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avortement et euthanasie - Page 72

  • Et même si tous se taisaient, les pierres le crieraient !

    Chronique de Ludovine de La Rochère :

    6a00d83451619c69e201bb0936fd41970d-200wi.png"Ainsi, un mois avant notre manifestation nationale du 16 octobre 2016, l’Association des familles homoparentales publie un sondage réalisé par l’IFOP sur « Les Français, l’homoparentalité et la question des droits des homosexuels dans la campagne présidentielle ».

    Que dit ce sondage ? 62% des personnes interrogées ne sont pas favorable à l'abrogation de la loi Taubira, dont 53% de sympathisants Les Républicains et 45% des sympathisants du Front national et de Debout la France. Ah bon, ai-je envie de dire ! Parce qu’il y a un an le même institut, l’IFOP, publiait un sondage qui disait que 54% des Français souhaitaient revenir sur la loi Taubira, et que les 2/3 des électeurs de droite désiraient sa révision (abrogation ou réécriture). Alors qui croire, l’IFOP ou l’IFOP ?

    Nous répondons que le sondage se garde bien de demander aux Français sondés s’ils sont d’accord sur le fait que 1) l’enfant a le droit d’avoir un père et une mère 2) l’enfant a le droit d’être élevé par son père et sa mère.

    Ce sondage est « un chef d’œuvre de manipulation idéologique et mentale » comme l’a écrit le philosophe Bertrand Vergely. Il dénonce « la façon dont les questions du sondage ont été posées ». Ici, il n’est plus question de la famille, mais, nous dit-on, « de l’égalité, du progrès et de l’humain ». Le fond du débat est ainsi occulté.

    Et je continue de reprendre à mon compte ce que Bertrand Vergely écrit : « Comment peut-on se dire humain et progressiste et priver un enfant de sa mère ou de son père ? Comment, alors que le monde devient de plus en plus impersonnel et inhumain (…), peut-on accepter de faire de l’enfant ce que l’on va fabriquer de façon totalement impersonnelle et inhumaine ? Comment, alors que l’humanité subit la violence d’un libéralisme qui entend pouvoir avoir droit à tout, faire de l’enfant un droit et ce que l’on s’approprie en fonction de ce droit ? ».

    Quoiqu’il en soit, ce sondage a un vice originel : la filiation père-mère- enfant n’est pas une affaire d’opinion, elle est un principe de réalité, qu’on le veuille ou non. Y aurait-il 100% de personnes opposées à l’abrogation de la loi Taubira, cela ne changerait rien aux besoins fondamentaux de l’enfant. Et si tous se taisaient, les pierres le crieraient !

    Nous continuerons de nous battre. Nos actions et nos propositions étant la meilleure réponse à ce sondage biaisé qui est bien à l’image de nos contemporains « cyniques et sentimentaux » comme l’écrivait Bernanos."

    Michel Janva

  • La SMEREP alerte sur les conséquences psychologiques parfois graves de l'avortement

    6a00d83451619c69e201bb0936dbca970d-800wi.jpgÀ l’occasion de la Journée Mondiale de la Contraception (!), le 26 septembre, la SMEREP tire la sonnette d’alarme (c'est écrit ainsi dans le texte) quant au comportement à risque des jeunes femmes ayant trop souvent recours à la contraception d’urgence ou encore à l’IVG :

    • 36% des étudiantes eu des rapports sexuels ne prennent pas de pilule contraceptive. Parmi les raisons : l'impact négatif sur la santé.
    • 42% des étudiantes françaises ayant déjà eu des rapports sexuels, ont déjà eu recours, au moins une fois, à la contraception d’urgence (ou « pilule du lendemain »). Près de 10% d’entre elles y ont eu recours 3 fois et 3% plus de 5 fois ! En Ile-de-France, les lycéennes sont 31% à avoir déjà pris la pilule du lendemain. Près de 10% des lycéennes franciliennes ont déjà eu recours à unavortement
    • Enfin, l’enquête de la SMEREP dévoile que 6% des lycéennes ont déjà eu recours à l'avortement, et ce, 2 fois pour certaines. En Ile-de-France, ce chiffre atteint près de 10%.

