culture et histoire - Page 1342
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Fraction - Hors d'Europe
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L’islam se fout de la vérité, de l’histoire et de l’identité des peuples
Boutih propose non une réhabilitation, mais un révisionnisme visant à gommer l’indicible d’une histoire musulmane anxiogène pour l’esprit humaniste occidental.
Dans l’article qu’il consacre, sur Boulevard Voltaire, au rapport présenté par Malek Boutih, Aristide Leucate juge fort pertinemment que l’ancien président de SOS Racisme, selon lequel « la réhabilitation de l’histoire musulmane » devrait permettre « aux jeunes musulmans de se sentir en phase avec les lois et modes de vie de notre pays », est un « idiot utile de l’islamisme ».
Boutih propose non une réhabilitation, mais un révisionnisme visant à gommer l’indicible d’une histoire musulmane anxiogène pour l’esprit humaniste occidental. Car la question du contrôle de l’histoire est aujourd’hui essentielle pour l’avenir du Vieux Continent. George Orwell écrivit que « celui qui contrôle le passé contrôle le futur », et ce futur pourrait bien être islamique pour des Européens qui se laissent déposséder de l’orgueil que confère un glorieux passé.
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Passé Présent n°60 - Emission spéciale NRH
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Henri Guillemin sur les causes de la guerre de 14-18 : « Morts pour la (Banque de) France »
La République des banquiers : conférences d'Henri Guillemin sur l'avant-1914« Croire à l'histoire officielle, c'est croire des criminels sur parole. »
Simone Weil (Philosophe)
« Faites attention à l'histoire que l'imposture se charge d'écrire. »
Chateaubriand
« En réalité, pour dire les choses telles qu'elles sont, et sous une apparence peut-être véhémente mais pourtant exactement fidèle à la vérité, la IIIe République était, sous une apparence de démocratie, pratiquement une oligarchie financière. Et je sais bien qu'il n'y a pas très longtemps encore, un journal sérieux disait : ‘C'est une rengaine de parler de la toute-puissance de l'argent.’ Il est facile d'appeler rengaine la constatation obstinée d'une évidence. »
Henri Guillemin, La République bourgeoise« En dépit des apparences démocratiques en France, le peuple ne contrôle pas ses gouvernements. Un groupe étroit s’est emparé des conseils d’administration des grandes sociétés financières. Ces quelques hommes tiennent entre leurs mains les banques, les mines, les chemins de fer, les compagnies de navigation, bref, tout l’outillage économique de la France. Sans oublier la sidérurgie et les fabriques d’armes d’où ils tirent de croissants profits. Ils dominent le parlement et ont à leur solde la grande presse. La guerre ne leur fait pas peur, ils la considèrent même avec intérêt. (…) Nos banques ont gardé le souvenir des bénéfices énormes réalisés par elles en 1871. »
Francis Delaisi, La guerre qui vient, 1911
Conférences indispensables de Henri Guillemin :- MP3 à télécharger : http://www.ecosynchro.org/henri-guillemin-mp3.phpLivres non moins indispensables : http://www.priceminister.com/s/henri+guillemin,http://www.utovie.com/catalog/henriguilleminhistoire-c-24_35.html, etc.(1) L’autre avant guerre - 1871-1914 - L’ordre moral - Henri Guillemin
(2) L’autre avant guerre - 1871-1914 - La république des républicains - Henri Guillemin
(3) L’autre avant guerre - 1871-1914 - Début du colonialisme - Henri Guillemin
(4) L’autre avant guerre - 1871-1914 - Le général Boulanger - Henri Guillemin
(5) L’autre avant guerre - 1871-1914 - De Boulanger à Dreyfus - Henri Guillemin
(6) L’autre avant guerre - 1871-1914 - L’affaire Dreyfus - Henri Guillemin
(7) L’autre avant guerre - 1871-1914 - La défense républicaine - Henri Guillemin
(8) L’autre avant guerre - 1871-1914 - L’occident dévore le monde - Henri Guillemin
(9) L’autre avant guerre - 1871-1914 - La république bourgeoise - Henri Guillemin
https://www.youtube.com/watch?v=hClDN2ojrAY
(10) L’autre avant guerre - 1871-1914 - Le Maroc - Henri Guillemin
https://www.youtube.com/watch?v=6XSipRliZ5Y
(11) L’autre avant guerre - 1871-1914 - La guerre qui vient - Henri Guillemin
https://www.youtube.com/watch?v=qIGvjmxyzmg
(12) L’autre avant guerre - 1871-1914 - Le socialisme, Jaurès - Henri Guillemin
https://www.youtube.com/watch?v=I8Ao1e9RYyk
(13) L’autre avant guerre - 1871-1914 - L’explosion de 1914 - Henri Guillemin
https://www.youtube.com/watch?v=72PtZve-Yvc
http://www.agoravox.tv/actualites/europe/article/henri-guillemin-sur-les-causes-de-50396
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III.- Coutumes et communauté
Nous continuons aujourd'hui notre cycle "Patrie" commencé le 8 juin, destiné aux jeunes militants et à ceux qui iront au CMRDS 2015, à partir des cours de philo d'André Bridoux (1893-1982). Voici la troisième des quatre lectures espacées de quinze jours.
