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avortement et euthanasie - Page 120

  • Un jeune trisomique fait la une du basket américain

    0Manager de l’équipe de basket de son lycée, Kevin Grow est un jeune lycéen trisomique qui a fait la une des journaux américains, la semaine dernière, après avoir inscrit quatre paniers à trois points. L'entraineur John Mullin, les larmes aux yeux après la fin de la partie, a déclaré :

    « C’est vraiment incroyable. Je n’ai pas de mot… A chaque entraînement, il tentait des tirs à 3-points et nos joueurs ne quittaient jamais le gymnase avant qu’il mette un lancer-franc. Il est un cadeau de Dieu » avait déclaré le coach John Mullin, les larmes aux yeux après la fin de la partie.

    En Pennsylvanie, les Philadelphia Sixers, équipe de la prestigieuse NBA, ont donc profité de leur saison sans enjeu pour faire un beau geste. Ils ont ainsi offert un contrat d’honneur de deux jours au lycéen, lui offrant la possibilité de s’entraîner avec l’équipe, de manger avec les joueurs et même de se préparer avec eux pour faire face aux Cleveland Cavaliers.

    Michel Janva

  • Euthanasie : ce que consacre le Conseil d'Etat

    Lu dans Présent à propos de l'avis du Conseil d'Etat sur l'affaire Vincent Lambert :

    "[...] la décision du Conseil d’Etat pose plusieurs principes qui confirment le caractère euthanasique de la loi Leonetti – caractère que Présent avait dénoncé dès la discussion et l’adoption de la loi, en 2005 !

    Elle qualifie d’emblée l’alimentation entérale, à savoir l’administration directe de la nourriture dans l’estomac d’un patient pour pallier une difficulté de déglutition, de « traitement » médical, alors que rien dans le code de la santé publique ne permet de le dire, au motif que c’est ainsi que les travaux préparatoires de la loi Leonetti en ont décidé.

    Soins de base comme l’hygiène, l’abri ou le chauffage, la nourriture et l’hydratation administrées à un patient comme Vincent Lambert ne font que lui apporter ce dont il a besoin pour vivre, son organisme étant parfaitement capable d’assimiler la nourriture selon le processus digestif normal. Si on les lui retire, il ne mourra pas de sa maladie – puisqu’il n’est pas malade – ni de son handicap, mais bien parce qu’on lui aura refusé ce qui est ordinairement dû à toute personne.

    Le Conseil d’Etat se fonde sur les principes de la loi Leonetti pour affirmer que tout patient a droit à la protection de sa vie – raison pour laquelle il se dit fondé à statuer – mais ajoute que tout patient a le droit « de consentir à un traitement médical et de ne pas subir un traitement qui serait le résultat d’une obstination déraisonnable ».

    D’où, pour les experts qui seront nommés par l’Académie nationale de médecine, le Comité consultatif national d’éthique et le Conseil national de l’ordre des médecins, l’obligation de se prononcer d’ici à deux mois, après avoir examiné le patient, sur la capacité de Vincent Lambert à communiquer et sur le fait de savoir si réellement il rejette les soins, s’il souhaite vivre ou mourir.

    Autrement dit, c’est une reconnaissance de principe de l’euthanasie ou du suicide assisté, le retrait de l’alimentation ayant pour objectif la mort.

    Ils devront en réalité surtout – la décision du Conseil d’Etat en parle beaucoup – s’exprimer sur la dignité de la vie de Vincent Lambert : traduisez, même si la décision n’emploie pas le mot, sa qualité. Ils sont invités à se prononcer, en effet, sur le caractère « irréversible », ou non, de ses lésions cérébrales, « et sur le pronostic clinique » : autrement dit, l’état du patient est-il susceptible de s’améliorer ?

    Les travaux entourant la loi Leonetti ont fait de l’absence d’amélioration possible un critère pour la suppression de l’alimentation et de l’hydratation d’un patient en vue de le faire mourir.

    C’est cela que consacre le Conseil d’Etat. Le débat sur l’euthanasie est derrière nous."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’euthanasie inquiète les Parisiens

    Face aux manipulations d’une caste toujours plus éloignée du pays réel, chacun a le devoir d’exprimer sa résistance. Nous vous invitons à faire savoir dès maintenant votre opposition à une augmentation des cas d’euthanasie, déjà pratiquement possible depuis la loi sur la fin de vie de Jean Léonetti.