    Pierre Faivre, Administrateur, Chargé de prévention à la SMEREP, déclare :

    « La SMEREP tient à alerter sur ces situations vécues par les jeunes femmes et sur les conséquences psychologiques parfois graves qu’elles peuvent vivre lors de la pratique d’une intervention volontaire de grossesse ».

    Michel Janva

  • Jim Caviezel : "Je ne peux pas garder le silence sur la mort de tant d’enfants"

    6a00d83451619c69e201bb09369432970d-320wi.jpgJim Caviezel jouera-t-il le rôle de Jésus dans La Résurrection de Mel Gibson ? Ce serait une façon de lui rendre justice puisqu'il a été écarté depuis qu'il a proclamé haut et fort sa foi catholique et qu'il continue à s'engager dans le combat pro-vie

    "L’acteur Jim Caviezel, (...), prend publiquement la défense des droits de l’enfant à naître et a assuré que le grand «mal de l’Amérique et du monde est sans aucun doute l’avortement ».

    Jim Caviezel, qui professe ouvertement sa foi, combine son travail en tant qu’acteur avec un véritable engagement au service de la défense de la vie en intervenant dans des conférences et événements pro-vie et pro-famille.

    Le message que l’acteur veut transmettre est que «nous sommes tous complices si nous permettons que l’avortement soit pratiqué librement et volontairement dans notre société.

    Au cours d’une de ses conférences à Boston, il a affirmé :

    "aux Etats-Unis et dans le monde, nous sommes responsables de la mort de millions d’enfants avant leur naissance et le pire est que chaque année, le nombre augmente. Nous sommes tous responsables de permettre l’avortement dans notre société.

    Quand je pense aux femmes qui ont avorté, je pense toujours que l’enfant aurait pu être un grand médecin, un grand musicien ou aurait pu sauver la vie de quelqu’un. Perdre quelqu’un de son sang est une expérience horrible.

    Vous avez peut-être avorté, ou vous avez été témoin d’un avortement dans votre famille ou même peut-être vous avez contribué financièrement à l’entreprise de l’avortement. Beaucoup de gens sont témoins de ce mal. Plus de 50 millions d’enfants sont tués dans le monde sans avoir encore eu l’occasion de vivre, mais le pardon est pour tout le monde et l’amour est pour tout le monde." 

    Jim Caviezel a critiqué les liens entre le géant de l’avortement Planned Parenthood et la candidate à la présidence des États-Unis, Hillary Clinton (...)

    Caviezel déclare :

    Tant pis si être pro-vie nuit à ma carrière. Je ne peux pas garder le silence sur la mort de tant d’enfants."

    Philippe Carhon

  • Marine Le Pen précise son positionnement sur l'avortement

    En marge de l'émission "Vie politique", Marine Le Pen répondait sur facebook aux questions des téléspectateurs.Voici ce qu'elle répond à une question sur le droit des femmes :

    Quelle est la position du FN quant au droit des femmes ?

    "Le Front national n’a jamais eu dans son programme l’intention de revenir sur le droit à l’avortement. Mais il faut mettre en place des politiques qui permettent aux jeunes filles d’avoir d’autres choix : un accès prioritaire à un logement, des allocations qui permettent de garder l’enfant."

