
En vente en kiosque et dans les Maisons de la Presse : 6,90 €.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

En vente en kiosque et dans les Maisons de la Presse : 6,90 €.
Anne Brassié reçoit Jean-Luc Ancely pour son ouvrage « Valmy – La fin de la vieille France » publié aux éditions Mols. Une description étonnante des années révolutionnaires closes par Valmy, victoire piteuse dont l’auteur nous révèle les dessous et les conséquences.
https://www.tvlibertes.com/perles-de-culture-n298-valmy-la-fin-de-la-vieille-france

crown source https://unsplash.com/photos/j1HU-Oll7K
Les monarchies occupent plus de la moitié des « top 10 » des pays les plus libres et certaines se situent à la première place.
Un article de l’Iref-Europe
Les monarchies parlementaires, comme certains pays du Commonwealth et scandinaves, dominent les classements des libertés économiques et politiques. L’importance donnée au Parlement tout comme la non-politisation du chef de l’État offrent un cadre institutionnel propice à des décisions libérales.
La mort du prince consort Philip Mountbatten, mari de la reine Elizabeth II, a soulevé des questions relatives au rôle de la monarchie dans nos sociétés modernes. Certains en France vont même jusqu’à considérer ce modèle dépassé et estiment qu’il devrait être aboli en faveur de la république.
Que ce soit dans le cadre de colloques internationaux, de séminaires organisés par des autorités universitaires, ou plus simplement de débats télévisés, le monde intellectuel est dominé par une idéologie qu'il est malaisé de définir, mais qui projette son ombre omniprésente sur tous les champs du savoir. La recherche de la vérité DOIT passer préalablement par le “filtre” castrateur de la pensée du Big Brother universel.
Dans un essai collectif paru sous la direction de Watson Fuller (La Responsabilité scientifique, Hermann, 1974), le professeur Geoffrey Beale signale que certains savants se sont prononcés pour la suppression des crédits affectés aux recherches dont les résultats n'iraient pas dans le même sens que les croyances universalistes et égalitaristes.
Anne Brassié reçoit Jean-Luc Ancely pour son ouvrage « Valmy – La fin de la vieille France » publié aux éditions Mols. Une description étonnante des années révolutionnaires closes par Valmy, victoire piteuse dont l’auteur nous révèle les dessous et les conséquences.
https://www.tvlibertes.com/perles-de-culture-n298-valmy-la-fin-de-la-vieille-france

Le magazine Reines & Rois m’a invité dans ses colonnes à présenter les arguments contemporains pour l’établissement d’une Monarchie en France, et ma tribune a été intégralement et fidèlement publiée dans le numéro de Mai-juin-juillet 2021, ce dont je remercie la rédaction et Olivier C. en particulier. En voici le texte ci-dessous…
Un récent sondage nous apprenait que 17 % des Français étaient favorables à l’établissement d’une Monarchie en France, et cela plus de deux siècles après la fracture révolutionnaire et plus d’un siècle et demi après le départ en exil du dernier roi ayant effectivement régné. Entretemps, cinq Républiques sont nées et quatre ont disparu, souvent dans des affres peu glorieuses, du coup d’État à la défaite militaire, sans oublier deux empires et un « État français » : deux siècles durant lesquels la question institutionnelle ne cesse d’être posée, et cela même si l’actuelle République, cinquième du nom, semble avoir réussi une certaine synthèse entre les différentes traditions politiques du pays, synthèse néanmoins remise en question aujourd’hui par les nostalgiques de la IIIe (ou de la IVe) République qui la trouvent « trop monarchique » quand les royalistes la trouvent, eux, trop républicaine ou « monocratique », trop jacobine ou laxiste…

Les gens d'extrême gauche, de diverses nuances, nous les avons toujours combattus. Or, ils viennent en France de remporter une victoire notable par la Décision du conseil constitutionnel du 20 mai cassant la loi dite de sécurité globale.[1]
Bientôt ils bénéficieront, n'en doutons pas, d'un blanc seing en faveur de l'islamo-gauchisme. Tel projet de loi, qui devait initialement viser l'islamisme, a déplacé sa cible vers le séparatisme, pour enfin se contenter de réaffirmer les principes républicains. De telles capitulations successives, caractéristiques de la Macronie, ne serviront sans doute à rien, car dès lors qu'elle sera saisie, notre ersatz de Cour suprême présidée par Fabius trouvera un moyen d'en entraver la moindre efficacité.

Agnès Walch, historienne, professeur à l’université d’Artois, est spécialiste de l’Ancien Régime, ainsi que de l’histoire du mariage et du couple. Elle vient de publier La Vie sous l’Ancien Régime chez Perrin.

De par son statut, la Monarchie, symbole de l’État libre des pressions de tout genre et « trait d’union » entre les provinces, peut engager une plus grande décentralisation sans remettre en cause l’unité nationale, tout comme elle peut accorder une plus grande place aux communautés dans la vie politique en les intégrant au jeu institutionnel sans tomber dans les communautarismes figés et agressifs :