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divers - Page 264

  • Le tribalisme blanc en action : Farmlands de Lauren Southern

    Lauren-Southern.jpgPar Spencer J. Quinn dans Counter-Currents Publishing (21.09.2018)

    La chose la plus dangereuse et la plus remarquable du merveilleux documentaire Farmlands de Lauren Southern est qu’il fait la promotion du tribalisme blanc. Pour la plupart des gens, blancs et non blancs, cela suffit à rendre le film anathème. Ils reconnaîtront que c’est un film qui brise les tabous et ils cesseront de regarder ou commenceront à haïr Lauren Southern en tant que raciste ou suprématiste blanche. Sympathiser avec les Blancs en tant que victimes n’est pas cool de nos jours, vous voyez.

    Toutefois, pour les Blancs soucieux de leur race, Farmlands ne se contente pas de briser les tabous, mais fait bien plus. Il suit Southern dans son périple à travers l’Afrique du Sud alors qu’elle découvre les abus, la négligence, la discrimination et la violence auxquels les Blancs, en tant que minorité, doivent faire face aux mains de la majorité noire et de leur gouvernement dirigé par des Noirs. Le documentaire n’aborde rien de moins que les problèmes de vie ou de mort auxquels ces personnes sont confrontées chaque jour, et les identifie très vite comme des victimes à la fois blanches et vertueuses. Il le fait, je crois comprendre, pour deux raisons principales. L’une est la raison évidente, textuelle : Les Blancs sud-africains souffrent de la chauve injustice de l’oppression raciale, un fait que quiconque n’est pas aveuglé par la gauche anti-blanche devrait apprécier. Et l’autre est la raison subtextuelle, pas si évidente : que nous, les blancs du public, devrions sympathiser avec les gens de ce film non seulement parce qu’ils sont des victimes innocentes, mais parce que nous sommes comme eux. Cette dernière notion fait de Farmlands un film vraiment radical, radical dans le bon sens du terme.

    Le film commence par Southern décrivant les raisons pour lesquelles elle s’est rendue en Afrique du Sud : les rumeurs selon lesquelles une grave injustice est perpétrée contre la population blanche sud-africaine, des rumeurs non seulement d’oppression mais aussi de massacres et de génocide potentiel. Elle admet qu’il s’agit de la version d’extrême droite de ce qui se passe là-bas, et que le récit dominant brosse un tableau beaucoup plus rose. En tant que journaliste désintéressée, elle veut cependant voir par elle-même où se trouve la vérité. Elle pense que c’est quelque part au milieu.

    Avant son arrivée, cependant, on nous offre un bref historique des Afrikaners blancs en Afrique du Sud. Ce sont les descendants des premiers colons néerlandais qui sont arrivés à la pointe sud de l’Afrique au XVIIe siècle et qui ont formé ce que l’on appelait la colonie du Cap néerlandais. Connus aujourd’hui sous le nom de Boers, les Afrikaners constituent la plupart des propriétaires agricoles qui sont victimes de la récente législation du gouvernement sud-africain sur l’appropriation des terres. Je suis sûr que Southern travaillait avec des contraintes de temps et de budget, puisque l’histoire parle peu de la présence anglaise en Afrique du Sud et du traumatisme causé par la guerre des Boers. Il ne mentionne pas non plus les lois antérieures à l’apartheid, comme la Loi sur les terres autochtones, et n’aborde pas en détail les luttes en noir et blanc du XXe siècle avant l’apartheid. Ce qu’il fait, cependant, est scandaleux : il offre l’histoire de l’Afrique du Sud d’un point de vue blanc.

    Southern nous informe que les premiers colons hollandais avaient acheté leurs terres à la population indigène Khoisan et entretenaient des relations surtout pacifiques avec eux. Ce n’est que dans les années 1830, lorsque les Boers, qui marchaient vers le nord, ont rencontré les Zoulous qui se déplaçaient vers le sud, que les problèmes ont commencé. Les Zoulous étaient en train de conquérir d’autres tribus bantoues et pensaient pouvoir faire de même avec les Boers. Mais bien sûr, ce n’est pas la perspective que l’on enseigne généralement dans les écoles de nos jours. Par exemple, mon édition de 1989 du manuel Harcourt Brace, The Mainstream of Civilization Since 1500, consacre quelques paragraphes à ce chapitre de l’histoire, et le raconte surtout dans une perspective noire. Je crois qu’on peut dire sans risque de se tromper que cela représente l’opinion générale (lire : anti-blanc) sur les Boers :

    Entre 1835 et 1844, affamés de terres et déterminés à préserver une suprématie blanche qu’ils considéraient que Dieu avait ordonnée, les Boers coulèrent vers le nord à travers la rivière Vaal et échappèrent au contrôle britannique. Le point culminant de ce « Grand Trek » fut la bataille de la rivière du Sang en 1838. Un train de chariots Boer a vaincu l’assaut du roi zoulou Dingaan, héritier du grand Shaka, qui avait créé l’armée la plus puissante au sud du Sahara.

