Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

culture et histoire - Page 181

  • Irlande libre. A la découverte des rebelles exécutés lors de l’insurrection de Pâques 1916 : Thomas Kent

    Nous vous proposons dans cette série estivale de découvrir les portraits des 16 leaders rebelles irlandais exécutés lors de l’insurrection de Pâques 1916 et suite à la prise de la Poste de Dublin, sous les yeux d’une foule qui ne comprenait pas réellement ce que voulaient ces nationalistes irlandais courageux, impétueux, mais encore très minoritaires à l’époque dans la population.

    Après Éamonn Ceannt, et Thomas James Clarke, James Connolly, après Seán MacDiarmada , Thomas MacDonaghPatrick PearseJoseph Mary Plunkett qui signèrent la proclamation de l’indépendance, voici une nouvelle série de 11 autres chefs rebelles, non signataires, mais acteurs de l’insurrection et exécutés pour cela.

    Parmi ceux là, nous avions vu Roger CasementCon ColbertEdward Daly , John Sean Heuston et ici Thomas Kent.

    Lire la suite

  • Sortie à la fin aout du n°26 de la collection "Les Cahiers d'histoire du nationalisme consacré à Jozef Pilsudski, vainqueur polonais de l'Armée rouge

    COUV Maquette SN REVUE copie 24.jpg

    La Pologne, qui avait disparu en tant qu’État souverain au XVIIIe siècle, renaît en 1918 à la faveur de la défaite des empires centraux. Immédiatement, un homme s’impose à sa tête : Józef Piłsudski. Tour à tour activiste politique, chef de parti, puis chef de guerre, il devient chef de l’État et prend en mains les destinées de son pays. En 1920, alors que la Russie a décidé de propager la révolution à tout le continent et que l’Armée rouge est aux portes de Varsovie, il lui inflige une défaite cinglante et sauve ainsi l’Europe du bolchevisme.

    Lire la suite

  • Une vie de guerre

    Jean-Joël Brégeon, historien et écrivain à la vaste bibliographie, est pour le moins familier de la vie du Connétable de Bourbon, s’étant déjà attelé à la rédaction d’une biographie (Le Connétable de Bourbon, paru en 2000 chez Perrin). Il aurait pu se contenter d’ouvrages historiques denses et précis. C’eut été une peine pour les amateurs du genre – peut-être moins glorieux mais populaire ! – qu’est le « roman historique ».

    Lire la suite

  • Au temps béni des colonies

    École_nationale_de_la_France_d'outre-mer,_Paris_6e_2.jpg

    Il n’est peut-être pas inutile de le rappeler, mais la colonisation française qui a débuté à la fin du XIXe siècle est le fait de la gauche. La droite française y était farouchement opposée. La gauche voulait porter la « civilisation » dans ces territoires lointains. Bref, franciser ces indigènes aux mœurs « barbares », cela va sans dire. C’est donc devant le fait accompli que la gauche a initié une école de la France d’outre-mer destinée à former les cadres dirigeants de ces territoires et aider à leur développement.

    Lire la suite

  • Irlande libre. A la découverte des rebelles exécutés lors de l’insurrection de Pâques 1916 : Con Colbert

    Nous vous proposons dans cette série estivale de découvrir les portraits des 16 leaders rebelles irlandais exécutés lors de l’insurrection de Pâques 1916 et suite à la prise de la Poste de Dublin, sous les yeux d’une foule qui ne comprenait pas réellement ce que voulaient ces nationalistes irlandais courageux, impétueux, mais encore très minoritaires à l’époque dans la population.

    Après Éamonn Ceannt, et Thomas James Clarke, James Connolly, après Seán MacDiarmada , Thomas MacDonaghPatrick PearseJoseph Mary Plunkett qui signèrent la proclamation de l’indépendance, voici une nouvelle série de 11 autres chefs rebelles, non signataires, mais acteurs de l’insurrection et exécutés pour cela.

    Lire la suite

  • Les exploits héroïques de Scanderbeg, roi d’Albanie

    Le Père Jean-Nicolas Duponcet (1660-1723) s’est attelé en son temps à rédiger la biographie d’un personnage inconnu de la plupart des Français, à savoir Scanderbeg, roi chrétien d’Albanie au XVe siècle.

    Lire la suite

  • D'où vient la France ? Éloge des Celtes, qui ont su saisir la chance de la romanisation...

    1AA.jpg

    Buste de César en marbre, trouvé dans le Rhône en 2008...
    ... par Charles Maurras et Jacques Bainville
    En janvier 2010, Éric Besson, bien pâle et bien falot ministre du très mauvais Président que fut Nicolas Sarkozy, proféra l'insanité suivante : "La France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage..."
    Nous répondîmes aussitôt, dans ces colonnes, à cette stupidité monumentale, rappelant cette évidence : à partir du moment où l'on quitte la Préhistoire pour entrer dans l'Histoire, il y a un premier peuplement connu, identifié sûrement, dans cette terre qui s'appelle aujourd'hui "la France" : c'est le peuple Basque. Celui-ci, comme les deux tiers de l'Europe, fut comme recouvert par une immense migration : celle des Celtes, qui recouvrirent toute l'Europe de l'ouest et l'Europe centrale.

    Lire la suite

  • Trois livres sur les relations germano-soviétiques de 1918 à 1944 3/5

    Hzz6gA0NgneFr-162aStO49OaRY.jpg

    Ci-dessus : Deux personnages importants de la République de Weimar : von Papen et Kurt von Schleicher, ici en 1932, respectivement alors Reichskanzler et Reichswehminister, lors d’une commémoration militaire à Berlin. Von Schleicher constatera que son armée ne pouvait contenir les éléments communistes et nazis si ceux-ci unissaient leurs forces. Son objectif : maintenir le statu quo (réparations incluses) en demandant aux Alliés de pouvoir disposer de 300.000 hommes. Cette éventualité inquiétait les Soviétiques, car elle aurait pu déboucher sur une alliance franco-germano-polonaise. Le conflit entre von Schleicher voulant temporiser la situation socio-politique et l’ultraconservateur von Papen décrétant la loi martiale ne fera que rendre plus instable le gouvernement de Hindenburg.

    1. Ce n'est pas l’Allemagne qui a attaqué la France et l’Angleterre, mais ce sont la France et l’Angleterre qui ont attaqué l’Allemagne et ont donc pris sur elles la responsabilité de la guerre actuelle.
    2. Après le déclenchement des hostilités, l’Allemagne a fait des propositions de paix à la France et à l’Angleterre et l’Union Soviétique a ouvertement soutenu ces propositions allemandes, parce qu'elle a cru et croit toujours qu'une fin rapide de la guerre améliorerait radicalement le sort de tous les pays et de tous les peuples.
    3. Les castes dominantes de France et d’Angleterre ont rejeté de façon blessante les propositions de paix allemandes et les efforts de l’Union Soviétique en vue de mettre rapidement fin à la guerre. Voilà les faits.

    Lire la suite

  • Histoire de Sahel (Bernard Lugan)

    Bernard Lugan est bien connu de nos lecteurs. Cet africaniste de renom, ancien professeur à l’Ecole de Guerre et à l’ESM de Saint-Cyr Coëtquidan, dirige la revue L’Afrique réelle et est l’auteur de nombreux livres, essentiellement consacrés au continent africain. Il vient de publier aux éditions du Rocher une Histoire du Sahel, des origines à nos jours.

    Lire la suite