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divers - Page 259

  • Livre : Devenir un barbare, de Jack Donovan

    41ZAzMSPASL._SX333_BO1204203200_-335x475.jpgOn peut être gay, américain et porter une vision massivement illibérale du monde. La preuve par Jack Donovan, figure de l’alt-right américaine, provocateur ultraréactionnaire, homosexuel et néo-païen. Pour Jack, la voie des hommes, c’est « la voie de la chasse en horde ». Jack Donovan s’oppose aux chimères d’une évanescente « conscience globale » et pulvérise l’imposture de la bonté universelle. Dans Devenir un barbare, il s’attaque à « l’Empire du Rien » et enseigne avec pédagogie les fondamentaux de la pensée tribale. Voilà donc un livre qui tombe à point nommé, c’est-à-dire au moment précis où notre Europe est livrée sans combattre aux hordes ethniques, l’accueil de l’« autre » s’effectuant au nom d’un bien étrange universalisme compassionnel.

    Ontologiquement, « l’Empire du Rien », c’est le vide émasculé de la vie moderne, le déracinement et le désespoir rédimés par un moralisme à prétention universelle.

    Matériellement, c’est le syndicat des intérêts croisés des sociétés transnationales, des médias, des institutions financières.

    Dans ce monde, la veulerie supplante l’honneur. Plus de dieux ni de héros, puisqu’il n’y a plus de monstres ni de dragons (cela effraye les consommateurs).

    Le peuple de l’Empire a été persuadé que liberté est synonyme de licence. Il croit donc qu’il est libre parce qu’on lui permet de se défoncer ou de changer de sexe ad libitum. L’inclusion, c’est bon pour le business.

    Les mouvements de justice sociale « travaillent à imposer des “droits humains” qu’ils ont élaborés sur la tête de gens qu’ils n’ont jamais vus ».

    Ce non-sens paralysant conduit les hommes à se disputer sur des questions sur lesquelles ils n’auront jamais aucun contrôle. La manipulation de masse est au bout de ce chemin de bonne volonté universelle. Des institutions internationales placent une morale hors-sol abstraite au-dessus des exigences concrètes de leur mandat. Voir le traitement de la question migratoire par l’Union européenne.

    Mais que se passerait-il si nous cessions de prétendre nous soucier de tout ?

    L’universaliste, qui n’a pas à s’occuper concrètement de ses proches, revendique la responsabilité du bien-être de l’humanité entière. Mais l’universaliste n’a rien d’un dieu omniscient ; il n’est qu’une « faillite nauséabonde ».

    Le barbare reconnaît que d’autres ont des intérêts et des valeurs irréconciliables avec les siens.

    Il « met fin aux relations sans signification, unilatérales et fantasmatiques ». Car l’amour est un choix, un acte discriminatoire.

    Adopter le style de vie barbare, c’est devenir plus lié à la communauté et moins lié à l’État.

    C’est en défendant la frontière tribale, en tuant la bête qui menace ses proches que les hommes trouvent l’accomplissement de leur « voie virile ». Car il ne suffit pas de simplement rejeter la douceur méprisable de la modernité et la solution ne consiste pas à revenir à l’individualisme atomisé, mythe libéral. Dans l’état de nature, les hommes n’ont aucun droit. La tribu offre une protection contre les dangers et un mécanisme communautaire permettant de régler les différends. « Le vagabond individualiste est une anomalie déviante. »

    Le barbare ne s’excuse pas pour sa virilité et ne se satisfait pas de la médiocrité. Il deviendra donc un paria et ne pourra survivre seul ; sa seule option est celle du tribalisme. « On ne peut s’opposer au broyeur de viande de l’ensemble universel que par la séparation tribale. »

    S’agit-il d’être fair-play avec « l’Empire du Rien » ? Certes pas. Le barbare « prend à l’Empire pour son peuple et ne donne rien à l’Empire en retour » ; il passera donc le changement de vitesses moral, cessant de penser en citoyen d’un Empire qu’il n’hésitera plus à piller.

    Pas mon peuple, pas mon problème.

    Thierry Thodinor

    http://www.bvoltaire.fr/livre-devenir-un-barbare-de-jack-donovan/

  • Diapositive1.jpg Communiqué de l'Entraide savoyarde : L’association Entraide savoyarde recevra Hristo Xiep le samedi 20 octobre 2018 à 15h00 à Aix-les-Bains pour une conférence où il évoquera la problématique de la manipulation de l’opinion en France, ta

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    Communiqué de l'Entraide savoyarde :

    L’association Entraide savoyarde recevra Hristo Xiep le samedi 20 octobre 2018 à 15h00 à Aix-les-Bains pour une conférence où il évoquera la problématique de la manipulation de l’opinion en France, tant par les partisans de l’Amérique (Oceania) que de la Russie (Eurasia), à la lumière de l’œuvre de George Orwell.

