culture et histoire - Page 150
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Rappel : Le complotisme I Pierre Yves Rougeyron
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Format Court : Les livres de Monsieur Maulin - Robert Brasillach le maudit
Ecrivain et journaliste à Valeurs actuelles, Olivier Maulin présente "L’Enfant de la nuit" de Robert Brasillach, le romancier qui parle des petites gens avec une "douceur franciscaine" et qui fait bramer les imbéciles. Retrouvez Olivier Maulin toutes les semaines dans les pages Culture de Valeurs actuelles et dans son dernier roman "Le Temps des loups" (Le Cherche-Midi).
https://tvl.fr/format-court-les-livres-de-monsieur-maulin-robert-brasillach-le-maudit
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Xavier Helary : « la croisade de Tunis fut surtout une croisade française » [interview]
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Révolution de 1789 : Des modes de scrutin qui excluent le Peuple de la représentation nationale
La Révolution de 1789 s’ouvre par la convocation des Etats généraux réunissant un tiers de nobles, un tiers de membres du clergé et un tiers du reste des français représentés par leurs bourgeois. Ce système est censé : représenter l'opinion de « la communauté du royaume » ; voter l’impôt. La Révolution de 1789, en créant le vote censitaire (Ne peuvent voter que les plus riches), va exclure de la représentation nationale l’ensemble du Peuple. Cette révolution qui n’en a que le nom va alors se faire contre les intérêts de la majorité des français et conduire rapidement à des révoltes sanglantes dans le monde rural. Il faudra attendre le 5 mars 1848 pour voir instaurer le suffrage universel masculin (Conséquence de la Révolution de 1848) !
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Henri d'Anselme - Le Chant des Cathédrales - La grande soirée des Éveilleurs
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4 - Taline Ter Minassian pour son livre "Sur l'échiquier du Grand Jeu"
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Mouvement dextrogyre dans la presse : Après le JDD, Historia ?
Au printemps 2023, la revue Historia a été rachetée par le groupe LVMH et l’essayiste Franck Ferrand a été nommé à la direction du comité éditorial. Ce comité s’en inquiète dans un communiqué en raison de la participation de Ferrand au magazine Valeurs actuelles où il tient une chronique depuis 2021. Le communiqué appelle à la « vigilance » sur la ligne éditoriale d’Historia et à une « neutralité absolue d’un point de vue politique et idéologique ». Sic.
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Réflexions autour du Traité de Maastricht
Je n'aurai pas d'autre solution : je devrai accepter les résolutions du Traité de Maastricht comme un fait accompli. La loi électorale belge ne prévoit pas le référendum. C'est donc le parlement qui décidera. Qui a déjà décidé. J'accepte Maastricht, non parce que j'ai souhaité l'Europe qu'esquisse ce Traité, mais parce que je suis contraint d'accepter le cadre politique dans lequel je vais vivre et inscrire mes futurs combats.
Dans cette optique, j'ai lu avec beaucoup d'attention certains propos émis par les Verts français, notamment Philippe Frémeaux (« Maastricht, une étape de l'Europe », in : Alternatives économiques, juin 92) et Alain Lipietz (« Une révolution de comportement », in : Alternatives économiques, juin 92). Frémeaux écrit : « … la ratification du traité de Maastricht ne va pas déterminer notre avenir à tout jamais. Le débat politique tend toujours à dramatiser les enjeux. Mais la construction européenne concrète des prochaines années n'est écrite nulle part. Le cadre prévu dans le traité est effectivement contraignant, mais la politique est l'art de s'adapter aux circonstances. Parmi les chefs de gouvernement signataires du traité, peu seront encore au pouvoir lorsque le moment sera venu de le mettre en œuvre… Résumons : ce n'est plus l'heure de discuter si on est pour ou contre la construction européenne. Il est par contre permis de chercher à en modifier le sens ».
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Le procès de Jeanne d’Arc, par Jacques Trémolet de Villers.
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Le Tribunal révolutionnaire de 1793 & la fin des libertés publiques
Le Tribunal révolutionnaire fut institué le 10 mars 1793 pour réprimer “toute entreprise contre-révolutionnaire” et “tout attentat contre la liberté, l’égalité, l’unité, l’indivisibilité de la République”. Ce symbole de la Terreur envoya à la mort plus de 2500 personnes en l’espace de seize mois (Pour le seul Tribunal révolutionnaire de Paris), chiffre considérable qui ne représente qu’une faible part des victimes de la répression judiciaire sur l’ensemble du territoire national au cours de la même période. L’arbitraire de ses jugements et le caractère expéditif de ses procédures sont restés célèbres, symbolisés par le décret du 22 prairial an II (10 juin 1794) privant les accusés de la faculté de disposer d’un défenseur et de faire produire des témoins à décharge. Son accusateur public, Antoine Quentin Fouquier-Tinville, demeure toujours, notamment au sein du monde des magistrats, l’incarnation de la Terreur judiciaire.