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  • L’acteur de confession juive Gérard Darmon se désole qu’on ne parle plus des revendications des Gilets Jaunes mais d’antisémitisme et traite Dubosc de «bouffon» pour les avoir lâchés

    L’acteur de confession juive Gérard Darmon se désole qu’on ne parle plus aujourd’hui des revendications des Gilets Jaunes mais d’antisémitisme, et traite l’humoriste Franck Dubosc de «bouffon» pour avoir soutenu les Gilets Jaunes et les avoir lâchés 2 jours après.
    – RMC, 19 février 2019, 11h15

    http://www.fdesouche.com/1162193-lacteur-de-confession-juive-gerard-darmon-se-desole-quon-ne-parle-plus-des-revendications-des-gilets-jaunes-mais-dantisemitisme-et-traite-dubosc-de-bouffon-pour-les-avoir-laches
  • Face à une «énorme censure» sur Facebook, des Gilets jaunes optent pour son analogue russe

    Fuyant la «censure» de Facebook, les Gilets jaunes «déménagent» peu à peu sur le réseau social russe VKontakte. Sputnik s’est entretenu avec l’animateur de l’un de leurs groupes pour élucider ce phénomène.

    Depuis peu sur VKontakte (VK), des groupes de Gilets jaunes comptent chacun sur le réseau social russe plus d’un millier d’adhérents. Le plus nombreux d’entre eux, qui s’appelle Info blocage Gilets jaunes, a déjà franchi le seuil des 2.500 membres. Tout comme sur Facebook, ces pages contiennent des informations sur les blocages, ainsi que des vidéos et des images réalisées lors des manifestations dans les villes françaises. La majorité des publications sont en français.

    Ayant découvert ce phénomène, Sputnik a sollicité l’animateur de l’un de ces groupes afin de lui demander pourquoi de plus en plus de Gilets jaunes se mobilisent sur VK. Préférant garder son anonymat, il explique que c’est à cause d’une «énorme censure» sur Facebook que de nombreux manifestants préfèrent son alternative russe.

    «Facebook a servi de vecteur au début du mouvement et beaucoup de Gilets jaunes y sont encore. Mais une énorme censure existe dès que l’on va de groupe en groupe pour se rassembler», précise-t-il.

    Il raconte avoir personnellement fait face à une «grosse censure». Privé à plusieurs reprises de l’accès aux groupes Facebook pour des périodes de plusieurs jours, il a finalement été complètement banni sous prétexte que le «robot détecte anomalies».

    «J’ai encore ouvert un autre compte, toujours sur Facebook […] et j’ai recréé un groupe, j’avais plus de 1.500 contacts et de nouveau des censures à répétition, des images supprimées sans aucune raison, jamais d’insulte et finalement compte accès bloqué sauf si je peux reconnaitre [un certain nombre, ndlr] d’amis alors qu’il ne s’agit que de contacts», s’indigne-t-il.

    Il a alors décidé de créer un groupe sur VK, plateforme qu’il qualifie d’«espace de liberté», afin de «s’organiser».

    «Je travaille à essayer de participer à l’organisation au niveau national en proposant un organigramme du mouvement avec sections de base jusqu’à la direction nationale», ajoute-t-il.

    Interrogé sur les allégations du gouvernement français qui accuse les médias russes, dont Sputnik, d’ingérence dans les affaires intérieures françaises, ce Gilet jaune indique que ces déclarations sont «sans fondement».

    «Le gouvernement est tellement aux abois qu’il accuserait mon chien d’encourager les Gilets jaunes. Oui, ils peuvent raconter sans fondement que la Russie est derrière, mais on sait bien que non, bien sûr», affirme-t-il.

    Il a aussi rappelé qu’en mai dernier Emmanuel Macron avait rencontré Mark Zuckerberg. Selon l’interlocuteur de Sputnik, il est «vraisemblable» qu’un certain «accord a été conclu entre eux».
    Il est à rappeler que quelques mois après cette rencontre, le Président français a annoncé un partenariat à venir entre le gouvernement et Facebook. Le réseau social a consenti d’ouvrir ses portes à «quatre à cinq experts» nommés par le gouvernement français afin de leur montrer comment se faisait le travail de modération.

