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"Interdit d'interdire : montée des nationalismes" avec François Bousquet
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JeanClaude Rolinat présente son livre "La bombe africaine et ses fragmentations" (Dualpha)
Entretien avec Jean-Claude Rolinat, auteur de La Bombe africaine et ses fragmentations, préfacé par Alain Sanders (éditions Dualpha), publié sur le site de la réinformation européenne EuroLibertés (propos recueillis par Fabrice Dutilleul).
L’Afrique, une bombe ? Vraiment ?
Nous sommes face à une menace mortelle qui n’a jamais eu d’équivalent ; rien à voir avec les « grandes invasions » post-Empire romain de nos manuels scolaires ! C’est une épée de Damoclès qui plane sur nos têtes. Les premiers coups sont ces vagues d’immigrants qui, sans cesse, labourent les plages d’Europe, du détroit de Gibraltar aux archipels grecs. Des docteurs Folamour trahissent leurs concitoyens en facilitant un phénomène « d’invasion/immigration ». Même des ecclésiastiques travestissent et dévoient le message de l’Église, complices en cela du milliardaire George Soros qui est dans tous les mauvais coups portés contre la civilisation européenne. Des ONG type « SOS Méditerranée » veulent absolument nous culpabiliser. Serions-nous donc des « sans cœur », nous qui sommes conscients des conséquences de tout cela ? Et ça marche auprès de certains. Il n’est que de voir ces retraités, par ailleurs bien ponctionnés par Macron, s’affairer autour de marmites type soupe populaire, afin de nourrir les « migrants », pour qui ils ont benoîtement les yeux de Chimène !
Soyez plus précis : cette bombe, c’est quoi ?
Cette bombe n’est ni sexuelle, ni atomique, ni numérique, elle est DÉMOGRAPHIQUE ! L’Afrique est une usine humaine incroyablement prolifique. Jugez-en : en 1900, 100 millions d’habitants, l’homme blanc arrive avec ses médecins coloniaux. Petit à petit, ils vont éradiquer les grandes endémies, en 1990, le continent compte 640 millions de personnes, six fois plus en 90 ans ; il y a trois ans, en 2015, c’était déjà 1 milliard d’êtres humains, presque le double en 25 ans ! Nous sommes partis pour, excusez du peu ! 4 milliards 400 millions en 2100 ! C’est proprement invivable. Et pour eux ! Et pour nous ! Le Nigéria, par exemple, ce colosse aux pieds d’argile de l’Afrique de l’ouest, au bord de l’éclatement entre musulmans au Nord et chrétiens et animistes au Sud, aura 400 millions d’âmes à la fin du siècle, contre 190/200 de nos jours !
Les ressources alimentaires vont être un problème, sinon LE problème ?
L’écologiste René Dumont avait tiré la sonnette d’alarmes dans les années 1960, l’année de presque toutes les indépendances, et celle de la tragicomédie congolaise, dans un ouvrage intitulé L’Afrique noire est mal partie. Il est toujours d’actualité. Ses théories ont été renforcées par un autre livre paru chez Plon en 1976. Il disait, en gros, qu’une forte croissance démographique annulerait les progrès en agriculture et que la déforestation serait une catastrophe. Et comme si ces catastrophes parfois incontrôlables ne suffisaient pas, les gouvernements noirs, par idéologie, par vengeance et par « racialisme » pour ne pas dire plus – la haine du « Blanc » peut-être ? –, engendrent eux-mêmes des catastrophes économiques comme au Zimbabwe, l’ex-Rhodésie. Il faut se rappeler que la Rhodésie nourrissait non seulement son peuple, mais qu’elle exportait viande, tabac, maïs au lieu de les importer ! L’Afrique du Sud voisine du Président Cyril Ramaphosa, sous l’influence du raciste Julius Malema de son parti Economic freedom fighters (EFF), veut exproprier sans indemnité les quelque 40 000 fermiers afrikaners qui s’accrochent à leur terre ! C’est Ubu roi ! Ils vont faire « crever » ce pays déjà en complète récession. Rappelons qu’à l’arrivée de leurs descendants, il n’y avait pas un seul Noir dans cette partie du sous-continent, seulement quelques tribus d’aborigènes Hottentots, et des bushmen, comme ceux qui jouent dans le film comique, Les Dieux sont tombés sur la tête.
