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divers - Page 379

  • Interventions des écrivains à la fête du livre de Renaissance catholique

    Vous n'avez pas pu venir hier à la fête du livre organisée par Renaissance catholique ? Retrouvez les interventions de l'après-midi :

    Conférence de Michel De Jaeghere sur son livre "La compagnie des Ombres."

    Conférence de Mathieu Bock-Côté "Le multiculturalisme comme religion politique."

    Conférence d’Eric Zemmour sur son livre "Un quinquennat pour rien."

    Conférence de Philippe de Villiers "Les cloches sonneront-elles encore demain ?" :

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Journal du Mardi 06 Décembre 2016 : guerre des crèches, nouvelle tradition de Noël

  • Regard sur l'actu #33 : « Petit tableau des renouveaux et des conservatismes politiciens »

    Relativisons la défaite du FPÖ en Autriche

    Le FPÖ autrichien et son candidat Norbert Höfer ont perdu les élections présidentielles du 4 décembre face au candidat écologiste Alexander van der Bellen à 48,3% contre 51,7%.

    Une victoire aurait été assurément une bonne nouvelle qui aurait poursuivit une certaine dynamique en œuvre en Occident. Elle aurait pu permettre un rapprochement entre l'Autriche et le groupe de Visegrad par exemple. Trop iconoclaste pour le moment.

    La défaite est très largement à relativiser et n'a rien d'infamante et n'est en aucun cas « écrasante » comme se plaît à le dire la presse de gauche.

    Pour commencer, rappelons que le poste de président en Autriche n'a pas la même importance qu'en France et qu'une défaite aux présidentielles n'empêchera pas le FPÖ de pouvoir se positionner en bonne place à d'autres échéances électorales. Le score de 48,3% est un excellent score, le meilleur en Europe pour un parti de cette nature.

    Par ailleurs, il semblerait que le sujet des rapports avec l'UE, et donc avec l'Allemagne, ce qui n'est pas négligeable lorsqu'on est autrichien, ait plus pesé encore que la question migratoire. Van der Bellen aurait aussi mis de l'eau dans son vin sur l'utopie migratoire. Il s'agit donc surtout de maintenir un statu quo vis à vis de l'UE.

    D'un autre côté, cette opposition marque la faillite des partis politiques traditionnels : socio-démocrates, démocratie chrétienne, liberal-conservatisme. Une défaite de la droite nationale au profit des écologistes, dans un pays assez préoccupé par sa qualité de vie, n'est pas une catastrophe et ne peut pas être perçu avec notre seul regard de Français où l'écologie politique est une vaste arnaque.

    Le résultat du référendum italien est-il vraiment une bonne nouvelle ?

    Mateo Renzi proposait aux Italiens une modification du fonctionnement des institutions dans un pays marqué par près de sept décennies d'instabilité et qui est au cœur des jeux de pouvoir. Vatican, Etats-Unis, franc-maçonnerie, mafias, … . Une des manifestations les plus sanglante fut la violence des années de plomb. L'Italie est un pays à la souveraineté limitée où corruption et féodalités ont encore la belle vie. Les mouvements régionalistes, même ceux qualifiés « d'extrême-droite » agissent souvent par pur égoïsme territorial, refusant par exemple de payer pour les « terroni » du sud. L'Italie est une nation inachevée.

    60% des électeurs ont pourtant rejeté sa réforme, ce qui est perçu comme une brillante victoire des « eurosceptiques » face à l'homme lige de Merkel. C'est peut-être vrai et l'ère politique qui s'ouvre désormais peut conduire à une majorité composée de partis politiques hostiles à l'Eurozone et à la politique germano-bruxelloise. Le M5S, Forza Italia ou la Lega Nord sont autant de mouvements qui peuvent tirer les marrons du feu. Mais il s'agit de mouvements qui sont en réalité divisés et il sera compliqué d'obtenir des majorités solides. Par ailleurs, rien n'indique que les partis qui seront en mesure de remporter d'éventuelles élections législatives vont appliquer leur programme : la Lega Nord a déjà largement déçue sur l'immigration lorsqu'elle pouvait agir et le précédent de Syriza en Grèce nous invite à la plus grande prudence.

