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culture et histoire - Page 152

  • Plaquette – Ecole Thomas More

    You are currently viewing Plaquette – Ecole Thomas More

    Une école de l’Institut Thomas More
    L’école est fondée sous l’égide de l’Institut Thomas More, laboratoire d’idées libre et indépendant, qui a près de vingt ans d’existence. Convaincus de la nécessité de libérer le débat en formant les générations de demain et en favorisant leur engagement dans tous les champs de la vie civique (institutionnel mais aussi local, associatif, etc.), ses animateurs aident à créer l’École Thomas More pour favoriser la transmission et le rayonnement des idées et des valeurs qui sont au cœur de son action.

  • L’Europe d’une guerre à l’autre (XVI-2) – Qui a signé la condamnation à mort de la France en 1940 ?

    Partie I

    Par 

    Ce qu’il y a d’insupportable dans la défaite de 1940, c’est le fait de savoir que la France, poussée dans la guerre par les manœuvres de l’Angleterre, trahie au dernier moment par cette même Angleterre, continue à fêter son faux allié comme son sauveur. Peut-on être plus masochiste ?  Avic

    ***

    Lorsqu’on analyse les causes de la chute incroyablement rapide de la France en 1940, il serait anormal de ne pas mentionner le merveilleux plan mis au point par le général allemand Erich Von Manstein. Mais les Britanniques ont tout aussi largement contribué à la défaite de la France.

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  • L’héritage de Sándor Petőfi (1823-1849), l’éveilleur hongrois

    L’héritage de Sándor Petőfi (1823-1849), l’éveilleur hongrois

    Sándor Petőfi naît le 1er janvier 1823 et meurt au combat face aux cosaques du Tsar le 31 juillet 1849. Dans l’intervalle, une œuvre originale et fondatrice de la poésie hongroise s’élabore et accompagne l’un des principaux bouleversements politiques du XIXe siècle européen : le Printemps des peuples. Deux siècles après sa naissance, Petőfi occupe une place de choix dans le panthéon national hongrois. Il fut le héraut du romantisme, du nationalisme et des aspirations libérales de son temps. Qu’en reste-t-il aujourd’hui ? Le romantisme a passé ; une fois les monarchies abattues ou avilies, le système parlementaire a souvent dissimulé une nouvelle servitude des peuples, privés d’une élite véritable ; l’État-nation s’est imposé partout en Europe et sert généralement de marchepied au mondialisme. En un mot, le zèle révolutionnaire n’a apporté qu’ébauche et désillusion. Ce constat sombre nous invite à relire le destin d’un insurgé lyrique pour comprendre la portée et les limites de l’enthousiasme révolutionnaire.

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  • L’Europe d’une guerre à l’autre (XVI-1) – Qui a signé la condamnation à mort de la France en 1940 ?

    Par Nikolay STARIKOV (Russie)

    C’est quelque chose que vous devriez savoir : chaque fois que nous aurons à choisir entre l’Europe et le Grand Large, Nous choisirons toujours le Grand Large.

    Winston Churchill [1]

    Il avait suffi d’un revers sur le continent pour que la Grande-Bretagne voulût s’absorber dans sa propre défense ».

    Charles de Gaulle [2]

    Le 6 octobre 1939, deux semaines après la chute de Varsovie et la fin de la campagne de Pologne, Hitler a parlé au Reichstag :

    Mon effort principal a été de débarrasser nos relations avec la France de toute trace de mauvaise volonté et les rendre supportables pour les deux nations… L’Allemagne ne demande rien d’autre à la France… J’ai même refusé d’évoquer le problème de l’Alsace-Lorraine… En France, j’ai toujours exprimé mon désir d’enterrer pour toujours notre ancienne inimitié et de rassembler ces deux nations, qui ont toutes deux un passé si glorieux…

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  • Alain de Benoist : « Les runes exercent depuis toujours une grande fascination sur les esprits curieux » [Interview]

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    02/07/2017 – 07h10 Quimper (Breizh-Info.com) – Alain de Benoist – que nous avons interrogé à propos de l’actualité cette semaine – vient par ailleurs d’écrire un ouvrage scientifique fascinant intitulé L’écriture Runique et les origines de l’écriture. Un ouvrage paru – et c’est une première avec Alain de Benoist – aux éditions Yoran Embanner dont nous chroniquons fréquemment les ouvrages à Breizh-info.

    Utilisée par les Germains à partir du Ier siècle de notre ère pour transcrire diverses langues germaniques antérieurement à l’alphabet latin, puis concurremment avec lui, l’écriture runique, attestée par plusieurs milliers d’inscriptions, reste à certains égards une énigme. Du fait de son apparition relativement tardive, les spécialistes se divisent entre ceux qui la font dériver du latin, ceux qui la rattachent à l’alphabet grec et ceux qui font appel aux alphabets nord-italiques (ou « nord-étrusques »). Mais aucune de ces solutions n’est de nature à expliquer les particularités spécifiques de l’écriture runique : l’ordre des lettres, qui diffère totalement de celui des alphabets méditerranéens, leur regroupement en trois séries immuables de huit runes (les ættir), le fait que chaque rune porte un nom qui lui est propre (le phonème initial de ce nom déterminant la valeur phonétique de la rune), etc.

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  • La crèche de Noël née des persécutions religieuses de 1789

    La crèche née des persécutions religieuses de 1789
    Crèche napolitaine de la maison Scarabattola

    Alors que depuis deux ans, les libres penseurs essayent de faire interdire les crèches dans l’espace public, il convient de rappeler que ce sont les mêmes, par leur intolérance, qui ont permis la naissance de la tradition d’installer un crèche dans le foyer de chaque provençal durant la période de Noël.

    L’origine de la crèche provençale nous vient d'Italie, du village de Greccio, située dans la province de Rieti. En effet, dès le XIIème siècle, dans les églises italiennes, on représentait la scène de la Nativité avec des sculptures mobiles, non fixées au sol. Cette tradition du culte catholique ne tarda pas à franchir les Alpes et à venir en Provence. La crèche était alors collective et installée dans une des chapelles de l’église paroissiale. La tradition voulait que chaque année, la crèche soit mise en place peu avant Noël pour n’être défaite qu’au début février, à la Chandeleur. Cet art populaire fera naître les Pastorales, représentations théâtrales de la Nativité.

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  • Le Mythe du sauveur américain – Essai sur une imposture historique (1917-1918)

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     Dominique Lormier est un écrivain passionné d’histoire aux goûts éclectiques. De la Résistance dans le sud-ouest aux corridas de Bayonne en passant par la biographie d’un Grand Lama tibétain, peu de sujets échappent à sa curiosité.

    Son nouvel opus – Le Mythe du sauveur américain – Essai sur une imposture historique – publié aux éditions Pierre de Tailhac, est un vibrant plaidoyer en faveur de l’Armée française en 1918, victime d’une opération de propagande, en partie auto-infligée, pour mettre en valeur l’Armée américaine et son rôle dans la défaite de l’Allemagne.

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  • Non-violence : quand Gandhi envoyait 1 million d’indiens servir de chair à canons dans les guerres européennes !

    En Afrique du Sud, alors que la guerre fait rage entre les troupes des Boers (les colons hollandais) et celle des colons arrivés par la suite (les britanniques), Mohandas Karamchand Gandhi prend la direction du Natal Indian CongressGandhi pense que les indiens gagneront l’indépendance de l’Inde en aidant l’Empire britannique et il les appelle à s’engager volontairement dans l’armée anglaise.

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