En ce Vendredi Saint et au 5ème jour après la fin de la campagne des 40 Days for Life, la coordination déclare que 502 enfants à naître ont été sauvés de l’avortement !
avortement et euthanasie - Page 71
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40 Days for Life : 502 enfants sauvés de l'avortement
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Après la loi sur l’avortement, il a manqué un million de voix catholiques à Giscard
A propos de la prochaine rencontre entre le Saint-Père et Nicolas Sarkozy, Christophe Dickès déclare à Atlantico :
"Il semble difficile d’évoquer une quelconque sincérité chez Nicolas Sarkozy après son revirement à 180° sur le mariage homosexuel. Pourtant, l’ancien président sait très bien que légiférer sur la GPA et la PMA oblige à une révision de la loi Taubira. L’électorat catholique ne se laissera pas berner d’autant que les mouvements issus de la Manif pour Tous (Sens Commun, Veilleurs, LMPT) y veilleront. En 1981, après la loi sur l’avortement de 1976, il a manqué un million de voix catholiques à Valéry Giscard d’Estaing. Les candidats de droite devraient s’en souvenir et ne pas sous-estimer la marée humaine qui s’est mobilisée contre le mariage pour tous. La droite peut-elle ignorer la voix de 1,5 million de personnes dans la rue ?
S’ils la négligent, ils prendront un risque certain. Le voyage de Sarkozy ne changera rien au débat, tout comme le voyage de François Hollande en janvier 2014 n’a rien changé entre les rapports du Saint-Siège et de la France. Les Français savent très bien que tout cela relève d’une stratégie de communication. Néanmoins, si ce voyage permet à Nicolas Sarkozy d’avoir cette prise de conscience sur le vote catholique et de changer sa stratégie en conséquence, il sera utile. La gauche ne s’est pas privée de faire une politique de gauche sur les sujets sociétaux, que la droite fasse de même si elle veut revenir au pouvoir.
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La mort des plus fragiles est rentable
Aujourd’hui, la traque de l’homme imparfait est déjà une réalité, et une réalité qui rapporte. Tel est l’argument du dernier livre de Jean-Marie Le Mené, un cri d’alerte face au meurtre par avortement de tous les enfants Mongoliens.
Il n'est pas besoin d'être un militant provie acharné pour suivre Jean-Marie Le Mené dans son indignation. Il s'agit de la trisomie 21, cette anomalie chromosomique qui fait l'objet d'un dépistage prénatal de plus en plus efficace. En France les trisomiques, tous dépistés, sont quasiment tous - 96 % - sacrifiés sur l'autel du nouvel eugénisme.
L'indignation de l'auteur n'appuie pas sur la corde sensible. On pourrait pourtant remplir des livres entiers avec le témoignage de parents qui ont fait le choix de « garder » leur petit trisomique et qui en ont été récompensés en joie et en bonheurs. Et d'autres avec la souffrance des mères qui ont vécu l'arrachement d'un avorte-ment tardif parce que leur tout-petit n'était pas « conforme » aux exigences du bébé parfait. De la part du président de la Fondation Jérôme-Lejeune, cela n'aurait pas étonné.
Mais les mentalités modernes - et surtout les médias, c'est à peu près pareil - ne comprennent plus guère ces considérations humaines. En revanche, elles peuvent être frappées par l'implacabilité d'une élimination systématique de déficients mentaux, soutenue par un marché porteur d'immenses profits.
Sous un titre clair - Les premières victimes du transhumanisme - Jean-Marie Le Mené propose un sous-titre plus énigmatique : La Ruée vers l'Or des Mongols. La phrase revient, lancinante, tout au long de l'ouvrage. Elle désigne une réalité glaçante : plus le dépistage des trisomiques, ceux qu'on appelait jadis les mongoliens, est efficace et sans danger pour les bébés « sains », plus il devient commercialement intéressant. D justifie un intense marketing, fondé à la fois sur l'exploitation de la peur des femmes de mettre au monde un enfant handicapé, et sur le sens de l'économie des régimes d'assurance maladie qui voient l'intérêt de dépenser même une coquette somme pour un test 100 % fiable, pour s'épargner la prise en charge des problèmes de santé de l'enfant qui n'aura pas vu le jour.
