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divers - Page 263

  • Audiovisuel : ne m'appelez plus service public

    6a00d8341c715453ef022ad3b43102200b-320wi.jpgDans son édition du 26 septembre la chronique quotidienne de Valeurs actuelles donnait des indications fort instructives, et inquiétantes, sur la déprogrammation du passage d'Éric Zemmour sur France 2.

    Valeurs actuelles fait le bilan: "Pas de Zemmour dans Histoire d’une nation, la série documentaire de France 2 qui raconte le rôle des immigrés en France de 1870 à 2005, à travers notamment le récit des histoires familiales de certaines personnalités issues de l’immigration. Pas de Zemmour dans Les 4 Vérités, pas de Zemmour dans l’Émission politique, qui reçoit ce jeudi le Premier ministre Édouard Philippe, et pas de Zemmour, donc, dans On n’est pas couché, malgré la volonté de certains animateurs de ces grandes émissions qui se sont systématiquement heurtés à un refus de la chaîne. Son absence du service public télévisuel pour la promotion de son nouveau livre, alors même qu’il constitue l’un des événements médiatique de la rentrée, pose la question de sa censure par la direction de France Télévisions."

    La marée du sectarisme semble ainsi monter comme inéluctablement.

    Or, en bas de page, peut-être simple effet du hasard, car la rédaction ne souligne aucun rapprochement, est publiée entre autres la courbe d'évolution de ce qu'on appelle la redevance. Cette taxe que l'on paye depuis quelques années avec la taxe d'habitation a pour vocation de financer les chaînes publiques de radio et de télévision.

    Il n'est guère possible de s'y soustraire volontairement même si on ne désire jamais écouter les médias contrôlés par l'État.

    Les conditions d'exonération ou de réduction de cette taxe, fixée par la loi de finanaces pour 2018 à 138 euros, en attendant d'être encore augmentée, révèlent d'ailleurs, une fois de plus, les tares du système : les ressortissants de l'outremer, où la plupart des autres prix sont plus élevés, payent 88 euros, et un nombre non négligeable de gâteux ou d'illettrés sont gavés gratuitement de propagande marxisto-gouvernementale.

    Ne laissons pas croire à nos lecteurs francophones résidant à l’étranger qu’en échange de cette contribution, les citoyens de l’Hexagone seraient libérés de la part publicitaire de l’abrutissoir : les chaînes étatiques ont été autorisées à capter une partie des budgets d’annonces qui permettraient au secteur privé de s’exprimer plus librement.

    Par exemple "C'est Canteloup" à 20 h 50 sur TF1[1] constitue, à l'évidence, l’une des rares sources d’information presque objective du PAF. Ici paf ne doit pas être compris comme l'onomatopée retraçant le coup qui nous est assené dans le visage. PAF veut dire paysage audiovisuel français. Et bien entendu l'émission est diffusée par une télévision privée. Si l’on souhaite l'écouter, on supporte patiemment les fadaises publicitaires qui précèdent la séquence, qui sera rehaussée par la collaboration de la ravissante Alessandra Sublet. On sait qu'il s'agit de la rançon de la liberté.

    Si des subventionnaires, surpayés, sectaires et en sureffectif s'emploient à siphonner ces ressources, cela signe aussi les cyniques censures du système.

    Qu'on ne vienne pas parler du rôle régulateur du CSA, qui depuis sa fondation par Mitterrand fonctionne en vue du Contrôle socialiste sur l'audiovisuel. Cette instance est actuellement, depuis 2013 et en principe jusqu'en 2019, présidée de droit divin par Olivier Schrameck. Cet ancien directeur du cabinet et ami de Jospin, pilier de cet hypocrite laïcisme républicain camouflant mal la tyrannie jacobine, ne fait que continuer la longue série de censures feutrées dont l'instance a fait sa fonction.