    Contacté par BFM TV, Facebook a assuré n’avoir «reçu aucune demande de la part du gouvernement français pour supprimer des contenus liés aux manifestations» des Gilets jaunes.

    Néanmoins, de nombreux Gilets jaunes accusent la plateforme fondée par Mark Zuckerberg d’agir en leur défaveur. Par exemple, à la suite des modifications mises en place par Facebook à la mi-janvier, le «compteur officiel de Gilets jaunes» a perdu près d’un million de membres, passant de 2,8 millions à 1,8 million en quelques jours.

    Facebook exclut désormais des groupes toute personne ayant été ajoutée par un de leurs contacts, mais n’y ayant jamais participé. Un autre changement concerne la possibilité d’ajouter des membres dans un groupe Facebook. Auparavant, il était possible d’ajouter à un groupe des utilisateurs de Facebook sans leur autorisation. Désormais, ils figurent dans la partie «Invités» jusqu’à ce qu’ils acceptent l’invitation qui n’est valable que pendant vingt-huit jours.

    Source : Sputnik France

    http://www.pressemag.fr/2019/02/13/patriote-info-face-a-une-enorme-censure-sur-facebook-des-gilets-jaunes-optent-pour-son-analogue-russe/

  • Gilets Jaunes, un acte XVI pour se relancer ? – Journal du vendredi 1er mars 2019

     
    Société / Gilets Jaunes, un acte XVI pour se relancer ?

    Alors que le grand débat d’Emmanuel Macron se termine dans deux semaines, les Gilets Jaunes, redynamisés par l’acte XV, entendent maintenir la pression sur l’exécutif. Moins médiatisés mais toujours présents, les mécontents s’inscrivent résolument dans la durée.

    Politique / Européennes : coup de jeune ou coup de com ?

    Dans trois mois les électeurs français et européens seront appelés aux urnes pour élire leurs députés européens… en France le scrutin fait la part belle à une nouvelle génération en tête d’affiche, entre renouvellement du personnel politique et coup de com’ politique.

    Santé / Glyphosate, l’arbre qui cache la forêt

    Alors que les alertes sanitaires et les plaintes se multiplient contre le glyphosate, le produit de Monsanto est devenu le symbole de la lutte contre les herbicides. Malgré son risque pour la santé, le glyphosate pourrait être l’une des solutions les moins dangereuses.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/societe-gilets-jaunes-un-acte-xvi-pour-se-relancer-journal-du-vendredi-3-mars-2019

  • Où Alain de Benoist expose avec une grande clarté sa critique du libéralisme ... Qui est aussi la nôtre

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    Une société en train de retrouver le sens du bien-commun ?

    Cette vidéo a été mise en ligne sur Sputnik le 15 février. Alain de Benoist y présente le livre qu'il vient de publier, Contre le libéralisme. Un ouvrage important dont nous aurons à reparler. Interrogé par Edouard Chanot, il analyse ensuite cette idéologie confrontée à une actualité qui la remet largement en cause. Son analyse critique d'une grande clarté est la nôtre. Ecoute vivement conseillée !  LFAR 

     15'28"

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/03/01/video-ou-alain-de-benoist-expose-avec-une-grande-clarte-sa-6132466.html

  • Samedi 6 avril 20 h : 3e DINER ANNUEL DE SYNTHÈSE NATIONALE AVEC COMME INVITÉ MARTIAL BILD, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE TV LIBERTÉS

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    LA VÉRITÉ N’EST PAS NÉGOCIABLE...

    Pour la troisième année consécutive, les Amis franciliens de Synthèse nationale, présidés par Hugues Bouchu, organisent leur dîner annuel en ce début de printemps. Après Massimo Magliaro, pour les 70 ans du MSI en 2017, et Jean-Marie Le Pen l’an dernier à l’occasion de la sortie du premier tome de ses mémoires, nous aurons le plaisir de recevoir le samedi 6 avril prochain Martial Bild, Directeur général de TV Libertés.

