Depuis la naissance de l’agriculture, les céréales ont toujours été à la base de l’alimentation et des échanges commerciaux entre nations, et la France, bien servie par ses milieux naturels, est, de longue date, une puissance céréalière de premier plan. Or, cette situation privilégiée est en train de disparaître peu à peu, et sans doute plus rapidement même que ce que l’on craignait il y a quelques années encore : ainsi, la production de blé, emblématique de notre agriculture et à la base de notre modèle alimentaire fondé sur le pain, est cette année en chute libre : environ 26 millions de tonnes pour le blé tendre, soit un quart de moins que la production moyenne de la période 2019-2023.
économie et finance - Page 50
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La crise céréalière française ne doit pas tuer nos céréaliers. (1)
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Réduire la dette publique de l'Etat passe aussi par une consommation nationale. (1)
mais elle n’est pas forcément anodine, surtout dans une mondialisation qui a tant valorisé la finance au détriment du partage et de l’usage commun, et qui a fait sienne la sinistre formule de Benjamin Franklin, « le temps, c’est de l’argent ». Mais, au-delà de cette appréciation, encore faut-il reconnaître que l’ancienne Monarchie d’avant 1789 fut confrontée au même souci de financement que l’est notre République de 2024 : Pierre Gaxotte avait résumé la situation du royaume de Louis XVI par une formule simple, « Un Etat pauvre dans une France riche ».
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Cette guerre économique dans laquelle il ne faut pas perdre nos valeurs. (4)
Durant le débat autour de la réforme des retraites de Mme Borne, j’ai participé à de nombreuses discussions sur ce thème, en particulier sur la toile, véritable agora politique et émotionnelle. Adversaire de cette réforme qui me semblait (et me semble toujours) inappropriée et trop égalitaire (1) pour être juste et efficace, je me suis souvent heurté à des partisans (y compris monarchistes) du report de l’âge de la retraite qui avaient des argumentations « économiques d’abord », mais qui n’étaient pas forcément dénuées d’intérêt : elles méritent donc à leur tour quelques réponses, au moment où le débat se ranime (peut-être en vain, mais qui sait ?) et s’anime, le nouveau premier ministre étant, lui, un partisan du report à 65 ans sans avoir, a priori, les moyens politiques de cette ambition…
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Michel Barnier demande déjà à Bruxelles un “petit délai” supplémentaire pour le retour à l’équilibre budgétaire
François Lenglet nous apprend dans son édito radio du jour que Michel Barnier est déjà en train de renégocier avec Bruxelles un délai pour revenir dans les clous du déficit budgétaire; les objectifs à 2027 étant impossibles à tenir.
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Poutine propose des livraisons de gaz en Europe
La Russie fournit du gaz à l’Europe via la Turquie. Pourquoi pas par le gazoduc «Nord Stream» ?
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Rapport choc : ingérence allemande dans le nucléaire français
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Les chefs d’entreprises ont mis tous les investissements sur “pause”.
François Asselin est le président de la Confédération des Petites et Moyennes entreprises, organisation patronale qui représente les patrons de PME. Samedi 30 août, la CPME a décidé d’envoyer une lettre ouverte au futur Premier ministre, l’appelant “à prendre à bras-le-corps les questions cruciales pour le pays.”
Que dit-il le président des PME ?
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110 milliards piqués aux Français : Macron bientôt arrêté ?!
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Les politiciens ne savent pas créer de richesses et quand ils essaient ils ne créent que de la corruption.
« Les seuls qui peuvent générer de la richesse dans ce pays et dans le monde sont les entrepreneurs, pas les politiciens.
Les politiciens ne savent pas comment créer de la richesse et n’ont aucune raison de le faire.
« Quand ils essaient, tout ce qu’ils créent, c’est de la corruption ».
Ce constat posé par le président argentin est une constante quasi mondiale et historique.
Quand on entend Sandrine Rousseau, qui ne comprend strictement rien à la richesse et encore moins au processus de création de richesses, qui s’écharpe avec Molinier de l’IFRAP, cela en dit très long sur la capacité de notre classe politique à étouffer les énergies.
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Les Rothschild gèrent la dette de l’Ukraine
Les Rothschild participent en juillet à Paris aux négociations sur la dette ukrainienne
Reuters : Le clan Rothschild a aidé à trouver un accord avec les créanciers privés de l’Ukraine.
L’Ukraine est un petit exemple concret de l’accaparement par certaines hordes financières de pays aujourd’hui privatisés comme de la marchandise et entraînés dans des conflits, puis dans l’esclavagisme de la dette au profit de clans non-politiques désireux de passer à la création d’un État mondial et à l’asservissement total de l’homme, encore mieux bien sûr du trans-homme, à la science financière vulgaire, ce qui est effectivement déjà bien avancé.
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