    Quand nous payons la redevance nous ne payons pas pour un service public mais pour financer à la fois le bourrage de crâne monopoliste de gauche et les sinécures des radioteurs de la médiocrité.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Les internautes ne payant pas encore de redevance au titre de leur ordinateur, nous suggérons à ceux qui ne la connaîtraient pas de prendre connaissance comme échantillon de "C'est Canteloup" du 24 septembre 2018.

    http://www.insolent.fr/

  • Hubert de Mesmay, auteur du livre "Autopsie d'un crash annoncé" (Les Bouquins de Synthèse nationale), sera à Rungis le dimanche 14 octobre prochain...

    3567603837.jpgAu mois de janvier dernier, Hubert de Mesmay, cadre historique du Front national, a publié un livre remarquable, Autopsie d'un crash annoncé cliquez ici, sur l'échec de la Droite nationale à la Présidentielle de mai 12017. Le dimanche 14 octobre prochain, il sera à Rungis à l'occasion de la 12e Journée de Synthèse nationale. Dans cette perspective, notre collaborateur Basile Tomé est allé à sa rencontre. Entretien exclusif.

    Basile Tomé : Hubert de Mesmay, quelles ont été les motivations qui vous ont amené à rédiger (vu de l’intérieur du FN pour lequel vous aviez tant payé de votre personne pendant plus de trois décennies) un tel ouvrage qui prophétisait exactement ce qu’il est advenu du Mouvement (dont sa triste fin par changement du nom) alors qu’il constituait l’espoir de millions de Français ?   

    H M : Quand en septembre 2015 j’ai claqué la porte du Front après l’exclusion de son Président-Fondateur, cela a d’abord été pour moi comme pour nous tous, les proscrits, la sidération, le vide total après des années de combats nationalistes (en ce qui me concerne depuis mes 16 ans du temps de l’Algérie, idéalement poursuivi sans relâche dans le Front de Jean-Marie Le Pen).

    Donc, en fin 2015, pour moi cela a été le désert de Gobi. A posteriori, j’ai une image, celle de l’effondrement du viaduc de l’autoroute de Gênes avec ce cortège de pauvres victimes qui se précipitaient dans le gouffre pour s’y engloutir, comme furent engloutis dans un immense fatras indéfinissable nos rêves de construction d’un avenir national meilleur pour nos enfants et petits-enfants. Nos carcasses gisent encore au fond de nos illusions alors que nous roulions sur une véritable autoroute qui nous rapprochait d’une victoire inéluctable et que jamais nos prédictions lointaines n’avaient été autant validées par les faits.

    Je me suis dit que le premier devoir qu’on devait au peuple des militants héroïques méprisés par ce Néo-FN, aux adhérents lucides et également aux électeurs clairvoyants de Jean-Marie Le Pen, c’était de retracer pour l’Histoire le combat de ces valeureux défenseurs de notre pays, alors que dans le même temps, rien, je dis rien n’était fait par les nouveaux maîtres pour rendre l’hommage qui leur était dû. Bien au contraire, on assistait à des scènes et à des comportements inspirés tout droit de l’imposture  révolutionnaire des années 1789 et suivantes ! Ce livre doit impérativement garnir leur bibliothèque : non pas parce que c’est le mien, mais parce que c’est leur livre, le récit de leur juste combat ;  ils pourront dire à leurs petits-enfants : « J’y étais ; j’en faisais partie ; je les ai soutenus ; j’ai dès le début voté pour eux ; j’étais fier à juste titre de ce FN-là ! » Il était totalement exclu que soient gommées ces myriades de dévouements cachés, effacés leurs sacrifices pour notre Patrie, dans une volonté de faire en bons gauchistes qu’étaient devenus les nouveaux dirigeants, table rase du passé.

    Après, évidemment, j’ai souhaité que soit connue de tous les vérités du terrain cachées par une  mécanique diabolique et perfide dans le moindre de ses détails que j’analyse in vivo, de l’intérieur. S’en est suivie  une mutation contre-nature du FN, une cabale de petits apparatchiks à la solde du duo maléfique Marine/Philippot. Celui-ci a délibérément voulu et organisé méthodiquement la mort du Front national et de ses plus fidèles serviteurs.