Voilà donc un récit d'une froideur clinique, précis et implacable. C'est une mise en accusation qui se lit comme un roman policier. On suit les manœuvres d'hommes et de femmes d'affaires qui veulent emporter le marché des simples tests sanguins qui permettent, dans le sang des futures mères, d'identifier et d'analyser l'ADN de l'enfant qu'elles portent. La technique est récente, ses applications potentielles gigantesques : plus l'analyse s'affinera, mieux on connaîtra le portrait génétique du fœtus. L'anomalie chromosomique, c'est facile : le chromosome de trop saute aux yeux du technicien. Le dépistage des gènes sera sans doute pour demain, lorsque la prédisposition au cancer pourra être mise en balance avec le sexe ou la couleur de cheveux du petit être, bien commodément avant l'épuisement du délai de l'IVG à la demande, un droit comme chacun sait. « On le garde ou on ne le garde pas ? »
Avec de tels objectifs, on peut se croire tout permis. Ce fut le cas des propriétaires et directeurs de Sequenom, compagnie californienne de « Biotech » fonctionnant à coups de millions de
dollars : de tromperies en délits d'initiés, de mort violente en retour insolent aux affaires, leur histoire fait davantage penser à un thriller cinématographique bien ficelé qu'à une bienveillante recherche pour le bien de l'humanité.
Jean-Marie Le Mené jette une lumière crue, servie par un sens aigu de la formule, sur l'entreprise essentiellement commerciale de ces sélectionneurs de chair humaine - eux qui n'attendent plus que l'agrément public de leurs tests dans un pays comme la France où le tri génétique se fait tous frais payés. Le boniment n'est d'ailleurs pas loin, comme toujours lorsqu'il est question de promettre bonheur, santé, richesse : en l’occurrence, en mettant tout en œuvre pour repérer 100 % des trisomiques 21, on met en avant... des vies sauvées. Mais oui : celles des bébés « sains » qui perdent la vie pour cause de fausses couches provoquées par l'examen invasif de l’amniocentèse actuellement pratiqué pour valider un diagnostic de trisomie. Rien qu'en France, ils sont plusieurs centaines par an.
Personne ne pense aux milliers de bébés malades qui sont éliminés, eux, sans affres de conscience. C'est leur vie dont Jean-Marie Le Mené affirme la valeur insondable. C'est leur triste rôle de victimes premières d'un système qui galope vers le transhumanisme - la fabrication d'une humanité sans défauts aujourd'hui, « améliorée » demain - qu'il met en lumière.
Je vous recommande tout particulièrement les dernières lignes de ce livre, un récit qu'on n'arrive pas à lâcher avant la fin. Jean-Marie Le Mené évoque ce que le cardinal Ratzinger lui dit jadis sur les sociétés qui commettent de si graves injustices à l'égard des plus faibles. C'est lumineux et prophétique. Et c'est un appel à l'humanité, afin qu'elle remette les choses à l'endroit.
Jeanne Smits monde&vie 24 février 2016
Jean-Marie Le Mené. Les premières victimes du transhumanisme, éd. Pierre-Guillaume de Roux. 176 p.
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La réalité de l'avortement
Lu ici :
"Lila Rose croit que si les Américains faisaient face à la réalité de l’avortement, ils deviendraient tous pro-vie en l’espace d’un instant. Elle a annoncé hier soir qu’elle a fait équipe avec l’ancien avorteur Dr. Anthony Levatino afin de lancer un nouveau site web présentant à tous les Américains les faits médicaux concernant les procédures d’avortement.
AbortionProcedures.com, qui a été mis en ligne ce matin, démontre précisément ce que son nom indique. Ce nouveau site internet nous montre Dr Levatino (médecin qui a pratiqué plus de 1 200 avortements) décrivant les méthodes les plus communes pour avorter. Chacune des procédures est dépeinte par de petites animations.
Chacune de ces vidéos durent de trois à quatre minutes et détaillent les différentes procédures tout en soulignant les risques médicaux associés à chacune d’entre elles."
