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  • La Petite Histoire : Le dernier samouraï était un Français !

    Dans le film « Le Dernier samouraï » sorti en 2003, on nous montre un américain incarné par Tom Cruise, qui combat auprès des derniers samouraïs japonais. Au-delà des qualités esthétiques du film, peu de gens savent que celui-ci s’inspire d’une histoire vraie et bien différente. En réalité, le « dernier samouraï » était un capitaine français, Jules Brunet, épris de tradition japonaise et d’honneur, qui a tout risqué pour défendre jusqu’au bout la cause du shogun.

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-le-dernier-samourai-etait-un-francais

  • Reconstruire un État fort qui se fasse respecter

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    Ligne Droite cliquez ici

    Devenu tentaculaire et omniprésent, incarné par une armée de fonctionnaires, l’État multiplie aujourd’hui les règlements, les taxes et les impôts. Mais il s’agit en réalité d’un État faible qui s’acharne sur les honnêtes citoyens alors qu’il est incapable de faire observer les lois de notre nation à ceux qui le défient. Aussi Ligne droite considère-t-elle comme indispensable de reconstruire un État fort, qui puisse reprendre le contrôle du territoire, se faire respecter par tous et qui, dans le même temps, soit capable de maîtriser les finances publiques et de réguler l’économie et le social.

    L’État, ennemi du Système

    L’État fort a en effet disparu en France car il est le grand ennemi des tenants de l’idéologie libérale libertaire qui, depuis la fin du XXe siècle, ont entrepris sa déconstruction méthodique.

    Les néo-libéraux ne voyant en lui qu’une menace contre les droits individuels pensent donc qu’un État faible qui réduit l’action publique à la mise en œuvre de l’état de droit et au respect des contrats, assurera mieux la liberté des personnes.

    Quant à l’oligarchie mondialiste, elle s’appuie sur cette idéologie pour réclamer la privatisation la plus large des fonctions étatiques et offrir ainsi, au prétexte d’une efficience supérieure, de nouveaux marchés aux grandes entreprises. Elle estime de surcroît que l’affaiblissement des États favorise l’émergence de la « gouvernance mondiale », qu’elle appelle de ses vœux.

    L’État illégitime, obèse et impuissant

    Ligne droite rejette cette idéologie pernicieuse qui n’a nullement amélioré la situation des Français, comme on le leur promettait. Au contraire, les libertés se sont réduites, l’insécurité et la violence ont explosé et les services publics fonctionnent moins bien qu’avant. L’État est devenu dès lors illégitime car à la fois tentaculaire et impuissant.

    L’État a en effet accentué son emprise sur les Français pour orienter leur façon de vivre, les soumettant par exemple au vivre ensemble ou leur indiquant comment ils doivent se comporter avec leurs enfants ou avec leur conjoint. Devenu une gigantesque bureaucratie en charge de la vie privée des citoyens, il ne cesse de réduire leurs libertés concrètes en multipliant les réglementations, les taxes et les impôts.

    Mais dans le même temps l’État n’assure plus correctement ses fonctions essentielles. Les services publics paupérisés se retirent des territoires et sacrifient leurs investissements. Les racailles n’ont plus peur de la police ni de la justice. Ce sont au contraire les forces de l’ordre, sous-équipées, qui n’osent plus s’aventurer dans les zones de non-droit. Quant aux frontières, elles sont devenues inexistantes pour le plus grand profit des passeurs et des trafiquants. 

    L’État n’est désormais fort que vis-à-vis de ceux qu’il devrait protéger, comme les Français des classes moyennes et populaires qu’il accable de règlements et de taxes. Mais à l’égard de ceux qu’il devrait contraindre, comme les voyous, les lobbies, les islamistes, les clandestins ou les puissances économiques ou financières, l’État se montre d’une grande faiblesse.

    Ligne droite dénonce cet abandon et préconise le retour d’un État fort et respecté.