    Eh bien, la deuxième plus puissante, mais qui veut pinailler ? Sérieusement, en décrivant les Boers comme « avides de terres  » et voulant « préserver une suprématie blanche « , tout en louant la puissance et l’ascendance de leurs ennemis noirs, les Boers sont présentés comme les méchants ici. Cependant, Laura Southern n’a rien de tout cela. Dans son histoire, elle décrit les événements horribles qui ont mené à la bataille de Blood River. Connu sous le nom de massacre de Weenenen, le roi Dingaan a rompu un traité qu’il avait conclu avec le dirigeant Boer Piet Retief et – de façon horrible – a massacré plus d’une centaine de Blancs, dont des femmes, des enfants et le propre fils de Retief. Ils ont gardé Retief pour la fin, pour qu’il puisse tout voir. Elle ne le dit peut-être pas dans son documentaire, mais après son histoire, il est clair que Southern souhaite que son public sympathise avec les Blancs d’Afrique du Sud.

    Une fois en Afrique du Sud, elle est témoin du fléau urbain et des bâtiments en flammes qui sont devenus endémiques. On lui dit qu’il y a en moyenne trente-deux manifestations par jour en Afrique du Sud. Quant aux tristement célèbres meurtres de fermiers, elle interviewe des gens qui en savent beaucoup sur eux. Connues sous le nom de « Soeurs de sang », ce groupe s’acquitte de la tâche effroyable de nettoyer les scènes de crime dans les fermes. Selon eux, le nombre de meurtres de fermiers de race noire sur blanc a augmenté récemment. Mais c’est un spectacle plutôt effrayant, car ces Blood Sisters ont trop peur de dire ce qu’elles pensent de ces meurtres par peur de leur propre gouvernement. C’est ce qui arrive quand on est un citoyen de seconde classe dans un pays sans Premier Amendement.

    Après cela, la situation ne fait qu’empirer (pour les Sud-Africains blancs, pas pour le documentaire). Southern interroge des agriculteurs qui racontent le meurtre de membres de leur famille. Ils expriment également leur frustration face au peu d’intérêt de la police pour leur bien-être et à l’indulgence du système à l’égard des tueurs. L’un d’eux a été condamné à quinze ans d’emprisonnement pour l’exécution d’un fermier blanc, mais il a été libéré plus tôt que cela.

    Mme Southern rencontre également des agriculteurs qui ont été forcés de quitter leurs terres et qui doivent faire face à ce qu’on appelle le programme « Black Economic Empowerment ». Ce programme fait en sorte que la nation majoritairement noire d’Afrique du Sud ait une majorité noire de travailleurs dans autant de professions que possible. Farmlands démontre comment, dans la pratique, cela conduit à remplacer les ingénieurs compétents en approvisionnement en eau blanche par des ingénieurs noirs moins compétents, ce qui cause des problèmes indicibles aux agriculteurs. Et c’est peut-être volontaire, puisque le gouvernement ne fait rien pour les résoudre. « Ils veulent qu’on meure de faim ou qu’on meure », nous dit un fermier Boer. Plus tard, lorsque Southern visite un camp d’Afrikaners appauvris, nous apprenons que ces gens ne peuvent pas quitter l’Afrique du Sud sans payer une petite fortune d’abord. Ils sont simplement coincés là – pour être exploités, négligés ou tués.

    Cependant, la plupart des entrevues avec deux sujets noirs qui ont accepté d’y participer sont effrayantes (et vengeantes). Ces deux personnes prouvent le point de vue de l’« extrême droite  » que Southern mentionne très tôt dans le film : que les Noirs d’Afrique du Sud ne pensent pas que les Blancs ont des droits qu’ils devraient respecter. Un certain Thabo Mokwena, membre du comité exécutif du Congrès national africain, affirme que la confiscation des fermes aura lieu, mais promet que cela se fera conformément à la loi. Et si la loi actuelle ne le permet pas, le gouvernement modifiera la loi. L’idée de l’immuabilité d’une loi semble donc complètement au-delà de cette personne. Une loi n’est qu’un obstacle à ce qu’un gouvernement vole ses citoyens – jusqu’à ce que, bien sûr, ce ne soit pas le cas.

    Bien pire que Mokwena est Zanele Lawana du mouvement Black Land First. Cette jeune femme n’a rien d’autre que de la haine blanche dans le cerveau, et elle a hâte de commencer une guerre raciale. « Nous sommes déjà en guerre ! » prévient-elle. « Nous venons vous chercher et nous allons prendre tout ce que vous possédez ! » Au moins, elle est honnête. Que quelqu’un puisse dire quelque chose d’aussi effronté et menaçant à la caméra sans s’attendre à payer un prix politique en dit long sur la situation anti-blanc de l’Afrique du Sud d’aujourd’hui. Comment peut-on ne pas voir qu’à moins que des mesures draconiennes ne soient prises rapidement, les jours des Blancs en Afrique du Sud sont comptés ?

