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divers - Page 261

  • Arnaud Beltrame, gendarme de France

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    Communiqué de TV Libertés :

    La personnalité d'Arnaud Beltrame, fruit de siècles d'une haute civilisation, est devenue un exemple pour les jeunes générations françaises.

    TV Libertés revient sur la vie de ce héros en uniforme dans un entretien avec Christophe Carichon auteur d'un livre passionnant sur cette belle figure de militaire français.

    Le 23 mars 2018, après avoir offert de remplacer un otage lors de l'attentat de Trèbes (Aude), le lieutenant-colonel de gendarmerie Arnaud Beltrame (44 ans) est blessé grièvement dans des circonstances dramatiques par un islamiste se revendiquant de DAESH. Décédé le lendemain à l'hôpital, l'annonce de sa mort bouleverse le pays tout entier et un hommage national lui est rendu quelques jours plus tard. En France et à l'étranger, les hommages se multiplient pour célébrer un « héros » du temps présent.

    Élaboré après de mois d'enquête de terrain, des entretiens avec ses amis, le témoignage de ses proches et surtout de sa famille, de ceux qu'il a eus sous son commandement ou qui l'ont dirigés, de nombreux responsables de la gendarmerie, de ceux qui ont suivi son évolution intérieure, ce livre permet non seulement de faire partager la vie d'un homme d'exception à la riche carrière militaire et aux engagements variés mais également de présenter, à travers le parcours d'Arnaud Beltrame, ce qui fait l'identité et les valeurs de l'officier de gendarmerie aujourd'hui.

    Christophe Carichon est historien et chercheur associé au Centre de recherche bretonne et celtique (université de Brest). Auteur d'une centaine d'articles et de plusieurs ouvrages couronnées par des prix littéraires, il est ancien auditeur de l'Institut des hautes études de la défense nationale et officier de la réserve opérationnelle dans l'armée de terre.

     

  • Facebook préférerait-il que Causeur ne parle pas de Zemmour?

    Ces derniers jours, Facebook a refusé à Causeur deux contenus « sponsorisés » sans la moindre explication. Les publications concernées parlaient de Zemmour et de l’islamisme.

    Quand Causeur veut partager ce qu’il a de meilleur, il fait comme tout le monde : la promo de ses articles sur Facebook. Ses « followers » sont alors informés qu’un nouveau texte vient d’être publié et sont libres de le « liker », de le partager ou mieux, de le consulter.

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  • Venez retrouver le journal "Présent" et ses journalistes sur leur stand dimanche prochain à la 12e Journée de Synthèse nationale à Rungis

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • LES BRIGANDES VOUS RECEVRONT SUR LEUR STAND À LA 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS DIMANCHE 14 OCTOBRE

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    EN SAVOIR PLUS CLIQUEZ ICI

    PRENEZ DÈS MAINTENANT

    VOTRE BILLET CLIQUEZ LÀ

    UN COMMUNIQUÉ DES BRIGANDES :
     Nous avions commencé à annoncer un concert des Brigandes pour la journée annuelle de Synthèse Nationale du 14 octobre à Rungis. Malheureusement, en raison d’un état de santé particulier de notre chanteuse principale, nous ne pourrons pas nous produire à cet événement.

    Cependant, un stand représentant les Brigandes sera présent, auquel cas il sera possible de nous y rencontrer.
    Quoi qu’il en soit, nous vous enjoignons à soutenir cette journée de votre présence.
    Source cliquez ici
    Vous pouvez dès maintenant commander le nouvel album CD des Brigandes cliquez ici
     
     
  • Vive L'Europe Teddyboy RSA nous parle de son œuvre YouTube - Daniel Conversano, septembre 2018

  • Vincent Lapierre à la rencontre du public de Zemmour

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    Vincent Lapierre s’est rendu à la “Nouvelle Librairie” lors de la séance de dédicace d’Eric Zemmour. Moment drôle quand le libraire refuse de répondre aux questions de l’équipe du Quotidien de Yann Barthes et fait passer Vincent Lapierre devant leur nez.