    Le fait qu’on m’ait dit à d’innombrables reprises que mon livre « ferait référence dans les instituts d’études politiques d’ici 20 ans » tend à m’indiquer que le but a été atteint. L’intérêt de l’ouvrage  réside à mon sens dans le fait que je ne suis pas un journaliste par définition hostile mais un militant et cadre actif depuis le début qui était au fait de tous les arcanes du Mouvement (j’étais pour commencer Secrétaire départemental de la Somme dès 1985) et ceci - jusqu’à la dernière minute - de toutes les fédérations par lesquelles je suis passé.

    Si j’ai beaucoup voyagé au FN, c’est que j’avais également ma carrière professionnelle à assurer dans une symbiose très délicate pour fait de terrorisme intellectuel ambiant, comme l’on s’en doute. Le livre est donc truffé d’anecdotes authentiques que j’ai vécues soit en tant qu’acteur assidu et permanent du combat politique au sein du Front, soit en tant qu’observateur de l’intérieur ; un Philippot peut raconter ses sornettes  entre 2012 et 2017 au peuple français et aux adhérents, il ne peut pas le faire impunément devant moi, et je le démontre abondamment dans cet ouvrage (et le démonte allégrement) ? De plus, le sujet étant suffisamment attristant, j’ai toujours mis le maximum d’humour dès que je le pouvais parce qu’aussi ça répond à mon caractère, même dans l’adversité, on peut voir le côté amusant des choses : je ne m’en prive pas ni n’en prive les lecteurs.

    Les critiques sont excellentes qui vantent autant l’intérêt de l’ouvrage que sa qualité littéraire ». Jean-Marie Le Pen l’a même qualifié de « remarquable » sic. Rivarol notamment, souligne la nécessité de « lire ce témoignage vibrant, poignant et authentique » même la presse régionale (Var Matin, Nice Matin) l’a cité abondamment dans son Livre du Jour, avez-vous déjà écrit d’autres ouvrages ?

    H M : A vrai dire, à part une thèse de doctorat de droit civil avec quatre lecteurs au moins - les membres du jury - de la Fac de Paris Panthéon, et quelques poignées d’étudiants, non ! Donc, je sais déjà que j’ai battu mon record de lectorat (rires).

    Après les électeurs, je compte les lecteurs ! Mais vous soulevez avec bienveillance les critiques indulgentes qui ont sanctionné ce livre ; moi je regrette surtout qu’une certaine presse nationale dite « amie » m’ait parfaitement et délibérément boycotté : il est vrai que  je n’ai jamais eu peur de dire les vérités qui fâchent et décortiquer les procédés peu glorieux du néo-FN mis ainsi en lumière et que cela ne plait pas à tout le monde. Et que certains craignent de déplaire aux nouveaux maîtres du Kremlin nanterrois. Pas moi !

    Témoignage vibrant certes, car je vivais ce FN de toutes les fibres de mon être, témoignage vivant aussi car j’entendais chaque fois que cela était possible rendre l’hommage dû à ceux qui nous ont quittés, comme Jean-Pierre Stirbois, pour n’en citer qu’un afin que l’on ne les oublie pas sous  les sombres magouilles de cette entreprise de mise à mort du vrai Front. Un Parmi les meilleurs ! Je dis quelque part dans l’Autopsie d’un crash annoncé que lui vivant, rien du crime qui a été perpétré contre le FN n’eût été possible. Sa mort a été un tournant déterminant pour (je dirais plutôt : contre) notre Mouvement.

    Y a-t-il eu d’autres motivations pour publier cet ouvrage ?

    H M : L’une de mes autres préoccupations était de démontrer qu’en politique la trahison des fondamentaux qui ont fait la force d’un mouvement était une folie absolue… une pure sottise de gueux qui n’ont rien compris ni aux ressorts de notre combat presque cinquantenaire ni à la force des événements actuels qui devrait au contraire nous inviter à afficher nos couleurs ! 

    Un dernier mot ?