    Dont acte. On a bien compris désormais le positionnement prudent de Marine Le Pen résumé dans cet interview donné à un journal polonais en 2015 et très intéressant d'ailleurs sur plusieurs points (euthanasie, avortement). Toutefois,pourquoi Marine Le Pen  ne reconnaît-elle pas que le programme du FN a évolué sur ce point précis comme le montrent clairement les extraits des différents programmes antérieurs du FN ci-dessous :

    Défendre les Français (Premier programme du FN - 1973) :

    « Nous voulons que les Français soient responsables de leur vie personnelle. En toute hypothèse, il s'agit d'une agression physiologique qui, même si elle est pratiquée dans les meilleures conditions médicales, laisse le plus souvent des séquelles morales ou corporelles.
 Nous désapprouvons l'avortement légal libre. Par contre, il serait souhaitable d'aménager la législation actuelle en confiant à une commission médico-sociale le soin de se prononcer sur les cas possibles de l’interruption de la grossesse ».

    Pour la France (livre programme de 1985 - page 133) :

    "L'Etat finance la mort. Il le fait doublement : d'abord, en remboursant l'avortement, ensuite en apportant des moyens de financement considérables aux associations malthusiennes comme le Planning familial qui donne une mauvaise image de la vie, de la naissance (...)  De même, l'Etat n'a pas à organiser ni à payer la mort : c'est pourquoi le Front National propose l'abrogation de la loi Veil du 17 janvier 1975 et, à fortiori, la prise n charge de l'avortement par la sécurité sociale."

    Passeport pour la Victoire (1988) :

    IVG (….) : « L’avortement a contribué à la diminution des naissances et à la décadence de notre pays (…). Michel de Rostolan, député du Front national – RN de l’Essone, co-président avec Christine Boutin, député UDF des Yvelines, et Hector Rolland, député RPR de l’Allier, du groupe d’étude pour l’accueil de la vie, a déposé plusieurs propositions de loi favorables à la vie et visant à supprimer le remboursement de l’avortement ».

    Pour un avenir Français (2002) :

    « Il découle du principe précédemment posé que l’avortement, mettant en cause un tiers, l’enfant à naître, ne peut être tenu pour légitime ; quant à la Nation, elle doit pourvoir à sa continuité dans le temps. Allant donc contre le Bien commun de notre pays, les lois sur l’IVG seront abrogées ».

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Soutenir l'avortement c'est aussi être sexiste

    Tandis que le nombre d’avortements est en forte hausse chez les jeunes, Julie Gayet, marraine de lacampagne gouvernementale contre le sexisme, soutient que le droit à l'avortement serait menacé en France :

    "J’ai la sensation que la situation s’est fragilisée récemment, que certains droits – à l’avortement, par exemple – sont remis en question. J’ai soutenu la campagne lancée à l’automne 2015 par Marisol Touraine, la ministre de la Santé, « Mon corps m’appartient », parce que cette assertion me semble fondamentale. Je connais la puissance des lobbies, mais j’ai été très surprise de voir la virulence des réactions hostiles. Le père de mes enfants est argentin et cela m’a toujours choquée, quand j’allais en Argentine, de savoir que, là-bas, les femmes n’ont pas les mêmes droits, l’avortement est interdit."

    Le sexisme c'est surtout de soutenir ce "droit" à l'avortement, contre le droit à la vie, le droit de la femme d'être soutenue dans ce moment de détresse, lorsqu'elle est abandonnée par son conjoint comme un kleenex usagé, lorsqu'elle est victime de chantage par ses parents ou son conjoint pour la forcer à avorter.

    Michel Janva

  • Le Conseil d’Etat face au bonheur des enfants trisomiques

    Communiqué de La Fondation Jérôme Lejeune :

    "La Fondation Jérôme Lejeune se félicite des éloges entendus au Conseil d’Etat sur la qualité de sa vidéo Dear future Mom de la part de tous les intervenants. Le rapporteur public, Mme Marion, a tenu à saluer ce film « réconfortant pour les parents d’enfants handicapés, utile et pédagogique pour la société ». Elle a précisé : « Il s’agit dans ce film de donner des arguments positifs à une maman qui attend un enfant trisomique 21. Cette posture ne paraît pas condamnable. »

    La Fondation Jérôme Lejeune est d’autant plus surprise par les conclusions de Mme le rapporteur qui rejette la demande de la Fondation (demande de réparation pour préjudice moral). Son argumentation : le message de Dear future Mom n’a pas de portée d’intérêt général car il s’adresse à une femme enceinte.La naissance serait une frontière. Curieusement, pour Mme Marion, parler des personnes trisomiques est d’intérêt général après leur naissance, mais pas avant.