  • Zoom – Jean-Christophe Buisson : “Les grands vaincus de l’histoire”

  • La nécessité de rendre du pouvoir au pouvoir

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    Ligne Droite cliquez ici

    Si la droite nouvelle arrivait aujourd’hui au pouvoir, elle n’aurait pas le pouvoir de mettre en œuvre son projet. Pour Ligne droite, sa première priorité devrait donc être de reconquérir le pouvoir, c’est-à-dire de retrouver une capacité d’agir que les présidents et les gouvernements qui se sont succédé ont progressivement perdue au profit de Bruxelles, des juges et des médias.

    La crise du politique : les politiques impuissants

    Là réside d’ailleurs l’origine de la crise du politique. Celle-ci en effet ne s’explique pas par les affaires de corruption qui éclaboussent régulièrement certains hommes publics. Elle ne vient pas non plus des privilèges dont ils bénéficieraient et qui les couperaient de la vraie vie. Et elle ne trouve pas non plus sa cause dans la prétendue non représentativité du monde politique qui comporterait trop peu de femmes, trop de fonctionnaires et insuffisamment de jeunes. La cause profonde se situe en effet ailleurs : elle tient au fait que les politiques, même au plus haut niveau, sont dorénavant dépourvus de vrai pouvoir. En tout cas, ils n’ont plus une réelle capacité de changer le réel et de résoudre les problèmes du pays par de profondes réformes.

    D’ailleurs, les équipes se succèdent sans que rien ne change vraiment, au point que les Français éprouvent de plus en plus le sentiment que les élections ne servent à rien puisqu’après chaque vote tout continue peu ou prou comme avant. La vraie cause de la crise c’est donc bien l’impuissance du pouvoir et cette tare est pour un homme politique la pire qui soit, car la qualité première qui est demandée à un responsable public ce n’est ni la probité, ni l’empathie, ni le charisme médiatique, c’est la puissance, c’est-à-dire la force pour agir.

    Les politiques soumis aux juges, à Bruxelles et aux médias

    Depuis des décennies, les hommes au pouvoir se sont laissé déposséder d’une très large part de leurs prérogatives. Il y a d’abord eu la manie de confier ce qui dépendait autrefois de la décision d’un ministre à des commissions, hautes autorités et autres comités libérés de la tutelle politique et prétendument indépendants. Mais, surtout, c’est le pouvoir des juges qui a considérablement progressé aux dépens du pouvoir exécutif et législatif, au point que le Parlement se trouve désormais placé sous la tutelle du Conseil constitutionnel. Aucune loi ne peut en effet entrer en application sans que ce dernier l’ait approuvée et il ne l’approuve que si elle est conforme à la pensée unique. De même, dans l’exercice quotidien du pouvoir, le gouvernement se heurte maintenant régulièrement au Conseil d’État, à la Cour de cassation, voire à des juridictions de rang inférieur qui entravent fréquemment son action.

    À cela s’ajoutent les pouvoirs exorbitants des médias, qui disent ce qui est bien et ce qui ne l’est pas, n’hésitant pas à organiser des cabales contre les hommes publics qui sortent du cadre politiquement correct défini par eux. Et, pour couronner le tout, il y a la Commission de Bruxelles qui étend au maximum ses prérogatives, multipliant règlements et directives qui s’imposent aux États et limitent encore davantage le pouvoir des responsables politiques.

    Rétablir la prééminence du pouvoir politique

    Afin de permettre aux gouvernants de gouverner, Ligne droite estime donc nécessaire de rétablir la prééminence du pouvoir politique. Pour cela, il faut mettre un terme au gouvernement des juges et prévoir notamment un droit de recours des décisions du Conseil constitutionnel ainsi qu’un ensemble de dispositions propres à remettre à leur place les différentes juridictions aujourd’hui trop envahissantes (voir les textes sur ce sujet). Face à la Commission de Bruxelles, il importe notamment de rétablir la supériorité du droit français sur le droit européen avant de refonder l’Europe sur de nouvelles bases respectant mieux les prérogatives quotidiennes des États. Enfin, il faut desserrer le carcan du pouvoir médiatique. À cet égard, le gouvernement dirigé par la droite nouvelle devrait se doter d’une puissante agence de communication ainsi que d’une chaîne de télévision afin que son action ne soit plus présentée exclusivement à travers le filtre de médias a priori hostiles.

    Arrivant aux responsabilités, les chefs de la droite nouvelle devraient se donner comme priorité de rétablir les prérogatives souveraines du pouvoir sans lesquelles ils n’auraient pas la capacité d’agir pour le bien commun.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/