    Restaurer la prééminence du pouvoir politique

    Pour ce faire, Ligne droite propose d’abord de renforcer le pouvoir politique et donc de restaurer la primauté de l’exécutif et la légitimité du législatif, conformément d’ailleurs aux principes de la Ve République. La durée du mandat présidentiel devra dans cet esprit être portée à sept ans afin de permettre au président d’agir dans la durée. Le gouvernement des juges sera démantelé et pour ce faire la suprématie des députés et sénateurs élus sur les juges nommés sera rétablie. Enfin, le système électoral sera revu pour que l’Assemblée soit de nouveau représentative de la réalité du peuple.

    Reprendre le contrôle du territoire

    Pour Ligne droite le retour à un État fort exige ensuite de restaurer la souveraineté politique de la France sur son territoire. Ce qui implique que l’État retrouve le contrôle de ses frontières, maîtrise l’immigration et reconquière les zones de non-droit. Autant d’exigences impératives sans lesquelles l’État continuera d’être bafoué et avec lui la France et les Français. Malgré les graves difficultés qui se présenteront, il est possible atteindre ces objectifs et Ligne droite a explicité par ailleurs les moyens d’y parvenir.

    Reconstruire des forces de sécurité qui imposent le respect

    Tout cela suppose cependant que les forces de l’ordre, les services de renseignement et les armées soient de nouveau prioritaires tant pour leurs équipements que pour le soutien qu’ils reçoivent du pouvoir. Tout doit être fait pour que les forces de sécurité reprennent pleinement confiance en elles-mêmes et inspirent le respect et la crainte chez les voyous. Un État fort est un État qui sait mater ceux qui le défient et ne tolère pas que certains s’exonèrent impunément des règles qu’il édicte. La remise à niveau organisationnelle et budgétaire de la police et de l’armée doit donc constituer une priorité, tout comme la réforme de la politique pénale qui doit permettre de neutraliser durablement les voyous, les groupes séditieux, les délinquants et les terroristes.

    Retrouver la maîtrise des finances publiques

    Le retour d’un État fort exige par ailleurs le rétablissement de l’équilibre des finances publiques. Un impératif pour rendre sa liberté de manœuvre à l’État et éviter qu’il se trouve soumis au chantage des institutions financières internationales ou de la Commission européenne.

    Pour réduire en conséquence les dépenses publiques, Ligne droite préconise une profonde réforme qui mette un terme au foisonnement des agences et services administratifs, qui réduise le millefeuille de l’organisation territoriale française, qui supprime les dépenses de transfert et les subventions aux associations dont l’utilité économique et sociale est douteuse. Si l’on ajoute à cela la préférence nationale dans l’accès aux prestations, il sera possible de retrouver des finances saines qui rendent son autorité à l’État.

    Assurer la régulation de l’économie et du social

    Un État fort doit aussi retrouver son rôle d’arbitre du bien commun en matière économique et sociale pour corriger les errements du marché ainsi que les initiatives intempestives qui ne seraient pas conformes à l’intérêt national.

    Mais il doit aussi être porteur d’une stratégie industrielle volontariste et s’affirmer à nouveau comme l’initiateur de projets d’envergure. Les grandes réalisations, notamment celles des années soixante – soixante-dix, dont s’enorgueillit à juste titre notre pays ne sont pas le fruit de l’initiative spontanée du marché, elles résultent de l’action publique qui a mis en mouvement l’initiative privée. Pour Ligne droite, un État fort doit retrouver au XXIesiècle l’esprit pionnier des grands administrateurs de jadis qui ont fait avancer la France en relevant de grands défis collectifs par la mobilisation du génie national.

