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divers - Page 257

  • Vincent Lapierre à la rencontre du public de Zemmour

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    Vincent Lapierre s’est rendu à la “Nouvelle Librairie” lors de la séance de dédicace d’Eric Zemmour. Moment drôle quand le libraire refuse de répondre aux questions de l’équipe du Quotidien de Yann Barthes et fait passer Vincent Lapierre devant leur nez.

  • Zoom – Jean-Christophe Buisson : “Les grands vaincus de l’histoire”

  • La nécessité de rendre du pouvoir au pouvoir

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    Ligne Droite cliquez ici

    Si la droite nouvelle arrivait aujourd’hui au pouvoir, elle n’aurait pas le pouvoir de mettre en œuvre son projet. Pour Ligne droite, sa première priorité devrait donc être de reconquérir le pouvoir, c’est-à-dire de retrouver une capacité d’agir que les présidents et les gouvernements qui se sont succédé ont progressivement perdue au profit de Bruxelles, des juges et des médias.

    La crise du politique : les politiques impuissants

    Là réside d’ailleurs l’origine de la crise du politique. Celle-ci en effet ne s’explique pas par les affaires de corruption qui éclaboussent régulièrement certains hommes publics. Elle ne vient pas non plus des privilèges dont ils bénéficieraient et qui les couperaient de la vraie vie. Et elle ne trouve pas non plus sa cause dans la prétendue non représentativité du monde politique qui comporterait trop peu de femmes, trop de fonctionnaires et insuffisamment de jeunes. La cause profonde se situe en effet ailleurs : elle tient au fait que les politiques, même au plus haut niveau, sont dorénavant dépourvus de vrai pouvoir. En tout cas, ils n’ont plus une réelle capacité de changer le réel et de résoudre les problèmes du pays par de profondes réformes.

    D’ailleurs, les équipes se succèdent sans que rien ne change vraiment, au point que les Français éprouvent de plus en plus le sentiment que les élections ne servent à rien puisqu’après chaque vote tout continue peu ou prou comme avant. La vraie cause de la crise c’est donc bien l’impuissance du pouvoir et cette tare est pour un homme politique la pire qui soit, car la qualité première qui est demandée à un responsable public ce n’est ni la probité, ni l’empathie, ni le charisme médiatique, c’est la puissance, c’est-à-dire la force pour agir.

    Les politiques soumis aux juges, à Bruxelles et aux médias

    Depuis des décennies, les hommes au pouvoir se sont laissé déposséder d’une très large part de leurs prérogatives. Il y a d’abord eu la manie de confier ce qui dépendait autrefois de la décision d’un ministre à des commissions, hautes autorités et autres comités libérés de la tutelle politique et prétendument indépendants. Mais, surtout, c’est le pouvoir des juges qui a considérablement progressé aux dépens du pouvoir exécutif et législatif, au point que le Parlement se trouve désormais placé sous la tutelle du Conseil constitutionnel. Aucune loi ne peut en effet entrer en application sans que ce dernier l’ait approuvée et il ne l’approuve que si elle est conforme à la pensée unique. De même, dans l’exercice quotidien du pouvoir, le gouvernement se heurte maintenant régulièrement au Conseil d’État, à la Cour de cassation, voire à des juridictions de rang inférieur qui entravent fréquemment son action.

    À cela s’ajoutent les pouvoirs exorbitants des médias, qui disent ce qui est bien et ce qui ne l’est pas, n’hésitant pas à organiser des cabales contre les hommes publics qui sortent du cadre politiquement correct défini par eux. Et, pour couronner le tout, il y a la Commission de Bruxelles qui étend au maximum ses prérogatives, multipliant règlements et directives qui s’imposent aux États et limitent encore davantage le pouvoir des responsables politiques.

    Rétablir la prééminence du pouvoir politique

    Afin de permettre aux gouvernants de gouverner, Ligne droite estime donc nécessaire de rétablir la prééminence du pouvoir politique. Pour cela, il faut mettre un terme au gouvernement des juges et prévoir notamment un droit de recours des décisions du Conseil constitutionnel ainsi qu’un ensemble de dispositions propres à remettre à leur place les différentes juridictions aujourd’hui trop envahissantes (voir les textes sur ce sujet). Face à la Commission de Bruxelles, il importe notamment de rétablir la supériorité du droit français sur le droit européen avant de refonder l’Europe sur de nouvelles bases respectant mieux les prérogatives quotidiennes des États. Enfin, il faut desserrer le carcan du pouvoir médiatique. À cet égard, le gouvernement dirigé par la droite nouvelle devrait se doter d’une puissante agence de communication ainsi que d’une chaîne de télévision afin que son action ne soit plus présentée exclusivement à travers le filtre de médias a priori hostiles.

