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avortement et euthanasie - Page 70

  • Veut-on entraver tout débat sur l’IVG ?

    Au pays des droits de l’homme et de la liberté d’expression, un sujet demeure tabou : l’avortement et la souffrance qu’il engendre. Le Professeur Nisand, pourtant défenseur dès la première heure de la possibilité d’avorter, parle à ce sujet d’un véritable négationnisme. Celui-ci est organisé au plus haut niveau de l’Etat.

    Tolérance zéro sur la liberté d’expression

    En effet, après avoir créé un « délit d’entrave à l’avortement » étendu à toute pression morale ou psychologique, délit flou et interprété de façon extensive contrairement au principe d’interprétation stricte de la loi pénale, le gouvernement a inventé un « délit d’entrave à l’accès à l’information sur existantes pour les femmes qui souhaiteraient garder leur bébé ou sur la souffrance que beaucoup de femmes connaissent après un avortement serait accusée de tromper les femmes et menacée des foudres de la justice.

    Le gouvernement veut ainsi mettre en œuvre la « tolérance zéro » qu’il avait annoncée. Peu lui importe que cela implique de violer allègrement les libertés d’expression et d’information, fondements essentiels d’une société démocratique. Rappelons que le Cour européenne des droits de l’homme insiste régulièrement sur le fait que ces libertés valent non seulement pour les informations ou idées accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent. Elle souligne aussi que cela fait partie du pluralisme, de la tolérance et de l’esprit d’ouverture sans lesquels il n’y a pas de société démocratique. [....]

    Claire de La Hougue

    La suite sur Causeur

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Veut-on-entraver-tout-debat-sur-l

  • Grâce à Laurence Rossignol, on parle de l'avortement à la télévision

    Sur BFM TV :

     

    VIDEO: Laure, militante pro-vie d'http://ivg.net  réagit au projet du gvt de s'attaquer aux sites anti-@MichelJanva

     
     

    VIDEO : Les sites anti- sont de plus en plus populaires et arrivent en tête des résultats de recherche. @MichelJanva

     

    Michel Janva

  • Propagande mensongère concernant les avortements clandestins

    Alors qu'en France, le Planning nous refait le coup des avortements clandestins, le débat parlementaire contre l'avortement en Pologne, a dénoncé cette propagande (sous-titré en Français) :

    Michel Janva

  • L'omerta sur l'avortement doit être brisée

    Les Survivants communiquent :

    "Les Survivants applaudissent la décision du gouvernement de se pencher sur la question douloureuse de l’avortement. L’omerta sur ce sujet doit être brisée. Chaque année, environ 200 000 femmes recourent à une IVG. Combien d’entre-elles subissent des pressions de leur entourage ou de la société, les forçant à recourir à cette extrémité ?

    Mais qui trompe réellement les jeunes filles sur l’IVG ? Aujourd’hui, il existe un tabou autour de l’avortement. Considéré comme un droit fondamental depuis 2014, il est impossible d’en discuter sereinement. C’est le moment de sortir du manichéisme dans lequel nos opposants tentent d’enfermer les Survivant-e-s. La question n’est pas d’être pour ou contre l’avortement, comme nous serions pour ou contre les chaussettes blanches dans les sandales ou pour ou contre le beurre salé ou le beurre doux. L’IVG n’est pas un droit, c’est un drame.

    Depuis quelques jours, un hashtag prend de l’ampleur sur les réseaux #CeciNestPasUnCintre. Lancé par le planning familial, cette campagne a pour effet d’alerter sur les avortements illégaux, encore pratiqués en France et dans le monde et dangereux pour la santé des femmes. Dommage que la recherche du buzz empêche le planning de trouver des solutions pérennes…

    Toute vie vaut la peine d’être vécue, personne ne peut présumer de la tournure que peuvent prendre les évènements. Toute femme vaut la peine d’être pleinement accompagnée dans ses choix, sans jugement.

    Les Survivants invitent cordialement Laurence Rossignol à leur local pour un échange autour de ce sujet, et n’hésiteront pas à lui proposer des solutions pour éviter la manipulation et les mensonges autour des droits des femmes !"

    Michel Janva

  • Conseil de l'Europe : le rapport pro-GPA de nouveau rejeté

    Par 19 voix contre 17 au sein de la Commission des questions sociales du Conseil de l'Europe.

    Néanmoins, le projet de recommandation annexé à la résolution a été adopté, après amendement. Il sera débattu lors de la prochaine session de l’Assemblée en octobre. Ce projet recommande aux Etats européens d’adopter des lignes directrices visant à préserver les droits des enfants nés dans le cadre d’une GPA.