    Il n’y aura pas de renouveau national et civilisationnel sans un État fort.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Europe, l’heure des frontières – 6e colloque de l’Institut Iliade le 6 avril à Paris

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    La révolte des Gilets Jaunes, qui dépasse les frontières hexagonales, atteste de la permanence d’un peuple réel, enraciné, attaché à ses libertés concrètes et à sa légitime dignité. Loin du « grand débat national » imposé par l’Élysée et ses communicants, ce sont les élections européennes du 26 mai 2019 qui auront valeur de référendum, pour affirmer le droit des peuples européens à l’identité, la liberté et la sécurité.

    Cette échéance doit être l’occasion de revenir à l’essentiel, ce besoin de frontières qui ne se réduit pas à un désir de protection, de régulation : comme l’avait bien vu Dominique Venner dans sa dernière lettre du 21 mai 2013, seule une « rupture avec la métaphysique de l’illimité » est à même d’assurer notre future renaissance.

    C’est à cet impératif que s’attachera le colloque annuel de l’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne, organisé samedi 6 avril 2019 à partir de 10h à la Maison de la Chimie, 28 Rue Saint Dominique, 75007 Paris.

    Accès à la billetterie en ligne : https://institut-iliade.com/2019-europe-lheure-des-frontieres/

    https://fr.novopress.info/214054/europe-lheure-des-frontieres-6e-colloque-de-linstitut-iliade-le-6-avril-a-paris/

  • JEUDI 28 MARS, THOMAS WHYTE, INITIATEUR DU "RUCHER PATRIOTE", INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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    LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI

  • La retraite, la réforme et le dogme

    6a00d8341c715453ef0240a49847c5200b-320wi.jpgOn fait semblant de débattre, ces temps-ci, dans les moyens de désinformations et les usines à décerveler, de l'avenir de l'assurance vieillesse.

    Haut-commissaire en charge de la réforme des retraites, le chiraquien Jean-Paul Delevoye a encore claironné, dans le cadre d'un entretien au Journal du dimanche publié ce 24 mars, que l’âge minimum de départ restera à 62 ans. "Une certitude", à l'en croire.

    Cette affirmation vient après une valse d'hésitation gouvernementale de quelques jours. Le doute, qu'il s'agissait de lever, avait été provoqué par les déclarations d'Agnès Buzyn en date du 17 mars. La ministre des solidarités et de la santé, en effet, osait alors envisager de "proposer un allongement de la durée de travail." Tollé.

    Elle basait pourtant son propos sur une évidence démographique : l'allongement de l'espérance de vie et le vieillissement de la population française.

    Dans le système de répartition monopoliste obligatoire, auquel nos technocrates et nos maîtres n'envisagent pas de toucher, on voit mal en effet comment maintenir le montant actuel des pensions sans reporter à 65, peut-être bientôt à 67 ans, l'âge moyen de la retraite, y compris pour les fonctionnaires, ceci "sans préjudice" comme aiment à écrire les enfumeurs, de la question du calcul des pensions et de leur alignement promis en 2017.

    Puis, notre imprudente Pandore, après avoir ouvert sa boîte, s'était rétractée.

    Autrement dit, on nous assure à nouveau que rien ne changera. On ne nous propose pas, dans cette affaire, d'acheter un diesel d'occasion : on nous l'impose, et au prix du neuf.

    Au moins, avec l'omnicompétent personnage, lui-même multiretraité, choisi pour piloter l'évolution de la branche vieillesse, on peut présumer d'une chose : la réforme des droits à pension, annoncée à grand fracas lors de la campagne présidentielle de 2017, ne pourra pas aller bien loin et elle ne résoudra pas grand-chose.

    Tout au plus servira-t-elle à gratter un peu plus de cotisations, au profit, nous dira-t-on encore une fois, des plus démunis, et au détriment, en fait, des classes moyennes supérieures et autres heureux contribuables.

    Le régime de la répartition continuera, de la sorte, à se paupériser. Cette canalisation crevée persistera, au nom du Dogme, à assécher les capacités d'investissement de l'épargne française. Et on s'obstinera à écarter tout débat sur le sujet, et à faire le silence sur les inconvénients de ce système, en se barricadant derrière son caractère obligatoire. On empêchera même les Français de prendre connaissance des voies par lesquelles des pays aussi différents que la Suède, la Nouvelle-Zélande ou le Chili en sont sortis.

