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avortement et euthanasie - Page 78

  • La Gauche est tellement désespérée qu’elle sait que tout enfant à naître deviendra un opposant

    Extrait du discours que Jacques Bompard n'a pas pu prononcer, sur le projet de loi santé :

    "[...] Vos bons amis des associations idéologiques n’ont d’ailleurs cessé d’insulter les médecins : je pense par exemple à l’Association Pour le Droit à Mourir dans la dignité, dont les pratiques de communication indigne revenaient à l’instrumentalisation perpétuelle de la relation entre le patient et son médecin. Décidément, ce quinquennat aura été marqué par la catastrophe des promesses du candidat Hollande.

    Vos ministères sont malades de l’idéologie et du refus de servir le bien commun, plutôt que d’imposer partout l’intrusion étatique dans les périphéries de la société. Prenons plusieurs exemples frappants : d’abord la chute de notre démographie. Cette année 2015 sera vraisemblablement la moins féconde des 15 dernières années. A force d’attaques contre la famille, il fallait s’y attendre.

    La première des protections contre les maladies et les fragilités c’est la famille. Et les chiffres de la médecine se ressentiront très longtemps des méfaits de votre gouvernement. Ne serait-ce que d’un point de vue fiscal : gel de la revalorisation des prestations familiales, baisse des allocations liées à l’accueil du jeune enfant, modulation des allocations familiales. On a l’impression que la Gauche est tellement désespérée qu’elle sait que tout enfant à naître deviendra automatiquement l’un de ses opposants !

    Le ministère de la santé devient alors tributaire de toutes les dérives idéologiques. Pensons par exemple aux remarques de la Fondation Lejeune sur vos arrêtés concernant le dépistage de la trisomie 21. Nous assistons aujourd’hui à un véritable phénomène de « fichage des fœtus ». Ainsi, ce sont toutes les données concernant les femmes enceintes faisant l’objet d’un dépistage prénatal de la trisomie 21 (85% des femmes enceintes), tous les fœtus dépistés puis diagnostiqués trisomiques 21, et toutes les issues de grossesse, qui sont fichés au niveau national. La constitution de ce fichier est couteuse : en temps, comme en argent, et créer une inertie propice aux pires dérives éthiques.

    La question de la recherche sur l’embryon est centrale et évidemment bâillonnée dans notre pays. Ainsi le 10 juin dernier, le comité de l’INSERM a encore réclamé la libéralisation de la gestion des embryons alors qu’il est censé le réguler ! On y lit une volonté de gestion améliorée des embryons non transférables. Je rappelle que le prix nobel de médecine a été attribué à un chercheur qui propose des solutions alternatives à ces méthodes affligeantes.

    Je note d’ailleurs qu’aucune réforme visant à réduire le nombre d’avortement par an n’est présente dans ce texte. Alors, vous pourrez hurler autant que vous le souhaitez, mais une France qui subit 225 000 avortements est une France blessée, blessée par un drame que personne ne veut prendre à bras le corps ! [...]"

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Chronique d'une guerre annoncée

    Ce n’était pas une question de « si », mais de quand et comment. Depuis le « 13-11 » et – à l’heure d’écrire – ses 128 victimes d’un terrorisme déterminé, et 99 blessés en « état d’urgence absolue », nous savons que la guerre est là. Avec l’entrée de milliers et de milliers de jeunes hommes depuis des terres où l’on prêche la conquête islamique, nous savons que cette guerre peut-être terrible. Qu’elle peut s’organiser. Depuis hier, elle ne vise plus des ennemis déclarés, comme l’attentat contre Charlie, mais un style de vie. L’homme de la rue. Le jeune qui s’éclate, dans un macabre « retour à l’envoyeur ».

    La réponse doit-elle être politique ? Oui, certainement. Il appartient aux responsables des Etats d’y assurer la sécurité en les défendant contre les attaques extérieures et intérieures, et la paix, qui est « tranquillité de l’ordre ». Quel « ordre » ? Dans un pays où l’« ordre moral » est proscrit, où le désordre le plus fondamental est inscrit dans les lois et prêché dans les écoles, la tâche prend une allure singulière. Il s’agit de sauver et de protéger des vies, urgence vitale. Mais après ? Que défendons-nous ? Un « vivre-ensemble » qui traîne d’année en année son propre bilan de destruction, ce carnage propre, sûr et caché de plus de 200.000 victimes par an, par avortement légal ?