    En effet, cinq ans après le lancement de cette magnifique arme de combat qu’est TVL, il nous a semblé intéressant de donner la parole à son directeur. Ce media était inimaginable il y a encore peu de temps. Il incarne désormais, sur le plan télévisuel, la résistance quotidienne aux tenants de la pensée dominante. Preuve en est : depuis le début du soulèvement populaire des « Gilets jaunes », TV Libertés donne une toute autre interprétation que celle de la presse stipendiée aux ordres du Système. Pour TVL, comme pour nous, au moment où Macron veut nous imposer encore plus de lois liberticides, la vérité n’est pas négociable...

    D’ailleurs, dans cet esprit, depuis deux ans, un partenariat entre Synthèse nationale et TV Libertés a donné naissance à l’émission politique et culturelle hebdomadaire « Synthèse » sur Radio Libertés (la web-radio liée à TVL). La 100émission vient d’être diffusée fin février.

    Les dîners annuels des Amis franciliens de Synthèse nationale sont devenus le pendant printanier de nos Journées nationales et identitaires du mois d’octobre. Elles sont l’occasion pour nos lecteurs et amis de se retrouver, de s’informer et de soutenir la cause qui leur est chère.

    Pour nous, elles sont aussi un véritable encouragement à continuer et intensifier notre combat. Voilà pourquoi nous vous donnons rendez-vous nombreux, le samedi 6 avril à 20 heures, à ce troisième dîner annuel des Amis franciliens de Synthèse nationale*.  

    Roland Hélie,

    Directeur de Synthèse nationale

    * ce dîner est ouvert aux Amis franciliens et d’ailleurs bien entendu...

    RETENEZ DÈS MAINTENANT

    VOTRE PLACE CLIQUEZ ICI

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/03/01/samedi-6-avril-20-h-3e-diner-annuel-de-synthese-nationale-av-6132478.html

  • GILETS JAUNES : LE MOUVEMENT QUI A CHANGE LA DONNE

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    Lu sur Métainfos cliquez ici :

    Fini de tergiverser, il faut saboter les réformes en cours, préparer la chute totale du Système libéral, viser l’instauration d’un nouvel Etat national et identitaire, se préparer aussi physiquement et mentalement à affronter les « ennemis » et les « renégats ». C’est la priorité absolue si on ne veut pas voir notre pays broyé par la volonté des tenants du pouvoir d’imposer leur monde globalisé. Pour faire prendre conscience de tout cela à notre peuple, et en particulier aux Gilets jaunes qui incarnent actuellement sa volonté de résister, Synthèse nationale vient de publier un numéro hors-série. Nous ne pouvons que vous inviter à vous en procurer des exemplaires et à les diffuser autour de vous.

    Synthèse nationale (Hors-série n°6, 120 pages,  l’exemplaire : 15 € (+ 5 € de port). Par 5 : 50 € (port offert), par 10 : 80 € (port offert)

    Dans ce numéro exceptionnel, vous retrouverez des articles de Emmanuel Albach, Serge Ayoub, Franck Buleux, Charles-Henri d’Elloy, Alain Escada, Georges Feltin-Tracol, Roland Hélie, Pieter Kerstens, Aristide Leucate, Olivier Pichon, Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, Jean-Claude Rolinat, Vincent Vauclin, de nombreux Gilets jaunes et de bien d’autres encore…

    Le commander en ligne : cliquez là

    Bulletin de commande : cliquez ici 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les idées à l’endroit n°22 : René Guénon et la Tradition primordiale

    Le métaphysicien René Guénon (1886-1951) est à la fois un auteur célèbre, dont la critique du monde moderne a exercé une influence considérable sur nombre de ses contemporains, et un grand méconnu qu’il était temps de mieux connaître. Quelle place faut-il lui attribuer dans l’histoire des idées ? Quatre spécialistes de sa vie et de son œuvre, Jean-Pierre Laurant, Xavier Accart, David Bisson et Pierre-Marie Sigaud répondent aux questions d’Alain de Benoist.

    https://www.tvlibertes.com/les-idees-a-lendroit-n22-rene-guenon-et-la-tradition-primordiale

  • Les promesses de l'étatisme

    6a00d8341c715453ef022ad3e53dfe200b-320wi.jpgUne réforme étatiste de l'assurance chômage a été annoncée ce 26 février par le Premier ministre, flanqué de Muriel Pénicaud. Ses modalités inquiètent déjà une partie non négligeable de l'électorat cible de l'actuelle majorité.

