divers - Page 355
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DIK - "On veut nous remplacer" (Version Acapella) - Le grand remplacement
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L'Aristoloche (n°44) fait sa rentrée

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Le Journal du chaos de cette semaine

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La Droite nationale de Bretagne rassemblée hier à l'initiative du Parti de la France
L'événement en Bretagne ce samedi, pour la Droite nationale non reniée, c'était la "fête du cochon" organisée par la Fédération régionale du Parti de la France. Et les patriotes ont répondu nombreux à l'invitation de Jean-Marie Lebraud, responsable breton du PdF.
Dans le cadre agréable d'un parc situé à une vingtaine de kilomètres de Rennes et sous un soleil radieux les convives ont savouré le délicieux repas préparé par les militantes du parti. Quel plus beau symbole culinaire de notre identité nationale que le cochon grillé. Surtout lorsqu'il est précédé par une assiette d'huitres bretonnes. Quand à l'apéritif, celui-ci était offert par la section locale du Cercle national des combattants. L'ambiance festive était donc assurée...
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était invité à prendre la parole au cours de cette réunion. Après une analyse de la situation actuelle du pays, il appela l'assistance à s'engager concrètement dans le combat politique aux côtés des responsables locaux du PdF. Il invita enfin les Bretons à venir nombreux dimanche prochain à Rungis à la XIe Journée de Synthèse nationale. Plusieurs voitures sont d'ores et déjà remplies.
Un message de Jean-François Touzé, directeur de Confrontation et Secrétaire national du PdF, empêché bien malgré lui, fut lu au début du banquet.
Plusieurs militants du FN régional, abasourdis par la déconfiture de leur mouvement et les ridicules règlements de comptes qui se multiplient en interne, sont venus assister à cette fête du cochon où régnaient l'enthousiasme et la bonne humeur. De nombreuses adhésions au PdF ainsi que des nouveaux abonnements à la revue Synthèse nationale ont été enregistrés.
Félicitons Jean-Marie Lebraud et l'équipe de militants bretons du Parti de la France pour cette belle journée patriotique.
S.N.
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La crète, ancienne Atlantide par Odette Boucher
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la semaine politique #1 - FN : entre refondation et explosion
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Action Française • Provence : Inauguration d'un nouveau local et de la prochaine rentrée militante

Le vendredi 15 septembre dernier, à La Bastide (Aix-en-Provence), les militants de l'Action française Provence se sont réunis afin de préparer ensemble l'année à venir.
L'occasion d'inaugurer les lieux dans un moment de convivialité et de camaraderie. -
Têtes à Clash n°12 : Du FN à Macron en passant par la PMA
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Crise au Front national : rien à voir avec la scission de 1998, par Bruno Mégret