Attention, ces animations peuvent choquer les plus sensibles !
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/03/la-r%C3%A9alit%C3%A9-de-lavortement.html
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Vidéo : Les défenseurs de la vie doivent cesser de raser les murs
Samedi 12 mars, la fondation Jérôme-Lejeune lançait la fondation « One of Us », rassemblement de nombreux mouvements pro-vie en Europe. Boulevard Voltaire y était pour vous.
http://www.bvoltaire.fr/reportage/les-defenseurs-de-la-vie-doivent-cesser-de-raser-les-murs,244792
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Forum UN DE NOUS : immense succès pour l’événement de lancement de la Fédération
Samedi 12 Mars, la Fédération UN DE NOUS a organisé son 1er Forum pour la vie à Paris (salle Gaveau). 1 200 participants de 28 pays européens, 31 organisations nationales, 150 bénévoles, 20 intervenants, de hauts responsables politiques, de la santé et des experts juridiques : cette journée fut une véritable réussite.
Eugénisme, recherche sur l'embryon, gestation pour autrui, euthanasie, transhumanisme : les défis sont nombreux à relever par cette nouvelle force pour la vie en Europe. Pour Jaime Mayor Oreja, Président de la Fédération UN DE NOUS et Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune (membre de la Fédération et organisatrice du Forum),
« la Fédération s’appuie sur l’élan généré par le grand succès populaire de l’Initiative citoyenne européenne UN DE NOUS pour protéger l’embryon, soutenue par 2 millions de citoyens européens. Trop de pressions partisanes et mercantiles pèsent sur les législateurs pour encourager les fantasmes de l’homme augmenté, de la maternité sous-traitée, de l’enfant parfait et de la mort de la mort, qui petit à petit tuent notre civilisation judéo chrétienne. Ce Forum est l’acte fondateur d’une nouvelle Europe pour la vie».
Le premier Prix UN DE NOUS a été donné à un « héros ordinaire de la vie » : la lauréate est une jeune femme thaïlandaise, Pattaramon Chabua, maman d’un bébé atteint de trisomie 21, qui a bouleversé l’opinion pendant l’été 2014 une émotion internationale suite à la révélation de son histoire : conçu dans le cadre d’un contrat de GPA, il aurait pu être avorté, car le couple commanditaire ne souhaitait garder que sa jumelle.
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Le congrès de SOS Tout-Petits
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Le paradoxe et le génocide
Dr Bernard Plouvier
Durant les années 1960-70, les médecins devaient parfois envoyer en Belgique ou en Suisse des femmes enceintes à qui leur grossesse faisait courir un risque grave, tant était sévère et restrictive, en France, la législation sur l’avortement thérapeutique.
Puis vint la « grande avancée sociale », la Loi du 17 janvier 1975, qui dépénalisa l’avortement volontaire, le transformant en un geste médical. Des hommes et des femmes qui avaient choisi un métier de grande noblesse, au moins théorique, sont passés du statut de soignant à celui d’avorteur, soit d’assassin de fœtus sains, abandonnés par absence d’amour de leur génitrice.
Le sigle IVG (Interruption Volontaire de Grossesse) est indéniablement plus joli que l’expression : avortement de complaisance. Toutefois la réalité demeure celle d’un meurtre prémédité, avalisé par la loi. Même si certains pitres ont osé parler « d’eugénisme », à propos de ces IVG… l’eugénisme a pour but d’éviter la reproduction des adultes et adolescents tarés, physiquement ou mentalement. Pour les théoriciens de l’eugénisme, né à la fin du XIXe siècle, il s’agissait d’élever le niveau de qualité des enfants à naître, nullement d’assassinats.
L’on n’arrête pas les « progrès sociaux » ! Le 8 mars 2016, leJournal Officiel de la République Française rend public, afin que nul n’en ignore, le remboursement intégral (variante : à 100%) des soins liés à l’avortement volontaire. L’on évoque même, chez les honorables élus du peuple, la prochaine suppression du délai de réflexion de 7 jours, entre la première consultation de la candidate à l’avortement et le passage à l’acte tueur.
