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avortement et euthanasie - Page 119

  • Procès du Pr Lejeune : une cause qui n’est pas attaquée est une cause suspecte

    Le professeur Jérôme Lejeune est l’objet depuis quelques semaines d’une polémique. Certains médias l'accusent de s'être approprié en 1958 la découverte de la cause de la trisomie 21 à la place de Marthe Gautier, qui travaillait avec lui. À Rome, son procès en béatification se poursuit - le décret de validité juridique vient d'être signé. Aude Dugast, postulatrice de la cause de béatification, déclare à Famille chrétienne :

    "Pendant qu’on lance des accusations dans la presse française, je reçois à Rome chaque semaine des courriers du monde entier de personnes qui me demandent des reliques du Pr Lejeune et qui témoignent de grâces reçues par son intercession…

    Le Pr Lejeune est donc bien l’auteur de la découverte de l’origine de la trisomie 21 ?

    Jérôme Lejeune a joué un rôle prépondérant dans cette découverte. En 1958, il travaille dans le laboratoire du Pr Turpin, aux côtés de Marthe Gautier. Celle-ci est revenue des États-Unis avec une méthode de culture cellulaire permettant d’étudier les chromosomes. Avec l’aide de cette technique il réalise les recherches qui permettent la découverte du chromosome surnuméraire à l’origine de la trisomie 21. Cette découverte est le fruit d’un travail d’équipe, ce que Jérôme Lejeune a toujours dit, raison pour laquelle l’article est signé par Lejeune, Gautier, Turpin. L’ordre de ces signatures, selon les conventions scientifiques internationales, indique le rôle de chacun : signe en premier le principal auteur de la découverte, Lejeune, puis le ou les contributeurs, Gautier, et en dernière position le directeur du laboratoire, Turpin. La difficulté vient du fait que, cinquante ans après, alors que les professeurs Turpin et Lejeune sont morts, Marthe Gautier, qui a maintenant 88 ans, déclare qu’elle a fait seule la découverte…

    Pour vous, ces attaques fragilisent-elles la possible béatification du Pr Lejeune ?

    Le pape Benoît XIV, grand réformateur des causes de canonisation, disait qu’une cause qui n’est pas attaquée est une cause suspecte. L’Église ne cherche pas la polémique, mais la vérité. Elle travaille sur des preuves et avec la plus grande précision. Or, tout prouve que le Professeur Lejeune a eu une part déterminante dans la découverte qu’on lui connaît et que la communauté scientifique française et internationale lui a toujours reconnue."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • « Je suis bien content qu’on ne m’ait pas débranché » dit Philippe Pozzo di Borgo

    Extrait RTL - Il est l’homme qui a inspiré le film Intouchables. (…) Philippe Pozzo di Borgo a été rendu tétraplégique à la suite d’un accident de parapente en 1993. “On me pose la question ‘est-ce que tu aurais souhaité que l’on te débranche quand ça allait si mal après ton accident ?’ Bien sûr que j’ai pensé à me suicider après mon accident mais je suis bien content que, 20 ans plus tard, on ne m’ait pas débranché”, confie-t-il au micro de RTL (…).

    http://fr.novopress.info/

  • « Les familles ont besoin de courage, pas d’une loi sur l’euthanasie »

     

    Un signe du Printemps Belge devant le Parlement…

    Une cinquantaine de citoyens ont déposé des fleurs samedi après-midi devant le Parlement fédéral, à Bruxelles, pour protester contre l’élargissement de la loi sur l’euthanasie aux mineurs. Ils se sont ensuite rendus en fin d’après-midi à Evere pour fleurir la villa Indigo, une institution qui accueille des enfants malades nécessitant une prise en charge.
    parlement

    La Chambre a approuvé jeudi le projet de loi qui étend aux mineurs la loi de 2002 sur l’euthanasie. « Nous sommes extrêmement tristes que cette solution ait été retenue, alors qu’il n’y a pas de demande », exprime Bernard, l’un des participants à l’action. « Les jeunes enfants n’ont pas la capacité de décider. »
    ni fleurs ni couronnes

    Après avoir fleuri le Parlement en signe de deuil, les manifestants se sont rendus à Evere pour féliciter le travail d’accompagnement qui est réalisé à la villa Indigo. « Nous voulons mettre en avant les solutions alternatives », poursuit Bernard. « Les familles n’ont pas besoin d’une loi pour pouvoir euthanasier leurs enfants. Elles ont besoin de courage. Il faut leur montrer notre solidarité, développer les solutions d’accompagnement, et éliminer la douleur en soignant le malade, et non euthanasier le malade pour se débarrasser de la douleur. »

    garde à vue pour les couronnes

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/les-familles-ont-besoin-de-courage-pas-dune-loi-sur-leuthanasie_100142.html#more-100142

  • Garde à vue - Veillée des sentinelles au jour du vote contre l'euthanasie des mineurs !

