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avortement et euthanasie - Page 72

  • Vidéo : Les défenseurs de la vie doivent cesser de raser les murs

    Samedi 12 mars, la fondation Jérôme-Lejeune lançait la fondation « One of Us », rassemblement de nombreux mouvements pro-vie en Europe. Boulevard Voltaire y était pour vous.

    http://www.bvoltaire.fr/reportage/les-defenseurs-de-la-vie-doivent-cesser-de-raser-les-murs,244792

  • Forum UN DE NOUS : immense succès pour l’événement de lancement de la Fédération

    Samedi 12 Mars, la Fédération UN DE NOUS a organisé son 1er Forum pour la vie à Paris (salle Gaveau). 1 200 participants de 28 pays européens, 31 organisations nationales, 150 bénévoles, 20 intervenants, de hauts responsables politiques, de la santé et des experts juridiques : cette journée fut une véritable réussite. 

    Eugénisme, recherche sur l'embryon, gestation pour autrui, euthanasie, transhumanisme : les défis sont nombreux à relever par cette nouvelle force pour la vie en Europe. Pour Jaime Mayor Oreja, Président de la Fédération UN DE NOUS et Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune (membre de la Fédération et organisatrice du Forum),

    « la Fédération s’appuie sur l’élan généré par le grand succès populaire de l’Initiative citoyenne européenne UN DE NOUS pour protéger l’embryon, soutenue par 2 millions de citoyens européens. Trop de pressions partisanes et mercantiles pèsent sur les législateurs pour encourager les fan­tasmes de l’homme augmenté, de la maternité sous-traitée, de l’enfant parfait et de la mort de la mort, qui petit à petit tuent notre civilisation judéo chrétienne. Ce Forum est l’acte fondateur d’une nouvelle Europe pour la vie».

    Le premier Prix UN DE NOUS a été donné à un « héros ordinaire de la vie » : la lauréate est une jeune femme thaïlandaise, Pattaramon Chabua, ma­man d’un bébé atteint de trisomie 21, qui a bouleversé l’opinion pendant l’été 2014 une émotion internationale suite à la révélation de son histoire : conçu dans le cadre d’un contrat de GPA, il aurait pu être avorté, car le couple commanditaire ne souhaitait garder que sa jumelle. 

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  • Le paradoxe et le génocide

    Dr Bernard Plouvier

    359126877.jpgDurant les années 1960-70, les médecins devaient parfois envoyer en Belgique ou en Suisse des femmes enceintes à qui leur grossesse faisait courir un risque grave, tant était sévère et restrictive, en France, la législation sur l’avortement thérapeutique.

    Puis vint la « grande avancée sociale », la Loi du 17 janvier 1975, qui dépénalisa l’avortement volontaire, le transformant en un geste médical. Des hommes et des femmes qui avaient choisi un métier de grande noblesse, au moins théorique, sont passés du statut de soignant à celui d’avorteur, soit d’assassin de fœtus sains, abandonnés par absence d’amour de leur génitrice.

    Le sigle IVG (Interruption Volontaire de Grossesse) est indéniablement plus joli que l’expression : avortement de complaisance. Toutefois la réalité demeure celle d’un meurtre prémédité, avalisé par la loi. Même si certains pitres ont osé parler « d’eugénisme », à propos de ces IVG… l’eugénisme a pour but d’éviter la reproduction des adultes et adolescents tarés, physiquement ou mentalement. Pour les théoriciens de l’eugénisme, né à la fin du XIXe siècle, il s’agissait d’élever le niveau de qualité des enfants à naître, nullement d’assassinats.

    L’on n’arrête pas les « progrès sociaux » ! Le 8 mars 2016, leJournal Officiel de la République Française rend public, afin que nul n’en ignore, le remboursement intégral (variante : à 100%) des soins liés à l’avortement volontaire. L’on évoque même, chez les honorables élus du peuple, la prochaine suppression du délai de réflexion de 7 jours, entre la première consultation de la candidate à l’avortement et le passage à l’acte tueur.