    Cette démarche mérite sans doute une réflexion plus radicale.

    Elle éclaire d'abord, en effet, un des vices fondamentaux de notre système d'élection présidentielle depuis la réforme de l'article 7 en 1962.

    Un peu d'histoire permet de mieux comprendre la question et la situation. Rappelons à cet égard que l'équilibre constitutionnel initial, prévu en 1958, supposait que le chef de l'État fût élu au suffrage indirect, par un collège de grands électeurs ressemblant à celui du Sénat. On ne passa au régime plébiscitaire actuel que pour des raisons circonstancielles, et au prix d'un référendum douloureux. De Gaulle imaginait alors de recourir à l'idée proclamée depuis son discours de Bayeux de 1947, revendiquant l'adossement de l'État à ce qu'il appelait le peuple dans ses profondeurs.

    Or, dès la première application, en décembre 1965, du nouveau mode d'élection, au suffrage universel direct, l'illusion se dissipa.

    Le fondateur de la cinquième république lui-même, très déçu, et même ulcéré, d'avoir été mis en ballottage, changea d'orientation sur des questions essentielles : "j'irai, déclara-t-il dès 1966, après un second tour qui avait pourtant polarisé un affrontement, alors inédit, entre droite et gauche, plus loin que leur front populaire".

    Depuis un demi-siècle, nous subissons de la sorte un détournement de légitimité.

    Au gré des campagnes électorales, les candidats énoncent des programmes. Ceux-ci outrepassent à la fois les choix de l'opinion et les prérogatives constitutionnelles de la présidence qu'ils ambitionnent de conquérir.

    Tel détail inaperçu de leur plateforme est alors invoqué après coup. On le présente comme une promesse : ainsi de l'affaire de l'assurance chômage.

    En 2017, l'actuel chef de l'État fut élu en grande partie par défaut, et sur une image de réformateur, plutôt libéral, destiné à nous prémunir des extrêmes. Mais son programme officiel prévoyait, ou plutôt ouvrait la voie à des choses bien différentes.

    Personne n'y prêtait attention mais il disait, parmi tant d'autres choses : "Parce que tous seront désormais couverts quel que soit leur statut, l'État prendra en charge le pilotage du système d'assurance-chômage. Il y associera l'ensemble des parties prenantes, et en particulier les partenaires sociaux".

    Combien de Français ont voté pour cette proposition ?

    Combien même l'ont lue ?

    Les conséquences de cette orientation se révéleront assurément comparables à celle du plan Juppé et des ordonnances signées Barrot de 1995-1996, sur une taille plus réduite, certes, mais assurément aussi funestes.

    Dès maintenant, on s'apprête à réduire les garanties accordées aux cadres, sans envisager de diminuer leur contribution.

    Avec quelque 31 % des cotisations, les cadres ne reçoivent que 15 % des prestations de l'UNEDIC. Ce dernier pourcentage semble encore trop élevé pour les doctrinaires de la répartition et pour les techniciens de la redistribution.

    La pratique de l'étatisme tournera ainsi de plus en plus le dos aux principes de l'assurance.

    Cessons par conséquent de prendre au sérieux les prétendues promesses électorales factices. N'hésitons pas d'en dénoncer même le caractère inconstitutionnel. En droit comme en fait, elles n'engagent personne.

    Dans cette affaire, notre technocratie régnante dévoile une intention ultime, au mépris du droit, de marche vers le collectivisme. L'urgence impose la réduction du périmètre de l'étatisme : la nationalisation annoncée de ce qu'on appelle toujours l'assurance chômage tend au contraire à l'élargir encore.

    Erreur fatale.

    JG Malliarakis

    https://www.insolent.fr/