culture et histoire - Page 151
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Jérôme Pierrat (Une histoire du milieu) : « La société a les criminels qu'elle mérite ! »
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Le traité de l’Île d’Or
Uchronie Clovis et Alaric
Nous sommes en 507 et Clovis a encore quelques chats à fouetter pour imposer sa domination sur toute la Loire. Il n'est pas encore temps d'étendre son pouvoir par la magie du spirituel. Il faudra encore attendre 4 années pour cela. Le monarque ne met jamais la charrue avant les bœufs, il n'est pas roi fainéant. Ne jouons pas de l’uchronie à tous moments.
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Aux sources de l’autonomisme alsacien-mosellan, par Michel Krempper
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Georges Sorel, le révolutionnaire conservateur – Entretien avec Rodolphe Cart
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Géopolitique de la Russie (1 - Principes généraux)
1 – Principes généraux
Selon la définition classique fournie par le géographe et géopolitologue français Yves Lacoste, la géopolitique consiste en « l’étude des rivalités de pouvoir sur les territoires ».
Dès lors, la géopolitique, en sa qualité de science, étudie les implications politiques de la géographie. Ainsi, la situation géographique de la Hongrie, petit État enclavé au cœur de l’Europe, ne sous-tend pas sa politique étrangère de la même façon que la situation géographique des États-Unis, vaste État du continent américain bordé par les deux plus grands océans de la planète, sous-tend la leur.
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Afrique du Sud : Pourquoi l’Apartheid fut un échec ou l’importance de la démographie
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SAINT LOUIS & GARCIA MORENO : principes d'une société catholique
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Sang Royal, « la vérité sur la plus grande énigme de l’histoire de France », par Jean-Louis Bachelet [ interview ]
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Quel avenir pour la jeunesse patriote ?
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Les Titans et les Dieux Entretien avec Guillaume Faye 6/6
D’autre part, le Catholicisme a commis une gigantesque erreur en voulant se moderniser. Dans les rites, les textes sacrés, comme dans le discours théologal. Cet aggiornamento lui sera fatal. La force de l’Islam, c’est son immuabilité. En revanche, le Paganisme ressemble au roseau de la fable de La Fontaine, face au chêne monolithique d’une religion révélée, il est élan vital, et non organisation contingente bétonnée autour d’un dogme. Sa souplesse provient de son scepticisme et de son réalisme. Le Christianisme en Europe recule face à l’Islam, parce qu’il est opposé à un frère concurrent plus vigoureux que lui ; le Paganisme n’entre pas dans ces querelles de famille. Il est tout autre. C’est pourquoi, dans son entreprise logique et très ancienne — et aujourd’hui reprise — de progression en Europe, l’Islam aura comme principal adversaire la mentalité païenne. Je sais qu’il existe de prétendus Païens favorables à l’Islam. Ils se trompent lourdement, par méconnaissance de ce dernier et ignorent apparemment le sort que le Coran leur réserve, sous la dénomination de mécréants et d’idolâtres : alors que les Juifs et les Chrétiens se retrouveront minorés et soumis (dhimmis), eux, subiront le sort des moutons de l’Aït-el-Khébir. Il suffit de lire la sourate 4 du Coran, enseignée dans toutes les mosquées d’Europe et dans toutes les écoles coraniques pour s’en convaincre.