    Dans l’Évangile de Thomas, l’on trouve une belle phrase de Jésus de Nazareth. À une Juive qui lui demandait s’il lui était permis de refuser d’avoir des enfants, Jésus aurait répondu : « Consommes toute plante, mais ne manges pas celle de l’amertume ». Même chez un athée, les textes religieux ont parfois une curieuse résonnance.

    De nos jours, les journaux people lamentent le sort des mères chinoises, trop vieilles pour enfanter, désolées par la mort prématurée de leur enfant unique. Avec 1,4 milliard d’autochtones, les Chinois n’ont pas trop de souci à se faire pour l’avenir de leur Nation, même si l’on peut compatir aux drames individuels.

    Néanmoins, plutôt que de verser des pleurs de sauriens sur les malheurs exotiques, il est peut-être plus urgent de se pencher sur le sort de notre continent et sur l’avenir de notre race. Ce sont 220 000 fœtus que l’on assassine annuellement dans notre pays. Merveille des merveilles, les mères sont quasi-toutes des Européennes de souche, l’avortement étant jugé un crime aussi bien chez les musulmans que chez les Juifs judaïsants.

    Bien évidemment, pour compenser ce manque à naître, l’on importe annuellement des dizaines de milliers d’immigrés d’origine extra-européenne. C’est le nouveau paradoxe français, qui prend des allures de génocide. On peut remercier les honorables ministres, sénateurs et députés pour ces grandes avancées sociales… ou se souvenir de leur rendre justice le jour où les Français auront décidé d’être de nouveau dignes de leurs ancêtres.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/03/11/le-paradoxe-et-le-genocide-5772619.html

  • 40 Days for life : 304 bébés sauvés de l'avortement

    Au 31ème jour de la campagne de Carême qui s’achèvera le dimanche des Rameaux 20 mars prochain, 304 enfants à naître ont été sauvés de l’avortement grâce aux vigiles qui se relaient 24 h sur 24 et 7 jours sur 7 devant les avortoirs de 273 villes aux États-Unis et dans le monde, pour prier…

    Michel Janva

  • Halte au harcèlement des femmes avant l’IVG

    Gènéthique relaie une pétition d'une jeune femme contrainte d'avorter sous la pression de son entourage :

    "Madame Touraine,

    Je m’appelle Laura, j’ai 24 ans. Il y a 15 mois, je suis tombée enceinte. Tous mes proches m’ont poussé à l'IVG. Mon copain m’a dit de choisir entre lui et le bébé. J’étais totalement seule, et carrément harcelée.

    Je m'en suis pris plein la figure. Au bout de plusieurs jours, j’ai cédé et le rendez vous a été pris. Alors que je voulais faire marche arrière, mon copain m’a injuriée et menacée. Le médecin se taisait.

    Finalement, n’en pouvant plus, et perdue, je me laissais faire... C’était le 21 janvier 2015. Toute ma famille disait que j'avais fait le « bon choix », sauf que malheureusement ce n'était pas le mien ! J'ai pensé à leur « confort » plutôt qu'à moi ! Plus d’un an après,  je regrette encore, alors que plus personne ne me soutient et ne pense à ma douleur présente. Ma vie a basculé. Je ne m'en remets toujours pas.

    Cette situation est scandaleuse : comme moi, de nombreuses femmes sont harcelées dans ces situations d’avortement. J’en veux pour preuve tous ces témoignages postés sur la page « IVG : vous hésitez ? ». Les cas sont nombreux et différents, tous plus choquants les uns que les autres !

    Pourtant, à l’occasion de la Journée des Femmes du 8 mars, François Hollande a déclaré qu"aucune femme ne doit rester seule face au harcèlement". C’est exactement ce que nous avons besoin d’entendre !

    Mais il faut désormais passer à l’acte. Car c’est un fait, Madame la Ministre : aucune loi ne nous protège contre cette pression psychologique insupportable au motif que « cela n’était pas prévu ». Nous ne voulons plus subir ces harcèlements : nous voulons décider librement !