    Mère Teresa le disait, en recevant son prix Nobel à Oslo en 1979 : 

    « Le plus grand destructeur de la paix, aujourd'hui, est le crime commis contre l'innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu'est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ? L'Écriture déclare elle-même : “Même si une mère peut oublier son enfant, moi, je ne vous oublierai pas. Je vous ai gardés dans la paume de ma main.” Même si une mère pouvait oublier... Mais aujourd'hui on tue des millions d'enfants à naître. Et nous ne disons rien. On lit dans les journaux le nombre de ceux-ci ou de ceux-là qui sont tués, de tout ce qui est détruit, mais personne ne parle des millions de petits êtres qui ont été conçus avec la même vie que vous et moi, avec la vie de Dieu. Et nous ne disons rien. Nous l'admettons pour nous conformer aux vues des pays qui ont légalisé l'avortement. Ces nations sont les plus pauvres. Elles ont peur des petits, elles ont peur de l'enfant à naître et cet enfant doit mourir ; parce qu'elles ne veulent pas nourrir un enfant de plus, élever un enfant de plus, l'enfant doit mourir. »

    Cela n’enlève rien à l’horreur du massacre de vendredi qui résulte d’un attentat guerrier contre des innocents, des gens paisibles, des gens comme vous et moi.

    Mais comment nous défendre ?

    Car c’est une guerre où l’ennemi ne craint pas la mort. Il la recherche. C’est l’autre versant de cette culture de mort où l’Occident s’est enfoncé, recherchant la mort comme solution à ses problèmes, ses difficultés, ses ennuis, ses égoïsmes et même sa « charité » mal ordonnée faite de compassion et son refus de la souffrance. A l’Occident sans Dieu s’oppose sur son propre sol un « Orient » avec son faux dieu qui n’offre pas la rédemption mais la destruction, qui ne recherche pas l’amour librement donné mais la soumission. L’islam. Les djihadistes sont insaisissables parce qu’ils sont déjà de l’autre côté. Ils pensent gagner la vie en donnant la mort à autrui comme à eux-mêmes.

    « Que votre règne arrive mais je l’imposerai par ma volonté ; récompensez-moi parce que je n’ai pas pardonné aux autres… »

    Nous n’avons à opposer à cette charte de la haine que l’oubli de ce que nous sommes et la recherche de solutions trop humaines.

    Les huit terroristes qui sont morts – et d’autres peut-être, qui alors ne le sont pas, courent-ils toujours ? – ont choisi pour cibles des lieux symboliques d’une vie parisienne légère en un doux soir d’automne. Des restaurants où l’on se retrouve, des terrasses de café, des lieux sans souci. C’est la banalité de la vie quotidienne… le meilleur moyen de frapper les cœurs car chacun se dit : « J’aurais pu être là. » Le symbolisme de l’absence de symbolisme.

    Mais le plus grand nombre de morts, surtout des jeunes, sont tombés au Bataclan.

    Le groupe qui s’y produisait s’appelle Eagles of Death Metal. Dernier CD : « Zip down » – comprendre : « Braguette ouverte ». Au moment de l’irruption des trois ou quatre jeunes, très jeunes tueurs, ceints d’explosifs et lourdement armés, au moment des premiers tirs – il interprétait son tube de 2004, Kiss the devil. Embrasser le diable… Sans être un groupe de « métalleux » à strictement parler – on a plutôt à faire à un groupe de rock – le groupe affectionne les paroles à connotation sexuelle, noires, obscènes, avec des relents d’enfer.

    « Qui aimera le diable, qui chantera sa chanson ?… Qui embrassera sa langue ? »

    Ce sont eux. Ils le proclament. Assurément, ils jouent. Espérons qu’ils n’en pensent pas un mot. Mais il y a des mots dangereux qui sont autant d’appels au Malin. Les chanteurs s’en sont sortis. Les jeunes qui s’étaient massés dans la salle du Bataclan – ils étaient 1.500 – ont été frappés dans leur chair par ces appels à la mort, à celui qui veut notre mort. « Ne prie pas pour moi maintenant, garde ça pour le lendemain », dit une autre chanson récente du groupe.

    Le lendemain triste, nous y sommes. A nous demander que faire. A savoir que l’Occident s’est déjà couché devant cette force qui arrive d’ailleurs en oubliant qu’il est chrétien, et qu’il a reçu les paroles de la vie éternelle.

    La solution est politique, mais pas seulement, et ce sera si difficile, il est déjà tellement trop tard !