    Mais bien sûr, Farmlands n’est pas anodin. Il raconte l’histoire d’une injustice contre les Blancs. Et à cause de ça, c’est une ligue à part entière.

    Spencer J. Quinn est un collaborateur fréquent de Counter-Currents et l’auteur du roman White Like You.

    Articles disponibles en français de Counter-Currents Publishing ici.

    http://grandfacho.com/le-tribalisme-blanc-en-action-farmlands-de-lauren-southern/

  • Politique & éco n°184 : Comment mener la bataille des idées ? Avec Yves-Marie Adeline

    Olivier Pichon reçoit Yves-Marie Adeline professeur, écrivain, conseiller scientifique de l’ISSEP et rédacteur en chef des cahiers de l’ISSEP.

    1) Pourquoi l’ISSEP ?
    – Institut fondé par Marion Maréchal
    – Remettre les idées à l’endroit
    – Sciences Po ou l’inculture
    – Le droit n’est plus enseigné dans l’esprit de la tradition des Européens
    – Parler de Turgot, de Constant, de Bastiat ou d’Aron est devenu impossible à Sciences PO
    – L’ISSEP ne forme pas au militantisme, il entend former les esprits

    2) Un Enjeu de civilisation : Macron et les Gaulois, le désamour ?
    – Réflexion et action
    – Critique de la réflexion, analogie avec 1453 (prise de Constantinople)
    – La réflexion et l’action, influence réciproque
    – L’exemple de la Turquie, l’ignorance des cadres politiques
    – Macron : une élection hors -sol, une élection sans peuple
    – Problèmes institutionnels, le premier ministre comme collaborateur de l’exécutif
    – Conséquence : inexistence du parlement
    – Où est le pouvoir : à l’Elysée et dans les grands corps (Conseil d’Etat, inspection des finances)
    “Les intouchables d’Etat, bienvenue en Macronie” de Vincent Jauvert

    3) Macron et la fuite en avant européenne
    – Une martingale à usage interne, casser la gauche et la droite sur la question européenne
    – La ligne de fracture entre populistes et européistes
    – Quelle alternative européenne ?
    – Et maintenant l’Italie, troisième puissance européenne
    – L’explosion de l’Europe n’est pas exclue
    – Sur la coopération européenne militaire
    – La suzeraineté américaine sur l’Europe
    – Difficulté à sortir de la vassalité
    – La rhétorique du déclin américain
    – Le Brexit fait de la France la seule puissance nucléaire de l’UE

  • 12e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE, DIMANCHE 14 OCTOBRE, LE PROGRAMME :

    3689851551.jpg12eJOURNÉE DE

    SYNTHÈSE NATIONALE

    NE LAISSONS PAS MOURIR LA FRANCE !

    DIMANCHE 14 OCTOBRE 2018 

    ESPACE JEAN MONNET, 47 rue des Solets 94 Rungis

    11 h 00 : ouverture des portes - Entrée : 10,00 €

    —11 h 15 : message de bienvenue de Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale

    —11 h 20-12 h 30 : forum des initiatives avec Hugues Bouchu, les Amis francilien de SN, Vincent Vauclin, La Dissidence française, Juan-Antonio Lopez Larrea, El cadenazo (site phalangiste de Barcelone), Gabriele Adinolfi, Projet Lansquenets (Rome), Gérard Orget, dirigeant du CIDUNATI francilien, un responsable du Bastion social

    —A partir de 12 h 30 et jusqu'à 17 h 30 : Restaurant ouvert au public (repas ou sandwichs)

    —14 h 00-14 h 45 : forum sur la réinformation animé par Luc Pécharman avec avec Philippe Randa, éditeur, Radio Libertés, Jean-François Touzé, Directeur de Confrontation, Arnaud Raffard de Brienne, écrivain, Arnaud Menu, journaliste, Marie-Jeanne Vincent, contributrice à Nous sommes partout

    —14 h 45–15 h 15 : Affaire Méric : rétablir la vérité avec Serge Ayoub, ancien dirigeant de Troisième voie, Aristide Leucate, écrivain et collaborateur à Présent pour qui il a suivit le procès, Roland Hélie

    —15 h 30–16 h 15 : concert, Docteur Merlin… présenté par Thierry Bouzard

    —16 h 30-18 h 00 : le meeting politique présidé par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta avec : Roland HélieRichard Roudier, la Ligue du Midi, Alain Escada, Président de Civitas, Pierre Vial, Président de Terre et peuple, Massimo Magliaro, ancien responsable du MSI, Carl Lang, Président du Parti de la France, et

    JEAN-MARIE LE PEN

    Séance de dédicace du 1ertome de ses mémoires

    Toute la journée : le grand stand de la revue Synthèse nationale, des Cahiers d'Histoire du nationalisme,de Confrontation, des Bouquins et de l'Association des Amis. Vous pourrez y retrouver Jean-Claude Rolinat, Georges Feltin-Tracol, le Dr Jean-Pierre Cousteau, Didier Lecerf, Pieter Kerstens, Thierry Bouzard, Arnaud Menu, Patrick Parment, Commandant Aubenas et les collaborateurs de la revue.