    Pourtant cette répartition n'a pas été dictée à Mahomet par l'archange Gabriel. Se substituant aux principes anciens de protections corporatives venues du fond des âges, et aux capacités de l'épargne personnelle et familiale, la retraite conçue sur une échelle nationale, a été inaugurée, certes au départ avec succès en 1889 dans l'Allemagne de Bismarck[1]. Elle n'a été imposée en France qu'à partir de la charte du travail de 1941.

    Ce qu'on appelle la répartition est ainsi apparu à cette date, dans un contexte évidemment exceptionnel et dramatique.

    Il s'agissait alors, dans l'esprit de René Belin, auparavant dirigeant de la CGT[2], nommé ministre du Travail[3] dans le gouvernement Laval de juillet 1940, de protéger les ouvriers français. À l'arrivée des libérateurs [anglo-américains] du territoire, les gouvernements successifs De Gaulle, Gouin, Bidault, etc. ne remirent pas en cause le siphonnage des assurances sociales privées qu'avaient réalisé leurs prédécesseurs. Aux expressions de charte du travail et de corporation [pouah], ils substituèrent à partir d'une ordonnance propposée par Alexandre Parodi en octobre 1945, les appellations [sympa] de sécurité sociale et de paritarisme, pour désigner les mêmes institutions.

    Et, dès les tentatives d'application de la loi Croizat de 1946, la généralisation de la Sécu s'est heurtée à des obstacles insurmontables.

    Rappelons enfin, par conséquent, que jamais, ni le peuple français de manière directe, ni ses représentants, n'ont débattu, même de façon formelle, de l'institution et du dogme de ce qu'on appelle retraite par répartition.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] La préoccupation du chancelier "de fer", unificateur de l'Allemagne, lorsqu'il fait voter ses lois sociales par le Reichstag, relevait d'une double volonté : celle d'arracher la classe ouvrière au marxisme, alors en pleine ascension, [le Programme fondateur du parti social-démocrate allemand date de 1875, auquel Marx se rallie malgré sa fameuse Critique du programme de Gothaet ses élus parlementaires sont plus nombreux que ceux des socialistes français] : et celle de mettre en place sa propre conception, à la fois chevaleresque et piétiste, de la société.
    <[2] Rappelons que les syndicats, tant ouvriers que patronaux, furent dissout en 1940. La CGT n'est passé sous le contrôle des communistes qu'à la faveur de la clandestinité.
    [3] Le fameux Larroque, présenté aujourd'hui comme une sorte de saint du paradis, comme "le père" de la sécurité sociale "en 1945", alors qu'il avait commencé son œuvre cen tant que membre du cabinet de Belin, n'a jamais été élu nulle part.

    https://www.insolent.fr/

  • Bernard Lugan propose des cours vidéos : Histoire et vérités sur l’Afrique

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    Bernard Lugan propose désormais des cours vidéos, illustrés de nombreuses cartes animées et destinés à comprendre l’Afrique, à travers son histoire, sa géographie et ses peuples.

    Le premier cours s’intéresse à la thématique suivante : “Afrique du sud, autopsie d’un naufrage“.

    Voici un descriptif :

    Vingt-cinq ans après la fin de l’apartheid où en est l’Afrique du Sud ? Loin de la vision idyllique présentée par les médias, la réalité sud-africaine est tragique. Le pays cesse en effet peu à peu d’être une excroissance de l’Europe à l’extrémité australe du continent africain pour devenir un Etat du « tiers-monde » avec certes quelques secteurs encore ultraperformants, mais de plus en plus réduits, surnageant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violence.
    Pour comprendre le lent naufrage de ce pays constitué de l’assemblage artificiel de plusieurs peuples antagonistes réunis par le colonisateur britannique, Bernard Lugan propose un cours de 2h retraçant la longue histoire sud-africaine, illustré de nombreuses cartes animées.