    No Maternity Traffic partage le souci premier de préserver les droits des enfants. Néanmoins, vouloir préserver sincèrement les droits des enfants suppose de poser d’abord le principe de l’interdiction de la GPA sous toutes ses formes. Il est vain, et même malhonnête, de prétendre lutter contre les conséquences de la GPA pour les enfants, sans en condamner d’abord la cause. La GPA, ou maternité de substitution, est une régression absolue du droit des femmes et de l’intérêt supérieur de l’enfant. La GPA, quelle que soit sa forme, exploite des femmes et génère un trafic d’enfants, privés en tout ou partie de leur filiation.

    Le collectif international No Maternity Traffic poursuit son engagement et invite tous les députés de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe  à adopter prochainement une recommandation qui, comme l’a fait le Parlement européen en décembre dernier, condamne explicitement toute forme de GPA et recommande aux Etats d’adopter une politique commune en ce sens au plan européen. »

    Michel Janva

  • L’Europe est entrée dans un hiver démographique par un nihilisme fertile

    Extraits de l’éditorial de Jean-Marie le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, dans la Lettre de la Fondation de septembre 2016 :

    « A la question, "la vie vaut-elle encore la peine d'être donnée ?" les différentes politiques conduites depuis cinquante ans répondent clairement « non » ! D’où la succession ininterrompue jusqu’à ce jour de lois mortifères sur la famille, la contraception, l’avortement, la procréation artificielle, l’eugénisme et ces nouvelles formes de sacrifices humains que constituent les expériences sur l’embryon. Pour ne parler que des agressions contre le début de la vie, des dérives analogues s’ingéniant à hâter la fin de vie. L’Europe est entrée dans une sorte "d’hiver démographique", non plus à cause d’une guerre mais par un nihilisme fertile en raison de non-vivre (malthusianisme, hédonisme, écologisme, etc.). La « disparition » française de 10 millions d’enfants depuis plus de quarante ans est l’objet d’une célébration permanente et fait notre fierté nationale. Toute critique publique de cette hécatombe est formellement interdite au profit d’un masochisme auquel succombent les meilleurs. Il faudrait même se repentir, au nom d’un terrorisme de la bienveillance, d’évoquer ce cortège de morts, par égard à l’idéologie féministe et à ses prêtresses, c’est-à-dire que ce sont bel et bien les victimes qui sont devenues les bourreaux.

    Les fruits de cette tragédie pour la France sont gravement sous-estimés : « nous sortons de l’Histoire parce que nous sortons de la vie ! ». La fondation Jérôme Lejeune est la seule institution à combattre l’avortement (et ses avatars, y compris la GPA) non seulement en tant qu’acte individuel mais parce qu’il entraîne aussi des conséquences collectives, morales, juridiques, financières, démographiques et géopolitiques dévastatrices. Pour le Pr Jérôme Lejeune « un pays qui tue ses enfants tue son âme ».

    Nous en sommes là, anémiés spirituellement et physiquement face aux nouvelles menaces. Par son action concrète, inlassable et unique, la Fondation ne se résigne pas à voir la France renoncer à protéger ses propres enfants et perdre son âme. Elle n’accepte pas que l’on sacrifie la victime pour ne pas avoir à affronter l’agresseur, que l’on ne livre pas bataille par peur de déplaire aux grandeurs d’établissement, que l’on cède pour ne pas perdre. Le salut de la France dépend de ses raisons de vivre. C’est le trésor que nous voulons partager. D’urgence, aidez la Fondation à redonner à nos compatriotes le goût de cette « incroyable signification de la vie humaine ». Pour ne pas sortir de l’Histoire. »

    Michel Janva

  • Chronique du totalitarisme : lutte gouvernementale contre les sites de soutien aux mères

    Le ministre des Droits des femmes, Laurence Rossignol,a déclaré ce matin qu'elle allait agir contre les sites internet soutenant les mères en détresse, abandonnées par leur conjoint et la société qui ne leur propose que de broyer leur enfant à naître :

    "Le 28 septembre, je ferai une annonce pour expliquer comment nous allons faire reculer ces sites manipulateurs ; des mesures seront prises pour faire cesser ces sites qui trompent les femmes".

    "Il faut en parler, sinon on ne peut pas dénoncer la duplicité ; c'est jeune, c'est moderne... c'est une manière très pernicieuse de dénoncer les difficultés". "Il faut dénoncer la duplicité et la pointer ; de mon point de vue c'est un délit d'entrave numérique(...). Être hostile à l'IVG, c'est la liberté d'opinion, mais tromper des jeunes filles, c'est un délit".

    Et voilà le délit d'entrave numérique. C'est de la graine robespierriste.

    En 1993 a été institué le délit d’entrave à l’avortement, qui permet de poursuivre quiconque dirait le chapelet devant un avortoir. En 2014, le délit d’entrave a été étendu de façon à pouvoir poursuivre ceux qui tentent d’empêcher de « s’informer » sur l’avortement. 