    —Nombreux stands d'associations, journaux, mouvements, éditeurs, libraires, artistes et artisans...

    —Un bar (bières, sodas, pas de Coca...)

    Comment accéder à l'Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets à Rungis (94) ?

    En RER : ligne C2 Train Mona, station Rungis La Fraternelle (située à 300 m de l'Espace Jean Monnet)

    En Tramway : ligne T7, arrêt La Fraternelle (directe en partant de la station de métro Villejuif-Louis Aragon)

    En voiture : se rendre dans le Parc d’affaires ICAD de Rungis, l'Espace Jean Monnet y est bien fléché. Vaste parking gratuit à la disposition des visiteurs.

    En savoir plus cliquez ici

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  • Bistro Libertés avec Stéphane Édouard, le sociologue viré de M6 pour son franc-parler

  • Goldnadel : « Je suis culturellement réfractaire à l’humour multiculturel... » Nous aussi !

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    Le président chauve-souris. Je suis oiseau, voyez mes ailes ! Je suis souris, vive les rats !

    737519692.jpgGilles-William Goldnadel écrit cela au sortir d'un été politique que l'on a presque unanimement qualifié de chaotique au point que quelques grosses pointures ont commencé à quitter le navire. Il le fait avec courage, lucidité, sans craindre de dire les choses. Il a raison. Malheureusement pour la France   LFAR

    J’ai beau être un gaulois mature d’assez jeune souche, j'aime bien l'humour, qu'il soit gaulois (davantage encore depuis que la gauloiserie est regardée de travers), juif ou patagon.

    Mais j'avoue avoir du mal à suivre l'humour de Monsieur Macron.

    À dire le vrai, j'ai du mal à suivre ce président tout court, raison pourquoi je ne l'ai suivi lorsqu'il courait pour l’élection.

    Dès le premier abord, j'avais écrit que nous aurions un président hybride.

    Ni de droite, ni de gauche. Ni français, ni international. Un jour Jupiter et le lendemain, comique troupier. Pote avec Bellatar Yassine et ami avec Villiers Philippe de.

    Dans certains articles, je l'avais surnommé « le président chauve-souris ». Voulant contenter tout le monde et son père. Je suis oiseau, voyez mes ailes ! Je suis souris, vive les rats !

    Je suis un oiseau migratoire de gauche, ouvrez donc aux migrants ! je suis un rongeur économique de droite, fermez la porte aux indigents !

    Mais j'avais écrit aussi que les Français des deux camps à ciel ouvert ne seraient pas longtemps sous le charme de ce genre de petit mammifère qui ne vit bien que dans la pénombre.

    Nous y sommes. L'homme est brillant et sympathique, j’en atteste, mais, trop ambivalent, il ne fera bientôt que des mécontents.

    Dans le Figaro, lorsqu'il était candidat, et que je pouvais encore être irrespectueux, je lui avais donné du Macreux, tant je considérais qu’il lui manquait du fond.

    Je ne crois pas, hélas, m'être fourvoyé profondément.

    Il paraît que ce président de la république plaisantait, lorsqu'il a évoqué au royaume du Danemark « les gaulois réfractaires ». Je ne pense pas que les Français manquent d'humour gaulois, danois ou international, mais ils ne plaisantent plus, lorsqu'ils ont le sentiment qu'on ne les aime pas ou qu’on les prend de haut.

    Il faudra désormais que Monsieur Macron légende ses sorties, qu'il nous prévienne qu’il est sérieux ou qu’il s'agit d'une saillie.

    Mais après tout, peut-être, finalement, manquerais-je d’humour.

    A la réflexion, Monsieur Macron plaisantait sûrement avec Jean-Louis Borloo lorsqu'il disait qu'un mâle blanc n'était pas habilité à commander ou à rendre un rapport sur les banlieues françaises.

    Maintenant que j'y suis, il plaisantait encore et se gaussait des Algériens, lorsqu'il disait pour rire que la colonisation française était un crime contre l'humanité.

    Et ce blagueur impénitent n'était pas plus sérieux, lorsque pince-sans-rire, il prétendait que la culture française n'avait jamais existé ou que le patriotisme est une manière de lèpre.

    Et le plus farce, c'est que j'ai failli marcher.

    Quant aux Gaulois, de plus en plus réfractaires à l’humour à sens unique, ils ne marcheront plus quand on les fera marcher.  