    Arrivant aux responsabilités, les chefs de la droite nouvelle devraient se donner comme priorité de rétablir les prérogatives souveraines du pouvoir sans lesquelles ils n’auraient pas la capacité d’agir pour le bien commun.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Bistro Libertés avec le sénateur Stéphane Ravier (RN)

    Caroline Parmentier et Martial Bild reçoivent le sénateur des Bouches-du-Rhône, Stéphane Ravier. Ils débattent du racisme anti-blanc et des dégradations de boucheries par des militants vegans.

     
  • Comment contourner la répression grâce au Bitcoin – Jérôme Barbet (Les Identitaires)

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    Depuis plusieurs mois, nos opposants politiques cherchent à nous asphyxier financièrement en faisant fermer nos comptes bancaires et nos plateformes de paiement en ligne. Il est désormais possible de contourner ces moyens de paiement traditionnels grâce aux cryptomonnaies. Vous pouvez soutenir les identitaires en faisant un don en Bitcoin ou en Etherum.

    Qu’est-ce que le Bitcoin ?

    Le Bitcoin est une nouvelle monnaie virtuelle dont on entend de plus en plus parler dans les médias. Bulle spéculative ou révolution, des points de vue très tranchés existent et s’affrontent. Cette cryptomonnaie est un OVNI : elle bouleverse tous les schémas établis, réunissant parmi ses utilisateurs les milieux du web-anarchisme, les libertariens et dorénavant les identitaires. Parmi ses plus fervents opposants, on trouve les banques (centrales ou d’affaires), des économistes médiatiques, certains financiers et des politiques de tous bords.

    La blockchain, qu’est-ce que c’est ?

    Le Bitcoin a un futur incertain, en revanche une chose est sûre, il s’appuie sur une technologie nouvelle qui va probablement envahir notre quotidien dans les prochaines années. Il s’agit de la blockchain (dont la traduction en français est chaîne de blocs), une technologie qui permet de stocker et transmettre des informations de manière transparente, sécurisée et sans organe central de contrôle. La blockchain peut être utilisée de trois façons : pour du transfert d’actifs (monnaie, titres, actions…), pour une meilleure traçabilité d’actifs et produits, et pour exécuter automatiquement des contrats (des smart contracts). La grande particularité de la blockchain est son architecture décentralisée, c’est-à-dire qu’elle n’est pas hébergée par un serveur unique mais par une partie des utilisateurs. Il n’y a aucun intermédiaire pour que chacun puisse vérifier lui-même la validité de la chaîne. Les informations contenues dans les blocs (transactions, titres de propriétés, contrats…) sont protégées par des procédés cryptographiques qui empêchent les utilisateurs de les modifier a posteriori.

    Comment utiliser les Bitcoins ?

    Le Bitcoin est le cas d’usage le plus connu de la blockchain. Il désigne à la fois un protocole de paiement sécurisé et anonyme et une crypto-monnaie. N’importe qui peut accéder à cette blockchain et donc utiliser des bitcoins. Pour ce faire, il suffit de créer un portefeuille virtuel, en passant par exemple par ce site. La crypto-monnaie permet d’acheter des biens et services et peut être échangée contre d’autres devises.

    Le Bitcoin en politique

    Au-delà de l’innovation technologique considérable représentée par la blockchain (permettant d’effacer les intermédiaires), qui est en soi politiquement neutre, plusieurs courants idéologiques ont décidé de s’en emparer et d’en faire la promotion. Les milieux patriotes par exemple voient d’un bon œil la possibilité d’un outil leur permettant d’outrepasser la censure des GAFA (Google Amazon Facebook Apple) et des différentes plateformes de paiements soumises à des pressions politiques. Steve Bannon, l’ancien proche conseiller de Donald Trump en fait sans cesse la promotion et le Bitcoin est également utilisé par la célèbre YouTubeuse américaine Lauren Southern (proche de Génération Identitaire), plusieurs fois bannie par certaines plateformes de paiements.
    Le Bitcoin pour contourner la répression

