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avortement et euthanasie - Page 123

  • Le CFM appelle à la mobilisation pour le Jour de Colère

    Grégoire Boucher, président du Collectif Famille Mariage, communique :

    "Jour de colère.

    J-5 : l’heure est à la mobilisation

    Nous vivons une période difficile mais ô combien exaltante ! Et pour rien au monde je ne voudrais vivre à une autre époque qu’aujourd’hui ! Oui, exaltante, car si les motifs de découragement et de dégoût sont légion, il nous est néanmoins donné de « ne pas subir », de ne plus attendre et d’agir. Il nous est donné, ni plus ni moins, d’être responsable, devant nos enfants et devant nos anciens, de l’Histoire de notre Patrie, et il nous est donné, humblement, mais avec détermination et courage, avec l’audace et la force de notre jeunesse, de participer à la renaissance de notre civilisation.

    Depuis un an, un vent de révolte souffle sur la France. Cette divine surprise de 2013 va devenir une sainte colère en 2014 !

    Dimanche prochain, 26 janvier, vous êtes tous attendus à Paris pour exprimer votre juste colère à ce gouvernement d’idéologues grotesques, qui ridiculisent la France chaque jour devant l’œil ahuri des médias du monde entier, et qui bafouent chaque jour un peu plus nos libertés sous l’œil scandaleusement complaisant des médias français.

    La France plonge dangereusement dans la dictature, comme le rappelait encore récemment Eric Zemmour. Nous ne laisserons pas ces incompétents mondialistes ruiner notre pays et piétiner nos libertés avec l’arrogance de leur impunité. C’est notre devoir. C’est votre devoir.

    Le combat est inégal, et c’est pour cela que nous allons gagner.

    Mobilisez-vous ! Mobilisez autour de vous ! Aucun de nous ne doit manquer à l’appel. En ce 21 janvier 2014, l’heure est grave et nous avons besoin de vous.

    Ce jour de colère est le jour de votre colère. Venez faire entendre votre voix afin que le gouvernement vous entende et vous écoute, ou qu’il s’en aille, loin et définitivement.

    Pour que le 26 janvier 2014 soit le succès que la France entière attend, les organisateurs ont besoin de vous pour que vous les aidiez, même modestement mais massivement, à financer cette manifestation historique.

    Participez tous,à la hauteur de vos moyens. Chaque euro compte :

    Collectif Famille Mariage
    Tour CIT
    3, rue de l'Arrivé
    75015 Paris

    Les organisateurs nous ont demandé de lancer cet appel de mobilisation générale et de les aider à récolter les fonds nécessaires. Ce que nous faisons bien volontiers et nous savons que nous pouvons compter sur vous.

    Sans votre aide, il sera difficile de donner à cette manifestation une ampleur nationale et internationale. Et pourtant tout est possible, avec vous.

    J-5 : nous ferons un point avec vous jeudi pour vous tenir informés de cette appel qui, nous le savons, sera relayé.

    L’Espagne vient de nous montrer qu’il ne fallait jamais désespérer. Montrons-leur et montrons au monde entier que la fille aînée de l’Eglise est toujours guidée par la petite fille Espérance, immortelle !

    Haut les cœurs !"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • 19/01/2014 : Les Hommen arrêtés, mais vite relâchés!

  • Marche pour la Vie : le Parti de la France était présent et la presse aux ordres continue à raconter n’importe quoi…

     

    La marche annuelle pour la Vie s’est déroulée dimanche après-midi à Paris. Près de 45 000 personnes ont répondu à l’appel des organisateurs.
    marchepourlavie

    Carl Lang et une délégation importante du Parti de la France ont participé à cet événement.

    Comme d’habitude la presse aux ordres a sombré dans le ridicule en donnant des évaluations fantaisistes (ci-dessous, 300 manifestants selon les plaisantins de I-Télé). Il faut dire que cette presse a perdu toute crédibilité et que les informations qu’elle diffuse ne sont plus prises au sérieux par personne depuis la farce « des 150 00 manifestants » en mai dernier cliquez ici.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/marche-pour-la-vie-le-parti-de-la-france-etait-present-la-presse-aux-ordres-continue-raconter-nimporte-quoi_97222.html#more-97222

  • Les Français dans la rue, le PS et Frédéric Haziza en « état de détresse » (?)