    A la suite de sa conférence, Hristo Xiep dédicacera ses brochures « Ce que j’en dis… »

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • 18 millions de familles en France, mais pas de ministère de la famille

    18 millions de familles en France, mais pas de ministère de la famille

    La Manif Pour Tous regrette vivement, une nouvelle fois, l’absence d’un ministère de la Famille dans le gouvernement d’Edouard Philippe :

    Elle s’étonne de ce manque criant, alors même que les familles sont le cœur de la société, le garant de sa cohésion, le premier lieu de l’éducation des jeunes et de la solidarité intergénérationnelle, le moteur de l’économie.

    Alors, pourquoi les familles sont-elles victimes de cet oubli ?  Mais est-ce un oubli alors que la première préoccupation relevée par En marche en 2016 lors de son tour de France était la famille ?

    Rien n’est moins sûr à vrai dire. Cette absence, la seconde après le premier gouvernement Philippe, révèle l’esprit d’une époque et plus particulièrement celui de l’actuel pouvoir.

    De fait, il est bien connu que nous vivons aujourd’hui le triomphe de l’individualisme, illustré par la revendication, élevée au rang de dogme, de l’autonomie, couplée à celle des droits individuels.

    L’affaiblissement méthodique des mesures familiales depuis François Hollande, poursuivi par Emmanuel Macron, montre bien que les familles sont considérées comme des foyers, si ce n’est hostiles au pouvoir, en tout cas secondaires par rapport à l’individu.

    La conséquence est le développement d’une société liquide où l’unique référence est l’individu intégré par son acte de consommation comme l’analysait le philosophe Zygmunt Bauman.

    Quant au gouvernement d’Edouard Philippe, il amplifiera le traitement social des familles, ce qui est bien, mais ce qui ne suffit pas. Car c’est en amont qu’il faut agir, en aidant les hommes et les femmes qui s’engagent dans la vie de famille.

    Sans ministère de la Famille, le gouvernement se prive – et prive au passage les Français – d’un ministre qui soit à la fois un réceptacle des besoins, une force de proposition et une tour de contrôle de la politique familiale.

    C’est aussi priver la France d’une politique qui prenne en charge la question fondamentale, sans laquelle il ne sert à rien de bâtir le futur économique, et donc des retraites notamment, de notre pays : la démographie. Depuis trois ans, elle est en chute libre, mais, en dépit de l’inquiétude exprimée par Edouard Philippe en juillet 2017, c’est le vide intersidéral du point de vue des actes.

    Les Français ne manqueront pas de payer l’absence d’un ministère de la Famille pendant tout le quinquennat d’Emmanuel Macron et durant de longues, très longues années ensuite.

    https://www.lesalonbeige.fr/18-millions-de-familles-en-france-mais-pas-de-ministere-de-la-famille/

  • XIIème Journée de Synthèse Nationale : le bilan !

    Hier se tenait à Rungis la XIIème Journée Nationale et Identitaire organisée par Synthèse Nationale et Roland Hélie.

    Comme chaque année, la Dissidence Française était présente à cet évènement majeur de l’année nationaliste. En fin de matinée, Vincent Vauclin est intervenu à l’occasion d’un discours sur le thème de la reconquête nationale, sociale et identitaire.

    Toute la journée, nos militants ont pu échanger avec de nombreux intéressés autour de notre stand où tracts, stickers et t-shirts étaient proposés.

    Une franche réussite pour cette journée de convergence nationale qui a réuni plusieurs centaines de personnes autour d’un mot d’ordre : ne laissons pas mourir la France !

  • Le meeting politique de la 12e Journée de Synthèse nationale

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    Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale

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    Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

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  • Seconde Table-ronde consacrée à la nécessaire réinformation

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    Table-ronde dirigée par Luc Pécharman

    au cours de laquelle passèrent dans l'ordre :

    Marie-Jeanne Vincent du site "Nous sommes partout"

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  • Charles Millon : Les communes peuvent être de véritables laboratoires pour une politique au service du bien commun

    Charles Millon : Les communes peuvent être de véritables laboratoires pour une politique au service du bien commun

    Charles Millon est bien connu des lecteurs du Salon Beige pour son engagement politique. Député mais aussi ministre de la Défense dans deux gouvernements d’Alain Juppé de mai 1995 à juin 1997, il a été élu Président du Conseil régional de Rhône-Alpes et maire pendant vingt-quatre ans de la ville de Belley.

    Fondateur du réseau de l’Avant-Garde, il est à l’origine d’une formation pour les candidats aux municipales.

    Il a répondu aux questions du Salon Beige. 