    Tant que nos mouvements (comme Génération Identitaire récemment, dont les moyens de paiements ont été supprimés sous pression de l’extrême-gauche, quelques mois après la perte du compte bancaire de l’association suite à une campagne de harcèlement) continueront d’être dans le viseur du pouvoir, toute initiative visant à gagner en autonomie et en indépendance vis-à-vis de l’État, des GAFA et du système bancaire est à encourager. Que le Bitcoin soit une réelle alternative monétaire ou non, il est en tout cas aujourd’hui le moyen idéal pour contourner la répression dont nous sommes la cible.

    La Blockchain comme alternative aux GAFA

    La blockchain va apparaître de plus en plus comme la possibilité de créer une alternative aux GAFA (Google Amazon Facebook Apple), éventuellement avec des réseaux sociaux décentralisés s’appuyant sur cette technologie. Nous assisterons donc à l’émergence d’un pôle de résistance et de liberté se dressant en contre-modèle face à cette tentative monopolistique de créer une dictature numérique par ces géants du web. Un contre-pouvoir rendu chaque jour plus nécessaire, tant les libertés sur internet ne cessent de reculer.

    Jérôme Barbet

    Texte repris du site de : Les Identitaires

    Vous pouvez facilement vous procurer et envoyer du Bitcoin en passant par ce site. Une fois votre compte créé, il vous suffira de l’alimenter par virement bancaire, puis vous pourrez effectuer très facilement des paiements depuis la rubrique retirer des bitcoins.

    Les identitaires acceptent les dons en cryptomonnaies :
    Adresse Bitcoin : 1EQXFUhbbxsgBbQ5cpujtkp5pMDxGWfiJi
    Adresse Etherum : 0x88FC007c6bA257CC01ceA697513587fFBb1b1BeC

    Génération Identitaire accepte également les dons en cryptomonnaies :
    Adresse Bitcoin : 1JAWpHj7B3n1t4Xa3iQB2Bcq64v64ofz4B
    Adresse Etherum : 0x0CDE4EbdFF145Fd1583287a00992de4c935c4f15

    https://fr.novopress.info/212201/comment-contourner-la-repression-grace-au-bitcoin-jerome-barbet-les-identitaires/

  • De nombreuses épouses se plaignent que l’usage de la contraception a conduit leurs époux à les traiter comme des objets sexuels

    De nombreuses épouses se plaignent que l’usage de la contraception a conduit leurs époux à les traiter comme des objets sexuels

    Extrait d’un article de L’Homme Nouveau sur la contraception :

    En tant que psychiatre catholique ayant travaillé quarante ans avec des milliers de couples mariés, de familles et de jeunes,Rick Fitzgibbons, directeur de l’Institut de thérapie conjugale à l’extérieur de Philadelphie, rejoint aussi à son niveau scientifique Marianne Durano et Paul VI dans Humanæ Vitæ, lorsqu’il avertit :

    « De nombreuses épouses se plaignent que l’usage de la contraception a conduit leurs époux à les traiter comme des objets sexuels. (…) La maltraitance silencieuse des épouses a contribué, selon le résultat des recherches [d’une importante étude de l’Université de Minnesota], à ce que 70 % des divorces soient initiés par des épouses, et de façon surprenante, dans des mariages présentant un faible niveau de conflits ouverts… ».

    Le prétendu « sexe sûr », par le moyen de la contraception, est un cheval de Troie dans la citadelle civilisationnelle du mariage et de la famille. Il aboutit à la perte de la vérité sur soi-même, sur le couple et sur la famille, et par conséquent à la perte de l’amour lui-même.

    https://www.lesalonbeige.fr/de-nombreuses-epouses-se-plaignent-que-lusage-de-la-contraception-a-conduit-leurs-epoux-a-les-traiter-comme-des-objets-sexuels/

  • François Bousquet : « La France profonde est derrière les idées de Zemmour »

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    Éric Zemmour était présent, ce mercredi 26 septembre, pour dédicacer son dernier livre Destin français à la Nouvelle Librairie.