  • Zemmour, un poisson-pilote?

    zemmour-200x300.jpgActuellement en tournée de promotion pour  la sortie de son nouvel essai, Un destin Français, le journaliste-écrivain-essayiste Eric Zemmour peut compter sur la bêtise de ses détracteurs pour donner le maximum d’audience à ses propos.  Et chacun est sommé par le tribunal médiatique de choisir son camp. A  l’image d’un de ses anciens  employeurs sur le service public, l’inénarrable  Laurent Ruquier qui expliquait mardi sur France Inter  tout le mal qu’il pensait du personnage. Il  a été  obligé de se justifier, pour la énième fois,   d’avoir hébergé ce représentant de la  France moisie dans son émission entre 2006 et 2011.  « D’un seul coup (Zemmour)  a pété un câble, c’est évident a affirmé M Ruquier. Mais à l’époque, quand on l’a pris, c’était parce qu’il représentait une partie de la société française, mais on ne pensait pas que le monstre allait en sortir » (sic). Un monstre qui  a créé l’émoi en donnant mardi son jugement sur le militant communiste célébré récemment par Emmanuel Macron, Maurice Audin ,   vraisemblablement  tué par l’armée française. Il a rappelé notamment  comme nous l’avions fait sur ce blogue qu’il fut un  complice actif  des terroristes poseurs de bombes du FLN qui tuèrent,   mutilèrent des dizaines d’hommes, de femmes et d’enfants pendant la bataille d’Alger il ya soixante-et-un ans.

    Mais ce sont surtout  les propos de M. Zemmour, tenus  sur le plateau de l’émission de Thierry Ardisson, Les terriens du dimanche, diffusée sur C8, qui ont  déchaîné les passions. En l’espèce son dialogue avec  la chroniqueuse Hapsatou Sy,   lui disant qu’il aurait  été préférable que ses parents l’appellent Corinne. La jeune femme envisagerait de porter  plainte évoquant « le moment le plus douloureux  (qu’elle a eu eu à vivre)  en tv (sic)  face à un Zemmour hargneux, insultant et agressif envers moi. Toujours très affectée d’ailleurs…»

    Notons que Gabriel Robin, assistant parlementaire de Louis Aliot, rédacteur en  chef numérique du magazine  L’incorrect, a  exhumé malicieusement  un tweet plus ancien  de Hapsatou Sy, en date du 2 février dernier, à l’occasion de la visite du couple Macron au Sénégal, dans lequel la jeune femme écrivait:  « absolument fan de Brigitte Macron! La stabilité d’un pays dépend de l’éducation de nos enfants. bienvenue à vous et notre président Emmanuel Macron dans mon pays le Sénégal. » Commentaire de Gabriel Robin: «Hapsatou Sy ne dit même pas dans dans mon autre pays ou dans mon deuxième pays.»  Il est   certain  que Corinne dans ce cas-là  n’est peut-être pas le prénom idéal…

    Thierry Ardisson lui,  n’a pas trop apprécié l’expression très médiatique de la douleur de Hapsatou Sy : «Elle s’étale sur Twitter pour faire un bad buzz, c’est complètement nul. Elle a signé un contrat et elle a un devoir de réserve », a-t-il déclaré sur CNews ,  « si elle ne revient pas (dans son émission, NDLR) , elle ne revient pas. Si elle revient dans un bon esprit, je veux bien, mais si c’est pour nous faire des scènes comme ça, ce n’est pas la peine. Comme elle a pas mal de problèmes d’argent, qu’elle a du mal à payer ses impôts, on lui a avancé 6 émissions. Je ne connais pas beaucoup de productions sur Paris qui le font » a affirmé l’animateur.

    Propos que les petits marquis progressistes pourraient  qualifier de paternalistes et de sexistes, à l’image peut-être, allez savoir, du délicat Ian Brossat, chef de file du parti communiste/communautariste à la Mairie de Paris (jusqu’où vont-ils descendre?).   Ce dernier a résumé en un tweet le désarroi de ses amis,   les glapissements des bobos du Marais et les hurlements des autorités  des  banlieues plurielles: «Qu’on continue à voir et entendre un vaurien (Zemmour, NDLR)  multicondamné pour propos racistes en dit long sur la banalisation de la xénophobie dans notre pays. Il est grand temps que ça s’arrête..»

    Certes, pour certains,  cela fait longtemps que M. Zemmour a dépassé la ligne jaune avec ses propos sur le comportement d’une certaine frange de la population immigrée, jugements dont l’expression serait facilitée par son  origine juive arabe. C’est implicitement ce que soulignait  en tout cas   en mars 2011 le militant antinational et communautaire Arno Klarsfeld qui se scandalisait  de l’invitation faite  alors à M. Zemmour par les instances de l’UMP à venir disserter sur la liberté de penser (pensée),  invitation (une initiative de Patrick Buisson alors conseiller de Nicolas Sarkozy?) qui avait été aussi dénoncée par  la grosse aile gauche et centriste de ce parti.