    La vraie solution nous a été donnée à Fatima. Pour la France, il s’agit de ne pas se laisser mettre à genoux, mais s’y mettre soi-même en implorant celle qui est « forte comme une armée rangée en bataille », et son divin Fils.

    http://leblogdejeannesmits.blogspot.fr/

  • Les trafics saignants du planning familial international

    Aux États-Unis, le Planning familial international commercialise les organes de fœtus avortés. En France, cela ne choque apparemment pas les professionnels de la bonne conscience.

    Le Planning familial international (International Planned Parenthood Fédération), auquel le Mouvement Français pour le Planning Familial adhère depuis 1960, collabore activement avec le Fonds des Nations-Unies pour la population (Fnuap) à la promotion du « contrôle des naissances », de l'avortement et de l'eugénisme sur la planète. Cette ONG au-dessus de tout soupçon, fer de lance de la culture de mort à l'échelle mondiale, a été récemment surprise une main dans le tiroir-caisse et l'autre dans la poubelle à fœtus.

    Le scandale est venu d'une vidéo en « caméra cachée », tournée et diffusée au mois de juillet par une association pro-vie, le Center for Médical Progress. Piégée par un interlocuteur qui s'est présenté comme un acheteur éventuel, la directrice des services médicaux du planning familial aux Etats-Unis, le docteur Nucatola, y avoue que son organisation vend des organes de fœtus issus d'avortements, à un tarif compris « entre 30 et 100 dollars par spécimen ». Trois autres vidéos publiées par la suite, ont montré que d'autres responsables de l'ONG, comme

    Mrae Mary Gatter, présidente du Conseil des directeurs médicaux de Planned Parenthood, négocient également les « spécimens » de fœtus humains avortés, au prix de 100 dollars « pièce » lorsqu'ils sont intacts, auprès d'intermédiaires agissant pour le compte d'universités ou de laboratoires...

    Pour La Croix, tout est normal

    Il s'en est suivi, outre-Atlantique, une polémique qui a conduit les sénateurs républicains à déposer une proposition de loi pour tenter d'obtenir la suppression des 560 millions de dollars de financement public dont bénéficie le Planning familial. L'alerte a été assez sérieuse pour que la Maison-Blanche annonce qu'elle opposerait son veto à toute réduction des subventions octroyées à l'organisation pro-mort. Pour Barack Obama, prix Nobel de la paix 2009,l'homicide intra-utérin et la vente des « produits » humains qui en résultent sont donc des activités à encourager...

    Notons qu'en France aussi, l'antenne française du Planning familial perçoit un financement public. Les subventions de l'État atteignaient 2,6 millions d'euros en 2012, que complétait une subvention de 263 000 euros au titre de la « promotion du droit des femmes ». En outre, les collectivités locales se montrent elles aussi généreuses.

    Si la polémique a été vive aux États-Unis, la presse française y a peu fait écho (mis à part quelques titres comme Minute et Le Figaro), et lorsqu'elle l'a fait, c'a été, comme La Croix, pour prendre la défense du Planning familial. Dans un article publié le 16 juillet que l'on peut lire sur Internet, Stéphanie Fontenoy, collaboratrice de ce titre prétendument catholique, reproduit sans aucun recul les arguments du Planned Parenthood et les accusations de diffamation lancées par cette organisation contre les groupes anti-avortement. La journaliste explique ainsi, le plus sérieusement du monde, que le docteur Nucatola, « même si elle s'exprime d'une manière technique qui peut sembler détachée, est consciente et respectueuse des lois américaines de bioéthique régissant son activité ». Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes ! 

    Hervé Bizien monde&vie  9 octobre 2015

  • L'UDI colporte ses mensonges sur l'avortement en Irlande

    Le 28 octobre, des membres de l'UDI, dont les sénatrices Chantal Jouanno et Annick Billon et le sénateur Olivier Cadic, sont allés en Irlande faire la propagande de l'avortement. Olivier Cadic raconte :

    "Au pays du trèfle, les femmes n’ont pas le droit de disposer de leur propre corps. C’est évidemment l’affaire des Irlandais, mais la nôtre est d’informer les Françaises des divers dangers d’une grossesse en Irlande."

    Sic. Et il rapporte ce propos de Laurence Hélaili, Conseillère consulaire à Dublin :

    « On est en danger du seul fait d’être enceinte ».

