Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

divers - Page 351

  • Saint-Martin : L'effondrement prophétique de l'état français

  • Changements en vue au FN

    6a00d83451619c69e201b7c91e4f00970b-250wi.jpgMarine Le Pen, la présidente du Front national, a fait sa rentrée politique ce samedi à Brachay en Haute-Marne. Lors de son discours (à écouter ici), elle a annoncé que le Front national aurait un nouveau nom à l'issue du Congrès du parti.

    "La nouvelle organisation portera un nouveau nom (…), que vous aurez choisi".

    Avant cela, elle aura mené une tournée des 95 fédérations, entamée dès la fin du mois de septembre. Devant ses partisans, elle a promis une "grande refondation" et un fonctionnement "renouvelé" et plus "décentralisé" du parti, dont le slogan affiché samedi était "En avant pour un nouveau front".

    Nouveau nom, nouveau fonctionnement, pourquoi pas, mais sur quels fondements ? Identité ou économisme ou un peu des deux ?

    Marine Le Pen a prononcé un discours résolument sécuritaire, axant la ligne de sa rentrée politique sur les thèmes du terrorisme et de l'immigration. Ces sujets ont été bien davantage traités que l'économie, abordée pendant quelques minutes pour vilipender Emmanuel Macron, rendu responsable de remplacer "les relations sociales par les relations économiques" avec ses ordonnances sur le code du travail.

    6a00d83451619c69e201bb09c186a2970d-200wi.pngElle a attaqué frontalement Emmanuel Macron, moqué en "Jupiter" qui n'aurait "pas fait tomber la foudre sur les fichés S".

    "Les islamistes nous agressent en raison de ce que nous sommes. (…) Je ne veux pas m'habituer au terrorisme".

    Et l'euro ? Marine Le Pen n'a pas du tout parlé de sortie de la monnaie unique, en passant très vite sur ce thème pour concentrer ses attaques sur Emmanuel Macron, Laurent Wauquiez, candidat à la présidence des Républicains, et Jean-Luc Mélenchon. Le dernier mènerait un mouvement "islamo-trotskiste" à la "bouillie idéologique" pour "agités", tandis que le second est implicitement accusé de faire "du sous-Sarkozy".

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le Conseil Constitutionnel censure les dispositions prévoyant de rendre inéligibles les personnes condamnées pour racisme, homophobie...

    Il reste des juristes au Conseil constitutionnel. Le Conseil constitutionnel s'est prononcé sur la loi organique et la loi ordinaire pour la confiance dans la vie politique, dont il avait été saisi respectivement, d'une part, par le Premier ministre et, d'autre part, par plus de soixante députés. Ces deux lois comprennent plusieurs séries de mesures visant à renforcer la transparence de la vie politique, l'exigence de probité et d'exemplarité des élus et la confiance des électeurs dans leurs représentants et à moderniser le financement de la vie politique.

    Outre la totalité des 27 articles de la loi organique qu'il lui revenait d'examiner en application de la Constitution, le Conseil constitutionnel a examiné les 13 articles de la loi ordinaire qui étaient contestés par le recours des députés. Il s'est également saisi d'office de deux articles de cette loi.

    Le Conseil constitutionnel juge que ne méconnaît ni le principe de légalité des délits et des peines, ni le principe d'individualisation des peines, l'article 1er de la loi ordinaire instituant une peine complémentaire obligatoire d'inéligibilité à l'encontre de toute personne coupable de crime ou de l'un des délits énumérés par le même article. Il admet que cette disposition est nécessaire au regard de l'objectif du législateur visant à renforcer l'exigence de probité et d'exemplarité des élus et la confiance des électeurs dans leurs représentants. Il juge cependant que ces dispositions ne sauraient être interprétées comme entraînant de plein droit, en matière délictuelle, l'interdiction ou l'incapacité d'exercer une fonction publique. En outre, il censure comme portant une atteinte disproportionnée à la liberté d'expression les dispositions de cet article prévoyant que l'inéligibilité est obligatoirement prononcée pour certains délits de presse punis d'une peine d'emprisonnement.

    Le 13° du paragraphe II de l'article 131-26-2 du code pénal introduit par l'article 1er prévoit que l'inéligibilité est obligatoirement prononcée pour certains délits de presse punis d'une peine d'emprisonnement. Or, la liberté d'expression revêt une importance particulière dans le débat politique et dans les campagnes électorales. Dès lors, pour condamnables que soient les abus dans la liberté d'expression visés par ces dispositions, en prévoyant l'inéligibilité obligatoire de leur auteur, le législateur a porté à la liberté d'expression une atteinte disproportionnée. Par conséquent, le dix-huitième alinéa du paragraphe I de l'article 1er est contraire à la Constitution.

    La LICRA est furieuse.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le curé est enragé et se lance sur Youtube

    L'abbé Drillon, juge ecclésiastique et chancelier du diocèse de Nice, a lancé sa chaîne Youtube. Cigarette à la main et la bouteille de pastis à portée de l'autre, il n'a pas sa langue dans sa poche. A travers cette chaîne, il compte dire ce que personne ou peu disent, et souhaite tirer profit de la réinfosphère afin d'avoir une parole libre et personnelle, non magistérielle... sur la manipulation des cervelles, la régression routière, l'Inquisition, la mal-bouffe, des vrais fondements d'un dialogue avec les musulmans, du féminisme castrateur...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • DIMANCHE 1er OCTOBRE, À RUNGIS, INTERVENTION DE STEVEN BISSUEL, PORTE-PAROLE DU GUD ET DU BASTION SOCIAL (LYON) LORS DE LA XIe JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE

    1101097576.jpg

    En savoir plus cliquez ici

    Steven Bissuel invité sur Radio Libertés cliquez ici

  • 16 & 17 septembre, en Saône et Loire : camp d'été des jeunes de Civitas

    2821114345.jpg

    En savoir plus cliquez ici

  • 15-17 septembre : séminaire de formation de l'Institut de Formation Politique

    6a00d83451619c69e201b7c91b0c03970b-250wi.pngCréé en 2004, l’Institut de Formation Politique s’adresse aux jeunes de 18 à 30 ans attachés à la primauté de la personne humaine et aux valeurs de liberté et de responsabilité. L’Institut propose ainsi des formations (le week-end) qui permettent de renforcer les convictions de ses auditeurs, de leur faire acquérir les méthodes de base d’une action efficace, en vue de favoriser l’engagement et l’action dans la Cité.

    Le prochain séminaire a lieu les 15, 16 et 17 septembre prochains, à Paris. Inscrivez-vous vite ! 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html