     Me Klarsfled  avait ainsi rappelé qu’un  an auparavant Eric Zemmour avait   affirmé  que les employeurs de souche  « (avaient)  le droit » de refuser d’employer des  Arabes ou des Noirs.   Jugement scandaleux pour Arno  Klarsfeld qui avait  déclaré, non sans quelques arguments,   que « si Eric Zemmour avait dit la même chose sur la communauté juive, il aurait été exclu de RTL, de France Télévisions et certainement pas invité à un débat à l’UMP ». « Cela peut donner le sentiment qu’il y a deux poids, deux mesures.  »

    Alors,  (re)disons-le ici, il est loisible  de ne pas partager en tout ou partie  certaines des analyses, des  grilles de lecture  de M Zemmour; on peut aussi légitimement de notre point de vue  lui reprocher non pas tant  son diagnostic de la situation mais  un pessimisme qui peut incliner au fatalisme, à la résignation, au découragement…  Mais  à  dire vrai le  corpus d’idées souverainistes, identitaires dont M Zemmour se fait souvent le relais a plutôt le vent en poupe un peu partout en Europe et dans le monde.  Et son  succès  ne doit rien au hasard.

    A l’occasion du démarrage foudroyant réalisé  par son essai précédent, Le suicide Français,   en 2014 – Jérôme Béglé  évoquait sur   le site du Point  « un phénomène éditorial»  et faisait mine de s’interroger: «reste à comprendre ce que ce triomphe signifie. Éric Zemmour est-il devenu le porte-voix de cette France qui ne se sent représentée ni par les médias traditionnels, ni par les discours politiques, ni par les intellectuels qui tenaient jusqu’ici le haut du pavé ? »  Phénomène combattu par la caste médiatique, à l’image de Patrick Cohen qui,  à la tête de la matinale de France Inter, expliquait il ya deux ans  qu’il n’invitait pas Eric Zemmour « parce qu’il  il y a suffisamment d’intellectuels dans le paysage pour ne pas aller chercher quelqu’un qui a été journaliste mais qui est devenu un acteur politique sans en avoir la légitimité électorale.» M. Cohen et ses amis éditorialistes  ne sont pas, eux,  des acteurs politiques  et des agents d‘influences,  c’est bien connu…

    Zemmour, certes, coche (presque)  toutes les cases de la mal-pensance, lui   qui refuse de plier les genoux devant la propagande bruxelloise les dogmes  gaucho-féministes,   d’approuver le mariage homo  et dénonce les ravages du multiculturalisme et du vivre-ensemble  obligatoire. Plusieurs fois  poursuivi  devant les tribunaux  (comme Jean-Marie Le Pen)  pour avoir établi un lien entre immigration et insécurité,    Zemmour est un  réactionnaire assumé,  un nostalgique de la France d’avant, qui a même été, horresco referens, jusqu’à rétablir un certain nombre de vérités sur le gouvernement du Maréchal Pétain.  Bref , tout comme  Orban,   Salvini ou Marine sur le plan purement politique, un objet d’effroi et/ou de consternation de la  gauche Mélenchon  à la droite  Pécresse;  même si  ladite droite est bien  obligée de constater  la grande perméabilité de son électorat avec les idées défendues et avancées par un homme largement  en tête des ventes d’essais   dans notre pays.

    Nous l’avions dit également, il est certain que  les propos de M. Zemmour légitiment  objectivement les analyses et avertissements de l’opposition nationale. Ce qui faisait dire à Bruno Gollnisch qu’il était  «complotiste au sens zemmourien du terme », à savoir qu’il y a bien  « un complot contre la France  - dénatalité, immigration massive, ouverture des frontières, libre échangisme, destruction de l’identité française, etc -,  complot contre   la sûreté intérieure et extérieure de l’Etat, notamment  par  l’appel depuis 40 ans à une immigration massive de personnes qui se trouvent en dehors de notre civilisation .»

    Il est tout aussi évident que les analyses  et réflexions d’Eric Zemmour ne sont pas  originales, au sens ou elles ont été développées et  tenues, historiquement et dans les dernières  décennies, par les  brillantes figures  des cercles intellectuels  de notre famille de pensée qui, elles, ont été soigneusement écartées des « grands médias. » Mais qui peut nier qu’il  a contribué efficacement à diffuser, populariser, vulgariser  au sein de l’opinion  française des thèmes et  des réflexions jusqu’alors ghettoïsés, marginalisés?  Ou à tout le  moins  à  accompagner le virage idéologique identitaire, national qui se matérialise depuis le début de ce millénaire? Le succès d’audience d’un Zemmour est une autre manifestation de l’effondrement de l’emprise culturelle de la gauche mondialiste sur les esprits (certes elle a encore de solides bastions!), effondrement qui rend  possible demain chez nous, une victoire dans les urnes.