La crise au Front national, qui pourrait conduire à une rupture entre Florian Philippot et Marine Le Pen, amène de nombreux commentateurs à faire le parallèle avec ce qu’ils appellent la scission mégrétiste. Ce faisant, ils commettent un certain nombre d’erreurs car ce n’est exact ni pour Florian Philippot, ni pour Bruno Mégret. Pour Florian Philippot : « Bruno Mégret est parti sur une offre politique plus radicale ». Pour Bruno Mégret : « Florian Philippot défend un souverainisme nostalgique et une politique sociale passéiste digne des années 1960. » : deux points de vue clairement opposés.
Le conflit entre Marine Le Pen et Florian Phillipot est-il comparable à la scission du FN de 1998 ?
Certainement pas. D’abord les causes de ce divorce n’ont rien de comparable. Florian Philippot et sa présidente partagent en effet les mêmes options politiques, notamment sur la stratégie et le programme.
En 1998, il y avait en revanche une profonde divergence entre la stratégie que j’incarnais et celle de Jean-Marie Le Pen. Je voulais pour ma part que le Front national s’engage dans la conquête du pouvoir et pour cela il fallait que Le Pen cesse ses provocations verbales et abandonne ses références sulfureuses qui donnaient aux médias des arguments pour légitimer la diabolisation. Contrairement à ce dernier, je pensais également qu’il fallait proposer des alliances avec la droite classique et structurer le parti pour en faire une force capable un jour de gouverner. Jean-Marie Le Pen, de son côté, jugeait ces efforts inutiles car il ne voulait pas du pouvoir, se satisfaisant d’une attitude de protestation et de témoignage.
Par ailleurs j’avais le soutien d’une large majorité des cadres et des militants puisque c’est près de soixante pour cent d’entre eux qui m’ont suivi lors de la scission. Philippot, de son côté, est loin d’avoir un tel appui. On peut même penser que, parmi les causes de la crise d’aujourd’hui, il y a l’opposition que lui porte une grande partie des militants.
Quelle est alors la signification de la crise actuelle du Front national ?
Pour comprendre ce qui se passe au FN, il faut savoir que Marine Le Pen a hérité de ce mouvement alors qu’elle n’en avait pas les idées. Après une première phase, au cours de laquelle elle a appliqué la stratégie qui était la mienne, elle a entrepris de changer le programme du Front national pour remplacer, dans ses priorités, la défense de notre identité par un souverainisme nostalgique et une politique sociale passéiste digne des années 1960. La situation actuelle résulte de ce double malentendu ou de cette double imposture.
Au début, en effet, cette nouvelle ligne n’a pas été clairement perçue par les électeurs qui, exaspérés par les problèmes liés à l’immigration et rebutés par la classe politique, ont massivement voté pour un Front national qui était resté pour eux sur la ligne que nous avions forgée pendant des années. Mais, lors de la campagne présidentielle et législative du printemps dernier, les Français ont commencé à comprendre ce qu’était le Front national d’aujourd’hui et quelles étaient les insuffisances de Marine Le Pen. Dès lors, l’électorat a reflué et les scores n’ont plus été à la hauteur de ce que les cadres et les militants espéraient. D’où la fronde et la crise. D’où aussi la volonté de Marine Le Pen de stigmatiser Philippot, non parce qu’elle serait en désaccord avec lui, mais parce qu’elle veut l’utiliser comme bouc émissaire pour écarter d’elle la contestation qui gronde.
Quel est dans ces conditions l’avenir d’une éventuelle scission ?
Une aventure solitaire de Philippot a peu de chance de prospérer car il n’aurait qu’un faible soutien militant et sa ligne politique ne pourrait pas lui apporter beaucoup d’électeurs. En revanche, il aurait le soutien des médias. Et c’est une autre différence importante entre ma démarche et celle de Florian Philippot. Car ce dernier aurait la sympathie du Système qui se servirait de sa dissidence pour tenter de rediaboliser le FN, alors que mon initiative, parce qu’elle mettait nos idées sur la route du pouvoir, a été clairement combattue par lui. Ce n’est pas un hasard si, juste après la scission et avec une rapidité inhabituelle, les juges ont accordé à Le Pen le monopole du sigle et du logo FN et si le premier ministre d’alors, M. Jospin, a aussitôt versé la subvention d’Etat à Le Pen et cela juste avant les élections européennes de 1999. Malgré ce soutien et en dépit de la candidature Villiers/Pasqua qui a limité mécaniquement notre potentiel de voix, la liste que je conduisais n’est arrivée que deux points derrière celle de Le Pen.
Que serait devenue la droite nationale si ce score avait été inversé ?
A la lueur des erreurs désastreuses commises par Marine Le Pen et au vu de ce qui se passe aujourd’hui au Front national, je regrette en effet que ce score n’ait pas été inversé. Car, si le FN que j’incarnais l’avait emporté et si c’était lui qui avait été présent lors des dernières élections présidentielle et législatives, la droite nationale ne serait pas en crise.
Sans doute ne l’aurait-elle pas emporté mais le score que nous aurions obtenu aurait donné à la droite nationale une crédibilité et un poids qui auraient changé la donne politique et permis tous les espoirs pour l’avenir.
Bruno Mégret
Texte repris du site de la fondation Polémia
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Vive l'Europe : Maître Boddicker, historien du rap autodidacte (septembre 2017) - Conversano