Pouvez-vous nous donner quelques exemples chiffrés de la catastrophe démographique que vous prédisez ?
S’il fallait ne retenir que quelques chiffres, ce sont ceux des indices synthétiques de fécondité du Niger par exemple, 7 enfants par femme, que même un Macron stigmatisait lors de son discours de Ouagadougou en novembre 2017 ; 6,06 au Mali, où nos soldats font le boulot que ne veulent pas faire ces jeunes qui fuient leur pays et qui inondent la France de leur masse migratoire ; 5,86 au Burkina Faso ; 5,31 de moyenne en Afrique du Sud alors que les femmes blanches qui sont restées dans leur pays, menacées de mort et de viols, n’en étaient qu’à 1,4 il y a dix ans, moins sans doute encore aujourd’hui, mais comme on les comprend : qui voudrait enfanter dans le beau pays « Arc-en-ciel » de feu Nelson Mandela, qui fut le plus développé, et de loin, de tous les pays du continent ?
Plus précisément, qu’elle est la situation en France ?
En France, ne nous faisons pas d’illusions : un tiers des naissances, grosso modo, sont le fait d’immigrés récents ou d’immigrés de deuxième ou troisième génération, dont beaucoup sont « francisés », tout au moins sur le papier. Nous n’avons qu’à observer les chiffres de la drépanocytose – une maladie du sang qui ne touche que les Africains, les Antillais ou les méditerranéens du Sud pour, par décantation –, avoir forcément une petite idée du panorama démographique français…
La Bombe africaine et ses fragmentations, de Jean-Claude Rolinat, préface d’Alain Sanders, éditions Dualpha, collection « Vérités Pour L’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 570 pages, 37 euros cliquez ici.
L'intervention de Jean-Claude Rolinat à la 12e Journée de Synthèse nationale (Rungis, 14 octobre 2018 cliquez ici)
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Education / Le naufrage de l’école – Journal du lundi 22 octobre 2018
Education / Le naufrage de l’école
C’est une vidéo qui a fait le tour des réseaux sociaux. On y voit un élève d’origine étrangère pointer une arme sur son professeur, en classe, dans une école de Créteil dans le Val-de-Marne… Face à cela, le ministre de l’éducation nationale plaide pour l’interdiction du téléphone portable dans les établissements scolaires !Société / En Marche vers la PMA (et la GPA)
Grande offensive médiatique et politique en faveur de la PMA et de la GPA. Dans l’impasse politique, le gouvernement pourrait bien se rabattre sur les questions dites sociétales… au risque de faire renaître les oppositions du quinquennat précédent.International / Immigration : Trump à l’épreuve de la réalité
Alors que des milliers de Honduriens tentent de gagner les Etats-Unis, Donald Trump tente de faire face à une vague migratoire sans précédent. Un enjeu de taille à deux semaines des élections de mi-mandat.L’actualité en bref
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Bistro Libertés avec la journaliste Charlotte d’Ornellas
Caroline Parmentier et Martial Bild reçoivent la journaliste Charlotte d’Ornellas pour débattre du remaniement ministériel et de l’ensauvagement de la France.
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COMMENT MÉLENCHON A MIS FIN À SA CARRIÈRE
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Échec de la transmission de la langue française : fin de l’ascenseur social
Près d’un quart des élèves de CP ont des difficultés à reconnaître les lettres et le son qu’elles produisent. Et en CE1, un élève sur deux a des difficultés en calcul mental. C’est ce que nous apprennent les évaluations nationales pour ces deux classes en début d’année scolaire.