    Pour s’inscrire : https://lescours-bernardlugan.teachable.com

  • Essai de définition du Fascisme

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    Bernard Plouvier

    Le but de toute société bien ordonnée sera toujours et en tout pays de faire accepter par la majorité des citoyens honnêtes et travailleurs une conception du monde qui renforce la cohésion de la Nation et la stabilité de l’État. Ce pourrait être la définition idéale du populisme, dont le fascisme fut une version adaptée à l’immédiat après-guerre - celle de 1914-18, la « Grande » - et d’ambiance « italianissime » - un superlatif souvent utilisé par Benito Mussolini, le créateur de l’État fasciste.

    Les caciques du Komintern, de l’Internationale Syndicale Rouge (l’ISR) et des Partis communistes locaux ont tous défini le fascisme comme étant « le système de domination de la classe bourgeoise et sa dictature » : le clown bulgare Georgi Dimitrov, le Français Maurice Thorez ou l’Italien Palmiro Togliatti ont multiplié les discours et les articles sur ce thème depuis 1922 et les dinosaures universitaires marxiste, fossilisés dans leur bêtise dogmatique, continuent de le faire.

    En revanche, il est exact d’affirmer que le fascisme - en réalité : le populisme, mais Dimitrov, phraseur peu doué au plan de la réflexion théorique, n’usait jamais de ce mot - « est l’ennemi mortel du prolétariat », comme il l’a affirmé lors du Congrès de l’ISR, au printemps de 1928. En effet, le populisme en action, c’est la lutte contre l’esprit prolétarien, c’est-à-dire le combat pour élever le niveau économique et culturel des travailleurs, même de ceux qui sont les plus incultes initialement, le populisme c’est aussi la lutte contre l’alcoolisme (encouragé en URSS), contre la prostitution et l’amour libre, contre l’inceste et les violences conjugales, la promotion de la condition de mère de famille.

    Le fascisme n’est pas seulement un mouvement anticapitaliste et antiparlementaire ainsi qu’un socialisme non collectiviste. C’est aussi une application de ce Futurisme, dont la Grande Guerre assura la première prestation. Si le mot préexistait au Manifeste de 1909, son auteur, Filippo Marinetti eut le mérite d’assimiler le Modernisme à une énergie, un peu brouillonne, visant à détruire le conformisme bourgeois, dans son art, ses préoccupations économiques et son parlementarisme insipide et corrupteur.

    Le phraseur communiste Antonio Gramsci, fils d’escroc, aigri par son nanisme et sa tuberculose chronique, n’a voulu voir, dans le Futurisme, qu’un mouvement d’idées conçues pour bousculer la digestion des bourgeois. En réalité, cet éloge de la technologie moderne, cette griserie de la puissance et de la vitesse, cet ardent désir de participer à la destruction d’un monde sclérosé par l’argent et les conventions sociales, ont abouti à un essai, transformé grâce à la Grande Guerre, de destruction de la société, suivi d’une reconstruction peut-être maladroite et brouillonne, mais assez efficace : le fascisme.

    La définition qu’en a donnée Pierre Drieu la Rochelle en 1937 n'est pas éloignée de la vérité : « Le fascisme c'est vivre plus vite et plus fort », ce qui est peut-être un peu léger pour révolutionner un pays. En 1941, Drieu vante les mérites de l’homme dur, forgé par la guerre, est l’être « qui rêve de donner au monde une discipline physique... un homme qui ne croit pas aux doctrines. Un homme qui ne croit que dans les actes et qui enchaîne ses actes selon un rythme très sommaire ». Le refus des doctrines permet de comprendre pourquoi Drieu ne fut jamais un national-socialiste. Mais il s’illusionnait beaucoup s’il croyait aux vertus guerrières du fasciste.

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