    Ce que favorise cette défaite c'est la poursuite du statu quo actuel et le règne des partis. On se souvient que « l'extrême-droite » se réjouissait de la démission du Général de Gaulle après l'échec du référendum sur la réforme territoriale et qu'ils n'ont pas hésité à soutenir Giscard en 1974. Que nous a apporté la démission du Général de Gaulle ? Le banquier Pompidou, l'européiste Giscard, la fausse droite chiraquienne, le gauchisme partout avec la victoire symbolique de 68... Une autre époque, certes, mais il y a peut-être un côté gaullien dans l'attitude de Renzi.

    La fin d'une ère, sauf au FN ?

    L'année 2016 est une année charnière. Avec la défaite de Clinton, c'est toute la politique américaine post-guerre froide qui a été ébranlée. Cette politique faite d'un hard power interventioniste et d'un soft power consumériste, liberal libertaire, post-moderne et multiculturel.

    En Allemagne, le recul de la CDU, en particulier au profit de l'AfD, pourrait entamer lourdement la démocratie-chrétienne, un pilier du jeu politique allemand et de la construction européenne.
    En France aussi, nous assistons à quelques bouleversements significatifs.

    Avec la primaire des Républicains, c'est la fin conjointe du chiraquisme, incarné par Juppé et sa campagne à gauche, et du sarkozysme, ou la droite bling bling. C'est la raison pour laquelle, en off, nous étions favorable à la victoire de Fillon. Bourgeois catholique du grand ouest. Stratégie payante aux primaires.

    Avec Macron et Valls c'est sûrement la fin de la gauche française telle que nous l'avons connue avec sa politique d'assistanat délétère. C'est la fin du Mitterrandisme incarné par Hollande et c'est la fin, aussi, des leaders de gauche avec des passés trotskistes ou maoïstes. C'est peut-être à gauche que le « renouveau » est d'ailleurs le plus probant. A suivre.

    Avec la défaite de Duflot qui fait suite au départ de J.V. Placé, c'est la fin d'une certaine façon d'agir au sein des Verts. Et peut-être l'émergence d'une écologie politique beaucoup plus proche de l'écologie associative et des préoccupations quotidiennes des Français.

    Avec Mélenchon c'est la digestion du dinosaure politique qu'est le PCF et progressivement de quelques officines au passé trotskiste comme la LCR (devenu NPA). Un paradoxe toutefois. Mélenchon (65 ans) sera le candidat le plus vieux avec Fillon (62 ans) et incarnera malgré le renouveau impulsé par le Front de gauche la « vieille gauche » des syndicats, de l'Education nationale, des luttes sociales et sociétales du deuxième XXeme siècle (autant les 35h que l'avortement).

    Au FN, Marine Le Pen a sûrement bien conscience de cette tendance puisqu'elle cherche à faire du neuf avec du vieux. Son père ayant déjà été un homme politique de la IVeme République et candidat à de nombreuses reprises sous la Veme, on comprend qu'elle souhaite insister sur son prénom, plus moderne, et qu'elle ait pu appuyer sur l'idée de « vague » associé au bleu marine. Dans les faits, le FN incarne pourtant encore la « vieille politique » de la Veme République : le parti dirigé par un chef charismatique visant les présidentielles sur un compromis gaullo-communiste.

    Jean/C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/

  • Politique et éco n°113 : Primaire des Républicains, programmes FN /LR, la vie d’un maire rural

  • Journal du lundi 5 décembre - Europe / Autriche : la désillusion Hofer

  • Piero San Giorgio - Polémique récente Freysinger + Facebook

  • Penser à un sanctuaire albo-européen par Thierry DUROLLE

    Le péril démographique et l’urgence que représente la préservation de notre race, enfin du meilleur de notre race, sont deux enjeux majeurs du XXIe siècle. Ils sont qui plus est liés l’un à l’autre. D’un côté le Tiers-Monde, et particulièrement l’Afrique subsahrienne, déborde et se déverse sur l’Europe dans un flux migratoire historique; de l’autre une civilisation-mère, s’incarnant d’un point de vue biologique dans la race blanche, civilisation qui capitule, qui se laisse mourir via un déficit démographique et à un renoncement à son être métaphysique.

