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La commission d’enquête démontre comment la facture des Français pourrait ainsi fondre de 40 % selon un rapport spécial du Sénat publié ce jeudi 4 juillet.
La commission d’enquête sénatoriale sur l’électricité a publié un rapport qui pourrait faire du bruit. Installée au terme d’une crise de l’énergie qui a vu en 2022 le prix de l’électricité s’envoler, cette commission a entendu plus de 140 personnes en six mois. Et sa conclusion est tranchée : il y a la possibilité de réduire considérablement l’addition.
La députée écologiste Sandrine Rousseau, réélue au premier tour à Paris, se lâche : il faut “contraindre” les français à mettre leur épargne à disposition pour racheter la dette… qu’ils n’ont pas contractée, puisque l’Etat a été géré par les amis de Sandrine Rousseau et ses nouveaux (anciens) alliés macronistes. Même si elle a rétropédalé (un peu) à la radio, en se montrant plus incitative que contraignante, le fond est là : les français qui travaillent, les français qui épargnent (un peu) le fruit de leur travail, les français qui se privent pour avoir un peu de réserve – voilà l’ennemi.
Il brasse, il souffle, il parle, ha… ça il parle. Il parle tellement qu’il nous saoule depuis 7 ans avec ses monologues avec manches retroussées, avec veste, sans veste. 7 ans de Fidel Macro. C’est long.
N’oublions pas que la France a la plus forte pression fiscale de tous les pays de l’OCDE et que nous sommes loin d’avoir les meilleurs services publics au monde. Cela a été le cas, mais nous vivons sur un souvenir. Et ce souvenir n’est plus la réalité.
La réalité c’est l’effondrement de nos services publics malgré des niveaux de prélèvements jamais vus en France et qui n’ont pas d’équivalent dans le reste du monde.
Comme il était assez prévisible, les modalités de choix se réduisent et la campagne, même rapide a fait apparaitre plusieurs choses sur la thématique économique.
Si j’ai décidé de vous parler de ce sondage, ce n’est pas pour vous faire la pub du Rn. Chacun votera ce bon lui semble et mon rôle n’est pas de donner des consignes de vote, mais de partager avec vous des analyses, et en terme d’analyse, ce sondage pourrait être un signal faible d’une surprise qui pourrait avoir lieu dimanche soir avec une majorité pour le RN.
La Constitution est nos institutions sont choses très sérieuses. Très importantes.
Alors il faut parfois faire des rappels à la loi… c’est essentiel.
Il faut avoir le courage de dire ce qui doit-être dit.
Si tout le monde connait l’article 1 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, pour les autres les connaissances de la population sont nettement plus nuageuses et brumeuses !
Article 1er
“Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune”.
Expert en politique énergétique, auteur de plusieurs livres - Éoliennes : la face noire de la transition écologique en 2019, Nucléaire : les vérités cachées en 2021 –, Fabien Bouglé publie Guerre de l’énergie : au cœur d’un nouveau conflit mondial, aux Éditions du Rocher. L’occasion d’évoquer les dernières évolutions de la bataille de l’éolien en France. De comprendre à qui profitera la forte hausse du prix du gaz, le 1er juillet, pour tous les Français et de saisir les arcanes des bras de fer énergétiques entre grandes puissances… sur le dos de la France et de l’Europe.
À quelques encablures du scrutin du 9 juin, nous nous rapprochons d'une échéance qui risque de se révéler capitale.
Le résultat devra sans doute être évalué au niveau européen, où on peut espérer un basculement vers les diverses droites. Qu'elles soient cataloguées conservatrices ou étiquetées nationalistes, elles bénéficient toutes du rejet par les peuples de l'immigration incontrôlée, ressentie comme une invasion. Reléguant aussi les excès délirants de l'écologie politique elles sont dénoncées comme "populistes". Ce mot ne veut rien dire mais il convient aux logiciels surannés de nos commentateurs agréés.
La question de l’État obèse revient en permanence dans la campagne électorale et au RPF, nous dénonçons également ce gouffre financier du fonctionnement de l’État, guichet social impensable qui dispense des aides sans plus de contrôle que cela, avec une fraude massive et de l’argent qui part même à l’étranger. Nous avons déjà, entre autres, souligné le scandale des retraités centenaires algériens, qui continuent, une fois morts à toucher des pensions au Maghreb, alors que plus des deux tiers d’entre eux sont introuvables, l’expérience avait été menée sur un échantillon représentatif. En France métropolitaine, le train de vie de l’État est également ahurissant, avec les régions, créées voici quelques décennies, remaniées plus récemment à grands frais avec au final, un coût global plus élevé que celui des anciennes régions. Avec des systèmes informatiques de gestion qui n’étaient pas forcément les mêmes, des postes politiques qui sont renouvelés à chaque alternance et un total de 1781 élus, tous défrayés, avec logements, voitures de fonction et chauffeurs. Cette fonction publique territoriale représente 1,94 million d’agents, soit 34 % de l’emploi public, dont 71 % dans les régions, départements et communes. On peut ajouter un préfet de région, qui lui, est un fonctionnaire d’État, toutes ses équipes et tous les locaux attenants, chauffés, entretenus. Sans parler du train du vie et de l’utilité des sénateurs et de tout leur cortège d’avantages. Au final, la France est l’un des états les plus imposés du monde, pour des services publics de plus en plus restreints.