    Or, l'un des pays qui peut se vanter des meilleurs chiffres dans le domaine de la santé maternelle est précisément l'Irlande. Une étude de 2011 contredit les idées reçues. Elle porte sur 42 ans de statistiques relevées en Irlande et Irlande du Nord d'une part, en Grande-Bretagne de l'autre. Voici les faits positifs relevés pour l'Irlande et l'Irlande du Nord :

    • Un bien meilleur taux de natalité que dans l'ensemble de l'Europe, près d'assurer le remplacement des générations.
    • Sur la durée, l'Irlande présente un profil démographique plus jeune qui lui permet d'être moins dépendante de l'immigration que les autres nations européennes.
    • Moins de fausses couches, de petits poids de naissance, de naissances prématurées, de paralysies cérébrales, de morts maternelles, toutes choses dont le risque est aggravé chez les femmes ayant subi un avortement.
    • Moins de cancers du sein.
    • Une santé mentale relativement meilleure, à juger d'après les prescriptions d'antidépresseurs.
    • Certaines maladies du système immunitaire sont nettement moins fréquentes.

    Michel Janva

  • 45 veillées pour la vie

    De nombreuses régions de France n'ont pas encore programmé de veillées pour la vie en la vigile du 1er dimanche de l'Avant : Vendée, Basse-Normandie, Pyrénées, Corse, Auvergne, Limousin, Alpes, Vosges, les Charentes...

    "Peut-être que vous vous posez une question : pourquoi prier alors qu’il y a urgence d’agir ?

    Il est vrai qu’en cette période où nous comptons presque 230 000 avortements en France, nous devons agir, nous ne pouvons pas rester attentiste devant ce désastre ! Nombreux sont les Saints qui nous interpellent, comme la bienheureuse Mère Téresa :

    « Le plus grand destructeur de la paix, aujourd’hui, est le crime commis contre l’innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu’est-­ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ? »

    C’est à l’occasion de la remise du Prix Nobel de la Paix en décembre 1979 que Mère Térésa s’exprimait ainsi. Elle nous alertait sur l’incohérence fondamentale d’une conception de la paix qui oublierait les plus petits d’entre nous. Le pape Jean-Paul II insistera plus tard dans son encyclique Evangelium Vitae sur l’urgence « de se livrer à une mobilisation générale des consciences et à un effort commun d’ordre éthique, pour mettre en œuvre une grande stratégie pour le service de la vie. » Il nous exhortait à «renouveler la culture de la vie à l’intérieur des communautés chrétiennes elles-mêmes» (EV 95).

    Alors comment agir ?

    Souvenons-nous des bons conseils de Mère Térésa : « Plus nous recevons dans le silence de la prière, plus nous donnerons dans la vie active. » Nous voulons nous donner activement pour protéger et accueillir la vie naissante, alors commençons par prier !

    Dans l’évangile de Saint Jean, au chapitre quinze, le Christ nous dit : « Demeurez dans mon amour ». Il prend ensuite une comparaison :

    « Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là donne beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire. » 

    Nous sommes avertis que nous ne porteront pas de fruits si nous ne sommes pas connectés à la Vigne, c’est à dire fidèle à ce cœur à cœur dans la prière avec le Christ. Ainsi, nous avons conscience de la force de la prière qui nous aidera à agir pour mieux accueillir et protéger la Vie !

    En attendant les veillées pour toute vie naissante, cette neuvaine est le moyen idéal pour confier à Dieu notre désir de voir renaître une culture de la Vie au sein de notre société. Elle vous permettra de prendre « 9 jours pour 9 mois » comme un symbole de votre volonté de soutenir toute Vie naissante. Mais c’est plus qu’une simple neuvaine, c’est un cocktail de formation Spi & Bioéthique qui alliera la prière et la formation en vu de l’action.

    Et pour agir, créez dès maintenant votre veillée et retrouvez-les près de chez vous sur notre site :  www.veilleespourlavie.com/  Ces veillées ont été lancé par Benoît XVI et bénies et encouragées par le Pape François, alors n’hésitez pas à les rejoindre et à aider votre curé à l’organiser dans votre paroisse !

     « En ce temps de l’Avent où l’Église veille et prie dans l’attente aimante de la venue du Seigneur et tourne ses regards avec espérance vers la crèche de Bethléem, le Saint-Père vous encourage à persévérer dans la prière. » Extrait de la lettre de bénédiction apostolique du Pape François."

    Michel Janva

  • Fin de la campagne d’automne des 40 Days for Life

    519 bébés ont été sauvés par la prière des militants.