I.- Terroirs et frontières
II.- Race, langage
III.- Coutumes et communauté
IV.- Patrie et humanitéPréambule
Le lien territorial que nous avons évoqué dans la première lecture se double naturellement d'un lien économique au sens large. Un territoire met à la disposition du peuple qui l'occupe des ressources dont l'exploitation et l'augmentation sont régies par un ensemble de règles d'intérêt général, le principe de base étant celui de propriété. Mais le foisonnement d'intérêts communs en un lieu donné ne suffit pas à constituer une patrie ni à fusionner un peuple, le désenchantement européen est là pour nous le prouver s'il en était besoin. Nous n'approfondirons pas l'élément économique de la patrie car il est secondaire dans sa formation. Il y aura d'autres occasions¹.
C'est maintenant le chapitre le plus épineux de la série depuis qu'affluent sur notre territoire des étrangers bien décidés à continuer leurs propres coutumes jusqu'à parfois les valoriser en extrayant des règlements sociaux les bénéfices inattendus chez la grande majorité des autochtones. On n'est pas obligé non plus de croire dur comme fer à l'inintégration des immigrants, l'exotisme a beaucoup de pertes en ligne finalement et que ce soit dans les domaines cultuels ou culturels il est de bon ton dans les milieux de droite de minimiser la quantité de "fuyards" qui cherchent par tous les moyens à s'assimiler. Bref, qu'en dit André Bridoux ?
31.- La communauté d'habitudesLe sentiment de la patrie procède pour une bonne part du sentiment d'être ou de se retrouver chez soi : sentiment particulièrement vif quand, après un long séjour à l'étranger, on rentre dans son pays, au milieu d'hommes qui ont les mêmes goûts, se plaisent aux mêmes conversations, aux mêmes divertissements. Tout change d'un pays à l'autre : la nourriture, le vêtement, le coucher, la manière de distribuer la journée, de travailler, de se distraire, de sentir, de penser.
Avec le temps, se tissent des habitudes communes qui se stabilisent et constituent un des principes d'union les plus solides. Les peuples se cristallisent dans leurs coutumes traditionnelles et finissent par apparaître sous les traits d'images familières dans lesquelles ils se reconnaissent, se contemplent, et se comparent. Un Français, un Anglais, un Allemand ne vivent pas seulement pour eux-mêmes, mais pour l'opinion qu'ils prêtent aux autres sur la France, sur l'Angleterre, sur l'Allemagne.
Ces dissemblances d'habitudes et de physionomies créent des oppositions souvent difficiles à vaincre, rendent délicates les ententes de peuple à peuple, hasardeux les mariages entre étrangers et très pénibles des épreuves telles que l'exil ou la transplantation : épreuve bien connue des missionnaires. Malgré toute leur charité et malgré l'accueil souvent affectueux qu'ils reçoivent, ils ne tardent pas à se trouver très isolés au milieu de populations dont les habitudes leur restent impénétrables.
32.- Le sentiment d'être chez soi
Se sentir chez soi, ce n'est pas seulement jouir d'habitudes familières ou de les retrouver, mais avoir conscience d'être son maître et de ne pas subir la loi de l'étranger (ndlr : c'est justement ce que nous sommes en train de perdre en Europe occidentale). Être Français, c'est avoir la certitude que la France est à nous, que chacun la possède en entier et qu'en conséquence, ses institutions et ses lois, qui sont comme des règlements d'administration, ne sauraient procéder d'une autorité étrangère, mais ne peuvent se concevoir que s'ils sont approuvés par nous et même que s'ils émanent de nous. A cette seule condition ils nous apparaissent non comme une contrainte insupportable, mais comme une protection de tous les instants.
