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divers - Page 160

  • Jacques Bompard, maire d’Orange. « Nous avons donné pour mission principale à la police municipale de veiller à la sécurité des Orangeois et de leurs biens »

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    Source Breiz-info cliquez ici

    Alors que l’insécurité est devenu un problème majeur dans les métropoles bretonnes – en particulier à Nantes – la question de la police municipale s’est imposée dans la campagne électorale pour les prochaines municipales. Sur ce sujet – et sur d’autres – nous avons recueilli l’avis de Jacques Bompard, maire d’Orange.

    Depuis 25 ans, Jacques Bompard, fondateur de la Ligue du Sud et ancien du Front national, est réélu à chaque élection maire d’Orange.

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  • Michou, l’anti-LGBT. Chapeau, l’artiste !

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    Il y a des personnages que l’on croit immortels parce qu’on les a toujours connus et qu’ils font partie du décor, un peu comme Line Renaud ou Giscard, dans un autre genre. Michel Catty, plus connu sous le surnom de , était de ceux-là.

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  • Débat sur la surpopulation : la point de vue de Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique

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    Jean-Pierre Maugendre

    Président de Renaissance catholique

    Alain de Benoist vient de publier, sur Boulevard Voltaire cliquez ici, une chronique apocalyptique intitulée : « Avec la surpopulation, c’est un monde invivable qui se dessine. » La thèse de fond est que « la population ne peut s’accroître indéfiniment sur une étendue limitée » et donc que « avec trois ou quatre milliards de bipèdes en moins (sur 7,7 milliards, note de JPM) le monde se porterait beaucoup mieux. » Notre auteur, faisant positivement référence à Thomas Malhus, auteur en 1798 de l’Essai sur le principe de population, accuse pêle-mêle la surpopulation d’être belligène, d’accélérer l’épuisement des ressources naturelles, de favoriser l’immigration, d’épuiser les sols, de participer au réchauffement de la planète, etc.

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  • L'homme blanc victime de l'idéologie du progrès (fin)

    SARCOPHAGES POUR BLANCS

    Observez le discours des Pygmées. La violence qui s'empare d'eux sitôt que l'on vient à mettre en doute le bien fondé de leur dieu-Progrès. Osez dénoncer la prodigieuse stupidité de leur automobile. 39.000 morts sur les routes d'Europe en 1999. Des centaines de milliers de paraplégiques qui font de ce temps une sorte de sublime apothéose de l'estropié au point qu'après un demi siècle sans guerre on soit fondé à créer des Jeux Olympiques pour non-valides. Des trains de semi-remorques transforment le cœur de l'Europe en un dépotoir toxique sur lequel plane d'irrespirables nuées empoisonnée Les balafres triomphantes semées à travers nos pays par l'éclair rugissant des TGV sont l'orgueilleuse réponse terrienne à l'insupportable essor du trafic aérien. Le dieu-Progrès se nourrit d'échanges, de mélanges, de vitesse, de bruits, de fumées. Il suppose ces barres affreuses qui ont remplacé sur les collines des villes les cathédrales d'antan verrues de béton que l'on appelle centres hospitaliers où palpite la nouvelle économie pourvoyeuse des hyper-marchés funéraires. Terrain d'expérimentation aussi où se déroulent les prémices des futures Olympiades du scanner. Chaque jour on bat des records de greffes. Et s'entredéchirent sur leurs starting-blocks les chirurgiens-héros des temps nouveaux. Osez montrer du doigt la mégapole en train de bétonner et de bitumer plaine après plaine, toute l'Europe ! C'est le plus grand défi auquel se sont consacrés les maniaques du Progrès.

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  • L'homme blanc victime de l'idéologie du progrès (1ère partie)

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    « Pygmées, montés sur les épaules des géants du passé, nous n'en sommes pas moins sur leurs épaules et nous pouvons voir plus loin qu'eux. » Les théoriciens de l'ère arrogante où nous avons sombré se sont emparés de cet apophtegme de John de Salisbury prononcé en des temps de grande modestie où il n'était qu'affirmation d'une volonté de voir de comprendre ou d'aller plus loin, Etymologiquement le progrès n'est que le fait d'avancer, d'aller vers l'avant. Le terme ne suggère aucun principe d'excellence ou de supériorité. J'avance sur mon chemin. C'est une déviance intellectuelle qui, dans un premier temps, introduit une considération hiérarchique, pose des degrés, définit des systèmes qui serviront de cadre à l'idéologie Progressiste totalitaire dans laquelle le monde occidental a peu à peu versé, (l'homme blanc fut victime de l'idéologie de progrès à partir de la Renaissance et de la Réforme).

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  • L’important « capital » royaliste, par Philippe Germain

    3081224843.jpgDepuis 1924 le duc de Guise était devenu dauphin suite au décès de Montpensier, frère de Philippe VIII. Considérant problématique la restauration de la monarchie, il s’est tout de même concentré sur l’éducation politique de son fils Henri, qu’il considère amené à succéder à son cousin Philippe VIII, sans postérité. Il est donc surpris en 1926 lorsque le duc d’Orléans meurt du choléra au retour d’un voyage. Longtemps simple cadet de la famille d’Orléans et non préparé a cette charge, Guise déclare pourtant assumer ses devoirs de chef de la Maison de France pour une prétendance qui va durer 14 ans. Jean III hérite alors d’un « capital » royaliste puissant car l’Action française de 1925 a atteint trois objectifs stratégiques fondamentaux

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