Cela commence donc dès la première année d’école obligatoire et cela se poursuit tout au long de la scolarité, parce que, comme l’admet le ministre de l’Éducation nationale, l’école, qui a pourtant vocation à réduire les inégalités, se trouve en être le premier lieu d’expression.
Pour y remédier, Blanquer veut rendre l’école obligatoire dès trois ans. Disons-le tout de suite, ça ne changera rien. La France est déjà l’un des pays où le taux d’accès à la maternelle dès trois ans est des plus élevés. Le ministre admet lui-même l’origine de cet écart : la maîtrise du langage est décisive. Les professeurs d’école le savent très bien : ils peuvent distinguer rapidement ceux pour qui l’apprentissage sera le plus compliqué en fonction de la richesse du vocabulaire.
Ce n’est pas, non plus, de faire de l’enfant « l’acteur de son éducation », comme le défendent les pédagogues, qui le sauvera. Il n’y a qu’une solution : apprendre par cœur. Qui a dû faire apprendre ses tables de multiplication à son enfant sait que ce n’est pas une partie de plaisir. Mais c’est un fait : il faut apprendre par le cœur, car ce qui est inscrit dans notre mémoire nous appartient et c’est alors que nous le chérissons. Ce qui reste des fables de La Fontaine dans notre mémoire est là pour en témoigner.
Tibor Navracsics se fourvoyait donc totalement en affirmant que « nous devons davantage orienter nos systèmes éducatifs vers les compétences ». Nous avons avant tout besoin de savoirs. C’est ce que j’ai rappelé à ce commissaire européen à l’éducation (notamment en avril 2016 et en juin dernier), ainsi qu’aux autres membres de la commission culture et éducation (notamment lorsqu’ont été abordées la modernisation de l’enseignement supérieur ou la place du numérique dans l’enseignement).
Il ne sert de rien à nos enfants d’avoir telle ou telle compétence alors qu’à la fin de leurs études, le marché de l’emploi aura totalement changé. Laurent Alexandre, pourtant adepte de l’intelligence artificielle, l’affirmait dans un tweet dont le vocabulaire lui appartient : « Apprendre à coder à TOUS les enfants est aussi con qu’apprendre la sténo en 1970. [Le] code de base sera écrit par l’IA. »
Dans une interview à Contrepoints, il rappelait le véritable enjeu : « On a 5 % de vrais illettrés et analphabètes en France. Quand il y a une vague technologique, ou quand il faut très rapidement se former, ne pas savoir lire la première page du manuel de formation va être très problématique. »Tout l’inverse de M. Navracsics, qui plaidait pour une alphabétisation numérique.
Enfin, le problème naissant avant même l’entrée en primaire, il est impératif de mettre fin à l’immigration qui multiplie les difficultés d’apprentissage du français à mesure que le quartier et les camarades de classe ne le parlent plus. Un environnement où la langue française domine est le préalable à toute transmission, moteur de l’ascenseur social.
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Dimanche dernier, "Le retour aux sources" était à la 12e Journée de Synthèse nationale
Jean-Michel Vernochet, Lucien Cerise et Patrick Gofman sur le stand des éditions "Le retour aux sources" cliquez ici
L'Ami Gofman toujours audacieux lorsqu'une jolie fille passe devant lui...
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Le Samedi Politique : Qui est Vladimir Poutine ? avec Frédéric Pons
Espion du KGB, dirigeant autoritaire, monstre froid, patriote exemplaire, visionnaire, grand stratège… Les points de vue sur Vladimir Poutine sont souvent très tranchés ? Entre deux visions qui s’opposent, où est la vérité ? Sans doute un peu entre les deux… C’est ce que nous allons tenter de comprendre avec Frédéric Pons.
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FAIRE LA VOLONTÉ DE DIEU : POURQUOI ET COMMENT ? | AVOIR LA FOI
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Le discours d'Alain Escada, Président de Civitas, à la 12e Journée de Synthèse nationale
Cette journée a pour thème “Ne laissons pas mourir la France”.
