
Raffelhüschen fait le calcul : en raison du vieillissement de notre société, il existe déjà un énorme écart entre ce que les entreprises et les salariés versent au système fiscal et social allemand (impôts, soins infirmiers, retraite, assurance maladie, etc.) et ce qu’ils paient actuellement et en Peut l’exiger à l’avenir (pension, soins, subventions). Cet « écart de durabilité » atteindra 19 200 milliards d’euros, selon Raffelhüschen, si nous continuons à laisser entrer chaque année dans le pays 300 000 étrangers qui ne s’intègrent et n’obtiennent leur qualification que lentement et ont ensuite moins de revenus et cotisent donc moins aux systèmes sociaux.