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    Michel Janva

  • Scouts : devenez apôtres de l’Evangile de la Vie

    Lu sur le blog des Veillées pour la vie, alors que 34 veillées sont déjà annoncées :

    Affiche_veillc3a9e-vie_2015_hd"Une belle mission pour des Hautes-patrouilles, des routiers et des guides aînés : relancer la culture de Vie au sein de notre société en créant une veillée pour la Vie.

    Pour cela, rien de plus simple :

    1. Parlez-en à votre équipe et contactez votre aumônier, votre curé,
    2. Trouvez une église pour ce temps de prière et d’adoration,
    3. Préparez les vêpres, les textes et les chants de la veillée pour la vie,
    4. Invitez largement les paroissiens et vos amis.

    Toutes les informations sont résumées sur cette page : Organiser une veillée

    Le mouvement des veillées pour la Vie rassemble chaque année des milliers de chrétien à la veille de l’Avent. En union avec le Pape et de nombreux diocèses de France et du monde, il s’agit de demander au Seigneur « sa grâce et sa lumière pour la conversion des cœurs et donner un témoignage ecclésial commun pour une culture de la vie et de l’amour. » 

    Notre mouvement soutien des maisons d’accueil pour futures mères. Mais le cœur du mouvement, c’est la prière ! Nous sommes invités à organiser des veillées et à devenir ainsi missionnaire de l’Evangile de la Vie. Si nous voulons relancer la culture de vie au sein de notre société, nous ne pourrons pas nous passer de la prière. Le Christ nous le rappelle dans la parabole de la Vigne et des sarments (Jean 15 ; 1-15) : si nous ne sommes pas connecté à la Vigne, c’est-à-dire au Christ, nous ne porterons pas de fruit. Et c’est pour cela que ces veillées sont aujourd’hui fondamentales : ce cœur à cœur avec le Christ nous donnera les grâces pour mieux accueillir et protéger la Vie !"

    Rendez-vous à la veille de l’Avent, en union de prières avec les 200 veillées attendues en France en 2015 !

    Michel Janva

     

  • Un candidat républicain à la présidentielle veut interdire l'avortement

    Cela se passe aux Etats-Unis bien sûr :

    Proxy"Ben Carson, candidat à l'investiture républicaine pour la présidentielle américaine de 2016, s'est prononcé dimanche pour une interdiction presque totale de l'avortement (...) M. Carson, 64 ans, a déclaré qu'il était pour lui illogique que les femmes pensent avoir le droit de mettre un terme à la vie de leur bébé avant sa naissance.

    "Je suis une personne raisonnable, et si quelqu'un peut me donner une explication raisonnable du fait que (des femmes) veulent tuer leur bébé, j'écoute", a dit Ben Carson pendant l'émission "Meet the Press" de la chaîne de télévision NBC.

    Le neurochirurgien à la retraite, opposé à l'avortement même dans les cas de viol ou d'inceste, a précisé qu'il autoriserait les mères à interrompre leurs grossesses si leur vie ou leur santé était menacée. Mais ces cas sont "extrêmement rares", a-t-il souligné.

    M. Carson a déclaré souhaiter que la décision "Roe vs Wade" de la Cour Suprême, qui avait légalisé l'avortement aux Etats-Unis en 1973, soit annulée.

    "Pendant la période de l'esclavage, beaucoup de propriétaires d'esclaves pensaient avoir le droit de faire ce qu'ils voulaient à leurs esclaves", a déclaré M. Carson, seul candidat noir de l'actuelle course à la présidence.

    "Que se serait-il passé si les abolitionnistes avaient dit "Je ne crois pas à l'esclavage. Je pense que ce n'est pas bien, mais vous, vous pouvez faire tout ce que vous voulez"? Où en serions-nous?", s'est-il interrogé."

    Philippe Carhon

  • La France est achetée par l'Arabie Saoudite et le Qatar

    Philippe De Villiers était l'invité d'Anne Brassié dans son émission "Trésors en Poche", sur Radio Courtoisie, le 22 octobre 2015. Thèmes abordés : la corruption passée et actuelle des partis (affaire Urba), l'islamisme, l'arnaque européenne

    Michel Janva

  • L'abrogation de l'avortement par étapes

    Le 28 septembre, Marisol Touraine a fêté la journée mondiale pour le droit à l’avortement… Réaction de Virginie Mercier, de Choisir la Vie au micro de Charlotte d’Ornellas sur Boulevard Voltaire :

    Michel Janva