Et il y a de quoi s’inquiéter, il est vrai.
Il y a bien sûr la submersion migratoire combinée à la dénatalité des Français de souche à qui l’AFP vient encore ces jours-ci d’affirmer qu’ils doivent faire moins d’enfants pour diminuer leur empreinte carbone et combattre le réchauffement climatique.
Il y a aussi le niveau inquiétant de nos gouvernants. Qui aurait jamais imaginé qu’un chef de l’Etat organise une fête dans la cour de l’Elysée autour d’un personnage central qui arbore un t-shirt sur lequel est inscrit “Fils d’immigré, noir et pédé” ? Il y a encore ces images du chef de l’Etat dans les Antilles et comme dit l’humoriste métisse Fabrice Eboué, “Dès que Macron voit des Noirs torse nu, il s’émoustille”. Mais, en politique, le désespoir est la pire des sottises, disait Charles Maurras.
Je voudrais donc vous parler de deux échéances, les élections européennes d’abord, les élections municipales, ensuite.
En 2019, nous serons invités à voter pour élire les députés du Parlement européen. Et je voudrais vous mettre en garde contre un piège qui nous est tendu. Vous aurez probablement tous appris la nouvelle : l’américain Steve Bannon, ex-conseiller de Donald Trump, veut s’occuper de nous et coordonner les populistes de toute l’Europe en vue de nous libérer de l’influence de George Soros. Je ne voudrais pas être désagréable mais la dernière fois que les Américains sont venus nous “libérer”, ils ne sont jamais vraiment repartis, ils nous ont imposé pour des décennies leur “american way of life”, leur coca-cola, leurs hamburgers, leur cinéma hollywoodien, l’OTAN, et des accords économiques à leur avantage. Alors, permettez-moi de douter de l’altruisme de Steve Bannon.
Surtout quand on apprend la suite.
Car si Steve Bannon sillonne l’Europe pour proposer à Marine Le Pen, à Matteo Salvini et à tant d’autres leaders politiques de rejoindre son club baptisé sobrement “Le Mouvement”, au bout de quelques recherches, on s’aperçoit que Steve Bannon n’en est pas le fondateur mais simplement le représentant de commerce.
Figurez-vous que c’est à Jérusalem, en décembre 2016, qu’a été imaginé ce projet, en marge du Sommet de Jérusalem des Leaders internationaux. Un mois plus tard, en janvier 2017, l’un des participants, l’avocat belge Mischaël Modrikamen, ancien président de la synagogue libérale de Bruxelles, déposait les statuts de la Fondation Le Mouvement dont Bannon assure la promotion. Les statuts de la Fondation Le Mouvement désignent Mischaël Modrikamen comme président. Deux autres personnes sont fondatrices : Yasmine Dehaene, son épouse, par ailleurs co-organisatrice du Sommet de Jérusalem des Leaders Internationaux, et Laure Ferrari, une amie très très intime de Nigel Farage.
Mieux encore, la presse israélienne a relayé un discours de Mischaël Modrikamen, président de la Fondation Le Mouvement, promue par Bannon, au cours duquel il déclare qu’ “Israël est une lumière pour les Nations”. Voilà résumé le programme proposé aux populistes d’Europe…
Cerise sur le gâteau : Mischaël Modrikamen est aussi le président du parti populaire belge dont l’ancien vice-président est son ami Joël Rubinfeld, président de la Ligue belge contre l’antisémitisme (l’équivalent de la LICRA) et vice-président du Parlement juif européen.
Voilà donc la nature du Mouvement que nous propose Steve Bannon pour sauver l’Europe et la France.
Et si Marine Le Pen se dit réservée, Louis Aliot se déclare pourtant très favorable à ce que le Rassemblement National rejoigne la Fondation Le Mouvement. Et je rappelle que Louis Aliot se propose généreusement pour conduire la liste du Rassemblement National aux européennes.