    Madame Touraine, faites enfin voter par le Parlement une loi qui nous protège, nous les femmes, contre ces harcèlements dommageables et sournois qui portent atteinte à notre dignité de femme, de future mère, de compagne et d’usagères des services de Santé.

    Laura"

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L'avortement : une charge de plus en plus lourde pour le contribuable

    Marisol Touraine l'avait annoncé à maintes reprises : conformément à son programme national d'action pour améliorer l'accès à l'interruption volontaire de grossesse (IVG), 2016 sera l'année du remboursement intégral des actes y afférents (...) Voilà qui sera effectif dès le 1er avril 2016, comme l'indique l'arrêté publié ce jour au journal officiel, relatif "aux forfaits afférents à l'interruption volontaire de grossesse".

    Ainsi, à partir du 1er avril 2016, la sécurité sociale prendra en charge des forfaits bien plus élevés que jusqu’à présent, englobant l'ensemble des actes préalables et ultérieures à l'IVG, ainsi que l'IVG instrumentale et médicamenteuse elle-même.

    Ces forfaits varient en fonction des établissements publics ou privés, ainsi qu'en fonction du type d'avortement pratiqué, instrumental avec ou sans anesthésie générale, ou médicamenteux.

    Dans les établissements publics et privés à but non lucratif (mentionnés aux a, b, c de l'article L162-22-6 du code de la sécurité sociale) : le forfait prévu pour une IVG instrumentale augmente d'environ 30 euros par IVG. Le forfait prévu pour une IVG médicamenteuse augmente d'environ 90 euros par IVG.
    Dans les établissements privés ayant conclu "un contrat pluriannuel d'objectifs et de moyens avec l'Agence régionale de santé" (mentionnés au d de l'article L162-22-6 du code de la sécurité sociale) : le forfait prévu pour une IVG instrumentale augmente d'environ 30 euros par IVG. Le forfait prévu pour une IVG médicamenteuse augmente d'environ 60 euros par IVG.

    De manière générale, le forfait relatif à l'IVG médicamenteuse prend désormais en charge les investigations préalables par méthode échographique et biologique, les investigations ultérieures à l'intervention par méthode biologique, et éventuellement la réalisation d'une échographie de contrôle ultérieure à l'intervention. Le prix fabricant hors taxe des boîtes de comprimés utilisées pour procéder à une IVG médicamenteuse est moins cher de deux euros.

    Autant de mesures qui pèseront lourd sur le contribuable qui finance désormais intégralement les 220 000 IVG réalisées par an. Une prise en charge totale qui n’a pas d’équivalent pour les femmes enceintes qui donneront naissance à leur enfant."

    Philippe Carhon

  • Mardi 8 mars, les Sentinelles de Nantes contre la GPA

    Les Sentinelles de Nantes communiquent :

    Chers amis,

    6a00d83451619c69e201b7c81e2769970b-500wi.jpgSavez-vous que mardi prochain sera célébrée la Journée de la Femme?
    Et savez-vous quelles perspectives on propose à la Femme, pilier de notre civilisation, aujourd'hui ? 
    On lui propose la GPA. Voilà son prochain horizon, voilà comment la cause de la femme "avance" dans le monde aujourd'huiGPA que l'on pourrait renommer la Grossesse Pour Abandon : un double esclavage où le corps des femmes les plus pauvres est exploité pour ses fonctions les plus intimes, et où le bébé à naître devient l'objet d'un commerce, d'un contrat. 
    En France, quelques lueurs d'espoir existent, mais le Conseil de l'Europe lui ne semble pas encore exempt des jeux des groupes de pression. Un vote à haut risque aura lieu le 15 mars et nous ne devons pas relâcher la pression!
    Les Sentinelles ne se satisferont jamais d'un monde qui est prêt à instrumentaliser le corps des femmes les plus démunies. Le respect qui est dû a dignité humaine n'est pas compatible avec de telles pratiques, avec cette marchandisation.
    Alors à l'occasion de la Journée de la Femme, la première victime de cet odieux trafic, les Sentinelles de Nantes vous donnent rendez-vous :
    le 8 mars 2016 
    de 12h30 à 13h30
    en face du monument des 50 otages
    Silencieux, résolus, respectueux de l'ordre public, espacés, sans signes distinctifs, bienveillants, nous nous tiendrons debout pour réclamer l'interdiction universelle de la GPA et l'annulation de la circulaire Taubira! 
    A mardi, ONLR JAMAIS!
    Les Sentinelles de Nantes