    Avorter est-il un acte médical comme les autres, une intervention anodine comme l’ablation de l’appendicite ? Oui explique en substance le ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, qui se félicite de l’amendement socialiste dans le projet de loi sur l’égalité homme-femme dont l’examen débute aujourd’hui à l’Assemblée. Celui-ci a pour objet de supprimer la mention de «l’état de détresse», spécifiée dans la loi Veil de 1975 sur l’IVG, comme condition pour avorter. Cette référence à l’état de détresse est «obsolète» a réaffirmé Mme Vallaud-Belkacem dans un entretien accordé au quotidien gratuit Direct-Matin. «Cela peut paraître symbolique, mais c’est un message fort: les femmes doivent pouvoir choisir de poursuivre ou non une grossesse sans avoir à se justifier. Faisons-leur confiance ».

    Le ministre a beau botter en touche, la confiance n’a rien à voir avec ce qui est en jeu ici, confiance dont pour le coup nous sommes totalement dépourvus vis-à-vis de ce gouvernement. A fortiori à la lecture de certaines des recommandations du rapport Pisani-Ferry visant à lutter contre les stéréotypes filles-garçons. Remis à Najat Vallaud-Belkacem le 15 janvier, ledit rapport expose des mesures louables, mais entend surtout, dés le plus jeune âge, éradiquer du crâne de nos chères têtes blondes tous les repères fondés sur l’altérité sexuelle et la traditionnelle complémentarité homme-femme.

    Comme exemple de ce délire orwellien, il est ainsi prévu une énième modification des manuels scolaires pour en expurger les représentations homme-femme jugées stéréotypées par les progressistes et autres défenseurs de la théorie du genre (gender). Mais aussi la mise en place de supports d’éducation pour enseigner aux parents que leurs pratiques éducatives peuvent entraîner à leur insu, des risques sanitaires pour leurs enfants( !). Ou encore la nécessité d’imposer, comme l’a déclaré Jean-Marc Ayrault le 6 janvier, la mixité dans les métiers de la petite enfance (assistantes maternelles, personnel de crèches), pour ne pas véhiculer le stéréotype que les femmes sont plus à même de garder les enfants que les hommes

    Alors même que la France est confrontée à une crise démographique majeure, son taux de natalité positif ne résultant que de l’immigration de peuplement, rappelons aussi que le Premier ministre a également exprimé sa volonté de mettre tous les moyens en œuvre pour que les femmes travaillent autant que les hommes…Chacun aura compris que ce vœu là n’est pas, de loin, celui de toutes les femmes dont beaucoup travaillent par nécessité, lesquelles seraient ravies a contrario que le salaire maternel préconisé par le programme du FN devienne réalité!

    Bref, ce souhait de M. Ayrault n’est pas plus de nature à soutenir notre démographie que les 200 000 IVG pratiquées chaque année, chiffre correspondant d’ailleurs aux entrées annuelles d’immigrés non européens sur notre sol.

    Le refus justement de la banalisation de l’IVG et de l’extension du délit d’entrave à l’avortement - comme si celui-ci était menacé en France…-, mais aussi la dénonciation de la négation par l’UMP hier, et le PS aujourd’hui, de la réalité du drame de l’avortement, étaient les thèmes centraux de La marche pour la vie organisée hier à Paris.

    Celle-ci a connu un record de mobilisation, avec officiellement près de 45 000 personnes dans les rues de la capitale pour demander notamment la mise en place d’une véritable politique d’aide aux femmes enceintes en difficulté qui souhaitent poursuivre leur grossesse.

    Un succès populaire qui a surpris et/ou inquiété les médias, cortège qui réunissait aussi de nombreuses personnalités et délégations venues de toute l’Europe. La présence de Bruno Gollnisch à cette manifestation, qui y a reçu beaucoup de chaleureux témoignages de soutien et de sympathie, n’a pas été du goût de Frédéric Haziza, journaliste sur LCP et Radio J.

    Surmené (?) par l’écriture de son dernier opus, Vol au dessus d’un nid de fachos, que nousn’avons pas lu, éprouvé certainement par les critiques, les insultes aussi qui l’assaillent depuis de longs mois sur la toile et les réseaux sociaux, M. Haziza a récidivé dans le tweet bête et méchant .

    Il y a quelques mois, Bruno Gollnisch invitait à la décence le socialiste Edouardo Rihan-Cypel qui faisait la leçon aux Français. Cela avait heurté M. Haziza qui avait vu dans les remarques de Bruno sur cet apparatchik du PS la preuve qu’il était marqué du signe de la Bête. En l’occurrence le député FN était décrit comme l’incarnation de « la peste brune en action », le symbole de la « France rance et pétainiste. »

    Dans un nouveau tweet publié hier, Frédéric Haziza a dénoncé la participation de l’ex ministre et ancienne présidente du PCD, Christine Boutin, à La marche pour la vie aux côtés notamment de Bruno Gollnisch : « Boutin a choisi son camp celui des fachos. »

     Lire la suite ici 

  • Délit d'entrave : l'enfumage de Najat Vallaud-Belkacem

    Selon Najat Vallaud-Belkacem, l'extension du délit d'entrave à l'avortement ne s'appliquera ni aux manifestations pro-vie ni aux sites internet proposant des alternatives. C'est ce qu'elle a déclaré hier au Figaro. Mais comment la croire ?