Les institutions peuvent beaucoup pour développer le sens de la patrie. Ce sens s'est prodigieusement accru au moment de la Révolution, par le fait d'une législation égalitaire qui associait l'ensemble des habitants à la vie du pays, mettait en œuvre toutes les énergies et éveillait la conscience d'une destinée commune. Ce sens peut au contraire être mis cruellement à l'épreuve quand les lois d'un pays donnent à une partie de ses habitants l'impression qu'ils sont dépossédés de leur patrie. Chacun sait par exemple tout ce que la Révocation de l'Edit de Nantes a coûté à la France.
33.- La communauté des souvenirs et des aspirations
La patrie, c'est aussi l'ensemble des souvenirs qui composent une histoire commune : souvenirs grâce auxquels les racines de notre être plongent dans le plus lointain passé et nous rendent solidaires de tous ceux qui vécurent avant nous, si bien que, pour reprendre un mot d'Auguste Comte, la patrie se compose de plus de morts que de vivants.
Ces souvenirs ressuscitent pour nous des triomphes et des deuils qui nous causent toujours des émotions très vives ; et à l'évocation de ces temps révolus répond nécessairement la pensée d'un avenir dont nous ne pouvons imaginer l'interruption, mais dont la prolongation nous est assurée par l'ardeur d'un vouloir vivre commun. L'homme se sent ainsi relié à quelque chose qui le dépasse de beaucoup, non seulement dans l'espace, mais dans le temps.
34.- Les sentiments que la patrie nous inspire
L'amour de la patrie est naturel en nous. D'origine complexe, ainsi que nous venons de le voir, c'est un sentiment très fort. Il n'a pas moins de pouvoir sur l'homme que les sentiments familiaux avec lesquels il a maintes affinités, et il a beaucoup plus d'ampleur. L'homme qui est ému par l'amour de la patrie, sans cesser d'être lui-même (ndlr : on notera la réserve post-nazisme), se sent pénétré d'une réalité plus haute, plus large, meilleure que lui dont il est cependant dépositaire, qu'il doit défendre et faire durer. Insistons sur ce point.
A la différence des valeurs religieuses ou scientifiques, par exemple, qui participent toujours de l'éternel et demeurent, dans ce qu'elles ont sans doute d'essentiel, indépendantes de nous, la patrie est une valeur d'ordre humain, de caractère temporel et historique. Elle nous dépasse dans le temps et dans l'espace, c'est entendu, nous venons de le dire ; mais elle dépend de nous. On se fait aisément illusion. Parce qu'elle nous a précédés, on croit que la patrie nous survivra ; on la croit même éternelle. La vérité est qu'elle peut mourir ; il suffit que se relâchent un instant l'union des peuples, leur vigilance et leur esprit de sacrifice.La patrie est la création continue de tous ses enfants. Chacun peut sentir et expérimenter sa responsabilité envers elle ; il dépend de lui, à chaque instant, de l'affaiblir ou de la sauver.
La prochaine lecture élargira la réflexion à l'humanité.(1) L'histoire de notre pays nous fait assister à un riche développement de dons variés, mais elle ne nous fournit qu'une traduction incomplète des aptitudes de la France. Nos générations auraient tort de se complaire au spectacle du passé au point d'oublier que dans nos montagnes, nos fleuves, nos mers, bien des énergies attendent encore leur tour (AB). En 1945 on ne parlait pas encore des Zones économiques exclusives dont la France maritime est si riche (clic), mais vu le profond silence des pouvoirs sur ces richesses maritimes inexploitées, on peut penser que le caractère cul-terreux de la classe politique française l'empêche de se projeter au-delà de l'horizon réel, celui sur lequel on "pose" un sextant.
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L’art contemporain est un mécanisme provocateur et financier
Aude de Kerros, artiste et auteur de Sacré art contemporain, répond à L'Homme Nouveau à propos de la réalisation d’Anish Kapoor dans les jardins du château de Versailles : le « Vagin de la Reine ». Extrait :
"C’est un piège, comme d’habitude. C'est un chef-d'œuvre dans son genre puisque son but est de piéger les médias et le spectateur. Cela implique de générer un scandale, de créer de l'événement et un intérêt médiatique : le « Vagin de la Reine » fonctionne très bien. Lorsqu’une œuvre contemporaine est fabriquée, l'artiste pense « les Français seront blessés si l’on s’attaque à leur patrimoine ». Celle-ci a été faite il y a longtemps, et elle a changé de nom pour l'occasion, afin qu’elle ait un rapport avec son contexte.
