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avortement et euthanasie - Page 71

  • Aidez les femmes enceintes en vous connectant sur IVG.net

    Les lecteurs de notre blog sont invités à se connecter régulièrement (si possible une fois par jour pendant au moins trois minutes) sur le site ivg.net en simulant  systématiquement une recherche Google sur le mot clé “ivg” afin de maintenir ce site N°1  sur ce moteur de recherche et avant celui du gouvernement.

    N'hésitez pas à le faire savoir autour de vous et à visionner à nouveau cette excellente vidéo.

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Jusqu'à 2000 personnes pour la 7e Marche pour la Vie à Bruxelles

    Dimanche 17 avril, c'était la Marche pour la Vie, qui a rassemblé plusieurs centaines de personnes à Bruxelles, jusqu'à 2000 participants pour certains, malgré un black-out total de la part de la presse, qui a mentionné la Marche pour la Vie seulement pour signaler la trentaine de contre-manifestants ayant tenté de perturber l'évènement. Un lâcher de ballon a été effectué pour clôturer la 7e édition de la Marche pour la Vie à Bruxelles.

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    Deux autres articles à lire ici et ici.

    Marie Bethanie

  • L'infanticide des nouveaux-nés : une réalité en Europe

    L'ECLJ a organisé une conférence sur les infanticides néonataux au Parlement européen.

    • Remarques introductives, Grégor Puppinck
    • 2'41 : Données sur l'infanticide néonatal, Claire de La Hougue
    • 14'02 : 1er témoignage d'un médecin
    • 17'59 : 2ème témoignage d'une sage femme
    • 21'28 : 3ème témoignage d'une sage femme
    • 23'24 : 4ème témoignage d'une médecin
    • 31'20 : Éthique et droit international, Grégor Puppinck

    Voici la vidéo (durée : 45mn) :

    Grégor Puppinck a déclaré à Gènéthique :

    "C’est la première fois que des médecins français témoignent, à visage découvert pour deux d’entre eux, des infanticides néonataux auxquels ils ont assisté. Il s’agit de quelque chose de très fort car jusqu’à novembre 2014, il s’agissait d’une réalité qui restait confinée dans les hôpitaux. L’ECLJ a cherché depuis a libérer leur parole pour que cette réalité soit connue et que la violation des droits de ces enfants cesse. Voici des extraits de leur témoignage :

    «La femme avait accouché par voie basse et au moment de sortir, l’enfant était vivant alors qu’il aurait du sortir mort. La sage femme a été prise d’effroi, elle a à ce moment essayé d’étouffer au mieux l’enfant, de poser la main sur sa bouche pour qu’il ne crie pas […] [L’enfant] n’avait pas eu le droit de vivre » (Témoignage du docteur Chauvet, anesthésiste réanimateur – en charge d’une garde de maternité au moment des faits).

    « Il s’agissait d’une femme qui était en cours de travail dans le cadre d’une interruption médicale de grossesse vers 5 mois de grossesse. Il était 21h le soir, l’interne prenait le relai seul la nuit. J’étais assise à côté [d’eux]. Le médecin senior était en train d’expliquer à l’interne comment pratiquer l’IMG, j’étais à côté, et il lui dit : ‘A ce terme là il est possible que l’enfant naisse vivant, donc si tu vois qu’il respire tu appuies très fort ici et tu attends qu’il n’y ait plus de mouvement respiratoire’. Il s ‘est rendu compte que j’avais entendu, et il m’a dit de façon autoritaire : ‘et toi tu n’as rien entendu’. » (Témoignage de la sage femme) 

    « Une sage femme m’a dit aussi avoir pratiqué une IMG pour un fœtus qui avait une forte probabilité au test sanguin d’une trisomie 21 […] mais il n’avait jamais été pratiqué d’amniocentèse. Cet enfant est né décédé de l’avortement et il s’est avéré qu’il n’avait aucun signe phénotypique de trisomie 21 ».  (Témoignage de la sage femme) 

    « Le nouveau né présentait une morphotype de trisomie 21 [et] une souffrance cardiaque et hépatique majeur qui compromettait [sa] vie […] à court terme. La maman n’était pas au courant qu’il y avait danger de mort pour son enfant. […] Le médecin pédiatre se tourne vers l’anesthésiste et lui dit : est-ce qu’il te reste du produit péridurale ? […] Il injecte le produit à l’enfant. […] je comprends qu’ils ont décidé d’euthanasier l’enfant sans en prévenir les parents. […] L’enfant est décédé comme cela. Je sais qu’ils ne l’ont pas dit aux parents ».   (Témoignage d’un médecin) 

    Quelle suite espérez-vous ?

