La stratégie de Breton n’a pas été bonne. Ses choix ont été mauvais. Les résultats sont désastreux et ne peuvent plus être cachés aujourd’hui.
Le camarade commissaire Breton devrait donc faire preuve de moins de suffisance et plus d’humilité.
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La stratégie de Breton n’a pas été bonne. Ses choix ont été mauvais. Les résultats sont désastreux et ne peuvent plus être cachés aujourd’hui.
Le camarade commissaire Breton devrait donc faire preuve de moins de suffisance et plus d’humilité.
Lors du débat d’orientation budgétaire à l’Assemblée nationale, le gouvernement a été vivement critiqué par l'opposition, notamment La France insoumise (LFI) et le Rassemblement national (RN), qui ont évoqué la possibilité d'une motion de censure avant la fin mai. Les reproches ont porté sur l'incompétence et le manque de crédibilité dans la gestion des finances publiques.
par H16
Saperlipopette, la transition écologique, qui devait transformer nos sociétés en utopies vertes et riantes est en train de muter en zombie dont l’odeur de putréfaction devient difficile à camoufler : même la titraille journalistique la plus putassière ne parvient pas à évacuer les problèmes de plus en plus énormes provoqués par les décisions débiles que cette transition vers la misère nous impose.
Pourtant, tout avait été bien proprement décidé, correctement à l’abri de tout processus démocratique et de consultation régulière du peuple qui, un peu lourdaud, aurait pu tout faire dérailler : d’une part, parce qu’ils polluaient vraiment trop (mais si, puisqu’on vous le dit), il était clair qu’on devait se passer complètement des véhicules à moteurs thermiques d’ici 2030 quitte à basculer tout le monde à l’électrique, et d’autre part on allait simultanément se débarrasser de ce nucléaire qui apportait décidément trop de solution à tous nos problèmes.
La fausse bonne nouvelle vient de tomber, la note de la France reste en AA. L’illusion de la stabilité budgétaire et d’une maîtrise des finances publiques se maintient. Fort de cet encouragement la macronie va pavoiser d’optimisme, on ne devrait pas tarder à entendre sur les ondes des radios de propagande le satisfecit gouvernemental se répandre comme une traînée de poudre. Ainsi s’éloigne sans doute le spectre d’une motion de censure qui aurait fait chuter Attal, le débat pour le pouvoir est clos. Sauf si les oppositions se penchent sur le pourquoi de cette soudaine et improbable mansuétude.
Dans le quartier Pissevin, haut lieu du trafic de stupéfiants de Nîmes (Gard) et sa région, régulièrement le théâtre de violents règlements de compte, les enquêteurs spécialisés multiplient les investigations pour essayer de cerner au plus près le trafic et de serrer les trafiquants. Dans un dossier éloquent, que Le Parisien a pu consulter, est défini l’organigramme du clan de la ZUP Sud, le principal point de deal du département. Le compte est vite fait : le four de la galerie Wagner rapportant selon les estimations 40 000 euros par jour, ce sont un peu plus de deux jours de chiffre d’affaires qui sont consacrés par les trafiquants à la sécurité des lieux.
Un certain Bulot Lemaire, auteur de romans porno, qui joue un peu au ministre à ses moments perdus, avait juré de ruiner la Russie en moins de trois mois. Fasciné par une telle promesse, le Mozart de la finance lui avait donné carte blanche. Et ces bourricots se sont tirés une balle dans le pied. Mais comme les ânes ne reculent jamais, ils ont continué à claudiquer dans la même direction.
Même les Ricains reconnaissent que leurs mesures de rétorsion n’ont servi à rien
Le Carnegie Endowment for International Peace déplore que les Russes aient non seulement tenu le choc, mais en outre qu’ils aient amélioré leurs positions économiques chez eux comme à l’international.
Un tribunal de Saint-Pétersbourg a ordonné mercredi le gel des fonds détenus par le géant bancaire américain JPMorgan Chase en Russie (l'un des principaux investisseurs du lobby des armes aux Etats-Unis). La décision a été rendue en faveur du deuxième prêteur du pays, VTB, qui a intenté une action en justice pour tenter de récupérer 439,5 millions de dollars bloqués à l’étranger en raison des sanctions imposées par les États-Unis.
Dans mon édito d’hier sur la pénurie de médicaments, imputable à notre vision « socialiste » dévoyée à mon sens, un des commentaires qui est très souvent revenu, consistait à pointer du doigt de manière très juste au demeurant, que l’Etat verse 200 milliards d’euros d’aides aux vilaines entreprises !
Ce serait une preuve que ce n’est pas du « socialisme » mais du « libéralisme » ultra dont nous souffririons.
Permettez-moi de partager une réflexion sur ce sujet-précis pour tenter de démontrer que justement, c’est exactement cela le socialisme dévoyé qui détruit notre pays.
Ne m’en veuillez pas pour cet humour grivois de vieux… que voulez-vous ne se refait pas et je n’ai pas pu résister à l’idée de vous parler, sous le regard courroucé de ma tendre épouse qui réprouve souvent mon humour potache, de vous parler des miches fiscales de madame Michu, qui déduit de son impôt sur le revenu son coach sportif à la maison pour l’entretien de ses jolies fesses.
Vous vous demandez souvent quoi faire… laissez-moi Bercy pendant un an et je vous assure que je vais résoudre le problème du déficit et de la dette. Après, disons-le, ça va couiner. Mais, ça suffit les âneries.
Quand le sportif Lionel Messi arriva au Paris-Saint-Germain, une petite affichette manuscrite fleurdelysée et signée des Royalistes sociaux fut apposée non loin du Parc des Princes : « Messi, 41 millions d’Euros annuels ! Combien pour une infirmière qui sauve des vies ? 1 300 fois moins ! Halte à l’indécence ! », proclamait-elle crânement, sachant que les fidèles soutiens de l’équipe de balle-au-pied s’en offusqueraient, ce qui ne manqua point d’arriver, effectivement. Depuis, chaque année au moment des transferts de joueurs et des enchères étonnantes autour de quelques uns d’entre eux, ainsi que lors des assemblées générales d’actionnaires des grandes Firmes financières ou industrielles, les mêmes causes entraînent les mêmes indignations, dans une sorte de rituel immuable où chacun, selon son étiquette politique, tient son rôle et entretient son discours.