  • Un jeune trisomique fait la une du basket américain

    0Manager de l’équipe de basket de son lycée, Kevin Grow est un jeune lycéen trisomique qui a fait la une des journaux américains, la semaine dernière, après avoir inscrit quatre paniers à trois points. L'entraineur John Mullin, les larmes aux yeux après la fin de la partie, a déclaré :

    « C’est vraiment incroyable. Je n’ai pas de mot… A chaque entraînement, il tentait des tirs à 3-points et nos joueurs ne quittaient jamais le gymnase avant qu’il mette un lancer-franc. Il est un cadeau de Dieu » avait déclaré le coach John Mullin, les larmes aux yeux après la fin de la partie.

    En Pennsylvanie, les Philadelphia Sixers, équipe de la prestigieuse NBA, ont donc profité de leur saison sans enjeu pour faire un beau geste. Ils ont ainsi offert un contrat d’honneur de deux jours au lycéen, lui offrant la possibilité de s’entraîner avec l’équipe, de manger avec les joueurs et même de se préparer avec eux pour faire face aux Cleveland Cavaliers.

    Michel Janva

  • Euthanasie : ce que consacre le Conseil d'Etat

    Lu dans Présent à propos de l'avis du Conseil d'Etat sur l'affaire Vincent Lambert :

    "[...] la décision du Conseil d’Etat pose plusieurs principes qui confirment le caractère euthanasique de la loi Leonetti – caractère que Présent avait dénoncé dès la discussion et l’adoption de la loi, en 2005 !

    Elle qualifie d’emblée l’alimentation entérale, à savoir l’administration directe de la nourriture dans l’estomac d’un patient pour pallier une difficulté de déglutition, de « traitement » médical, alors que rien dans le code de la santé publique ne permet de le dire, au motif que c’est ainsi que les travaux préparatoires de la loi Leonetti en ont décidé.

    Soins de base comme l’hygiène, l’abri ou le chauffage, la nourriture et l’hydratation administrées à un patient comme Vincent Lambert ne font que lui apporter ce dont il a besoin pour vivre, son organisme étant parfaitement capable d’assimiler la nourriture selon le processus digestif normal. Si on les lui retire, il ne mourra pas de sa maladie – puisqu’il n’est pas malade – ni de son handicap, mais bien parce qu’on lui aura refusé ce qui est ordinairement dû à toute personne.

    Le Conseil d’Etat se fonde sur les principes de la loi Leonetti pour affirmer que tout patient a droit à la protection de sa vie – raison pour laquelle il se dit fondé à statuer – mais ajoute que tout patient a le droit « de consentir à un traitement médical et de ne pas subir un traitement qui serait le résultat d’une obstination déraisonnable ».

    D’où, pour les experts qui seront nommés par l’Académie nationale de médecine, le Comité consultatif national d’éthique et le Conseil national de l’ordre des médecins, l’obligation de se prononcer d’ici à deux mois, après avoir examiné le patient, sur la capacité de Vincent Lambert à communiquer et sur le fait de savoir si réellement il rejette les soins, s’il souhaite vivre ou mourir.

    Autrement dit, c’est une reconnaissance de principe de l’euthanasie ou du suicide assisté, le retrait de l’alimentation ayant pour objectif la mort.

    Ils devront en réalité surtout – la décision du Conseil d’Etat en parle beaucoup – s’exprimer sur la dignité de la vie de Vincent Lambert : traduisez, même si la décision n’emploie pas le mot, sa qualité. Ils sont invités à se prononcer, en effet, sur le caractère « irréversible », ou non, de ses lésions cérébrales, « et sur le pronostic clinique » : autrement dit, l’état du patient est-il susceptible de s’améliorer ?

    Les travaux entourant la loi Leonetti ont fait de l’absence d’amélioration possible un critère pour la suppression de l’alimentation et de l’hydratation d’un patient en vue de le faire mourir.

    C’est cela que consacre le Conseil d’Etat. Le débat sur l’euthanasie est derrière nous."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’euthanasie inquiète les Parisiens

    Face aux manipulations d’une caste toujours plus éloignée du pays réel, chacun a le devoir d’exprimer sa résistance. Nous vous invitons à faire savoir dès maintenant votre opposition à une augmentation des cas d’euthanasie, déjà pratiquement possible depuis la loi sur la fin de vie de Jean Léonetti.