    L’ECLJ espère d’une part que les parlementaires se mobilisent et enquêtent sur la situation de ces enfants nés vivants après leur avortement. Elle espère d’autre part que le droit à la vie et aux soins de santé appropriés et nécessaires, sans discrimination fondée sur les circonstances de leur naissance, soit réaffirmé pour tous les êtres humains nés vivants. Enfin, l’ECLJ attend que les Etats membres prennent en compte le seuil de viabilité des fœtus humains dans leur législation relative à l’interruption de grossesse (soit 22 semaines ou 500 g). Tout cela permettrait de mieux garantir le droit de ces enfants nés vivants qui sont, aussi sujets des droits de l’homme. A ce titre ils méritent de bénéficier de leur protection, comme toute autre personne. Ils méritent une prise en charge pour que leur confort et leur dignité soient assurés."

    Michel Janva

  • 9 femmes sur 10 envisagent l’avortement car elles craignent de ne pouvoir assumer financièrement

    Virginie Mercier, de l’association Choisir La Vie, est interrogée dans Présent par Anne Isbeth. Extrait :

    6a00d83451619c69e201b7c82ecbcb970b-250wi.jpg"Nous sommes absolument scandalisés par cette mesure, que nous jugeons discriminatoire pour les femmes qui veulent garder leur enfant. Elles ont à payer une partie des premiers actes nécessaires au suivi de la grossesse, comme les deux premières échographies, qui ne sont remboursées qu’à hauteur de 70 % par exemple, alors que celles qui veulent tuer leur bébé sont remboursées à 100 % pour des actes dits « médicaux ».

    Pourquoi cette mesure est-elle particulièrement odieuse ?

    Parce que la détresse des femmes qui songent à avorter est dans la grande majorité des cas économique, nous le voyons bien sur notre antenne d’écoute : neuf femmes sur dix envisagent l’avortement parce qu’elles craignent de ne pouvoir assumer financièrement cet enfant. Donc, rembourser tous ces actes à 100 % est un argument qui peut réellement faire pencher la balance. Instaurer ce remboursement total est très idéologique. C’est une promotion indirecte, mais très nette, de l’avortement, sous couvert de vouloir aider les femmes.

    Quelle a été la réaction concrète de votre association ?

    Cette décision est passée relativement inaperçue et s’applique aujourd’hui de manière automatique et silencieuse, comme si de rien n’était. C’est la raison pour laquelle nous avons voulu contrer le gouvernement en lançant une campagne d’affichage : « Et vous trouvez ça normal ? » Notre idée est avant tout d’informer : de nombreuses personnes ont pu passer à côté de cette information, notamment toutes celles qui ont décidé de mener leur grossesse à terme. C’est notre façon d’interpeller les Français, alors que le gouvernement fait tout pour inciter à l’avortement. Par ailleurs, la discrimination est telle que nous examinons actuellement la possibilité d’un recours, si c’est possible. Il faut user de tous les moyens. Nous sommes dans un combat, une résistance. [...]"

    Michel Janva

  • La Pologne encourage les naissances quand la France encourage l'avortement

    Lu dans Présent sous la plume d'Olivier Bault : 

    "A compter du 1er avril, les familles polonaises vont percevoir une allocation de 500 zlotys (environ 120 euros) par enfant, à partir du deuxième enfant, sans condition de revenu. Depuis la chute du communisme en 1989-90, c’est la première fois que la Pologne met en place des allocations familiales. Le but déclaré est d’encourager les Polonais à faire plus d’enfants. Cette allocation sera également versée à partir du premier enfant aux familles dans lesquelles le revenu par tête est inférieur à 800 zlotys (ou à 1200 zlotys en cas d’enfant handicapé). Il s’agissait d’une mesure phare du programme électoral du PiS, qui a gagné les élections législatives le 25 octobre dernier. Car les Polonaises ont un taux de fécondité de 1,3 enfant par femme et différentes études ont montré que les contraintes financières sont un obstacle majeur à partir du deuxième enfant. [...]"

