la pensée unique s’avère terrifiant. Lorsque Jean-Marie Le Méné ose affirmer qu’il est pour l’avortement zéro dans tous les cas et toutes les circonstances, ses interlocuteurs affirment en rester sans voix, avant de se remettre à débiter leur discours idéologique. En effet, qui peut s’arroger le droit de décider de la vie ou de la mort d’un autre être humain, innocent, déjà existant ? Personne ! On doit cependant observer qu’aucun député, hormis Jacques Bompard, n’imagine de revenir sur la loi Veil qui semble intouchable. Nous ne sommes pas en Espagne où le gouvernement prévoit de faire voter une loi de progrès au service de la défense de la vie.

    Alors que toutes les campagnes de prévention routière usent et abusent d’une stratégie compassionnelle multipliant les témoignages de vies brisées par un accident de voiture, en ce qui concerne l’avortement il est interdit de mentionner le cœur de l’enfant qui bat à partir de quatre semaines, soit bien avant le terme du délai légal d’IVG, ou le sort des embryons détruits. C’est la diffusion de ce type d’informations que souhaite supprimer, par la loi, Najat Vallaud-Belkacem dans un déni de réalité typiquement orwellien. [...]"

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • L'IVG est un crime contre la Vie, par Éric MUTH

    Ils ont médicalisé le crime, tué le Créateur à travers sa Création. À Quoi ça leur sert de tuer ces enfants ? Deux amendements, qui viennent d'être votés, banalisent encore l'IVG.
    La suppression de la notion de « détresse de la Femme » qui tend à faire de l'avortement un acte banal et un « droit » au lieu d'une tolérance. Et le début d'entrave de l'IVG qui est étendu au domaine de l'information.
    Cela signifie qu'un site comme IVG.NET risque de subir des procédures judiciaires qui entraveront fortement son efficacité et son activité vers les femmes qui appellent et qu'on peut mettre en garde contre les dangers de l'IVG. Car ce site les aide et les encourage dans l'accueil de la Vie.
    ABUS DE POUVOIR SCANDALEUX
    Les ministres Marisol Touraine et Najat Vallaud-Belkacem viennent de présenter conjointement un site « officiel » du gouvernement (à proscrire) pour accentuer la promotion du « droit à l'IVG ». L'objectif affiché est de délivrer une fausse information sans aucune précaution ni mise en garde. On préfère nier les problèmes plutôt que de donner des contre-indications à un « droit ». Car il faut oser inciter les Femmes à réfléchir aux conséquences psychologiques de cet acte. Naturellement aucune voix politique ou médiatique ne se fait entendre pour protester contre cet abus de pouvoir scandaleux.
    Il y a quarante ans, Simone Weil, en faisant voter la loi sur l'IVG qui porte son nom, rappelait à la tribune de l'Assemblée qu'elle voulait que l'IVG soit une « possibilité » et non un droit.
    Elle voulait faire une « loi dissuasive ». Faire obligation au médecin « d'informer complètement la Femme des risques médicaux de l'IVG » et faire prendre conscience à la Femme qu'il ne s'agit pas d'un acte normal ou banal, mais d'une décision grave qui ne peut être prise sans avoir pesé les conséquences et qu'il convient d'éviter à tous prix. Et le recours à l'IVG a de nombreuses incidences sur la vie des Femmes.
    Les Femmes qui ont recours à l'IVG sont très souvent marquées, d'une façon ou d'une autre par cette expérience. Chaque jour, en consultation, de nombreuses femmes racontent leur souffrance psychologique et leur mal être parfois des années après. Une IVG peut marquer douloureusement une vie et la santé ne se réduit pas au corps mais concerne aussi la santé psychique qui échappe si souvent aux froides analyses statistiques. Il ne faut pas ignorer les difficultés psychiques des Femmes qui ont subi une IVG.
    FAIRE RECULER LES PRÉTENTIONS LIBERTICIDES DE NAJAT BELKACEM
    Les Femmes enceintes ont besoin de réfléchir avant d'accepter cet acte grave, défendons ce droit. Elles ont besoin de parler sur IVG.NET : « Bonjour, j'ai besoin de parler à quelqu'un, il y a trois semaines, j'ai tenté de m'ouvrir les veines, mes parents sont arrivés à temps, on m'a envoyé chez un psy, mais je n'arrive pas à lui dire que j'ai 26 ans et qu'il y a 4 ans, j'ai avorté à 10 semaines. Je pensais être remise de ça, malheureusement ce n'est pas le cas, j'ai fait une erreur, je me suis laissée convaincre, je n'aurais pas dû avorter, et j'ai beaucoup de mal à vivre avec ce que j'ai sur le cœur ».
    Mais parce-que IVG.NET donne de précieux conseils, cela dérange au plus haut point Mme Belkacem et ses amies qui veulent fermer ce site. Nous pouvons faire reculer les prétentions liberticides de cette ministre sans scrupules et de la sénatrice Rossignol qui ont fait voter au Sénat un amendement visant à sanctionner ceux qui tentent d'empêcher les Femmes de s'informer sur l'IVG. La vie des Femmes en dépend.
    Parce que l'IVG n'est pas un acte banal, que trop de personnes le prennent comme un moyen de contraception comme un autre, alors que ce n'est pas le cas. L'IVG est un crime contre la vie, ne l'oublions jamais.

  • Avortement : à défaut de pouvoir supprimer cette loi, il faut éduquer

    A propos de la suppression de la détresse de la femme enceinte, le député Poisson déclare à Famille chrétienne :

    "Il y a en effet une espèce d’enfermement. Les promoteurs du droit à l’avortement sans conditions sont très mal à l’aise à devoir considérer qu’on est en train d’organiser le droit à quelque chose qui est un mal profond considéré comme un bien ! C’est un paradoxe insoluble. Ainsi, à défaut d’une majorité politique pour supprimer ce droit, je souhaite que tous les moyens soient pris pour informer, écouter et accompagner les femmes. Éduquer les hommes qui sont souvent les auteurs des pressions les plus insupportables pour les femmes qui se retrouvent dans cette situation. Tout cela fait partie d’une éducation qui est large, qui devrait pouvoir écarter les femmes du recours à l’avortement."

    Michel Janva

  • Jacques Bompard : Malgré les critiques, je suis fier de défendre la vie

    Bien loin de s’achever, notre course commence. Le combat est rude mais nous triompherons car notre espérance est inébranlable.

    En tant que catholique, mais surtout en tant qu’homme de bonne volonté, je me suis engagé à défendre la vie quel qu’en soit le prix, quelles qu’en soient les critiques.

    Monseigneur Pontier, président de la Conférence des évêques de France, n’a pas oublié de rappeler dans son message de Noël : « Je pense à ce projet de modification de la loi sur l’interruption volontaire de grossesse qui, loin de permettre aux femmes en détresse d’être laissées moins seules devant leur responsabilité face à la vie naissante, sont quasiment incitées à ne poser aucune question quant à l’élimination de l’être qu’elles portent en leur chair. »

    Lire la suite