    Vous pouvez découvrir cette excellente tribune de Rémi Brague dont nous vous donnons un extrait :

    Ma propre mort ne sera pas nécessairement agréable ou paisible. Je souhaite bien sûr qu’elle ne soit pas trop douloureuse ou angoissée. J’aimerais, comme nous tous, mourir soigné, entouré, accompagné. Mais ma mort sera de toute façon digne. Ma dignité, nul ne peut me l’ôter. Elle tient à ce que je suis une personne, non à l’état dans lequel je me trouve.

    Nouvel Arbitre

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-euthanasie-inquiete-les

     
  • Pour combattre l'euthanasie : nous avons besoin de vous

    Chers amis,

    EComme vous le savez, Normal Ier et son gouvernement ont prévu de légiférer dans les prochains mois, sous la pression des lobbies les plus "recommandables", sur l'euthanasie (après les municipales, naturellement!...).

    Pour nous, catholiques, c'est clairement non : non, il n'est pas possible d'assassiner un vieillard, un handicapé ou une personne affaiblie (que ce soit en les piquant, comme se propose de le faire M. Hollande, par "humanitarisme", ou en les laissant mourir de faim ou de soif, comme la loi permet actuellement de le faire).

    Mais il ne suffit pas de dire NON. Il ne suffit même pas de dire, et de redire, que nous NE LACHERONS RIEN, JAMAIS. Il faut combattre pied à pied - dans la rue, dans les urnes... et au parlement.

    C'est pourquoi je suis heureux de vous annoncer que, depuis une dizaine de jours, une demi-douzaine d'assistants parlementaires proches du Salon Beige ont commencé à travailler sur le plan législatif, pour préparer la résistance et la riposte à ce projet de loi national-socialiste qui s'annonce. Mais il nous faut absolument leur procurer les moyens de se battre : il est impératif de montrer les conséquences de cette loi (le désastre actuel de la Belgique, où on peut assassiner des enfants, éventuellement même sans l'accord de leurs parents, est un "excellent" exemple) et il est impératif de mettre ces courageux assistants en relation avec les meilleurs juristes, médecins et spécialistes de ces questions.

    Après avoir travaillé avec ces assistants parlementaires, avec quelques juristes et quelques autres experts, nous avons estimé à environ 60 000 euros nos besoins pour préparer (et, plus encore, diffuser) les éléments nécessaires à la résistance anti-totalitaire. C'est infime par rapport aux moyens des lobbies de la culture de mort. Mais, avec cette somme, nous devrions être en mesure de défendre efficacement nos positions au parlement.

    Mais, pour réunir cette somme, j'ai absolument besoin de vous. Le Salon Beige a déjà engagé plus de 15 000 euros dans ce combat. Aidez-nous à réunir les 45 000 euros manquants (voir l'onglet "Faire un don" dans la colonne de gauche). Et, naturellement, si certains lecteurs connaissent bien ce sujet, que ce soit au plan médical ou au plan juridique, leur aide nous sera précieuse (le plus simple est alors de se signaler à la rédaction du Salon Beige).

    Merci à tous pour votre soutien

    Guillaume de Thieulloy, Directeur du Salon Beige

    Le Salon Beige

  • Le planning familial américain propose l’avortement comme « cadeau » pour la Saint-Valentin

    Cecile Richards, directrice générale de Planned Parenthood (Planning familial), la plus grande internationale avorteuse au monde, propose l’avortement comme un des «cadeaux» les plus utiles que les femmes ont besoin de recevoir le 14 février, fête de la Saint-Valentin, patron des amoureux.

    Par son compte Twitter, Cecile Richards rejoint la tendance # WhatWomenNeed qui est populaire sur le réseau de micro-blogging, et a posté un tweet avec ses idées de cadeau nauséabond pour la Saint Valentin.

    La dirigeante de cette internationale qui dispose du réseau des plus grandes cliniques d’avortement au monde, propose avortement et  contraception comme  « choses vraiment radicales» dont les femmes ont besoin.