Serions-nous condamnés à n’avoir le choix :
• entre le plan A de George Soros et le plan B de Jacques Attali incarné par la Fondation Le Mouvement,
• entre les médias appartenant à la famille Rothschild, ceux appartenant à Bertelsman et ceux appartenant à Patrick Drahi,
• entre Cyril Hanouna et Michel Drucker
• entre Bernard-Henri Lévy, Alain Finkielkraut et Eric Zemmour ?Et je précise immédiatement que je préfère écouter Zemmour que BHL et que j’ai même un incontestable plaisir à l’écouter clouer le bec d’un chantre du vivre ensemble ou d’une virago du féminisme. Mais lorsque j’ouvre le dernier livre de Zemmour intitulé “Destin français” et que j’y trouve un chapitre sur Saint Louis que Zemmour appelle le “roi juif”, je me dis qu’il y a un sérieux problème. Confirmé par sa conclusion qui lie le sort de la France à celui d’Israël.
Or, nul ne peut servir deux maîtres à la fois.
Et ce n’est pas parce que nous refusons à juste titre l’immigration de grand remplacement et l’islamisation de notre pays que nous avons à livrer celui-ci à l’influence d’Israël.
Je rappelle que l’acte fondateur de la France est le baptême de Clovis par l’évêque Saint Rémi, instaurant le principe que le roi de France est le « Lieutenant du Christ ». Ce n’est pas une circoncision par un rabbin ou un imam.
Et qu’on ne vienne pas me dire que la solution à tout cela, c’est la laïcité. Dans quelques semaines, les ayatollahs de la laïcité mèneront une fois de plus la guerre aux crèches de Noël. Mais les mêmes se précipiteront pour fêter Hanouccah ou la fin du Ramadan. Leur laïcité, c’est une parodie de religion dont le dogme essentiel est l’anti-christianisme et qui s’est marquée dans le sang par le génocide vendéen, lorsque l’armée de la république organisait les noyades de Nantes ou embrochait les bébés vendéens au fil de la baïonnette.
Chers amis, comprenez-moi bien.
Il ne tient qu’à nous de nous libérer de ces chimères et de reprendre notre destin en main.
Pour cela, il faut déjà cesser de déléguer à des personnes qui servent manifestement d’autres communautés le monopole de représenter publiquement et médiatiquement notre courant de pensée, notre culture, notre patrimoine, notre civilisation.
Qu’on soit catholique ou non, pratiquant ou non, la France est une terre catholique, dont les cathédrales font la renommée, dont près de 5.000 communes portent le nom d’un saint ou d’une sainte, et dont des dizaines de milliers de calvaires rythment nos promenades et longent nos routes.
La France se redressera lorsque le peuple de France s’en rappellera et le revendiquera.
Par deux fois, en 1789 et en 1968, la folie révolutionnaire française s’est exportée à travers le monde.
Si la France redevenait fidèle à son baptême, à sa mission, son influence salvatrice s’exporterait également, cette fois pour le bien du monde mais à l’inverse du plan du nouvel ordre mondial et de son messianisme judéo-maçonnique.
Si Civitas devait trouver les moyens financiers suffisants, nous déposerions une liste aux européennes pour proclamer haut et fort ces vérités.
Mais une autre échéance est à placer dans notre viseur. Je veux parler des élections municipales de 2020. Car l’enjeu local est essentiel à notre projet de reconquête. Et il faut s’y préparer dès maintenant.
C’est un enjeu à notre portée, qui s’inscrit dans un retour au réel, à l’échelon le plus naturel de la vie politique, au plus près du quotidien des Français.
Oui, je prêche pour profiter utilement de ces élections municipales pour organiser des villages gaulois et catholiques, des îlots de résistance, où sauvegarder nos traditions et nos coutumes, et à partir desquels il faudra envisager de rayonner pour organiser la reconquête de notre sol, la patrie, la terre de nos pères.
C’est au niveau local, sur le terrain, particulièrement dans la France rurale, que se situe notre plus grande opportunité. Il faut s’en saisir avant qu’il ne soit trop tard.