    Mais les magistrats ne seront pas insensibles à l’intervention des avocats. Me Boré pour la Fondation Jérôme Lejeune a dénoncé le message sous-jacent du CSA « Cachez moi ces mères que je ne saurais voir ». Me Sureau pour les jeunes trisomiques et le Collectif Les Amis d’Eléonore a souligné avec ironiel’infantilisation des femmes par le CSA dont l’argumentation conduit à les présenter comme écrasées par un simple message positif de jeunes trisomiques dès lors qu’elles sont enceintes.

    La décision du Conseil d’Etat est attendue d’ici deux à trois semaines."

    Michel Janva

  • « Et nous ne disons rien. » La grande leçon politique de Mère Teresa

    Mère Teresa ne se contentait pas de regretter un désordre moral, car la complaisance et la responsabilité était bien pour elle politique.

    Déjà béatifiée en 2003 par le pape Jean-Paul II, Mère Teresa sera canonisée par le pape François ce dimanche 4 septembre. Le témoignage de sa charité fut aussi un message de vérité.

    La petite sainte de Calcutta, fondatrice des Missionnaires de la Charité, fut admirée par le monde entier pour son dévouement radical en faveur des plus pauvres. Son message d’amour et de paix n’avait pourtant rien de complaisant, et sa vérité fit grincer bien des dents, en particulier chez les faiseurs d’opinion ayant si souvent le mot « solidarité » à la bouche.

    Le 10 décembre 1979, la religieuse recevait le prix Nobel de la paix. Son discours s’ouvrit sur la prière de saint François :« Seigneur, faites de moi un instrument de ta paix : là où il y a de la haine, que je puisse apporter l’amour… » Mais après la prière, l’humble petite sœur en sari blanc et bleu adressa aux grands de ce monde son analyse des causes de la guerre et de la violence :« Le plus grand destructeur de la paix aujourd’hui, dit-elle, est le crime commis contre l’innocent enfant à naître. »

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  • Avortement : des femmes témoignent de leur manque de liberté

    Dans L'IVG, 40 ans après la loi Veil. La face cachée de l'avortement : des femmes témoignent, Marie Philippe, fondatrice du site www.ivg.net, publie des témoignages sur la réalité de l'avortement, en France. L’avortement « est toujours un drame et cela restera toujours un drame » disait Simone Veil en 1974. Or, l'incitation à l'avortement n'a jamais été aussi forte en France et malheurs à ceux qui osent s'écarter de la doxa officielle. C'est ce que subissent les animateurs du site ivg.net. Ce livre laisse la parole à ses mères qui ont du avorter sous la pression de leur conjoint, de leurs parents, de leur entourage, à contre-coeur, et que personne ne vient aider ensuite dans leur détresse. L'auteur explique :

    "Nous sommes pourtant régulièrement invectivés parce qu'on ose présenter des témoignages de femmes en grande souffrance. Par exemple, Clémence nous a écrit un jour : "Vous faites culpabiliser les femmes qui souhaitent avorter et vous ne leur rappeler pas l'importance du droit à l'IVG et les avantages qu'il est possible d'en tirer !". Je lui ai dit que beaucoup de gens se chargeaient déjà d'exalter ce droit, qu'il n'était pas utile d'en rajouter, que nous ne culpabilisons personne car, hélas, les femmes se culpabilisent toutes seules et qu'enfin c'était souvent après l'IVG que nous étions sollicitées quand c'est déjà trop tard ! Je lui ai rappelé que notre rôle est d'informer les femmes en totalité, sans occulter les problèmes, sans les prendre pour des idiotes. Quand nous leur demandons simplement "Avez-vous bien mesuré les conséquences de ce que vous envisagez de faire ?", "Est-ce vraiment votre choix ? N'est-ce pas plutôt celui de votre copain ?...", comment ferions-nous de la "culpabilisation" ?

