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culture et histoire - Page 177

  • Fabuleux destins, neuf vies d’exception, par Alain Decaux

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    Alain Decaux, membre de l’Académie française, republie en ce mois de juin,  aux éditions Perrin,  son ouvrage intitulé Fabuleux destins, neuf vies d’exception.

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  • Le faux Paris, antique et révolutionnaire, de Jean-Luc Mélenchon

    Quand il s’agit de créer une mythologie révolutionnaire de l’humanité, nous pouvons compter sur Jean-Luc Mélenchon. Ce 12 avril, l’ancien député de La France insoumise a proclamé, lors d’une conférence à l’Institut La Boétie : « Aux alentours des années 400 à Paris, il y a eu la première manifestation de l'Antiquité. […] Cette ville est fondamentalement révolutionnaire. » Paris n’est plus la Ville Lumière mais aussi la ville révolutionnaire de la Commune, de la Révolution française, d’Étienne Marcel et, désormais, celle de l’Antiquité !

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  • Georges Sorel contre la décadence

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    Il était temps d’exhumer Georges Sorel (1847-1922). Pour quiconque cherche à comprendre ce qu’a été le syndicalisme révolutionnaire à l’aube du XXe siècle, le mouvement ouvrier, la découverte de Marx, la redécouverte de Proudhon, les puissances du mythe et de la violence, Sorel est un passage obligé. Dans son essai « Georges Sorel. Le révolutionnaire conservateur », Rodolphe Cart. Merci à Eurolibertés de nous autoriser à reproduire l’entretien que Rodolphe Cart a donné à Lionel Baland.

    EUROLIBERTES : Les opinions politiques de Georges Sorel ont évolué au fil du temps. Quelles sont les grandes étapes de ce processus ? Lors de son rapprochement avec les nationalistes, qui a-t-il fréquenté dans cette mouvance ?

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  • Petites réflexions éparses sur la découverte de l’Amérique par les Scandinaves

    Scandinaves

    En me demandant d’écrire un petit article sur la découverte de l’Amérique par les Scandinaves, Bernard Levaux, sans aucune intention maligne, ouvre, une fois de plus, ma secrète boîte de souvenirs d’adolescent. C’est une fois de plus parce que l’article qu’Yves Debay a écrit récemment dans les colonnes de ce bulletin, avait déjà ravivé quelques bons et solides souvenirs car ce sacré Yves Debay était un camarade d’école, forcément inoubliable vu sa personnalité, et un compagnon de voyage en Grèce en 1973. Enfin, parce que le thème que Bernard Levaux me demande d’aborder me ramène en fait à la même année : The Vinland Saga – The Norse Discovery of America est le tout premier livre sérieux, le tout premier classique, que j’ai acheté en anglais, sans vraiment connaître encore tous les secrets de la langue de Shakespeare. Généralement, en anglais, j’achetais en temps-là des livres ou des revues sur les maquettes d’avions ou de chars, comportant profils ou guides de peinture. À cette époque, j’avais la même habitude que le Professeur Piet Tommissen, dont on vient de déplorer la disparition à Bruxelles en août 2011, celle d’inscrire la date d’achat de chaque livre sur un coin de la première page. C’est donc avec émotion que j’ai repris entre mes mains de quinquagénaire ce premier bon livre anglais de ma bibliothèque et que j’ai retrouvé la mention “20 Jan. 1973”.

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  • “Jean de Fontfraîche” la série d’Hélène Coudrier, aux dix volumes

     

    Ces romans de la série Jean de Fontfraîche sont une formidable aventure dans le temps.

    Hélène Coudrier, l’auteur, issue d’une famille d’universitaires, a eu le privilège, en raison de l’activité professionnelle de son père, de voyager à travers le monde. Diplômée en sciences, elle a contribué, au Musée de l’Homme, au classement des pièces de diverses collections. En 1943, elle a épousé un officier de Marine Henri Morfin et aura six enfants.  C’est sous le pseudonyme d’Hélène Coudrier qu’elle a écrit plusieurs ouvrages pour les enfants et adolescents, mettant à leur portée de passionnants épisodes de l’histoire de la Gaule.

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  • Voyage dans les deux « France »

    Voyage dans les deux « France »

    Ces jours-ci, j’étais à Bergerac pour les obsèques d’un ami d’enfance. Toujours triste de perdre un ami cher, même si comme l’écrivait si justement Marcel Pagnol : « Telle est la vie des Hommes, quelques joies très vite effacées par d’inoubliables chagrins. » Mais ma tristesse s’est amplifiée en découvrant ce qu’était devenue cette petite cité périgourdine. Bergerac, petite ville dont le nom est étroitement lié à celui de Cyrano dont la statue est érigée sur la place de la vieille ville. Et pourtant, en parcourant pendant quelques heures ce petit coin de France, je n’y ai ressenti aucunement cette once de panache, de grandeur, de fierté qui caractérisait si bien le personnage de Rostand. Pire, j’y ai trouvé un échantillon de ce que sera notre pays si rien n’est fait pour arrêter ce mouvement qui est en marche.

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  • Les œuvres de Charles Maurras entrent dans le domaine public

    Chaque premier janvier est célébrée la “Journée du domaine public”. Cette date marque l’arrivée dans le domaine public d’un certain nombre d’œuvres littéraires ou artistiques. Cela signifie que ces œuvres sont désormais libres de droit et qu’elles peuvent être publiées sans devoir demander d’autorisation aux auteurs ou à leurs descendants.

    Le droit d’auteur protège un créateur de toute utilisation abusive de ses créations et lui permet de percevoir une rémunération en cas d’exploitation par un tiers. Ce droit est garanti à un auteur pendant toute sa vie. Après son décès, ce sont ses ayants droit (sa famille) ou la personne qu’il aura désignée à cet effet qui en profitent. Mais seulement pendant une durée limitée : 70 ans à partir du 1er janvier qui suit le décès de l’auteur.

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  • [L’été BV] Toussaint Louverture, le faux symbole de liberté de Jean-Luc Mélenchon

    Bienvenue pour ce nouveau chapitre de « Réécrivons l’Histoire avec Jean-Luc Mélenchon ». Dans un tweet du 26 avril, l’ancien député fait du chef révolutionnaire haïtien Toussaint Louverture un énième symbole du combat contre Napoléon mais aussi une victime éternelle de la France, au nom d’un manichéisme historique bien rodé dans le monde de l’ex-président du groupe LFI. Le « libérateur des esclaves d’Haïti, fondateur de l’indépendance » est-il vraiment le symbole de la lutte contre l’oppression et la servitude, comme semble le présenter l’opportuniste Jean-Luc Mélenchon ?

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