    Pour beaucoup le constat est sans appel : nous avons franchi le point de non-retour. Notre terre, nos patries charnelles, nos particularismes culturelles ainsi que notre fondement biologique, sont à jamais défigurés. Par les complicités des « humanistes » de tout poil, de l’agenda de l’hyperclasse mondialiste, et bien entendu à cause de la complicité criminelle de l’Église soucieuse de renouveler sa clientèle, nous sommes en train de disparaître et d’être remplacé sur notre propre sol ! Il suffit de se rendre dans n’importe quelle ville française pour le constater. La campagne n’y échappera pas non plus avec la politique de « mixité sociale » (ou plutôt raciale ) du gouvernement Valls et évidemment l’implantation des fameux « migrants ». Vous avez dit aucune issue ? Arthur Kemp a peut-être la solution.

    batir-le-foyer-blanc_006.jpgCet ancien du BNP (British National Party) reste relativement inconnu dans notre pays. Deux de ces brochures sont disponibles en français grâce au travail de la maison d’édition Akribeia qui eut la bonne idée d’éditer Qu’est-ce que l’ethnonationalisme ? et surtout Bâtir le foyer blanc. Ce dernier est tragiquement d’actualité. Arthur Kemp y expose tout d’abord ses arguments pour la création d’un sanctuaire pour les Albo-Européens. Les autres ethnies ont bien le droit à leurs propres sanctuaires, pourquoi pas les Blancs ? D’autant plus que notre race est tout clairement en danger d’extinction ! Les arguments ont certes une teinte morale, voire humaniste, notamment lorsque l’auteur s’appuie sur le principe d’autodétermination des peuples. Mais après tout, pourquoi cracher dans la soupe si cela va dans notre sens ? Là où le propos devient beaucoup moins humaniste pour se faire réaliste, c’est lorsque l’auteur affirme que tous les Blancs ne seront pas sauvés du désastre et que ce n’est pas une si mauvaise chose. Aussi dur que cela puisse être à entendre pour certains, nous souscrivons entièrement à ce constat.

    Le principe d’un foyer blanc ayant été exposé, Kemp nous présente ensuite deux exemples de foyers ethniques créés ex nihilo : la communauté afrikaaner d’Oriana et Israël. De ces deux expériences, l’auteur en tire les leçons, qu’elles soient positives ou non. Puis vient la détermination de l’espace vital nécessaire. Le choix d’Arthur Kemp se porte sur l’Europe de l’Est, un espace géographique se situant soit du côté du Bélarus, soit de l’Ukraine, ou d’une partie de la Russie. Il y a matière à débattre quant au lieu, c’est évident. Il faut aussi que le pays d’accueil soit d’accord quand à la cession d’un territoire, sans parler d’être reconnu internationalement. Bref plus facile à dire qu’à faire nous en convenons, mais la démarche est tellement légitime, vitale que se lancer dans un tel projet devrait sonner comme une évidence à tout à chacun.

    Certains rétorqueront qu’il faut rester ici et se battre. Ils ont entièrement raison. Néanmoins l’établissement d’une base arrière nous semble être cohérent quant à la logique de combat. Opposer le combat et l’élaboration d’un sanctuaire serait idiot car ces deux démarches vont ensemble. Bâtir le foyer blanc est une piste de réflexion sérieuse quant à la sauvegarde du meilleur de notre race. Les arguments d’Arthur Kemp sont justes, mesurés et nullement fantaisistes. Oui, il faudra approfondir la question et trouver le meilleur moyen de bâtir notre sanctuaire. Pendant ce temps rien ne nous empêche de créer des communautés rurales, des écoles hors-contrat et d’envoyer des éclaireurs à la recherche d’un nouvel espace vital. Il en est de notre devoir.

    Thierry Durolle

    • Arthur Kemp, Bâtir le foyer blanc, Akribeia, 2015, 136 p., 15 €.

    http://www.europemaxima.com/penser-a-un-sanctuaire-albo-europeen-par-thierry-durolle/

  • Table ronde sur l'agriculture et l'environnement.