    En France, également à partir du 1er avril, tous les actes liés à un avortement (consultations, échographies, analyses médicales...) sontremboursés à 100% par la Sécurité sociale. Ce n'est pas le cas si vous décidez de garder l'enfant. L'acte en lui-même était déjà pris en charge intégralement depuis 2013.

    Michel Janva

  • 40 Days for Life : 502 enfants sauvés de l'avortement

    En ce Vendredi Saint et au 5ème jour après la fin de la campagne des 40 Days for Life, la coordination déclare que 502 enfants à naître ont été sauvés de l’avortement !

    Michel Janva

  • Après la loi sur l’avortement, il a manqué un million de voix catholiques à Giscard

    A propos de la prochaine rencontre entre le Saint-Père et Nicolas Sarkozy, Christophe Dickès déclare à Atlantico :

    "Il semble difficile d’évoquer une quelconque sincérité chez Nicolas Sarkozy après son revirement à 180° sur le mariage homosexuel. Pourtant, l’ancien président sait très bien que légiférer sur la GPA et la PMA oblige à une révision de la loi Taubira. L’électorat catholique ne se laissera pas berner d’autant que les mouvements issus de la Manif pour Tous (Sens Commun, Veilleurs, LMPT) y veilleront. En 1981, après la loi sur l’avortement de 1976, il a manqué un million de voix catholiques à Valéry Giscard d’Estaing. Les candidats de droite devraient s’en souvenir et ne pas sous-estimer la marée humaine qui s’est mobilisée contre le mariage pour tous. La droite peut-elle ignorer la voix de 1,5 million de personnes dans la rue ? 

    S’ils la négligent, ils prendront un risque certain. Le voyage de Sarkozy ne changera rien au débat, tout comme le voyage de François Hollande en janvier 2014 n’a rien changé entre les rapports du Saint-Siège et de la France. Les Français savent très bien que tout cela relève d’une stratégie de communication. Néanmoins, si ce voyage permet à Nicolas Sarkozy d’avoir cette prise de conscience sur le vote catholique et de changer sa stratégie en conséquence, il sera utile. La gauche ne s’est pas privée de faire une politique de gauche sur les sujets sociétaux, que la droite fasse de même si elle veut revenir au pouvoir.

    Michel Janva

  • La mort des plus fragiles est rentable

    Aujourd’hui, la traque de l’homme imparfait est déjà une réalité, et une réalité qui rapporte. Tel est l’argument du dernier livre de Jean-Marie Le Mené, un cri d’alerte face au meurtre par avortement de tous les enfants Mongoliens.

    Il n'est pas besoin d'être un militant provie acharné pour suivre Jean-Marie Le Mené dans son indignation. Il s'agit de la trisomie 21, cette anomalie chromosomique qui fait l'objet d'un dépistage prénatal de plus en plus efficace. En France les trisomiques, tous dépistés, sont quasiment tous - 96 % - sacrifiés sur l'autel du nouvel eugénisme.

    L'indignation de l'auteur n'appuie pas sur la corde sensible. On pourrait pourtant remplir des livres entiers avec le témoignage de parents qui ont fait le choix de « garder » leur petit trisomique et qui en ont été récompensés en joie et en bonheurs. Et d'autres avec la souffrance des mères qui ont vécu l'arrachement d'un avorte-ment tardif parce que leur tout-petit n'était pas « conforme » aux exigences du bébé parfait. De la part du président de la Fondation Jérôme-Lejeune, cela n'aurait pas étonné.

    Mais les mentalités modernes - et surtout les médias, c'est à peu près pareil - ne comprennent plus guère ces considérations humaines. En revanche, elles peuvent être frappées par l'implacabilité d'une élimination systématique de déficients mentaux, soutenue par un marché porteur d'immenses profits.

    Sous un titre clair - Les premières victimes du transhumanisme - Jean-Marie Le Mené propose un sous-titre plus énigmatique : La Ruée vers l'Or des Mongols. La phrase revient, lancinante, tout au long de l'ouvrage. Elle désigne une réalité glaçante : plus le dépistage des trisomiques, ceux qu'on appelait jadis les mongoliens, est efficace et sans danger pour les bébés « sains », plus il devient commercialement intéressant. D justifie un intense marketing, fondé à la fois sur l'exploitation de la peur des femmes de mettre au monde un enfant handicapé, et sur le sens de l'économie des régimes d'assurance maladie qui voient l'intérêt de dépenser même une coquette somme pour un test 100 % fiable, pour s'épargner la prise en charge des problèmes de santé de l'enfant qui n'aura pas vu le jour.