    Boulevard Voltaire a interrogé le fondateur de cette librairie, François Bousquet. Il évoque les pressions subies de la part des groupuscules d’extrême gauche autour de cet événement et le succès rencontré auprès des lecteurs parisiens, malgré les tentatives d’intimidation.

    Nous sommes à La Nouvelle Librairie. Vous recevez Éric Zemmour pour une signature de son dernier livre.
    C’est une visite sous tension. Vous avez reçu de nombreuses menaces.

    Oui, en effet. Les antifas ont mis la pression sur la librairie. Ils ont dégradé la devanture avec des stickers, des autocollants et des tags. Ils ont dégradé le rideau de fer et ils ont surtout envoyé une invitation sur internet à venir nous  »sbodifier », c’est un terme tiré de l’arabe. C’est un mot argotique qui s’est imposé en France en 2005 à la suite des émeutes de banlieues.  »Sbotifier », c’est foutre le bordel au sens où on le fout dans les banlieues. En clair et en un seul mot, détruire la librairie.
    Nous avons porté plainte. Le dépôt de plainte a été pris en compte par la police et la préfecture. Il y a une sécurité policière. Nous avons nous-mêmes une sécurité privée. Il est assez surréaliste de devoir sécuriser à nos frais une signature d’un des auteurs français vivants qui vend le plus. On nous reproche de piétiner la liberté d’expression, mais en réalité, on nous piétine et on piétine la liberté d’expression.
    Dieu merci, Zemmour et la librairie ont résisté.
    Vous avez ouvert cette Nouvelle Librairie rue Médicis. Pour les lecteurs qui ne sont pas parisiens, c’est un haut lieu du Quartier latin. Pour être un peu caricatural, ce quartier est sous domination de gauche depuis mai 68.
    Vous attendiez-vous à de telles réactions de la part de l’extrême gauche lorsque vous avez ouvert ?

    On s’y attendait sans s’y attendre. On s’attendait à gêner. Ça fait 50 ans que l’on a déserté ce quartier qui est l’épicentre de la vie intellectuelle. Or, sur le symbole, c’est central. Occuper le Quartier latin, c’est rendre nos idées visibles. On savait que nous allions déranger.
    Sauf que les antifas ont pris des habitudes d’impunité incroyables. On les a vus à Angers, à Paris, Rennes, Toulouse et Lille. Ils entrent chez vous comme si c’était chez eux. Ils vous menacent physiquement, ils vous agressent, vous défient front contre front. Ils dégradent votre vitrine et ressortent comme s’ils n’avaient rien fait et qu’ils étaient porteurs d’une justice immanente. C’est ça désormais un antifa.
    Je ne suis pas naïf, mais je ne pensais pas qu’ils étaient habités par un tel sentiment d’impunité. C’est vraiment une découverte. On est vraiment harcelé, mais on résiste.
    Ce soir, la manifestation est un immense succès. Le public résiste. Le paradoxe de notre époque est qu’il y a un hiatus entre les élites et la France profonde qui est majoritairement derrière les idées de Zemmour. Quand on regarde les sondages, 2/3 des Français sont pour le contrôle des frontières, mais ce pourcentage n’apparaît pas dans les médias centraux. L’université a été colonisée par le gauchisme culturel. Nous, nous sommes installés là précisément pour mettre un caillou dans la chaussure du gauchisme culturel.
    Pour répondre aux intimidations, vous avez invité l’un des polémistes les plus attaqués par la gauche ces dix dernières années.

    L’invitation avait été programmée avant le déclenchement des polémiques.
    Si vous vous en souvenez bien, les polémiques ne sont pas le fait d’Éric Zemmour.
    L’information a filtré, mais on a quand même maintenu la signature dans un contexte de polémiques, d’énervement et d’hystérie. C’est une hystérisation pour une question de prénom. La question du prénom est une tempête dans un verre d’eau. Désormais, on considère qu’une tempête dans un verre d’eau est une tempête de force 12. Cela veut dire que la question du prénom est un cyclone médiatique. C’est complètement dérisoire. Il faut remettre les choses à leur place. C’est une polémique autour du prénom comme la vie intellectuelle et la vie littéraire en a toujours porté. C’est un phénomène habituel, sauf qu’autrefois cela se faisait entre gentlemen. Désormais, ce sont des voyous.

    http://www.bvoltaire.fr/francois-bousquet-la-france-profonde-est-derriere-les-idees-de-zemmour/