    Monsieur le Ministre, pourquoi pensez-vous qu’il faille s’investir dans ces élections qui auront lieu en 2020 ?

    Avec l’élection d’Emmanuel Macron, notre pays a signé pour cinq nouvelles années de déconstruction. La situation peut sembler sans issue mais à l’échelle locale, il est possible de reconstruire des communautés de destin, comme Gustave Thibon les définissait. Si à l’échelle nationale, nos élites politiques ne partagent plus matériellement ni spirituellement une existence commune, le maire, lui, est soumis aux mêmes risques et poursuit les mêmes buts que ses électeurs. Il vit dans une sorte de coude à coude quotidien avec eux. Les communes peuvent être donc de véritables laboratoires pour mettre en place une politique au service du bien commun.

    Les élections de 2020 sont une très belle opportunité pour permettre à une nouvelle génération politique de s’emparer des rênes de plusieurs dizaines de communes, d’acquérir ainsi, une expérience et une légitimité politiques pour, pourquoi pas, un jour prendre les rênes de notre pays !

    Cet été, l’opinion publique a été alertée par le nombre important de maires qui préfèrent démissionner. Cette situation ne révèle-t-elle pas les difficultés croissantes d’un tel mandat ?

    Il est vrai que, depuis l’élection d’Emmanuel Macron, 386 maires ont démissionné. C’est un chiffre record dont la tendance depuis 2014 ne cesse de s’accélérer. Une des raisons principales de cette situation est le sentiment des élus locaux d’être méprisés par l’Etat. Il faut aussi ajouter la contribution croissante des finances locales aux politiques publiques nationales et plus récemment la loi NOTRE, portant sur la nouvelle organisation territoriale.

    Il est vrai que la responsabilité des maires est devenue plus difficile ces dernières années mais cela ne doit pas faire oublier que le maire est un homme aux quarante métiers, soit autant de possibilités d’agir pour améliorer la vie de ses concitoyens. Je pense à ce jeune élu, Philibert Marquis, conseiller municipal dans la ville Belley, que j’ai administrée pendant plus de vingt ans, je pense à son enthousiasme. Architecte, il a mis ses compétences au service de sa ville : actuellement, il réfléchit à la reconversion des bâtiments de l’ancien hôpital.

    Mais être maire ou même simplement conseiller municipal demande certaines compétences. Tout le monde ne semble pas fait pour assumer cette responsabilité.

    Je ne suis pas du tout d’accord. Chacun d’entre nous doit être acteur de la reconstruction de notre pays et la bataille municipale doit concerner tout le monde. Habiter un territoire, ce n’est pas simplement y vivre, c’est aussi contribuer à son développement, à sa vie sociale… Si nous sommes mus par la volonté que le bien commun régisse la France, alors nous avons le devoir de nous mobiliser pour ces élections.

    Regardez, en 2014, une toute petite poignée d’anciens militants de La Manif Pour Tous a été élue aux fonctions municipales. Ces militants n’étaient pas d’anciens piliers de la vie politique, ils ne dépendaient pas des systèmes d’allégeance des partis politiques. Pourtant, ils ont, à ce jour, un bilan peu connu mais incroyable. L’une a mis en place des patronages laïcs dans sa ville, tandis que l’autre a travaillé à la mise en place d’une préparation au mariage civil. Un autre exemple est celui de Robert Ménard qui a instauré une mutuelle municipale dans sa ville de Béziers, la quatrième ville la plus pauvre de France ! Croyez-vous qu’il était un spécialiste de l’assurance maladie ? Le travail de ces quelques élus montre qu’à l’échelle locale, il n’est pas nécessaire d’être un expert dans tel ou tel secteur pour réaliser des actions publiques utiles.

    Avec l’Avant-Garde, vous organisez une formation pour les candidats aux municipales. N’est-ce pas contradictoire ?

    Ce n’est pas parce qu’il n’est pas nécessaire d’être un expert qu’il ne faut pas se préparer. Mener une campagne et la gagner demandent d’être assuré dans ses convictions, dans ses fondements anthropologiques pour porter un programme qui soit cohérent. Les candidats doivent aussi acquérir des techniques indispensables comme apprendre à parler en public, constituer son équipe, user des médias, des réseaux sociaux… On ne peut s’improviser dans une campagne électorale : il y a une temporalité à respecter et une réflexion stratégique à avoir. L’objectif de notre formation est donc d’accompagner les candidats, les membres de leur liste et les membre de leur équipe de campagne sur toute cette démarche afin qu’ils soient des candidats crédibles. Mais s’engager dans la bataille des municipales ne s’arrête pas au soir des élections. Une fois élu, il faut pouvoir administrer, mettre en place ce qui a été énoncé. L’autre objectif de cette formation est donc de préparer les candidats à leurs responsabilités.