    Dans les cliniques de Planned Parenthood aux Etats-Unis, plus de 300 000 avortements ont été pratiqués l’année dernière et on estime que cette organisation a reçu plus de 500 millions de dollars des contribuables.

    http://medias-presse.info/le-planning-familial-americain-propose-lavortement-comme-cadeau-pour-la-saint-valentin/6320

  • La Russie met en place des centres d’accueil pour mères en détresse

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    Depuis cinq ans, la Russie prend régulièrement des nouvelles dispositions contre l’avortement. Exactement le contraire de la France. Toute campagne publicitaire en faveur de l’avortement est interdite dans ce pays. La motivation majeure est simple : de 143 millions en 2008, la population passera à 115 millions en 2050. La Russie deviendra un pays marginal. La Douma (Assemblée nationale russe) vient de voter une loi refusant la gratuité de l’avortement dans les établissements gérés par le gouvernement. Le consentement parental est exigé pour la pilule du lendemain. L’aide aux femmes enceintes a été augmentée de 2000 roubles (50 €) par mois. La prime à la naissance est passée à 9.000 $ (7.000 €) à partir du deuxième enfant. Cette assemblée parlementaire a renouvelé son opposition à la PMA. Conjointement, le Patriarcat de toutes les Russies a admonesté le gouvernement : « la préservation de la grossesse est une tâche prioritaire pour le médecin». Il rappelle que la grossesse pour autrui est « une mutinerie contre Dieu ». Il a rappelé qu’il était partisan de la mise en place de centres de grossesse pour « les mères seules dans des situations difficiles de la vie. »

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  • Mises à mort de personnes souffrant de maladie psychiatrique

    Voilà qui nous rappelle les heures les plus sombres (c'est l'Allemagne nazie qui exterminait les malades mentaux) :

    "42 personnes souffrant de maladies psychiatriques ont été euthanasiées l’an dernier aux Pays-Bas, selon un chiffre officiel révélé aujourd’hui par le ministre de la Santé néerlandais, Edith Schippers, en réponse à une question écrite du parlementaire travailliste Khadija Arib.

    Sur les 42 signalements d’euthanasie en cause, 31 ont déjà été passés au crible par les commissions régionales d’évaluation de l’euthanasie : ils ont tous été jugés conformes aux critères de la loi.

    C’est un chiffre en très nette augmentation puisqu’en 2011, 13 patients psychiatriques ont été euthanasiées, en en 2012, 14. Si le chiffre a ainsi triplé d’une année sur l’autre, c’est sans doute, selon le ministre, que les médecins sont davantage disposés à pratiquer l’euthanasie dans ce contexte d’absence de maladie mais de souffrances jugées « insurmontables ». Elle ajoute penser que l’approbation des 27 cas signalés en 2011 et 2012 par les commissions d’évaluation est connue des médecins ce qui a permis à leurs opinions à propos des normes légales à propos de l’euthanasie ont pu évoluer. [...]"

    Michel Janva

  • Rapport Lunacek : le PPE et le PS pensent de la même façon

  • Avortement : le ministre signe le remboursement d'une pilule dangereuse

    MDangereuse pour l'enfant d'abord, mais ça, cela fait longtemps que les gouvernements français s'en moque, mais aussi pour la mère. Le 20 janvier, le ministre de la Santé, Marisol Touraine, a signé le remboursement d'une pilule abortive, le Miffee, pourtant très vivement critiquée par les gynécologues. En novembre, six professeurs de gynécologie reconnus avaient écrit au ministre pour lui faire part de leurs inquiétudes.

    Selon ces médecins, il n'existe notamment pas de preuve d'innocuité du produit. Le Miffee ne peut être prescrit qu'en association avec un autre médicament, le gemeprost, qui n'est plus utilisé en France à cause de ses effets secondaires (il provoque des douleurs). Il doit être conservé à -15 °C et il est cher. Autrement dit, le Miffee va être utilisé en France hors des indications de mise sur le marché (hors AMM) puisqu'il va être associé à d'autres médicaments pour lesquels il n'a pas eu l'autorisation d'être associé.

    Le Pr Israël Nisand, qui faisait partie des signataires de la lettre adressée à Marisol Touraine, qualifie la ministre d'«irresponsable».

    «S'il venait à y avoir des problèmes de santé avec ce médicament, la ministre sera directement responsable. Et nous ne la ménagerons pas».

    Le 22 janvier dernier, Marisol Touraine était dans les locaux du Figaro pour une interview. Interrogée dans un couloir pour savoir si elle avait ou non l'intention de signer le remboursement de ce médicament controversé, elle avait répondu ne pas savoir de quoi il s'agissait. Elle venait de signer le remboursement deux jours plus tôt.

    Michel Janva