    H M : je terminerai avec le témoignage d’un ami, Bruno Ligonie, qui à quelques semaines de perdre le combat de la maladie qui le rongeait et présentant l’Autopsie eut ces paroles « J’ai beau avoir 25 ans de militantisme, c’est incroyable tout ce que j’ai appris dans le livre d’ Hubert que j’ai dévoré en deux jours » Magnifique combattant FN qui fut l’exemple-même de ces hommes de dévouement et d’honneur dont je retrace le valeureux combat d’hommes libres au service d’un chapitre d’exemplarité inscrit pour toujours dans l’histoire de France.

    Autopsie d'un crash annoncé, Hubert de Mesmay, Les Bouquins de Synthèse nationale, 280 pages, 23 € cliquez ici ou Bulletin de commande

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/09/25/hubert-de-mesmay-auteur-du-livre-autopsie-d-un-crash-annonce-les-bouquins-d.html

  • Derrière la procédure de sanctions contre la Pologne, l’ombre de George Soros…

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    Bon, je sais, c’est un peu facile d’accuser George Soros pour tout et n’importe quoi, mais c’est difficile d’éviter ce travers alors que son organisation Open Society Foundations arrose vraiment beaucoup de monde. Du coup, quand la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures (LIBE) du Parlement européen se rend en Pologne pour aider son président Claude Moraes à préparer un rapport sur les violations de la démocratie et de l’État de droit en Pologne, c’est un peu l’homme de Soros au Parlement européen qui rend visite aux gens de Soros en Pologne.

    Le président de la Commission LIBE Claude Moraes, un travailliste britannique d’origine yéménite, est en effet mentionné comme « allié fiable » pour quasiment tous les thèmes chers à Soros dans le document de 177 pages Reliable allies in the European Parliament (2014-2019) de l’OSF (Open Society Foundations, réseau de fondations créé par George Soros) divulgué par DCLeaks en 2016. Sa fiche indique qu’il présente un intérêt pour la promotion des libertés civiques, du droit d’asile, de l’immigration, des droits de l’homme, des droits de toutes les minorités, y compris ethniques et LGBTI, et qu’il est facile à gagner à la cause d’OSF et mérite un « engagement intensif » de la part d’OSF.

    Qui donc M. Moraes, rapporteur pour la Pologne dans le cadre de la procédure de sanction contre la Pologne sous le régime de l’article 7, avait-il choisi de rencontrer à Varsovie pour entendre parler de la démocratie et de l’État de droit en Pologne ? Uniquement des organisations de gauche, pro-LGBT et pro-avortement, dont beaucoup sont financées par… l’OSF de George Soros.

    Les députés Marek Jurek et Nicolas Bay ont réussi à imposer l’audition d’une organisation conservatrice, l’association d’avocats et juristes pro-vie et pro-famille Ordo Iuris, mais les députés Moraes, Sargentini (la députée verte néerlandaise qui a préparé le récent rapport à charge contre la Hongrie) et Spinelli (députée communiste italienne) ont efficacement empêché les juristes d’Ordo Iuris de parler de démocratie et d’État de droit en Pologne en les harcelant sur les questions d’avortement, qui n’entrent pourtant pas dans les compétences de l’Union européenne.

    En outre, alors qu’une heure avait été prévue au départ, le président de la Commission Claude Moraes a réduit ce temps à vingt-cinq minutes, contre environ cinq heures consacrées aux auditions des organisations de gauche.

    Par ailleurs, le député polonais de droite Marek Jurek avait été exclu de la délégation par le président Moraes, soutenu par la majorité de sa commission, au prétexte (qui n’est pas invoqué d’habitude pour ce genre de missions) qu’il ne fallait pas de Polonais pour « garantir une pleine objectivité ».

    Sur les organisations de gauche auditionnées, celles qui sont financées au moins en partie par l’OSF de Soros étaient largement majoritaires : Amnesty International Pologne, Fondation Helsinki des droits de l’homme, Fondation Batory (qui a même la particularité d’avoir été créée par George Soros à la fin des années 80 avec l’assentiment du régime communiste), les « marches noires » (Czarny Protest) contre l’avortement et la Fédération pour les femmes et du Planning familial (Federacja na rzecz Kobiet i Planowania Rodziny).

