culture et histoire - Page 951
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La Véritable Histoire de la satanique révolution française
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Agenda : 3ème Forum de la dissidence à Paris le 18/11
Crise migratoire, islamisation, défaite de la droite aux présidentielles, élection d’Emmanuel Macron, toute-puissance de la bien-pensance médiatique… Face à l’urgence de la situation, la refondation de la droite est impérative.
Le samedi 18 novembre aura lieu le 3e Forum de la Dissidence organisé par Polémia. Le thème de cette année : « Face à Macron : une bonne droite ! »Cette question de la refondation de la droite sera au centre des préoccupations des intervenants de cette journée. Avec comme leitmotiv : ne plus craindre la diabolisation et agir.Après deux premières éditions ayant réuni plusieurs centaines de personnes, ce 3e Forum de la Dissidence s’étendra pour la première fois sur toute une journée.De 10h à 18h, plusieurs orateurs de qualité – militants, penseurs, essayistes, entrepreneurs, etc. – seront réunis pour poser ensemble les bases d’une droite solide pour répondre – enfin – aux défis de notre époque.Informations pratiques :Samedi 18 novembre 2017 – de 10h à 18hNew Cap Event Center, Paris 15eEntrée simple : 10 € – Entrée Soutien : 30 € -
LES VENDEENS - GUERRES DE VENDEE - LE GENOCIDE REPUBLICAIN
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« Antonio Gramsci. Vivre, c'est résister »
Emission de Fréquence Histoire consacrée à Gramsci :
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Samedi 11 novembre : Roland Hélie invité par Nation à Bruxelles
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Réforme de l’Université ou réforme de l’enseignement ?
Le billet de Patrick Parment
On ne cesse de nous bassiner ces temps derniers avec le problème de l’entrée à l’université et sur le niveau déplorable des candidats. D’où l’idée d’instaurer un examen d’entrée. C’est prendre le problème à l’envers. Le problème de l’université c’est d’abord celui de l’enseignement primaire et secondaire. Cet enseignement, tout l’indique est déficient. Faute de vouloir sélectionner avant, on sélectionne après, c’est-à-dire celui où l’on postule au chômage.
Tout remonte à cette parole imbécile autant qu’irréaliste du zombie Jean-Pierre Chevènement – ministre de l’Education nationale de 1984 à 1986 – qui lança l’idée que 80% d’une classe d’âge accède au baccalauréat. Or, pour répondre à un tel objectif, il fallait nécessairement baisser le niveau de l’enseignement ce qui a entraîné celui des profs. Aujourd’hui, la plupart des bahuts affichent des réussites au bac de l’ordre de 70 à 90%. Cela ne veut rien dire comme le constate l’université.
Que nous indique la réalité ? En regardant rétrospectivement, à une époque où le bac signifiait quelque chose – grosso modo jusqu’en 1968 – seuls 30% d’une classe d’âge avait le bac. Et sur ces 30% tous n’avaient pas accès à l’université. Ce chiffre, d’une génération l’autre, n’a pas changé, malgré l’apparent succès du bac version light. Sauf qu’aujourd’hui, cela revient à condamner 70% d’une classe d’âge à l’errance professionnelle. Il ne s’agit pas de dire ici qu’avant c’était mieux. Avant, c’était plus efficace. Si l’on veut faire une réforme de l’enseignement, il faut revoir le curseur. Et d’amener 100% d’une classe d’âge au… certificat d’études primaires. Et orienter 70% des potaches vers l’enseignement professionnel – qu’il soit industriel, secondaire ou tertiaire. Il faut donc revaloriser le travail manuel. Aujourd’hui, comme par hasard, tout gamin ayant en poche un diplôme technique a plus de chance de trouver du travail qu’un diplômé es-université. La France a nettement plus besoin de gens sachant se servir et de leurs mains et de leur tête qu’un baltringue d’énarque, candidat aux catastrophes annoncées.
On a en France un savoir-faire artisanal unique au monde. Ce savoir ne se transmet pas uniquement dans les livres mais au contact direct avec la matière et donc d’un professionnel qui guide vos pas. Car, il y a une intelligence de la main qui agit en liaison avec le cerveau. On a tendance à trop souvent l’oublier.
Enfin, on n’entre pas en apprentissage à 18 ou 20 ans. On y entre à 14 ans, âge auquel l’adolescent absorbe tout et surtout n’est pas encore trop pollué par toutes ces niaiseries audiovisuelles. L’apprentissage à 14 ans, a une autre vertu : il donne un but à l’adolescent et lui évite le vague à l’âme des paradis artificiels.
C’est sur de telles évidences que l’on devrait reconstruire notre système éducatif. Avant que le Coran ne soit obligatoire dans nos écoles.
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LES IMMIGRÉS QUI NE S’INTÈGRENT PAS NE FONT RIEN D’AUTRE QUE D’IMITER NOS « REBELLES »
COMBAZ
Le précepte selon lequel c’est au pays d’accueil d’adopter les codes de ses immigrants est en fait une adaptation des préceptes qui régissaient la vie sociale en 1970-80 : inventer ses codes, les imposer à autrui, faire fi des règles du monde dans lequel on vient d’entrer, c’est l’esprit rebelle si vanté aujourd’hui, qui nous revient sous la forme du migrant vindicatif qui n’apprend ni la langue ni la culture du pays d’accueil.
http://www.bvoltaire.fr/immigres-ne-sintegrent-ne-rien-dautre-dimiter-nos-rebelles/
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Marc Rousset : "L'indispensable retour aux valeurs héroïques pour sortir du crépuscule du devoir"
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L’Incorrect n°3 en kiosque ce jeudi
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Têtes à clash n°15 : sélection à l’université, Catalogne, les sugar daddies et Laurent Wauquiez