culture et histoire - Page 50
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Les Roosevelt : histoire d'une dynastie, avec Georges Ayache
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Seconde Guerre Mondiale – Les États-Unis continuent leurs efforts pour réécrire l’histoire d’un monde global
par Karine Bechet-Golovko. (mai 2020)
La déstabilisation générale des États et des rapports internationaux est une excellente période pour reprendre du terrain géopolitique, pendant que tous les regards sont forcés de se focaliser dans une seule direction, pendant que les pays tournent en rond au fond d’une impasse glauque. Cette année marque le 75e anniversaire de Victoire de la Seconde Guerre Mondiale, qui devait être l’occasion de cérémonies grandioses. Notamment à Moscou, puisque l’URSS est un pays-clé de la victoire contre le nazisme et le fascisme. « Par chance » pour le clan atlantiste, ces cérémonies n’auront pas lieu le 9 mai, ils ne seront pas obligés de venir et de devoir refuser de venir, ils purent applaudir avec soulagement la décision de report des cérémonies du 9 mai, qui ne seront donc pas des cérémonies du 9 mai, à Moscou.
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Auschwitz. Les Russes qui ont libérés le camp, ne sont pas invités à la cérémonie de commémoration
Régis de Castelnau@R_DeCastelnauLe 27 janvier 1945, l’armée rouge libérant la Pologne atteignit le camp d’Auschwitz.Le jour de cette libération a été déclaré « Journée internationale de commémoration de l’Holocauste » par l’ONU. -
Konrad Lorenz : Une vie dédiée à la compréhension du comportement animal et humain
Konrad Lorenz, né en 1903 à Vienne et décédé en 1989, est une figure incontournable de l’éthologie. Ses travaux sur le comportement des animaux dans leur environnement naturel ont marqué profondément la biologie moderne. En parallèle de ses recherches scientifiques, Lorenz s’est également intéressé à l’évolution des sociétés humaines, alertant sur les dérives de la civilisation contemporaine dans son ouvrage “Les huit péchés capitaux de notre civilisation”.
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Cartouches. Saint-Simon : Le précurseur du socialisme moderne
Saint-Simon est l’un des premiers penseurs à proposer une réorganisation complète de la société sur des bases industrielles et scientifiques. Il rejette l’ordre féodal et aristocratique, prônant une société dirigée par les producteurs – les industriels, les scientifiques et les ingénieurs – plutôt que par les nobles et les militaires. Il estime que le progrès de l’humanité repose sur l’amélioration de la production et sur la répartition équitable des richesses.
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US – UK : histoire tourmentée d’une « Relation spéciale »
L’ennemi héréditaire de l’Amérique est l’Angleterre, pas la Russie. Historiquement, la Russie a peut-être été le principal allié des États-Unis. L’Angleterre reste le premier ennemi de l’Amérique, comme pendant la Révolution américaine.
Par Eric Zuesse
Le seul ennemi de l’Amérique pendant la guerre révolutionnaire (1775-1783) était l’Angleterre. Depuis qu’elle a été vaincue dans cette guerre, l’Angleterre – contrôlée par l’aristocratie britannique – a tenté de diverses manières de reprendre le contrôle de l’Amérique.
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Cartouches. Auguste Comte : Le père du positivisme et de la sociologie moderne
Auguste Comte, l’un des penseurs les plus influents du XIXe siècle, est souvent considéré comme le fondateur du positivisme et de la sociologie moderne. Ses idées, qui ont façonné de manière significative la philosophie et les sciences sociales, continuent d’avoir un impact profond sur la pensée contemporaine. Cet article explore la vie de Comte, les idées qu’il a défendues dans ses ouvrages, ainsi que ses principales œuvres, tout en fournissant des commentaires et des explications de texte pour mieux comprendre l’ampleur de son héritage intellectuel.
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Mexico : la première "ville monde" de l'histoire ? [2/3], avec Serge Gruzinski
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Histoire de la retraite en France (I)
par Nicole Castéra.
Le plus ancien des régimes sociaux a été fondé sous Colbert, par l’Édit de Nancy du 22 septembre 1673. Le ministre invente la retraite pour recruter et fidéliser les marins et il crée, l’Établissement National des Invalides de la Marine royale qui prévoit une prise en charge pour les marins qui ne sont plus aptes à naviguer.
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Vive l’Allemagne secrète !
Lorsque le comte Claus von Stauffenberg est fusillé le 21 juillet 1944 à Berlin, après avoir placé, le jour précédent, une bombe au quartier général d’Adolf Hitler à Rastenbourg en Prusse-Orientale, il crie, en référence à son mentor le poète symboliste rhénan Stefan George, « Vive l’Allemagne secrète ! »1 Celle-ci est un mythe plongeant ses racines dans le monde impérial des Hohenstaufen de Frédéric Ier Barberousse et de Frédéric II et introduit dans la poésie, sous une forme codée, dans les hymnes de Friedrich Hölderlin2 et dans les écrits de Friedrich Schiller, de Heinrich Heine, de Paul de Lagarde, de Julius Langbehn, ainsi que dans la légende de Frédéric Ier Barberousse endormi dans un château souterrain au fond du massif de moyenne montagne du Kyffhäuser.3