    Marie Bethanie

  • La fermeture de cliniques d’avortement atteint un rythme sans précédent aux Etats-Unis

    Ne boudons pas cette bonne nouvelle :

    « Depuis 2011, pas moins de 162 cliniques d’avortement ont fermé leurs portes ou cessé de procurer des avortements pour se concentrer sur d’autres activités, tandis que seuls 21 nouveaux établissements ouvraient leurs portes aux Etats-Unis. Les fermetures ont été enregistrées dans 35 Etats, aussi bien dans des petites villes que dans de grosses agglomérations. C’est une tendance sans précédent depuis la légalisation de l’avortement par l’arrêt Roe v.Wade, rendant la procédure d’« IVG » de plus en plus difficile d’accès dans certaines zones des Etats-Unis.

    Bloomberg commente la fermeture de cliniques d’avortement

    La tendance est notamment imputable aux lois des Etats cherchant à restreindre les possibilités d’avorter ou à mieux contrôler les normes sanitaires imposées à ces cliniques. Ainsi le Texas, qui a imposé de nouvelles exigences aux cliniques d’avortement, obligées de passer des accords avec des structures hospitalières pour éviter des tragédies en cas d’urgence vitale pour les femmes, a-t-il enregistré au moins 30 fermetures. L’Iowa et le Michigan suivent avec 14 et 13 fermetures respectivement, puis la Californie (avec 12 fermetures), alors même que cet Etat a un gouvernement démocrate.

    Aux Etats-Unis, ce sont des structures dédiées qui dans l’immense majorité des cas proposent l’avortement, et leur nombre décroît régulièrement depuis la fin des années 1980 :

    il en existait 705 alors à pratiquer au moins 400 avortements par an, selon l’Institut Guttmacher (organisme de recherche pro-avortement lié auPlanned Parenthood américain), contre 553 en 2011. Depuis lors, la chute a été encore plus rapide, à raison de 31 fermetures par an en moyenne.

    Aux Etats-Unis, moins de demandes d’avortement et moins de médecins avorteurs

    Si les nouvelles réglementations, qui pèsent sur la rentabilité des cliniques, sont responsables de nombre d’entre elles, d’autres sont dues à des concentrations d’activité ou une baisse démographique dans la région concernée. Mais Bloomberg fait également état d’une baisse de la demande des avortements, du départ à la retraite de médecins disposés à éliminer des enfants in utero, et des mesures prises contre des établissements insalubres. Selon LifeNews, le déclin de la demande de la procédure a pour corollaire sa moindre rentabilité

    Au Texas, pionnier des mesures anti-avortement, de nombreux établissements ont fermé faute de vouloir respecter des normes hospitalières imposées pour recevoir des femmes en vue d’avortements chirurgicaux ; en juillet dernier, le taux d’« IVG » dans l’Etat avait déjà chuté de 13 %. Dans cinq Etats, il ne reste désormais qu’une seule clinique d’avortement.

    Si le Planned Parenthood a participé au mouvement de fermetures – 30 % des établissements fermés depuis 2011 appartenaient au groupe – il est loin devant pour ce qui est des créations d’établissements depuis cette date, soit 75 % (sur 21…).

    Troy Newman, président d’Operation Rescue, souligne que la fermeture des avortoirs, notamment les plus dangereux d’entre eux, « est une excellente nouvelle pour les femmes et pour les bébés, car lorsque des cliniques d’avortement ferment, des vies sont sauvées ».

    Anne Dolhein sur reinformation.tv

    http://www.contre-info.com/la-fermeture-de-cliniques-davortement-atteint-un-rythme-sans-precedent-aux-etats-unis#more-41186