  • Viktor Ober - Une génération dans l'orage

  • Procès Méric : UN ENTRETIEN AVEC ROLAND HÉLIE, DIRECTEUR DE SYNTHÈSE NATIONALE, SUR LE SITE DE RIPOSTE LAÏQUE

    roland-helie-synthèse.jpg

    Source Riposte laïque cliquez ici

    Quelques jours après l’ahurissante condamnation d’Esteban Morillo et Samuel Dufour, nous avons rencontré Roland Hélie, très actif dans le soutien des deux jeunes hommes depuis le début de cette affaire.

    Riposte Laïque : Bonjour Roland, pouvez-vous d’abord vous présenter à nos lecteurs, qui ne vous connaissent pas tous ?

    Roland Hélie : Pour faire court et simple : 45 ans de militantisme nationaliste et, aujourd’hui, je suis directeur de la revue Synthèse nationale.

    Riposte Laïque : Vous avez réagi très vite cliquez ici, et durement, vendredi soir, quand vous avez appris le verdict frappant Esteban Morillo et Samuel Dufour. D’abord, avez-vous été surpris par l’extrême sévérité des peines (11 ans et 7 ans) prononcées contre eux ?

    Roland Hélie : Oui et non… Bien sûr, ce verdict est surprenant (surtout lorsque l’on connaît les faits tels qu’ils se sont réellement déroulés) tant il fait preuve de sévérité à l’encontre des prévenus mais, d’un autre côté, pouvait-on espérer une quelconque clémence de la part d’une justice totalement conditionnée par les poncifs de l’anti-fascisme hystérique que l’on n’a pas cessé d’entendre tout au long de ce procès ?

    Riposte Laïque : Vous avez également critiqué sévèrement, comme certains de nos contributeurs, d’ailleurs, le système de défense mis en place par les avocats des trois accusés. Vous pensez vraiment qu’ils ont eu tort de jouer profil bas ?

    Roland Hélie : En 45 ans de militantisme nationaliste, j’ai eu l’occasion de voir à peu près tous les cas de figure en matière de procès contre des camarades. Je remarque que, le plus souvent, lorsque les accusés (souvent à tort) ont adopté le “profil bas”, ceux-ci ont été presque toujours lourdement condamnés. En revanche, lorsqu’ils ont adopté une défense offensive et politique, ils mettent les juges devant leurs contradictions et, généralement, ils s’en sont sortis beaucoup mieux. Face à une “accusation politique”, comme cela a été le cas dans ce procès, je pense qu’une “défense politique” aurait été plus appropriée. Mais peut-on demander à des avocats qui ne partagent pas nos idées de défendre des camarades ? Les résultats sont là… Esteban et Samuel ont été lourdement condamnés.

    Tous les témoignages sont concordants : ce sont Méric et sa bande qui ont provoqué et attaqué les jeunes patriotes. Ceux-ci n’ont fait que se défendre. Malheureusement (on ne peut jamais se réjouir de la mort de quelqu’un), l’un des agresseurs, Méric en l’occurrence, a payé de sa vie son exaltation ridicule. C’est regrettable, mais il n’avait qu’à pas se conduire ainsi. Lorsque l’on veut faire la guerre, on prend des risques…

    Riposte Laïque : Les deux condamnés ont fait appel. Avez-vous des informations ? Vont-ils rester en prison jusqu’à un nouveau procès, ou bien peuvent-ils espérer un aménagement de leur peine, d’ici là ? 

    Roland Hélie : Je ne sais pas comment cela va se passer pour eux mais j’espère que, en appel, il choisiront une autre stratégie. En tout cas, j’espère sincèrement qu’ils seront bientôt remis en liberté. Ils ne méritent pas d’être là où ils sont.

    Riposte Laïque : Qu’avez-vous pensé du témoignage de Serge Ayoub, et des réactions qu’il a suscitées, y compris chez les avocats des trois accusés ?
     
    Roland Hélie : Serge Ayoub qui, je le rappelle, avait été, au moment des faits, jeté en pâture à la vindicte populaire avait contre-attaqué de manière habile à l’époque. En multipliant les interventions dans les médias, il avait retourné une partie de l’opinion publique. Mais cela n’était pas du goût du pouvoir et il l’a payé très cher puisque son mouvement, Troisième voie, et son local ont été dissous.

    Lors du procès, la semaine dernière, il a été le seul a remettre les choses à leur place en se livrant à un “témoignage politique” et il a eu raison. On en revient à ce que je vous disais précédemment.

    Riposte Laïque : Vous paraissez lancer une campagne de soutien à Esteban et Samuel. Qu’attendez-vous de cette initiative ?

