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culture et histoire - Page 181

  • Petite et grande histoire de la Cité interdite

    Petite et grande histoire de la Cité interdite, par Bernard Brizay, éditions Perrin
    Petite et grande histoire de la Cité interdite, par Bernard Brizay, éditions Perrin

    Bernard Brizay est historien, professeur d’histoire de l’art et journaliste, auteur de plusieurs ouvrages sur l’histoire de la Chine. Il vient de publier chez Perrin une Petite et grande histoire de la Cité interdite.

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  • On est jamais si bien présenté que par soi même... Ainsi va Scipion pour présenter son nouveau livre "Mon combat"

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    Avec cynisme et humour, notre ami Scipion de Salm analyse dans son livre Mon combat (édité chez Auda Isarn, cliquez ici) la situation actuelle de la France. Il avance quelques solutions audacieuses face à la décadence... Il répond avec talent aux questions de Alexandre Hinger.

    Pour acheter le livre Mon combat cliquez ici


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  • La guerre romaine (58 av JC. 235 ap JC) . Par Yann Le Bohec

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    Les Editions Tallandier ont publié en août dernier le dernier ouvrage de l’historien Yann Le Bohec, que les lecteurs de la Nouvelle Revue d’Histoire connaissent bien. Intitulé « La guerre romaine », le livre retrace pas moins de 3 siècles d’histoire militaire romaine, dans ce qui constitue sans aucun doute une synthèse des 40 années de recherches qu’a consacrées l’historien à l’histoire romaine. Il s’agit donc d’un ouvrage fondamental et indiscuté sur la période de la part de celui qui est également professeur émérite en Sorbonne.

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  • Décès d’Alain Besançon, l’analyste du totalitarisme léniniste, fondement du communisme.

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    Michel Festivi 

    Ce 9 juillet 2023, est décédé Alain Besançon, né en 1932, professeur, historien, journaliste, membre de l’Académie des Sciences morales et politiques, auteur d’une multitude d’ouvrages sur la Russie et le communisme. Ses deux principaux livres à mon sens sont : Les origines intellectuelles du léninisme, paru chez Calmann-Lévy en 1977 et Le Malheur du siècle : sur le communisme, le nazisme et l’unicité de la Shoah, publié chez Fayard en 1998.

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  • La CIA, et la guerre culturelle

    Voici une analyse des Cubains qui décrivent l’absence de «temps morts» dans la propagande sous couvert de culture que livre la CIA. Et c’est encore plus facile quand celle-ci est installée à demeure avec ses porte-voix qui ne se cachent même plus au cœur de l’Humanité, le journal et à la tête du PCF. L’industrie du divertissement a pour fonction de nous faire avaler les crimes des États-Unis comme de simples dysfonctionnements que le cowboy Amérique voire UE corrige grâce à Superman et à le défense d’une coexistence pacifique où le méchant russe et le pervers chinois ont des chances d’être pardonnés s’ils se conduisent bien et se soumettent en riant et plaisantant.

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  • Sur la notion de patrie charnelle 2/2

    Habermas: contre l’idée prussienne et contre l’Etat ethnique

    Habermas, dans le contexte allemand, combat en fait deux idées, deux visions de l’Etat et de la politique. Il combat l’idée prussienne, où l’Etat et la machine administrative, le fonctionnariat serviteur du peuple, dérivent d’un principe de “nation armée”. Notons que cette vision prussienne de l’Etat ne repose sur aucun a priori de type “ethnique” car l’armée de Frédéric II comprenait des hommes de toutes nationalités (Finnois, Slaves, Irlandais, Allemands, Hongrois, Huguenots français, Ottomans d’Europe, etc.). Notons également que Habermas, tout en se revendiquant bruyamment des “Lumières”, rejette, avec sa critique véhémente de l’idée prussienne, un pur produit des Lumières, de l’Aufklärung, qui avait rejeté bien des archaïsmes, devenus franchement inutiles, au siècle de son triomphe. Cette critique vise en fait toute forme d’Etat encadrant et durable, rétif au principe du bavardage perpétuel, pompeusement baptisé “agir communicationnel”. Simultanément, Habermas rejette les idéaux relevant des “autres Lumières”, celles de Herder, où le fondement du politique réside dans la “populité”, la “Volkheit”, soit le peuple (débarrassé d’aristocraties aux moeurs artificielles, déracinées et exotiques). Habermas, tout en se faisant passer pour l’exécuteur testamentaire des “philosophes des Lumières”, à l’instar de Bernard-Henri Lévy qui, lui, est l’exécuteur testamentaire de Yahvé en personne, jette aux orties une bonne partie de l’héritage philosophique du 18ème siècle.

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  • Sur la notion de patrie charnelle 1/2

    Causerie à bâtons rompus sur la notion de patrie charnelle

    Conférence prononcée à Nancy, à la tribune de “Terre & Peuple” (Lorraine), le 10 mars 2012

    La notion de patrie charnelle nous vient de l’écrivain et militant politique Marc Augier, dit “Saint-Loup”, dont le monde de l’édition - en particulier les “Presses de la Cité” - a surtout retenu les récits de son aventure militaire sur le Front de l’Est pendant la seconde guerre mondiale. Mais l’oeuvre de Saint-Loup ne se résume pas à cette seule aventure militaire, ses récits de fiction, son évocation des “Cathares de Montségur” ou de la Terre de Feu argentine le hissent au niveau d’un très grand écrivain, ce qu’il serait devenu indubitablement pour la postérité s’il n’avait traîné une réputation de “réprouvé” donc de “pestiféré”. Dans les écrits de ce Français très original, il y a beaucoup plus à glaner que ces seules péripéties militaires dans un conflit mondial du passé qui ne cesse de hanter les esprits, comme le prouve l’existence de belles revues sur papier glacé, comme “39-45” ou “Ligne de front”, par exemple. Il faut se rappeler, entre bien d’autres choses, qu’il a été l’initiateur des auberges de jeunesse sous le “Front Populaire”, lorsqu’il était un militant socialiste, incarnant un socialisme fort différent de celui des avocats aigris, “maçonneux”, encravatés et radoteurs-rationalistes: le socialisme du camarade Marc Augier (qui n’est pas encore Saint-Loup) est joyeux et juvénile, c’est un socialisme de l’action, du grand “oui” à la Vie. Saint-Loup, que je n’ai rencontré que deux fois, en 1975, était effectivement un homme affable et doux mais amoureux de l’action, de toute action amenant des résultats durables, hostile aux chichis et aux airs pincés des psycho-rigides qui ont incarné les établissements successifs dont la France a été affligée.

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  • Le Maréchal Ney

    Le Maréchal Ney, par Franck Favier, éditions Perrin
    Le Maréchal Ney, par Franck Favier, éditions Perrin

    Franck Favier est agrégé et docteur en histoire. Il enseigne en classes préparatoires et est l’auteur de plusieurs ouvrages ayant trait au Premier Empire. Il vient de signer chez Perrin une biographie du Maréchal Ney.

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