    Selon Yves Daoudal, le premier site à devoir tomber pour crime de non-conformité à la culture de mort obligatoire est semble-t-il celui qui s’intitule «Afterbaize.com ». Un site qui parle comme les jeunes, et qui évoque tous les aspects de la sexualité, de façon décontractée, sans se focaliser spécialement sur l’avortement, et sans considérations religieuses ou morales, mais sans cacher que l’avortement tue un bébé.

    La mère à sa fille enceinte :

    — Je ne te laisserai pas faire la même erreur que moi.

    La fille :

    — C’est moi l’erreur ?

    Michel Janva

  • Et même si tous se taisaient, les pierres le crieraient !

    Chronique de Ludovine de La Rochère :

    6a00d83451619c69e201bb0936fd41970d-200wi.png"Ainsi, un mois avant notre manifestation nationale du 16 octobre 2016, l’Association des familles homoparentales publie un sondage réalisé par l’IFOP sur « Les Français, l’homoparentalité et la question des droits des homosexuels dans la campagne présidentielle ».

    Que dit ce sondage ? 62% des personnes interrogées ne sont pas favorable à l'abrogation de la loi Taubira, dont 53% de sympathisants Les Républicains et 45% des sympathisants du Front national et de Debout la France. Ah bon, ai-je envie de dire ! Parce qu’il y a un an le même institut, l’IFOP, publiait un sondage qui disait que 54% des Français souhaitaient revenir sur la loi Taubira, et que les 2/3 des électeurs de droite désiraient sa révision (abrogation ou réécriture). Alors qui croire, l’IFOP ou l’IFOP ?

    Nous répondons que le sondage se garde bien de demander aux Français sondés s’ils sont d’accord sur le fait que 1) l’enfant a le droit d’avoir un père et une mère 2) l’enfant a le droit d’être élevé par son père et sa mère.

    Ce sondage est « un chef d’œuvre de manipulation idéologique et mentale » comme l’a écrit le philosophe Bertrand Vergely. Il dénonce « la façon dont les questions du sondage ont été posées ». Ici, il n’est plus question de la famille, mais, nous dit-on, « de l’égalité, du progrès et de l’humain ». Le fond du débat est ainsi occulté.

    Et je continue de reprendre à mon compte ce que Bertrand Vergely écrit : « Comment peut-on se dire humain et progressiste et priver un enfant de sa mère ou de son père ? Comment, alors que le monde devient de plus en plus impersonnel et inhumain (…), peut-on accepter de faire de l’enfant ce que l’on va fabriquer de façon totalement impersonnelle et inhumaine ? Comment, alors que l’humanité subit la violence d’un libéralisme qui entend pouvoir avoir droit à tout, faire de l’enfant un droit et ce que l’on s’approprie en fonction de ce droit ? ».

    Quoiqu’il en soit, ce sondage a un vice originel : la filiation père-mère- enfant n’est pas une affaire d’opinion, elle est un principe de réalité, qu’on le veuille ou non. Y aurait-il 100% de personnes opposées à l’abrogation de la loi Taubira, cela ne changerait rien aux besoins fondamentaux de l’enfant. Et si tous se taisaient, les pierres le crieraient !

    Nous continuerons de nous battre. Nos actions et nos propositions étant la meilleure réponse à ce sondage biaisé qui est bien à l’image de nos contemporains « cyniques et sentimentaux » comme l’écrivait Bernanos."

    Michel Janva

  • La SMEREP alerte sur les conséquences psychologiques parfois graves de l'avortement

    6a00d83451619c69e201bb0936dbca970d-800wi.jpgÀ l’occasion de la Journée Mondiale de la Contraception (!), le 26 septembre, la SMEREP tire la sonnette d’alarme (c'est écrit ainsi dans le texte) quant au comportement à risque des jeunes femmes ayant trop souvent recours à la contraception d’urgence ou encore à l’IVG :

    • 36% des étudiantes eu des rapports sexuels ne prennent pas de pilule contraceptive. Parmi les raisons : l'impact négatif sur la santé.
    • 42% des étudiantes françaises ayant déjà eu des rapports sexuels, ont déjà eu recours, au moins une fois, à la contraception d’urgence (ou « pilule du lendemain »). Près de 10% d’entre elles y ont eu recours 3 fois et 3% plus de 5 fois ! En Ile-de-France, les lycéennes sont 31% à avoir déjà pris la pilule du lendemain. Près de 10% des lycéennes franciliennes ont déjà eu recours à unavortement
    • Enfin, l’enquête de la SMEREP dévoile que 6% des lycéennes ont déjà eu recours à l'avortement, et ce, 2 fois pour certaines. En Ile-de-France, ce chiffre atteint près de 10%.

    Pierre Faivre, Administrateur, Chargé de prévention à la SMEREP, déclare :

    « La SMEREP tient à alerter sur ces situations vécues par les jeunes femmes et sur les conséquences psychologiques parfois graves qu’elles peuvent vivre lors de la pratique d’une intervention volontaire de grossesse ».

    Michel Janva