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Deux jours durant, des militants catholiques et nationalistes venus des quatre coins de France ont participé au 1er camp de cohésion organisé par France Jeunesse Civitas.
En ce rude mois de septembre, les jeunes hommes ont pu se former l’âme et le corps, bien encadrés par Monsieur l’abbé Xavier BEAUVAIS, le Père Laurent des moines capucins de Morgon, Alain ESCADA, Pierre STUDER et Alexandre GABRIAC. Dans une démarche « Catholiques et Français toujours », ce camp s’est articulé autour de la messe quotidienne, des conférences de formation doctrinale et politique et des activités physiques et de cohésion.

Le samedi matin, après une courte nuit entrecoupée par les tours de garde nécessaire pour veiller les uns sur les autres suivie du décrassage réglementaire, nous avons eu la joie de pouvoir assister à la messe célébrée par le Père Laurent sur le lieu du camp.
A la suite du petit-déjeuner autour du feu, l’heure du travail pour remercier le propriétaire des lieux sonnait : déplacement de lourdes pierres et divers travaux d’entretien au programme !
Une toute petite pause, puis c’est au tour du Père Laurent, qui fait partie des aumôniers de CIVITAS, de donner une très intéressante conférence sur la chevalerie et la féodalité.

Suivra un déjeuner bien mérité, où les militants énonceront chacun à leur tour leur cheminement spirituel et politique, permettant ainsi aux nouveaux de faire connaissance avec les plus aguerris.

Point de sieste pour les militants de la cause nationale ! La formation au service d’ordre prit le relais, avec les exercices pratiques de protection de personnalité, collage, encadrement de manifestation, action coup-de-poing… les militants se mettant tour à tour dans la peau du service d’ordre, de la police, mais aussi des contre-manifestants ! Ces derniers apprenant d’ailleurs à reconnaître le goût des différentes sortes de gaz lacrymogène…




Après l’entrainement des corps, l’entrainement des âmes : conférence de Monsieur l’abbé Beauvais sur Donoso Cortès, exemple pour les jeunes catholiques, soucieux de faire régner le christianisme social pour le bien de la nation.

Une randonné dans la nature environnante permit ensuite aux volontaires de réciter le chapelet, toujours accompagnés et encouragés par les religieux présents au camp.

Après le dîner, nous entamions la veillée, où nos chants d’Europe et la verve de notre président Alain ESCADA firent oublier la fatigue et la pluie aux militants, chez qui la cohésion s’était déjà installée.

Dernière épreuve de cette très longue journée : la marche de nuit, durant laquelle les jeunes et moins jeunes ont pu apprécier une courte marche à la seule lueur de la lune, parsemée de quelques embûches…
Après un bref repos, c’est déjà le dernier jour du camp. La sainte messe comme toujours pour démarrer, et comme scéance de sport pour la matinée avant de replier les tentes un peu de boxe !




La conclusion par les organisateurs et invités sur leur ressenti du camp se fit autour d’un apéritif servi par notre hôte, où les participants et encadrants ont pu échanger sur le déroulement du camp, et leurs espoirs de pouvoir former une communauté enracinée solidement dans les principes, inaccessible au découragement et prête à sortir gagnante des épreuves qui nous attendent.

On profita ensuite pleinement du dernier repas passé ensemble, loin du monde moderne et de sa folie, entre bons Français et catholiques non-reniés, et on promit déjà de se retrouver dès la prochaine activité, plus nombreux encore !

Claquez bannières de chrétienté
Contre révolution.
Notre honneur est fidélité,
Gardons la tradition.
Chez nous Dieu premier servi,
La France est aux Français.
Travail, Famille, Patrie,
Nos devises sont fixées.
Dehors escrocs libéraux,
Valets des communistes,
Complices des bourreaux,
Compères des socialistes.
Nos alliés ils ont trahi,
Sali même le sacré,
Livré nos colonies,
Les enfants massacrés.
(Source : www.francejeunessecivitas.com)

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Le bus circulera dans Paris et l'Ile de France du 3 au 8 octobre. Il vient dénoncer l'idéologie du genre, qui s'insinue partout et notamment à l'école.
Une lettre ouverte au ministre de l'Education nationale est à signer ici. De plus en plus, l’Education nationale utilise des « études de genre » pour lutter contre les inégalités hommes-femmes. Et le résultat, c’est qu’au lieu de lutter contre ces inégalités, l’Education Nationale promeut l’indifférenciation sexuelle : il n’y a plus d’inégalité puisqu’il n’y a plus de différence ! S’il y a indifférenciation des sexes, si le genre n’est qu’une question de culture, alors on peut choisir son sexe. Pour les enfants scolarisés, on brouille donc les repères de base. Les enfants sont en train de bâtir leur personnalité. Ils sont fragiles et perméables aux enseignements qu’on leur donne.
Leur inculquer dès le plus jeune âge qu’être homme ou femme n’est que le résultat d’une culture et que l’on peut choisir, c’est mettre en danger leur construction. C’est un mensonge, mais c’est également un énorme danger pour les enfants. Nous croyons fermement que les enfants n’ont pas à subir des expérimentations d’idéologues pendant la période cruciale de construction de leur personnalité. Il y a un véritable risque de déconstruction de leur personnalité.
C’est pourquoi nous voulons, par cette pétition et par notre bus, faire savoir à tous les parents d’élèves que l’identité des enfants n’est pas un jeu. Et que leur genre n’est pas un choix. On ne devient pas femme : on nait femme. On ne devient pas homme : on nait homme.
L’actualité de la semaine vue par Bruno Gollnisch :
https://gollnisch.com/2017/09/25/philippot-senatoriales-afd-coree-nord-irma/