    Pour ce qui est des rencontres avec les journalistes, sur quatre médias représentés (tous quatre très hostiles au PiS), deux (le quotidien Gazeta Wyborcza et la radio Tok FM) appartiennent au groupe Agora, qui compte parmi ses actionnaires une fondation de… George Soros.

    Nicolas Bay est parvenu, en insistant, à faire accepter l’audition du journaliste d’un quotidien catholique, mais le secrétariat de Moraes s’est arrangé pour le faire venir après le départ de quatre députés (dont Moraes) sur sept que comptait la délégation de Varsovie, c’est-à-dire pour le vendredi 21 septembre à 16 h 30. Du coup, pour écouter ce journaliste parler de la liberté des médias en Pologne, il y avait, mis à part Noëlle Bergeron (ex-FN, aujourd’hui non-inscrite affiliée au groupe de Nigel Farage), deux députées d’extrême gauche qui comptent aussi parmi les « alliés fiables » de l’OSF au Parlement européen, à en croire le document divulgué par DCLeaks : Judith Sargentini et Barbara Spinelli, qui ont à nouveau tenté de dévier la conversation vers l’avortement afin d’empêcher le journaliste de parler de liberté des médias.

    Il n’est donc pas exagéré de dire que le rapport Moraes sur la Pologne sera, en fait, avant tout, un rapport Soros sur la Pologne.

    Olivier Bault

    http://www.bvoltaire.fr/derriere-la-procedure-de-sanctions-contre-la-pologne-lombre-de-george-soros/

  • Identité et immigration : que répondre aux catholiques pro-migrants ? (Julien Langella)

  • Les reportages d’ERTV – Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac font le point sur le nationalisme français

    arton52079-f9d9c.jpgLe 4 juin 2018, Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac comparaissaient à la 12ème chambre correctionnelle du TGI de Lyon pour « reconstitution de ligue dissoute ». L’occasion pour les reporters d’ERTV d’interroger ces militants de longue date à propos de la situation du nationalisme en France. 

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-reportages-d-ERTV-Yvan-Benedetti-et-Alexandre-Gabriac-font-le-point-sur-le-nationalisme-52079.html 

     

  • Zoom : Le général Martinez, un volontaire pour la France

  • Jean-Yves Le Gallou : « Macron, c’est le président des Autres ! »

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    Sur Radio Courtoisie, Jean-Yves Le Gallou a tenu à rappeler qu’Emmanuel Macron n’était pas le président des Français mais plutôt celui des « Autres ».
    Un terme lumineux employé pour la première fois par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples, qui sera en conférence le 2 octobre prochain à Paris sur le thème : La stratégie du chaos, arme de la super-classe mondiale.

     https://www.polemia.com/jean-yves-le-gallou-macron-president-autres/

  • Plus de 2 millions de spectateurs ont regardé des jeunes filles qui font le choix de garder leur enfant

    Plus de 2 millions de spectateurs ont regardé des jeunes filles qui font le choix de garder leur enfant

    Sur M6, Zone Interdite se penchait sur ces adolescentes qui tombent enceintes et qui décident de poursuivre leur grossesse. L’équipe d’Ophélie Meunier s’est intéressé au choix d’une vie : 2 208 000 téléspectateurs étaient devant la sixième chaîne, soit 10,5% de part de marché.

    Une des jeunes filles a décidé de garder (et donc de sauver) son enfant après “un premier avortement traumatisant à 16 ans”.

    En France, 30000 adolescentes sont enceintes chaque année et un tiers d’entre elles mènent leur grossesse à terme.

    Qu’est-ce qui pousse ces jeunes filles à devenir mères aujourd’hui ? Souvent la seule solution qu’on leur donne, c’est d’avorter.

    Revoir l’émission.