    Voilà donc un récit d'une froideur clinique, précis et implacable. C'est une mise en accusation qui se lit comme un roman policier. On suit les manœuvres d'hommes et de femmes d'affaires qui veulent emporter le marché des simples tests sanguins qui permettent, dans le sang des futures mères, d'identifier et d'analyser l'ADN de l'enfant qu'elles portent. La technique est récente, ses applications potentielles gigantesques : plus l'analyse s'affinera, mieux on connaîtra le portrait génétique du fœtus. L'anomalie chromosomique, c'est facile : le chromosome de trop saute aux yeux du technicien. Le dépistage des gènes sera sans doute pour demain, lorsque la prédisposition au cancer pourra être mise en balance avec le sexe ou la couleur de cheveux du petit être, bien commodément avant l'épuisement du délai de l'IVG à la demande, un droit comme chacun sait. « On le garde ou on ne le garde pas ? »

    Avec de tels objectifs, on peut se croire tout permis. Ce fut le cas des propriétaires et directeurs de Sequenom, compagnie californienne de « Biotech » fonctionnant à coups de millions de

    dollars : de tromperies en délits d'initiés, de mort violente en retour insolent aux affaires, leur histoire fait davantage penser à un thriller cinématographique bien ficelé qu'à une bienveillante recherche pour le bien de l'humanité.

    Jean-Marie Le Mené jette une lumière crue, servie par un sens aigu de la formule, sur l'entreprise essentiellement commerciale de ces sélectionneurs de chair humaine - eux qui n'attendent plus que l'agrément public de leurs tests dans un pays comme la France où le tri génétique se fait tous frais payés. Le boniment n'est d'ailleurs pas loin, comme toujours lorsqu'il est question de promettre bonheur, santé, richesse : en l’occurrence, en mettant tout en œuvre pour repérer 100 % des trisomiques 21, on met en avant... des vies sauvées. Mais oui : celles des bébés « sains » qui perdent la vie pour cause de fausses couches provoquées par l'examen invasif de l’amniocentèse actuellement pratiqué pour valider un diagnostic de trisomie. Rien qu'en France, ils sont plusieurs centaines par an.

    Personne ne pense aux milliers de bébés malades qui sont éliminés, eux, sans affres de conscience. C'est leur vie dont Jean-Marie Le Mené affirme la valeur insondable. C'est leur triste rôle de victimes premières d'un système qui galope vers le transhumanisme - la fabrication d'une humanité sans défauts aujourd'hui, « améliorée » demain - qu'il met en lumière.

    Je vous recommande tout particulièrement les dernières lignes de ce livre, un récit qu'on n'arrive pas à lâcher avant la fin. Jean-Marie Le Mené évoque ce que le cardinal Ratzinger lui dit jadis sur les sociétés qui commettent de si graves injustices à l'égard des plus faibles. C'est lumineux et prophétique. Et c'est un appel à l'humanité, afin qu'elle remette les choses à l'endroit.

    Jeanne Smits monde&vie 24 février 2016

    Jean-Marie Le Mené. Les premières victimes du transhumanisme, éd. Pierre-Guillaume de Roux. 176 p.

  • La réalité de l'avortement

    Lu ici :

    "Lila Rose croit que si les Américains faisaient face à la réalité de l’avortement, ils deviendraient tous pro-vie en l’espace d’un instant. Elle a annoncé hier soir qu’elle a fait équipe avec l’ancien avorteur Dr. Anthony Levatino afin de lancer un nouveau site web présentant à tous les Américains les faits médicaux concernant les procédures d’avortement.

    AbortionProcedures.com, qui a été mis en ligne ce matin, démontre précisément ce que son nom indique. Ce nouveau site internet nous montre Dr Levatino (médecin qui a pratiqué plus de 1 200 avortements) décrivant les méthodes les plus communes pour avorter. Chacune des procédures est dépeinte par de petites animations.

    Chacune de ces vidéos durent de trois à quatre minutes et détaillent les différentes procédures tout en soulignant les risques médicaux associés à chacune d’entre elles."

    Attention, ces animations peuvent choquer les plus sensibles !

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/03/la-r%C3%A9alit%C3%A9-de-lavortement.html