    «Pas question d'entraver la liberté d'expression de qui que ce soit !».

    L'extension du délit d'entrave à l'avortement, «ne concerne pas les actions pouvant être menées sur Internet».

    «Chacun est libre d'exprimer ce qu'il pense, mais inutile de l'imposer aux autres !».

    Seront désormais inclus dans le champ de ce délit les mêmes «actes d'intimidation», mais cette fois à l'encontre de femmes venues simplement

    «s'informer sur une IVG dans un hôpital, un centre d'orthogénie, une institution comme le Planning familial ou un centre d'information sur les droits des femmes et des familles».

    Et tant pis pour les médecins qui voudraient aider les femmes à garder leur enfant... Toutefois, elle précise que les «femmes qui se sentiraient lésées par des réponses de ces sites prosélytes [...] peuvent déjà porter plainte pour abus de faiblesse ou harcèlement moral». Sic.

    Tugdual Derville n'est pas convaincu par ce «double discours» :

    «Le gouvernement laisse entendre qu'il s'agit de ne sanctionner que des cas très précis qui pourraient choquer l'opinion, mais en même temps, il existe une tentative de marginaliser et de dénigrer notre travail. Nous sommes pourtant les seuls à publier les aides publiques auxquelles les femmes enceintes ont droit ; le gouvernement a renoncé à les produire

    «Si le gouvernement faisait bien son boulot, on arrêterait le nôtre ! Alors que ce projet de loi traite de l'égalité entre les femmes et les hommes, où est la vraie égalité ? Les femmes ont plus que jamais besoin d'être accompagnées, et non pas que la collectivité se dédouane en niant la difficulté d'un acte que les hommes, eux, n'ont pas à subir. La véritable égalité devrait intégrer une politique de prévention des pressions masculines qui s'exercent sur les femmes pour l'IVG, comme il est développé une politique volontariste à l'égard des violences faites aux femmes.»

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/d%C3%A9lit-dentrave-lenfumage-de-najat-vallaud-belkacem.html

  • La dictature de Najat Vallaud-Belkacem

     

    Excité, le ministre de l'Egalité et de la promotion du meurtre de l'enfant à naître, a prononcé un discours sidérant ce soir dans l'enceinte de l'Assemblée nationale :

     

    N"[...] Je commencerai donc par évoquer la loi de 1975. Je le dis avec fermeté : ce texte inscrivant la liberté des femmes à disposer de leur corps n’est ni à débattre ni à négocier.

    Nous n’accepterons aucun recul. Nous serons déterminés et même intransigeants. Toutes les entraves, toutes les tentatives de remise en cause de ce droit fondamental, toutes les régressions se heurteront à la poigne de l’État de droit."

     

    A ceux qui s'abritent derrière la loi Veil pour demander le maintien de la situation de détresse pour avorter, le ministre affirme que cet argument n'était alors que tactique :

     

     

    "Votre commission des lois a supprimé la référence dans notre législation à la « situation de détresse » qui conditionnait l’accès à l’IVG. C’est une actualisation bienvenue de notre droit et la suppression d’une disposition devenue obsolète et qui, du reste, n’avait été en 1974 qu’une concession accordée dans le cadre de la discussion. Simone Veil elle-même ne l’avait acceptée qu’à contrecœur."

     

     

    Puis elle menace l'opposition :

     

    "Je vous demande donc de rester dans ce consensus. Je le dis notamment aux quelques députés de l’opposition – je sais que tous ne partagent pas cette position – qui ont déposé des amendements pour que l’IVG ne soit plus remboursée par la Sécurité sociale. [...] Je le répète : restez dans le consensus républicain qui existe depuis 1975 sur ce droit essentiel. Le droit à l’IVG, nous l’avons construit ensemble ; il fait partie de notre patrimoine commun. Il nous faut le préserver, loin des passions inutiles, loin des manœuvres dilatoires. Envoyons un message clair aux femmes qui nous regardent. J’espère que nos débats en seront l’illustration."

