Nous allons faire dans cet article un retour dans le passé pour parler de l’actualité climatiste. Vous allez voir, ça va être drôle. Comme vous pouvez le constater, les Maldives, archipel de 1200 îles dans l’océan Indien présentent de nouveaux resorts luxueux pour 2025 ! Faut-il rappeler que ces îles sont en moyenne à moins de 2 m au-dessus du niveau de la mer et qu’elles ont été annoncées depuis des décennies comme déjà sous l’eau à cause du réchauffement climatique. Bouh ! Donc, comme vous le voyez sur l’image à la une de cet article, ou en cliquant sur ce lien, les Maldives investissent beaucoup d’argent pour recevoir encore plus de touristes.
écologie et environnement - Page 17
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Climatisme : les Maldives toujours là et en pleine promotion touristique de luxe
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[SATIRE À VUE] Donnons pour les travaux du nouveau siège des Écologistes
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1 100 éminents scientifiques déclarent "il n’y a pas d’urgence climatique"
@Resistance_SMNous nous opposons fermement à la politique néfaste et anti-écologique de zéro émission nette de CO2 proposée pour 2050.GROUPE CLINTELLa politique climatique devrait être plus scientifique. théoriciens et les programmeurs mettent en place : hypothèses, suppositions, relations paramétrisations, contraintes de stabilité, etc. -
On a trouvé le coupable du réchauffement climatique, c’est le soleil !
Les prédicateurs de la fin du monde sont incorrigibles. Aucune de leur prédictions ne s’est réalisée. Fort heureusement. Boston, Venise et les Tuamotu n’ont pas été engloutis. Les glaciers de l’Himalaya n’ont pas fondu, pas plus que ceux de l’Antarctique. Il y a toujours de la neige l’hiver dans les zones tempérées, et la Sibérie n’a pas libéré des virus préhistoriques congelés.
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Le réchauffement climatique va se refroidir grâce au soleil…

Une étude menée par la Royal Astronomical Society révèle que notre planète pourrait connaître une nouvelle période glaciaire en 2030. En effet, l’activité du Soleil pourrait brutalement chuter de 60% d’ici les années 2030-2040.
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Climat. Finalement faire pipi sous la douche c’est très dangereux…
Il va falloir, mes amis, trouver autre chose pour sauver la planète que de faire pipi sous la douche pour permettre à tous ceux qui ont soif d’avoir plus d’eau, car faire pipi sous la douche à plus d’effets secondaires que de bénéfices climatiques.
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L’Arcom vole au secours de la voiture électrique… et de la pensée unique !
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Changements climatiques au cours des 4000 dernières années : ces données déconstruisent l’hystérie Ecologie

par Dieter Broers
Au cours des 4000 dernières années, le climat a connu des changements très importants. Des périodes de réchauffement ont été suivies de «petits âges glaciaires». Aujourd’hui, les températures augmentent à nouveau vers un optimum climatique, similaire à ce que l’on a déjà observé par le passé.
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Le GIEC avait tout faux : les océans refroidissent et le Sahara reverdit
Se tromper est humain. S’enferrer dans l’erreur, en sachant qu’on se trompe, pour tromper les autres, est diabolique.
Un gaz bienfaisant qui pue l’œuf pourri
Greta la mongolienne du Grand Nord affirmait sentir et voir le CO2, invisible, incolore, inodore et sans saveur. Un gaz indispensable pour la végétation qui, sans cet apport combiné avec l’eau et le rayonnement solaire, périrait. Avec la biosphère qu’elle abrite.
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La Tour du Pin... contre le traité Mercosur !
En relisant les textes du marquis René de La Tour du Pin (véritable théoricien du royalisme social et du corporatisme français) décédé il y a tout juste cent ans, le 4 décembre 1924, quelques lignes me sautent aux yeux, et me paraissent d’une grande actualité en ces temps de débats sur les traités de libre-échange dont celui avec le Mercosur n’est que le dernier exemple en date. Après avoir évoqué la nature du contrat de travail en France et ce qu’il pourrait (et devrait) être, La Tour du Pin souligne, à raison, que « les traités internationaux doivent être conclus, non pas dans l’intérêt du fisc, ni même dans celui du consommateur, mais avant tout en vue de la protection morale et matérielle que le travailleur doit rencontrer dans l’État chrétien » (1). Au-delà du temps, cette phrase écrite en 1882 n’a rien perdu de sa valeur, et il n’est pas inutile de la rappeler, mais aussi d’en montrer, en quelques lignes, le sens et la portée, tout en la contextualisant et, pourquoi pas, en la réactualisant.



