
culture et histoire - Page 181
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A l’occasion de la St Michel, le régiment du 8e RPIMA lance son clip officiel

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R&A Joyeux anniversaire
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Les abonnés de Réfléchir & Agir viennent de recevoir son 79e numéro, soit trente années d’existence et de combat. Trente ans déjà ! Comme le temps passe pour reprendre le titre d’un roman d’un brillant écrivain français trop tôt disparu car assassiné…
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Le Grimoire de la Poule Noire : Le Trésor du Vieillard des Pyramides
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Les Ordres Néo Templiers : Voie spirituelle ou dérive sectaire ?
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Irlande. Centenaire de l’insurrection de Pâques 1916 – notre sélection de livres
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1720, la peste à Marseille

Au printemps de 1720, un bateau pestiféré entra en rade de Marseille.
Le dispositif permettant de protéger la ville contre le risque d’infestation était exemplaire, et pourtant la peste entra dans Marseille dont elle tua la moitié des habitants.
La responsabilité des échevins, intéressés à la vente des marchandises qu’il aurait fallu détruire, est accablante. -
ROBESPIERRE fête l'ÊTRE SUPRÊME en 1794
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Le roi, la dette et la Révolution

Il est banal de dire que la Révolution française fut un soulèvement populaire contre les privilèges indus de la noblesse et du clergé, et que la prise de la Bastille vit l’émergence du peuple sur la scène de l’Histoire de France.
La France serait devenue, en 1789, un modèle pour le monde, et l’événement aurait été – ainsi l’a promu le musée historique de Berlin à l’occasion du bicentenaire – le « marque-page de l’Histoire », das Lesezeichen der Geschichte.
Il est un peu moins courant de signaler qu’elle fut surtout une entreprise destinée à régler un problème récurrent : celui de la dette publique. Déjà…
Àla mort de Louis XIV en 1715, le trésor public était aux abois et le Régent, en arrivant aux affaires, apprit rapidement que les ressources des deux années à venir étaient dévorées d’avance : le roi devait de l’argent partout. Les dernières années de son règne avaient été calamiteuses en guerres ruineuses et catastrophes climatiques. -
Le Capital et l'esprit de la civilisation (Antoine Blanc de Saint-Bonnet)
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Nationalisme et démocratie au XIXe siècle
[Ci-dessus : Barricade, rue de Soufflot, proche du Panthéon, peinture d'Horace Vernet, 1848. Les révolutions de 1848, survenues partout en Europe, ont toutes été portées par une double volonté : créer une nation solidaire et volontaire, et instaurer une démocratie participative et représentative. Nationalisme et démocratie sont donc complémentaires au départ]
Pour la plupart de nos contemporains, les notions de nationalisme et de démocratie sont antinomiques. Pour les adeptes de l’École maurrassienne, le nationalisme intégral est l’idéologie anti-démocratique par excellence. Historiquement, les grands phénomènes politiques que furent le “national-socialisme” en Allemagne, le “fascisme” sous son aspect italien, espagnol ou portugais (nous retenons la notion de “fascisme” sous sa forme générique commune), ainsi que tous les mouvements qui se réclamèrent d’une idéologie “fasciste” dans l’entre-deux-guerres sont des mouvements anti-démocratiques. A contrario, les “démocrates” de toutes tendances (libéraux, socialistes, etc.) sont persuadés que l’idée nationaliste est essentiellement antidémocrate.