    Vous pouvez découvrir cette excellente tribune de Rémi Brague dont nous vous donnons un extrait :

    Ma propre mort ne sera pas nécessairement agréable ou paisible. Je souhaite bien sûr qu’elle ne soit pas trop douloureuse ou angoissée. J’aimerais, comme nous tous, mourir soigné, entouré, accompagné. Mais ma mort sera de toute façon digne. Ma dignité, nul ne peut me l’ôter. Elle tient à ce que je suis une personne, non à l’état dans lequel je me trouve.

    Nouvel Arbitre

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-euthanasie-inquiete-les

     
  • Pour combattre l'euthanasie : nous avons besoin de vous

    Chers amis,

    EComme vous le savez, Normal Ier et son gouvernement ont prévu de légiférer dans les prochains mois, sous la pression des lobbies les plus "recommandables", sur l'euthanasie (après les municipales, naturellement!...).

    Pour nous, catholiques, c'est clairement non : non, il n'est pas possible d'assassiner un vieillard, un handicapé ou une personne affaiblie (que ce soit en les piquant, comme se propose de le faire M. Hollande, par "humanitarisme", ou en les laissant mourir de faim ou de soif, comme la loi permet actuellement de le faire).

    Mais il ne suffit pas de dire NON. Il ne suffit même pas de dire, et de redire, que nous NE LACHERONS RIEN, JAMAIS. Il faut combattre pied à pied - dans la rue, dans les urnes... et au parlement.

    C'est pourquoi je suis heureux de vous annoncer que, depuis une dizaine de jours, une demi-douzaine d'assistants parlementaires proches du Salon Beige ont commencé à travailler sur le plan législatif, pour préparer la résistance et la riposte à ce projet de loi national-socialiste qui s'annonce. Mais il nous faut absolument leur procurer les moyens de se battre : il est impératif de montrer les conséquences de cette loi (le désastre actuel de la Belgique, où on peut assassiner des enfants, éventuellement même sans l'accord de leurs parents, est un "excellent" exemple) et il est impératif de mettre ces courageux assistants en relation avec les meilleurs juristes, médecins et spécialistes de ces questions.

    Après avoir travaillé avec ces assistants parlementaires, avec quelques juristes et quelques autres experts, nous avons estimé à environ 60 000 euros nos besoins pour préparer (et, plus encore, diffuser) les éléments nécessaires à la résistance anti-totalitaire. C'est infime par rapport aux moyens des lobbies de la culture de mort. Mais, avec cette somme, nous devrions être en mesure de défendre efficacement nos positions au parlement.

    Mais, pour réunir cette somme, j'ai absolument besoin de vous. Le Salon Beige a déjà engagé plus de 15 000 euros dans ce combat. Aidez-nous à réunir les 45 000 euros manquants (voir l'onglet "Faire un don" dans la colonne de gauche). Et, naturellement, si certains lecteurs connaissent bien ce sujet, que ce soit au plan médical ou au plan juridique, leur aide nous sera précieuse (le plus simple est alors de se signaler à la rédaction du Salon Beige).

    Merci à tous pour votre soutien

    Guillaume de Thieulloy, Directeur du Salon Beige

    Le Salon Beige

  • Le planning familial américain propose l’avortement comme « cadeau » pour la Saint-Valentin

    Cecile Richards, directrice générale de Planned Parenthood (Planning familial), la plus grande internationale avorteuse au monde, propose l’avortement comme un des «cadeaux» les plus utiles que les femmes ont besoin de recevoir le 14 février, fête de la Saint-Valentin, patron des amoureux.

    Par son compte Twitter, Cecile Richards rejoint la tendance # WhatWomenNeed qui est populaire sur le réseau de micro-blogging, et a posté un tweet avec ses idées de cadeau nauséabond pour la Saint Valentin.

    La dirigeante de cette internationale qui dispose du réseau des plus grandes cliniques d’avortement au monde, propose avortement et  contraception comme  « choses vraiment radicales» dont les femmes ont besoin.

    Dans les cliniques de Planned Parenthood aux Etats-Unis, plus de 300 000 avortements ont été pratiqués l’année dernière et on estime que cette organisation a reçu plus de 500 millions de dollars des contribuables.

    http://medias-presse.info/le-planning-familial-americain-propose-lavortement-comme-cadeau-pour-la-saint-valentin/6320