    Concrètement, comment se déroulera cette formation ?

    La formation se déroulera sur six week-ends d’octobre 2018 à septembre 2019, du samedi matin au dimanche milieu d’après-midi, afin de faciliter le retour des participants venus de province. C’est une formation qui s’adresse à tous tant que les participants partagent notre vision du bien commun, une vision fondée sur la pensée personnaliste. La question des étiquettes politiques ne nous intéresse pas. D’ailleurs, c’est un problème mineur pour les élections municipales. En effet, à l’exception des très grandes villes, chaque commune a son équilibre politique propre, loin des équilibres nationaux.

    Nous avons réuni une trentaine d’intervenants : des élus, des journalistes, des politologues, des experts des collectivités territoriales… pour une formation à l’ensemble de enjeux : la construction d’un projet pour sa commune, la préparation de la campagne et la gestion de la commune.

    Pour toute information, les lecteurs du Salon Beige peuvent prendre contact avec France Andrieux : france.andrieux@lavant-garde.fr

    Quel serait le conseil principal que vous adresseriez à un lecteur du Salon Beige qui serait tenté par l’engagement électoral dans sa commune ?

    Si vous vous souhaitez devenir maire ou conseiller municipal, c’est parce que vous avez le désir d’être au service des habitants de votre territoire. Il est fini le temps où l’ambition politique suffisait à justifier un mandat électoral. Aujourd’hui, les Français ont besoin de cohérence et d’engagement. La priorité est donc que vos lecteurs acquièrent une légitimité en se mettant dès aujourd’hui au service de leurs concitoyens. Il faut qu’ils se rendent utiles, qu’ils se retroussent les manches et agissent dans les lieux où les habitants se sentent négligés, abandonnés. En 2020, les Français n’éliront que les candidats qui auront su être crédibles par des actions menées pour la population et non pour leur notoriété personnelle.

    Calendrier de la formation :

    • 20-21 octobre 2018 : La commune, un territoire d’action politique
    • 1er-2 décembre 2018 : La commune, des électeurs à convaincre et mobiliser
    • 26-27 janvier 2019 : La commune, une collectivité territoriale à administrer
    • 30-31 mars 2019 : La commune, une communauté à construire et préserver
    • 15-16 juin : 2019 : La commune, un territoire à faire aimer
    • Septembre : 2019 : Bilan de la formation : initiatives et témoignages d’élus.

    https://www.lesalonbeige.fr/charles-millon-les-communes-peuvent-etre-de-veritables-laboratoires-pour-une-politique-au-service-du-bien-commun/

  • Merkel pédale dans la choucroute – Journal du lundi 15 octobre 2018

    Union Européenne / Merkel pédale dans la choucroute
    C’est un revers sans précédent pour les alliés de la chancelière allemande. En Bavière, la CSU a perdu plus de 12 points pour atteindre péniblement les 37 %… Le plus mauvais score depuis 1950. L’AfD, de son côté, fait son entrée au Parlement régional.

    Union Européenne / Brexit au point mort

    Société / Voiles islamiques : retour en force

    Social / Force ouvrière : le syndicat big brother
    Déjà dans le creux de la vague, c’est un nouveau coup dur pour le syndicalisme français. Les révélations de fichage des cadres de Force Ouvrière plongent le syndicat de Pascal Pavageau au fond du trou…

    Serveur TVL

    Lien dailymotion
    https://www.tvlibertes.com/2018/10/15/26257/merkel-choucroute-journal-lundi-15-octobre-2018

  • Seconde partie de la matinée de dimanche à Rungis

    Vincent Vauclin, Président de la Dissidence française

     

    Valentin, responsable du Bastion social

     

    Gérard Orget, Président du CIDUNATI francilien

     

    Gabriele Adinolfi, Projet Lansquenets

     

    Juan-Antonio Lopez Larrea, El Cadenazo de Barcelona

  • Près de 1 800 visiteurs à la 12e Journée de Synthèse nationale dimanche à Rungis

    Dimanche à Rungis la 12e Journée de Synthèse nationale a pulvérisé les recors d'influence puisque près de 1 800 visiteurs (à 13 h, nous avions dépassés le chiffre total de l'an passé) sont passés dans la journée assister aux différents forums et au meeting final et visiter les 80 stands installés dans les couloirs et les halls prévus à cet effet.

    Nous reviendrons tout au long de la semaine sur cette belle journée qui, malgré l'absence bien involontaire de nos deux leaders nationaux que sont Jean-Marie Le Pen et Roger Holeindre médicalement retenus, s'est parfaitement déroulée.

    Interventions filmées, reportages photographiques, compte rendus des tables-rondes se succéderont sur ce site dans les jours qui viennent.