     

    Le député Jean-Frédéric Poisson lui a répondu :

     

    P"Je pars d’un principe que je défends constamment dans cet hémicycle : celui du respect de la vie depuis la conception. J’observe, d’ailleurs, qu’il s’agit là de la formulation même du premier article de la loi de 1975 à laquelle beaucoup font référence ici depuis tout à l’heure, et sans doute avec juste raison. La majorité socialiste, en tout cas en commission des lois, a décidé de supprimer la notion de « détresse » de la loi actuelle s’agissant de l’accès à l’avortement, en prétendant – c’était d’ailleurs l’un des éléments de notre débat – qu’il ne s’agissait là que d’une modification anodine. En réalité, je ne crois pas du tout qu’elle le soit. [...] Cette suppression fait entrer de plain-pied dans notre législation le droit à l’avortement comme un droit plein et entier, lequel a été décrit tout à l’heure par un certain nombre de nos collègues comme « le droit des femmes à disposer de leur corps ». Cette formule est connue. Visiblement, madame la ministre, vous l’avez faite vôtre – ce qui est évidemment votre droit le plus strict – mais vous avez été aussi alertée, d’une certaine façon, sur un problème de concurrence vis-à-vis du texte concernant l’interdiction de la prostitution dont nous avons débattu voilà quelques semaines. Cette question a été posée dans vos propres rangs et il faut savoir s’il s’agit là d’un principe qui ne souffre pas d’exception ou s’il en souffre. En droit, tout cela n’est pas neutre.

     

    [...] Un rapport de l’IGAS consacré à l’IVG rappelait, en 2010, ce que disait la Haute autorité de santé : « L’IVG demeure un événement souvent difficile à vivre sur le plan psychologique. Cette dimension manque d’éclairage objectif et scientifique ». [...] Les enquêtes d’opinion nous renseignent, quant à elles, sur le fait que beaucoup de femmes éprouvent une souffrance réelle lors de la commission de cet acte, que ce soit par voie médicamenteuse ou chirurgicale. C’est là une réalité. Alors, soit on considère qu’elle ne doit pas être prise en compte et pas traitée, soit on essaie de la prendre en compte. [...]

    [...] Nous savons tous, car nous connaissons et rencontrons ces situations, que la pression exercée sur un certain nombre de femmes, parfois par leur employeur, parfois par leur conjoint, parfois par leur famille ou leurs amis – cela n’épargne aucun milieu ni aucun type de personnes ou de convictions, c’est très clair – [...] C’est pourquoi, madame la ministre, non seulement le rétablissement de cette référence fondamentale qu’est la « détresse » est essentiel à la législation en vigueur – même si elle ne me satisfait pas, et c’est pourquoi ce que vous vous apprêtez à faire voter au Parlement sur le délit d’entrave à l’information incluant même la simple information préalable sur les conséquences éventuelles d’un avortement ne relève pas, je crois, du respect de la liberté personnelle."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le débat sur l’IVG revient aujourd’hui à l’Assemblée nationale

    PARIS (NOVOpress) - La proposition de certains parlementaires PS de réécrire la loi Veil de 1975 sur l’interruption volontaire de grossesse relance le débat. La refonte viserait à supprimer la référence à la « situation de détresse » de la femme, justifiant le recours à l’IVG, même si elle n’est pas appliquée en pratique — rappelons que plus d’un tiers des françaises ont déjà eu recours à l’avortement. Seconde mesure : l’extension du délit d’entrave à l’IVG au « fait d’empêcher ou de tenter d’empêcher de pratiquer ou de s’informer sur une interruption de grossesse ». Les associations de soutien aux femmes choisissant de garder leur enfant risquent désormais jusqu’à deux ans de prison et 30.000 € d’amende.

    Ce débat anime aussi les plateaux télévisés et Roselyne Bachelot, ancienne ministre de François Fillon, a eu l’occasion de prendre farouchement la défense du droit à l’avortement : « Il s’agit, a‑t‑elle dit, d’une liberté imprescriptible, nous l’avons conquise il y a 40 ans, il n’est pas question de revenir sur ce droit ».

    http://fr.novopress.info/

  • La Marche pour la vie, c’était aussi la marche pour la France

    L’enjeu pour notre pays n’est pas seulement moral, ou « sociétal ». Il est démographique. La nature a horreur du vide.

    « Libre d’être contre l’IVG », pouvait-on lire sur la première banderole. Oui, sera-t-on encore libre demain d’être contre l’IVG ?

    C’est la question que posait hier au gouvernement, entre Denfert-Rochereau et les Invalides, l’immense cortège de la « Marche pour la vie ». Ils étaient 45.000 selon les organisateurs, 16.000 selon la police… Entre 200 et 300 d’après i-télé. Les mensonges, c’est comme tout, il faut rester quand même dans la modération, sinon on finit par saloper le boulot. [...]

    Gabrielle Cluzel - La suite sur Boulevard Voltaire

  • [MPV] Philippe Arino : "On vient défendre la vie charnelle"