    Michel Janva

  • Mon corps mon choix ? Ben non

    Les pro-avortements ont recouvert les tags des Survivants. En réponse, ils ont amélioré les leurs :

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    Sur Mon Corps mon choix, les Survivants écrivent :

    "Les survivants ont choisi de surfer sur le succès fulgurant du jeu Pokemon Go, afin de sensibiliser les jeunes au sujet tabou de l'avortement. Des inscriptions réalisées au pochoir près de nombreuses arènes de la capitale, interpellent les passants : "Et si Pikachu n'était jamais né?". Depuis quelques jours, "Sauvez Pikachu" a évolué en "Mon corps, mon choix", motto des féministes. Face à cela, nous souhaitons apporter une réponse.

    Adieu le contrôle total, je reçois mon corps

    Mauvaise nouvelle pour un grand nombre aujourd'hui, le corps est soumis à des changements face auxquels nous ne pouvons rien : le temps, les modifications hormonales... Certains font ainsi appel à des artifices pour avoir le corps choisi. Tout ceci n'est pas intégré dans le "mon corps, mon choix", car j'ai reçu mon corps. Deux questions à se poser face à cela : qu'est-ce que je vais faire de mon corps? Quel sens vais-je lui donner?

    D'autre part, mon corps, c'est la première chose que quelqu'un voit quand je le rencontre. Le corps fait alors partie de la relation, quelle qu'elle soit. La connaissance de l'autre passe par le corps de l'autre. Et on ne le comprend que trop bien dans la relation amoureuse qui se concrétise dans la relation sexuelle avec l'autre. On lui donne son corps.

    Et le corps de l'autre alors?

    En posant le "mon corps, mon choix", cela pose un impératif catégorique et implique une liberté totale à disposer soi-même de son propre corps. Or, en recouvrant une inscription qui parle du choix des femmes à choisir de garder leur enfant ou non, les féministes ont réagi en montrant que leur corps et leur choix est ce qu'il y a de plus important. Avant même celui d'un être à venir? Sans vouloir rentrer dans la polémique du nombre de jours de grossesse où l'on considère l'embryon comme un être humain, c'est bien un être en devenir qui grandit dans le corps de la femme, donc un autre qu'elle, donc un autre corps que le sien.

    Le "mon corps, mon choix", ne serait alors que l'apanage des femmes? Cet être en devenir n'a pas choisi, ni son corps, ni son existence. C'est aux parents, et surtout à la femme, future mère ou non, que revient ce choix de sa vie ou non. Nous y avons tous été confronté à quelque moment que ce soit : nos parents nous ont-ils désirés? Notre mère a-t-elle souhaité nous avorter? Le "mon corps, mon choix" n'est donc pas un absolu seulement réserver aux femmes.

    Pour une défense féministe de toutes les femmes

    Quand les féministes crient sur tous les toits : "mon corps, mon choix" parlent-elles à toutes les femmes? Se font-elles les porte-parole de ces femmes qui ne souhaitent pas avoir pour seule option que d'avorter? Toutes les femmes rencontrent des angoisses, plus ou moins fortes, face à l'annonce de leur grossesse : vais-je pouvoir bien occuper? Financièrement comment cela va-t-il se passer? Qu’est-ce-que cela va engendrer comme changement dans ma vie? Et bien d'autres encore... Est-ce alors pour ces diverses raisons qu'il faut se débarrasser d'un "problème" ?

    "Mon corps, mon choix" n'est pas un principe universel, par conséquent indémontrable, pour imposer à toutes les femmes que c'est leur corps qui prime avant tout, leur supprimant par là la possibilité de se poser des questions et de chercher d'autres solutions alternatives."

    Michel Janva