    Roland Hélie : De nombreuses initiatives sont prises, ici et là, dans ce sens. Il y a des gens beaucoup plus compétents que moi pour s’en occuper. Les lecteurs de Riposte laïque seront tenus informés lorsque cela se concrétisera.

    Riposte Laïque : Dans quelques semaines, vous organiserez la journée de Synthèse nationale, à Rungis. Qu’y a-t-il au programme, cette année, et comment s’y inscrire ?

    Roland Hélie : Effectivement, nous organisons le dimanche 14 octobre prochain à Rungis (de 11 h à 18 h 30, Espace Jean Monnet, 47 rue des Solets) près de Paris, notre 12e Journée nationale et identitaire. Celle-ci a comme thème : “Ne laissons pas mourir la France”. L’ensemble des forces nationales et identitaires sont invitées à y participer. Il y aura des tables rondes, des concerts, des dizaines d’exposants et un meeting au cours duquel Jean-Marie Le Pen, Carl Lang, Pierre Vial et bien d’autres prendront la parole. Cette journée marquera la rentrée politique de la Droite nationale.

    Riposte laïque a participé à plusieurs reprises à ces journées et les lecteurs du site sont fraternellement invités à venir y assister. Il n’y a pas besoin de réserver à l’avance sa place, ils pourront prendre leur billet (10 €) aux guichets à l’entrée.

    Riposte Laïque : Quel est votre regard sur la situation politique française et surtout l’alternative politique ? On sait que vous avez un regard très critique sur le FN devenu RN, qui pourtant incarne, aujourd’hui, pour des millions de patriotes, la seule alternative à Macron et aux immigrationnistes… 

    Roland Hélie : Avoir un regard critique n’empêche pas d’être conscient des réalités. Il est clair que les nationaux doivent tirer les leçons des échecs (présidentielle et législatives) de l’an passé. Le “recentrage”, la dédiabolisation, l’exclusion de Jean-Marie Le Pen et la mise à l’écart des fondamentaux ont eu les conséquences catastrophiques que l’on sait mais nous n’allons pas revenir là-dessus. Notre ami Hubert de Mesmay a d’ailleurs écrit un livre (Autopsie d’un crash annoncé, Les Bouquins de Synthèse nationale) sur ce sujet. Espérons seulement que le RN saura revenir à une stratégie de rassemblement plutôt que de persister dans celle de l’exclusion des autres forces nationalistes et identitaires comme cela a été le cas, hélas, ces dernières années.

    Au moment où, un peu partout sur notre continent, on assiste à un réveil des consciences nationales et ethniques, la France ne peut pas rester “à la remorque”. Il est plus que temps pour le RN de changer de cap s’il veut réellement incarner ce mouvement de redressement national dont notre pays a tellement besoin.

    Macron était la dernère rustine du Système. Après les calamiteuses présidences de Sarkozy et de Hollande, l’hyper-classe mondialiste a fait élire, avec les moyens faramineux (tant pécuniaires que médiatiques) que l’on sait, son dernier joker. Un an après, les résultats sont terrifiants. L’économie continue à s’écrouler et la pression migratoire ne cesse d’augmenter avec les conséquences dramatiques que cela entraîne.

    Nous n’avons plus beaucoup de temps devant nous. Le mouvement national ne doit pas se contenter d’être une somme de “plans de carrières”, il doit redevenir la véritable alternative populaire, sociale et identitaire au Système mondialiste. Il en va de l’avenir de la France et de l’Europe.

    Riposte Laïque : Vous savez qu’avec d’autres forces, nous impulsons une campagne, en soutien à Patrick Jardin, père d’une victime du Bataclan, pour empêcher la tenue du concert du rappeur islamiste Médine sur le lieu où ses coreligionnaires ont assassiné 90 innocents et blessé des centaines d’autres. Serez-vous présent, et allez-vous mobiliser fortement vos amis ?

    Roland Hélie : Bien sûr et je vous félicite pour cette initiative à laquelle j’adhère pleinement. Dès que vous m’avez adressé, mon cher Pierre, l’appel à soutenir Patrick Jardin, je l’ai immédiatement signé et je participerai à la manifestation que vous organisez. Vous pouvez compter sur Synthèse nationale pour relayer cette courageuse initiative. D’ailleurs, notre ami Richard Roudier interviendra le 14 octobre lors de notre réunion à Rungis pour mobiliser les participants afin qu’ils viennent nombreux à la manifestation. Nous savons, vous et moi, que nous pouvons compter sur l’enthousiasme communicatif de Richard pour mener à bien cette tâche.

    Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Roland ?

    Roland Hélie : Partout en Europe et ailleurs, on assiste à des retournements spectaculaires de situation. Partout la volonté destructrice des mondialistes et de leurs valets se heurte au réveil des Peuples. Alors, tant que les patriotes se battront, la France ne sera pas tout à fait morte. Haut les cœurs, les amis, rien n’est perdu…

    Propos recueillis par Pierre Cassen

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