Chaque réaction augmente la valeur de cet objet, qui n'est en réalité qu'un produit financier. L'art contemporain se résume à ça. [...] C’est pour l'artiste la seule manière de créer un produit financier : il faut choquer. [...] Le scandale ne réside pas dans le « Vagin » lui-même, mais dans la complicité de l’État français. L’art contemporain n’en est pas un : il est conceptuel, et veut profiter de son contexte, mais l’œuvre en soi est sans intérêt. Tout cela constitue un vaste montage financier et mondain entre le grand collectionneur, les institutions et l’artiste, ou devrais-je dire le producteur car en lui-même et sans les autres acteurs il n'existe pas. Il n'a aucune autonomie.
L’artiste dit lui-même qu’il voulait mettre du "chaos" dans l'ordre : la provocation est-elle une caractéristique de l'art contemporain ?
L’art contemporain est effectivement un mécanisme provocateur et financier. Le but est de fabriquer de la médiatisation pour avoir de la cote. Lorsque les gens l’auront compris, ils pourront faire la différence avec l'Art. [...]
Tout cela relève d'une entreprise de destruction de la civilisation, au sein d'un marché financier gigantesque. Et ça continuera aussi longtemps que les gens ne voudront pas comprendre.
[...] Le problème est qu’il faudrait démonter intégralement le système, et se tourner vers le gouvernement : il doit se justifier ! Combien est-ce que cela coûte aux contribuables ? Pourquoi les artistes français ne sont-ils pas sollicités, si ce n’est parce que leurs œuvres n'atteignent pas le million de dollars ? Nous devons leur demander des comptes. Et pourquoi Anish Kapoor a-t-il eu droit à la légion d'honneur ? Pourquoi lui a-t-on livré Versailles sur un plateau d’argent ? [...]"
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Fraction Hexagone - Une Balle
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Réédition d’ « Islam et kabbale contre l’Occident chrétien », d’Alain Pascal
Le catholique Alain Pascal s’est fait connaître dans les années 90 et 2000 par une série d’articles (dans le Libre Journal de Serge de Beketch) et d’ouvrages originaux, s’évertuant à dévoiler la face cachée de grands phénomènes historiques.
Il met en lumière dans ses divers livres (disponibles ici) des liens relativement étonnants entre des événements et des courants d’idées « novateurs » d’un côté et la gnose, la kabbale, la franc-maçonnerie et les ésotérismes de l’autre.
Ses livres regorgent d’informations et peuvent susciter d’utiles débats.Introuvable depuis des années, son livre politiquement incorrect Islam et kabbale contre l’Occident chrétien, 2e volume de sa Guerre des gnoses, vient d’être réédité pour le plus grand bonheur des afficionados d’Alain Pascal.
Éditions des Cimes, 442 p. Index des noms et des mots-clés, table des matières détaillée. Disponible ici.
4e de couverture :
« L’islam est une religion golem dont l’ésotérisme véhicule la gnose anti-chrétienne codifiée par le Talmud.
A partir de ce constat anticonformiste, Alain Pascal montre que l’islam a toujours servi d’instrument aux forces occultes pour détruire l’Occident chrétien, la civilisation qui sanctifie par la foi le passé païen européen.
De tout temps, la guerre est politique, mais aussi culturelle.
Aux Temps féodaux, l’islam est contenu par les Carolingiens et la gnose rejetée par la tradition chrétienne. Tandis que les rois d’Europe s’unissent dans les guerres défensives que sont les Croisades, l’Église écarte le nominalisme dans la querelle des Universaux.
Tout change après le XIIe siècle, c’est-à-dire avec l’existence officielle de la Kabbale, mouvement ésotérique, mais aussi complot politico-financier.Dans un premier temps, la France et l’Église résistent à la Kabbale.
La croisade contre les Albigeois et l’Inquisition sauvent la civilisation occidentale menacée par la révolution cathare. L’Occident peut connaître l’apogée du XIIIe siècle. Les cathédrales sont dressées vers le ciel et la grande scolastique offre la Raison à l’humanité parce que le Talmud qui inspire la philosophie judéo-musulmane est condamné.
Malheureusement, la Kabbale a déjà des complices : les ésotéristes qui ont infiltré les mouvements littéraires avant les universités et certains monastères. La théosophie juive du Zohar séduit les premiers « illuminés ». Un cabalisme « chrétien » ouvre la voie à l’ésotérisme cosmopolite de la Renaissance, c’est-à-dire à la Révolution moderne.
La subversion des mentalités a préparé la nouvelle conquête. De nos jours, la gnose triomphe dans la philosophie maçonnique et, par le biais de l’immigration, l’islam achève l’oeuvre de la Révolution, faire table rase de l’Occident chrétien.
Telle est l’actualité de la Guerre des gnoses. » -
La France au risque de l'islam
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Fraction - L'appel