Dans l’Évangile de Thomas, l’on trouve une belle phrase de Jésus de Nazareth. À une Juive qui lui demandait s’il lui était permis de refuser d’avoir des enfants, Jésus aurait répondu : « Consommes toute plante, mais ne manges pas celle de l’amertume ». Même chez un athée, les textes religieux ont parfois une curieuse résonnance.
De nos jours, les journaux people lamentent le sort des mères chinoises, trop vieilles pour enfanter, désolées par la mort prématurée de leur enfant unique. Avec 1,4 milliard d’autochtones, les Chinois n’ont pas trop de souci à se faire pour l’avenir de leur Nation, même si l’on peut compatir aux drames individuels.
Néanmoins, plutôt que de verser des pleurs de sauriens sur les malheurs exotiques, il est peut-être plus urgent de se pencher sur le sort de notre continent et sur l’avenir de notre race. Ce sont 220 000 fœtus que l’on assassine annuellement dans notre pays. Merveille des merveilles, les mères sont quasi-toutes des Européennes de souche, l’avortement étant jugé un crime aussi bien chez les musulmans que chez les Juifs judaïsants.
Bien évidemment, pour compenser ce manque à naître, l’on importe annuellement des dizaines de milliers d’immigrés d’origine extra-européenne. C’est le nouveau paradoxe français, qui prend des allures de génocide. On peut remercier les honorables ministres, sénateurs et députés pour ces grandes avancées sociales… ou se souvenir de leur rendre justice le jour où les Français auront décidé d’être de nouveau dignes de leurs ancêtres.
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/03/11/le-paradoxe-et-le-genocide-5772619.html
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40 Days for life : 304 bébés sauvés de l'avortement
Au 31ème jour de la campagne de Carême qui s’achèvera le dimanche des Rameaux 20 mars prochain, 304 enfants à naître ont été sauvés de l’avortement grâce aux vigiles qui se relaient 24 h sur 24 et 7 jours sur 7 devant les avortoirs de 273 villes aux États-Unis et dans le monde, pour prier…
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Halte au harcèlement des femmes avant l’IVG
Gènéthique relaie une pétition d'une jeune femme contrainte d'avorter sous la pression de son entourage :
"Madame Touraine,
Je m’appelle Laura, j’ai 24 ans. Il y a 15 mois, je suis tombée enceinte. Tous mes proches m’ont poussé à l'IVG. Mon copain m’a dit de choisir entre lui et le bébé. J’étais totalement seule, et carrément harcelée.
Je m'en suis pris plein la figure. Au bout de plusieurs jours, j’ai cédé et le rendez vous a été pris. Alors que je voulais faire marche arrière, mon copain m’a injuriée et menacée. Le médecin se taisait.
Finalement, n’en pouvant plus, et perdue, je me laissais faire... C’était le 21 janvier 2015. Toute ma famille disait que j'avais fait le « bon choix », sauf que malheureusement ce n'était pas le mien ! J'ai pensé à leur « confort » plutôt qu'à moi ! Plus d’un an après, je regrette encore, alors que plus personne ne me soutient et ne pense à ma douleur présente. Ma vie a basculé. Je ne m'en remets toujours pas.
Cette situation est scandaleuse : comme moi, de nombreuses femmes sont harcelées dans ces situations d’avortement. J’en veux pour preuve tous ces témoignages postés sur la page « IVG : vous hésitez ? ». Les cas sont nombreux et différents, tous plus choquants les uns que les autres !
Pourtant, à l’occasion de la Journée des Femmes du 8 mars, François Hollande a déclaré qu"aucune femme ne doit rester seule face au harcèlement". C’est exactement ce que nous avons besoin d’entendre !
Mais il faut désormais passer à l’acte. Car c’est un fait, Madame la Ministre : aucune loi ne nous protège contre cette pression psychologique insupportable au motif que « cela n’était pas prévu ». Nous ne voulons plus subir ces harcèlements : nous voulons décider librement !
Madame Touraine, faites enfin voter par le Parlement une loi qui nous protège, nous les femmes, contre ces harcèlements dommageables et sournois qui portent atteinte à notre dignité de femme, de future mère, de compagne et d’usagères des services de Santé.
Laura"
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